Sa langue, elle, a continué à lécher mon dos, ses dents mordillent maintenant mes épaules, tandis que sa main à commencé sur ma verge un mouvement de va et vient des plus doux, mais dont je
ne saurai sûrement pas me satisfaire. D'un mouvement rapide, je me retourne, je lui prends la tête dans les mains, il a un violent mouvement de recul vite passé. En baissant les yeux, la vue
de ma verge tendue à son maximum le rassure. Je tiens fermement son visage dans mes mains et approche ses lèvres des miennes. Sa bouche s'ouvre sans attendre et un long très long moment se
passe avant que nos deux langues ne se séparent. Je replonge très vite ma langue dans cette bouche, m'abreuve de sa salive mais ne veux pas non plus en rester là.
A mon tour, j'explore son corps : j'ouvre sa veste de survêtement et la laisse tomber. Je vais très vite pour glisser les mains sous son tee-shirt, caresser ses abdominaux et lui ôter ce
vêtement.
Je m'arrête trois minutes, pour admirer ce corps bien bâti : un V parfait, pas un point de graisse. Il me sourit et avance une main vers ma verge. Je lui prends cette main, lui en glisse le
pouce sous sa ceinture de pantalon, je lui prends l'autre main, lui glisse l'autre pouce sous la même ceinture et, sans un mot, d'un geste lui ordonne un strip-tease.
Le sourire qu'il affiche montre qu'il n'est pas mécontent de la tournure que prennent les événements. Il baisse les yeux vers son pantalon et je peux remarquer à la bosse qui déforme son
entre-jambes que le spectacle qui m'attend ne sera pas commun.
Ses mains quittent sa ceinture pour venir en coquille enserrer sa virilité. Je n'en ai encore qu'une vague idée, mais je sais que très bientôt j'userai de cet objet dont dame nature l'a
visiblement bien fourni. Comme s'il comprenait mon attente, il se décide lui aussi à jouer, il s'adosse au bureau et laisse ses mains glisser le long de ses jambes, tel un ballet bien
orchestré, d'un seul geste il se défait de ses lacets et d'un pied chassant l'autre, retire ses chaussures de sport. Ses chaussettes elles aussi, finissent sur le parquet.
Il me regarde, un large sourire narquois aux lèvres et fait lentement glisser son pantalon le long de ses cuisses musclées, découvrant un boxer blanc presque transparent, mais au devant
doublé d'une poche bleu marine. Oui, on ne peut appeler que poche cette avancée bien remplie. Il retire complètement son pantalon et se retourne pour le déposer sur le bureau.
Il tourne la tête pour me parler, mais mon doigt s'est posé sur ses lèvres :
- Silence.
Alors il commence à faire glisser le dernier vêtement. Quand son boxer est à mi-cuisses, je fais un pas et prends la position qu'il détenait il y a cinq minutes encore. Je me colle à son dos
et mes mains enserrent sa poitrine. Sa tête bascule en arrière et ses courts cheveux blonds viennent caresser le creux de mon épaule.
Mes mains glissent sur son torse et à mon tour je découvre son pubis, je ne m'y éternise pas, trop pressé de découvrir l'objet...
Et quel objet ! Ce que j'ai maintenant en main mesure près de vingt cinq centimètres, si ce n'est plus. Longue mais fine, sa verge palpite maintenant au creux de ma main. Je le caresse et sa
bouche vient à la rencontre de la mienne : difficile ici, de décrire la douceur de cet instant.
Ses mains ont glissé jusqu'à son pantalon et, tandis qu'il se penche un peu plus en avant, il sort de sa poche un préservatif muni de sa dose de lubrifiant. Toujours sans un mot,je m'habille
de la chose et lui caresse les reins doucement, trop doucement sans doute, car ses deux mains se sont posées sur ses globes de chair tendre et les écartent doucement.
Quelle beauté que cette rosette brune qui me semble m'attendre. Je dépose la goutte de gel à l'entrée de cette voie royale et glisse tendrement un doigt chargé d'étudier le terrain. Mon doigt
est vite remplacé par mon muscle d'amour qui n'a rien contre l'idée de se reconvertir en foreuse de chantier et qui, doucement, entre dans ce fourreau chaud et si hospitalier.
Alain se raidit et soupire, je me méprends, me retire doucement, mais son cri et sans appel :
Le mot est lancé, alors oui, je viens, je glisse et travaille ardemment ce corps qui se donne et qui maintenant soupire de plus en plus d'aise... Mon sexe entier est avalé par son orifice
qui ne semble pas vouloir me libérer, mais quelques minutes de cette épreuve de force ont raison de moi...
Alors qu'une nouvelle fois, avec un énorme "Han" de bûcheron, je m'enfonce dans les entrailles de mon ami, un éclair me brouille la vue, le même éclair me brûle la nuque, le cou et glisse
le long de ma colonne vertébrale et s'échappe dans un hurlement et un dernier sursaut sur le corps d'Alain qui, au même instant, dans le même hurlement, éjecte une laitance crémeuse loin
devant lui...
Nous nous regardons, rions franchement, et nous embrassons à nouveau. Nous savons que cette nuit sera très longue, qu'il nous reste beaucoup de terrain à découvrir.
Nous nous échappions très vite de ce lieu. bien sûr il resterait à jamais l'endroit de notre découverte, l'endroit où, sans un mot, nos corps s'étaient dénudés et aimés. Mais avouons-le
aujourd'hui, les odeurs de graisse, de cambouis, ne sont pas ce dont on peut rêver pour approfondir encore plus notre connaissance de l'autre.
Ce soir-là, après nous être rhabillés, nous avons, comme prévu, pris la direction de l'appartement d'Alain, un petit deux pièces de célibataire, coquet, bien rangé, très agréable enfin,
pour ce que je peux en décrire, car Alain ne m'a pas vraiment laissé de temps pour la visite.
A peine la porte d'entrée refermée, nous nous sommes à nouveau retrouvés enlacés, nos bouches ne faisant qu'une...
Et, comme je l'avais fait dans un lieu qui était mien, Alain, maître chez lui, ne me laissa en rien la direction des opérations.
Nos langues toujours emmêlées, mon ami de soirée s'attaqua à ma ceinture, mais là, finie la découverte, fini les vêtements que l'on effeuille, il savait et connaissait ce qu'il allait
trouver, et ne voulait pas perdre de temps.
Le tapis du salon fut notre nid.
Sans pouvoir vous décrire comment il s'y prit, j'étais nu, allongé, lui debout me disant :
" -Tu aimes les strips ? alors regarde..."
Et j'ai vu... Oui, il était expert, de cela aucun doute. Il était encore en boxer que je criais grâce...
Alors, en sous-vêtement, il s'agenouilla entre mes jambes. Son sourire toujours aussi merveilleux, il entreprit une caresse sur ma verge, celle-là même dont je l'avais privé quelques heures
plus tôt...
Ses mains douces m'enserrèrent. Il me manipula doucement et quand mon gland fut sorti de son enveloppe de peau, c'est avec sa langue qu'il travailla ma lance.
Quelle douceur, quelle chaleur que cette bouche qui me léchait, m'aspirait, me titillait... Le temps s'arrêta, mes mains, mes doigts se perdaient dans la douceur de la soie de ses
cheveux.
Après un long moment de ce délice, il s'arrêta, me regarda, et crânement, il fit enfin sauter son tee-shirt, ce corps souple et musclé, ce corps que j'avais déjà goutté avait retrouvé toute
sa splendeur, le boxer prêt à craquer, lui aussi, fut vite arraché. Cette verge longue et fine pointait à nouveau à son maximum.
Assis sur mon torse, j'avais à quelques centimètres des lèvres, ce sucre d'orge dont la grosse veine battait au rythme de son cœur. Comment aurai-je pu résister à son invite ? Quand sa
hampe franchit le seuil de mes lèvres, je sus que j'allais l'aimer. Longue, fine lisse, elle avait tout pour régaler les langues les plus exigeantes. Je le suçais, l'aspirais et lui, il
soufflait, s'étirait les yeux clos...
De mon côté, mes suçions se faisaient toujours plus fortes, j'aimais son odeur, j'aimais ce sexe, je voulais sa semence.
Alain glissa de quelques centimètres, et, sans se défaire de ma bouche, s'allongea à mon côté tête bêche et entama lui aussi la caresse que je lui prodiguais et qui n'est pas prêt de
s'effacer de ma mémoire. Celle-ci fut plus rapide car, de ma lance érigée, Alain glissa vers l'étage inférieur et engloutit une à une mes deux perles de mâle qui, gonflées au maximum,
attendaient de se libérer de leur élixir d'amour.
Là non plus cependant il ne s'attarda point, sa langue poursuivit son chemin, descendit encore, et vint titiller l'entrée de mes reins... Je compris à cet instant, que ma bouche ne serait
pas longtemps seule à connaître ses vingt cinq centimètres de douceur.
Sans concertation aucune, Alain se retira de ma bouche, il s'habilla d'un préservatif venu de je sais où et me regarda fier de sa longueur. Le membre ainsi habillé était réellement
impressionnant, je lui dis simplement :
"Doucement".
Son sourire en guise de réponse me rassura. Le coussin de velours qu'il glissa sous mes reins me rassura, le gel dont il m'enduisit me rassura, le baiser tendre qu'il me donna me rassura,
l'amour, le vrai, la tendresse étaient au rendez-vous...
Malgré cela, quand il se présenta à l'entrée de mes reins, je tressaillis sûrement très fort car sa main douce vint caresser mon ventre puis mes cuisses. Il enduisit son préservatif d'une
nouvelle couche de gel et vint repositionner la pointe de sa lance où elle était censée allumer ses feux d'amour...
Il mit toute sa tendresse dans son entrée, quand je sentis enfin sa chaleur en moi, il me demanda :
"Je ne te fais pas mal ?"
Pour toute réponse, je le regardais et lui souriais...
Oh, non ! Alain tu ne me faisais pas mal, tu pouvais venir, venir au plus profond...
A toi qui lit ces lignes, je te souhaite un jour de connaître une ivresse de vingt-cinq centimètres qui te pénètre, qui prend son temps pour aller et à mi-chemin se retirer pour mieux
revenir.
Je ne sais plus combien de temps il à fallut à Alain pour s'enfoncer entièrement en moi. Combien de temps il m'a fallu attendre pour sentir la base de sa verge et son ventre enfin
rencontrer les globes qu'il envahissait.
Quand enfin, il fut entré de toute sa longueur, il ressortit presque entièrement et, là, la tempête se déchaîna, de plus en plus vite, Alain me clouait au sol, son regard allant de sa
verge qui s'enfonçait, à mon visage qu'il surveillait à l'affût de la moindre douleur.
Mais non, il aurait pu buter en moi dix fois plus fort, je n'aurai pas crié... Il était long, doux et bon...
Après un très long moment de ce réel bonheur, je n'étais plus qu'un pantin entre ses bras, lui au contraire, plus il me besognait, plus il semblait redoubler de fougue. A tel point, qu'à
un moment, sa cadence se ralentit, il s'arrêta presque et le sportif qu'il était n'avait pas fini de me surprendre. Sans quitter mon corps de son pieu, ses mains passèrent sous mon dos,
et tous ses muscles travaillèrent ensemble pour nous lever.
Mes bras autour de son cou, sa longueur toujours figée en moi, il me porta dans sa chambre, m'installa sur son lit et repartit à sa charge héroïque. Je ne peux vous dire le temps qu'il
mit à honorer mes entrailles, ce dont je me souviens, toutefois, c'est l'état de mon être quand je sentis sa semence se déverser au fond de son préservatif.
Il s'affala sur moi, me lécha, m'embrassa, me caressa le corps.
Moi, je n'en pouvais plus, je ne pouvais que lui caresser la tête, ce qu'il comprenait comme la plus grande des reconnaissances.
L'instant d'après, il vint se lover contre moi, il m'enserra le torse, et me dit :
"Dors, demain, je veux t'aimer..."
Avec une telle promesse, d'autres que moi se seraient sans doute enfuis. Après ce que je venais de connaître, je n'osais croire à plus... Pourtant, je sombrais très vite dans un univers
d'étoile et de rêve...
Que croyez-vous qu'il arriva ?
Rêve ou pas, je sentais à nouveau la douceur chaude de la bouche d'Alain sur ma turgescence d'amour. Il m'aspirait et me léchait tant et si bien que j'avais l'impression d'être attaché, à
sa merci...
Attaché, non je ne l'étais pas, mais en croix oui...
Je m'éveillais doucement et Alain était bien là, entre mes jambes écartées au maximum, afin de lui laisser le champ libre. Mes bras tendus de chaque côté du lit avait dans leurs poings
les replis du drap.
Quand il vit mes yeux s'ouvrir, il lâcha mon sexe, et vint m'embrasser tendrement.
"Bonjour petit homme, bien dormi ? "
Ainsi j'avais dormi ? Il me semblait le sentir encore au fond de moi. Était-il réellement insatiable ? Sûrement, car à cheval sur mon torse, il recula doucement jusqu'à ma hampe qu'il
s'était appliqué à rendre ferme et s'empala littéralement sur elle.
Un seul élan, un seul mouvement et nous étions à nouveau lié l'un à l'autre...
Mes mains enserrèrent ses hanches et les yeux dans les yeux il commença à monter et descendre le long de ma colonne. Ses mains à lui entourant sa lance dressée, il se masturba tout en me
menant au réel bonheur. De plus en plus vite, il haletait, sa main droite le caressant, sa main gauche voyageant de ses bourses à ses seins qu'il pinçait doucement. Quand il commença à
ralentir, je sus qu'il allait éclater. Moi aussi je m'abandonnais. Ensemble nous lâchâmes notre sève, moi en lui, le plus profondément possible, lui sur moi, mais avec quelle ressource.
Longuement il se vida, des jets d'une force que je n'avais jusqu'alors jamais connue vinrent cingler mon corps et mon visage.
Vous l'avez compris, cette nuit là fut de celles que l'on connaît rarement le temps d'une vie, quand, en nous séparant, nous nous embrassâmes une dernière fois, nous nous promîmes de nous
revoir dès son retour de voyage.
Quand j'arrivais au garage ce matin-là, mon patron remarqua tout de suite mon oeil fatigué et me dit :
"Tu aurais vraiment dû aller te coucher hier soir. Mais au fait, je viens de recevoir un appel du propriétaire de la voiture qui tenait à me dire bravo pour mon personnel... Je te
félicite pour lui, apparemment il était heureux..."
Heureux ? Seulement heureux ?...