Le blog de Bipuce

Luis, le plus jeune de la fratrie a 20 ans. Son frère David, l'aîné, en a 22. De leurs origines méditerranéennes, ils ont le teint mat, ce qui rehausse encore la beauté de leur visage. Serviables et polis, ils sont très appréciés dans leur quartier où on les considère comme deux garçons parfaits et charmants. Mais sous cette apparence se cache deux êtres tourmentés sexuellement.

 

Luis a développé une passion obsédante pour les pieds des hommes. Il aime l'odeur du pied nu comme celle émanant d'une chaussette enfermée toute une journée dans de grosses chaussures: baskets monstrueuses, Caterpillar massives ou bottes de moto.

 

Grâce à son père, maçon de profession, Luis eut très tôt la révélation de son goût immodéré pour les attributs du pied masculin. Quand il rentrait du boulot, son père avait l'habitude de s'asseoir dans un fauteuil devant la télévision. Il entreprenait alors de se déchausser. Saisissant ses grosses chaussures de chantier par le talon, il les décollaient avec peine de ses épaisses chaussettes de laine. Puis il faisait descendre celles-ci le long de ses jambes poilues. Parvenu au talon, il insérait son pouce entre le pied et la chaussette et la faisait glisser jusqu'aux orteils avant de la laisser choir à terre avec un soulagement non dissimulé. Une forte odeur de transpiration, mélange de cuir et de sueur virile, s'élevait alors de ses pieds et venait titiller les narines de Luis. Quand l'odeur commençait à l'incommoder, il demandait gentiment à son fils d'emmener chaussures et chaussettes hors de la pièce. Luis devait cacher son émoi quand il prenait en main les chaussettes de son père et qu'à leur contact il sentait sa queue distendre son slip. Luis allait s'enfermer dans la salle de bain et entamait un rituel qui consistait à se déshabiller, à ne garder que ses chaussettes de tennis sur lesquelles il s'enfilait les grosses pompes de son père. Il les laçait pour qu'elles imprègnent bien ses chaussettes blanches. Puis il portait les chaussettes de laine de son père à sa bouche. La senteur amère qui s'en dégageait semblait donner à son sexe une vigueur nouvelle. Pointée à l'horizontale, sa queue laissait poindre les premières gouttelettes de sperme.

 

Avec ferveur, Luis léchait les chaussettes paternelles, les suçait à s'en étouffer, les frottait sur son corps, caressant sa bite, ses testicules et la raie des fesses. Quand il les lâchait, c'était pour prendre en bouche ses doigts parfumés de la senteur de la laine humide. Il s'imaginait alors aux pieds de son père, nettoyant chacun de ses orteils collés. Il lui aurait proposé de ne plus se laver les pieds et de lui laisser le plaisir de leur faire la toilette chaque jour à grands coups de langue et de flots de salive.

 

Ces scènes suggestives que Luis voyait défiler dans sa tête provoquaient inévitablement un tressaillement de sa queue. Quelques gestes masturbatoires suffisaient à libérer la vanne de liquide crémeux qui allait se répandre sur les chaussettes abandonnées sur le carrelage. Alors seulement, il les jetait dans le panier de linge sale.

 

De même qu'il flashait sur les chaussettes de son père, Luis avait pour celles de son frère une vénération identique. David avait les moyens de se payer des chaussettes de marque alors que Luis devait se contenter de celles qu'on lui achetait. En représailles, il prenait un malin plaisir à élargir le moindre trou qui y apparaissait.

 

Entre les deux frères, tout avait commencé le jour où David surprit Luis en train de humer une nouvelle paire de chaussettes Adidas qu'il venait de mettre au linge sale. Luis lui était tombé dans les bras en larmes, s'excusant pour la "violation" de ses chaussettes. "C'est parce que je t'aime, David..." sanglotait Luis à genoux. David ne se rendait pas compte que son jeune frère le débraguettait, massant à travers le slip une queue qui ne tarda pas à s'éveiller. Devenu fébrile, David ne résista pas. Luis s'était jeté sur le membre tendu et le mouillait avidement jusqu'à provoquer l'explosion finale.

 

Une nuit, alors que David est en virée, Luis ne trouve pas le sommeil. Il ne veut surtout pas manquer le retour de son frère. À peine celui-ci a-t-il franchi la porte de la chambre que Luis bondit hors de son lit, le slip gonflé par une queue en transe. David est obligé d'admettre intérieurement que ce membre qui s'agite sous le tissu est un bien joli spectacle. Pourtant, il doit avouer:

 

- Je t'aime bien, petit frère, mais ce soir, je suis "vanné". Je viens de me "taper" la copine de ce prétentieux de Franck sur la cuvette des chiottes et je peux te garantir que je l'ai fait jouir un max. Sûr que son mec ne l'a jamais "tringler" de la sorte! Sans me vanter! D'ailleurs, dans la foulée, j'étais prêt à le dépuceler du cul, ce blaireau! Si tu le voyais frimer avec ses chaussettes, tu en serai fous, frangin; affalé dans un canapé, il croise ses jambes et remonte légèrement ses jeans de telle sorte que le sigle de ses chaussettes paraisse bien en vue.

 

- Alors, tu ne m'aimes plus? ose à peine prononcer Luis. Laisse-moi te faire rebander. J'ai tellement envie de ta queue dans mon cul!

- Regarde, Luis, j'ai quelque chose pour ton petit cul gourmand. David sort de son meuble de chevet un gode de belle taille qu'il présente aux yeux ébahis de son frère.

- OK. Enfonce-le moi, mais après je veux sentir ton membre naturel entre mes fesses.

- Tu es incorrigible, frangin, fait remarquer David alors que Luis a retiré son slip et présente son trou élargi à l'engin en latex que tient son frère.

Après l'avoir badigeonné de salive, il pose l'extrémité du gode à l'entrée du cul de Luis et, forçant si peu, l'introduit dans le fondement qui l'accueille avec ravissement. De petits cris de plaisir encourage David à combler ce si tendre anus. À la vue de son frère défoncé ainsi, sa queue se raidit sous son jeans.

Brusquement, Luis décule le gode et se précipite sur la braguette de son frère, lui extirpant un membre bien droit qu'il s'empresse d'enfourner dans sa bouche. Il le suce alors vigoureusement.

 

Abandonnant pour un instant ce sexe revigoré, Luis déchausse David. Une forte odeur de transpiration le prend aux narines.

- C'est normal, petit frère, tente de se justifier David. Je me suis bien éclaté sur la piste de danse toute la soirée.

Qu'importe! Luis va renifler ces chaussettes blanches humides afin de faire monter l'excitation, si tant est qu'il en ait encore besoin. Luis est maintenant déchaîné, commandant à son frère:

- Baise-moi! Mon trou n'attend que ta bite bien dure! Je mouille à ne plus pouvoir me contrôler...

- Tu sais bien provoquer, frérot, reconnaît David tout en s'enfonçant prestement dans l'oillet intime de Luis qui sent la dureté du sexe progresser au plus profond de lui.

Sous les "han" frénétiques de son frère, Luis se laisse prendre comme une bête, encourageant David de la voix:

- Plus fort... Plus vite... Décharge ta semence... Vide-toi en moi, fais-moi mal... crie Luis qui se branle avec frénésie tout en s'ouvrant à la pine tant aimée.

Il a l'impression que chaque parcelle de son corps explose sous une myriade de gouttes de sueur. Sa peau est luisante, ses mains moites transpirent dans le coton des chaussettes qu'il serre énergiquement. La bestialité de David le transcende.

David, bientôt à bout de souffle, pousse une dernière fois sa bite bien à fond et lâche sa purée en gueulant de plaisir. Dans le même temps, la jouissance de Luis éclate en flots ininterrompus avec la sensation que les deux spermes se libèrent simultanément par l'intermédiaire de sa queue.

Mar 14 avr 2009 Aucun commentaire