Le blog de Bipuce
Je venais d'avoir 18 ans. Étudiant et issu d'une famille plutôt modeste, je
devais financer mes études en travaillant pendant les vacances universitaires.
C'est cette occasion que je me retrouvais embauché sur un chantier dans une
ville du sud de la France.
Il faisait chaud. On était en juin. On travaillait torse nu et les corps des
hommes ruisselaient de sueur dès les premiers efforts, faisant ressortir la
musculature déjà impressionnante de certains d'entre eux.
Derrière le chantier, un coin-douche avait été amménagé pour les ouvriers. Il
était constitué de 2 cabines de douches séparées par une cloison de bois.
Un soir, après le travail, je rentrai dans la douche et commençais à me
déshabiller quand j'entendis que quelqu'un qui faisait de même dans la
douche voisine. D'un tempéramment plutôt voyeur, je regardais par une
fissure que l'humidité avait fait apparaître dans la cloison qui me séparait
de l'autre occupant.
Il était encore en bleu de travail, mais il avait déjà ouvert largement sa
fermeture éclair et laissait entrevoir un torse superbement musclé. Il retira
son bleu de travail qui était du reste son seul vêtement et aparu entièrement
nu à mon regard. Son corps était absolument imberbe. De toute évidence ce type
se rasait entièrement et le résultat était extraordinaire. Les muscles
roulaient sous la peau et semblaient animés d'une vie propre à chacun de ses
mouvements. La chaleur et l'effort physique avaient fait transpirer l'homme qui
luisait littéralement sous l 'éclairage, comme s'il avait plongé dans un bain
d'huile. Ses avant-bras étaient parcourus de veines saillantes, de même que ses
épaules et que ses cuisses. Le sexe était de dimensions à faire pâlir d'envie
n'importe quel homme. Il n'était pas en érection et son gland descendait
jusqu'à mi-cuisse. Comme son -heureux- propriétaire, ce sexe était parfaitement
lisse, comme taillé dans un bois précieux, et parcouru de veines turgescentes.
À ce moment, j'entendis que la porte de la cabine s'ouvrait et un deuxième type
entra. Le premier occupant n'en parut pas surpris ce qui me laissa penser
qu'ils s'étaient donnés rendez vous ici, à l'abris des regards indiscrets (du
moins le pensaient-ils).
Le nouveau-venu était vêtu d'un schort plutôt moulant et d'un tee-schirt en
coton blanc trempé de sueur qui collait à la peau et laissait deviner une
musculature d'athlète. Il se débarrassa de ses vêtements. Son corps était
comparable en beauté à celui de l'autre homme qu'il alla rejoindre sous la
douche.
Sous le jet de la douche les deux hommes entreprirent de se caresser et chacun
enduisit le corps de l'autre avec une généreuse quantité de savon liquide. Les
deux amants se faisaient maintenant face et leur corps se rencontrèrent. Ils se
mirent à bander et leur sexes prirent une dimension herculéènne. On aurait dit
deux concombres qui palpitaient l'un au contact de l'autre. Ils s'embrassaient
gouluement , se léchaient alternativement le visage et le torse...
Puis le type qui était entré en dernier se retourna et se pencha un peu en
avant. l'autre prit son pieu dans sa main et vint l'appliquer entre les fesses
qui s'offraient à lui. Il entra d'un seul coup de rein dans le ventre de son
copain qui poussa un gémissement profond.
Le mouvement de va-et-vient commença, lent et régulier au début puis de plus en
plus ample et rapide à tel point que le sexe ressortait presque entièrement
avant de s'engouffrer une nouvelle fois. Je voyais le corps de celui qui
recevait ce gourdin se contorsionner sous l'effet du plaisir. Ses muscles
puissants se contractaient alternativement, donnant l'illusion qu'une onde
régulière le parcourrait.
Son sexe était devenu gigantesque et de couleur rouge sombre. L'autre homme
l'avait pris entre ses deux mains et le pétrissait sans ménagement.
Les respirations s'accélérèrent. Les visages des deux hommes se contractèrent.
On devait entendre de l'extérieur le souffle ardent des deux types. Ils
explosèrent en même temps et je vis un long jet de sperme traverser la pièce et
s'écraser sur le mur, suivi de trois autres moins puissants. L'homme semblait
expulser par son sexe le sperme qu'il recevait de son compagnon...
Quelques jours après, l'un des mecs que je croisais sur le chantier me lança un
regard dans lequel je décelai une pointe de complicité.....
devais financer mes études en travaillant pendant les vacances universitaires.
C'est cette occasion que je me retrouvais embauché sur un chantier dans une
ville du sud de la France.
Il faisait chaud. On était en juin. On travaillait torse nu et les corps des
hommes ruisselaient de sueur dès les premiers efforts, faisant ressortir la
musculature déjà impressionnante de certains d'entre eux.
Derrière le chantier, un coin-douche avait été amménagé pour les ouvriers. Il
était constitué de 2 cabines de douches séparées par une cloison de bois.
Un soir, après le travail, je rentrai dans la douche et commençais à me
déshabiller quand j'entendis que quelqu'un qui faisait de même dans la
douche voisine. D'un tempéramment plutôt voyeur, je regardais par une
fissure que l'humidité avait fait apparaître dans la cloison qui me séparait
de l'autre occupant.
Il était encore en bleu de travail, mais il avait déjà ouvert largement sa
fermeture éclair et laissait entrevoir un torse superbement musclé. Il retira
son bleu de travail qui était du reste son seul vêtement et aparu entièrement
nu à mon regard. Son corps était absolument imberbe. De toute évidence ce type
se rasait entièrement et le résultat était extraordinaire. Les muscles
roulaient sous la peau et semblaient animés d'une vie propre à chacun de ses
mouvements. La chaleur et l'effort physique avaient fait transpirer l'homme qui
luisait littéralement sous l 'éclairage, comme s'il avait plongé dans un bain
d'huile. Ses avant-bras étaient parcourus de veines saillantes, de même que ses
épaules et que ses cuisses. Le sexe était de dimensions à faire pâlir d'envie
n'importe quel homme. Il n'était pas en érection et son gland descendait
jusqu'à mi-cuisse. Comme son -heureux- propriétaire, ce sexe était parfaitement
lisse, comme taillé dans un bois précieux, et parcouru de veines turgescentes.
À ce moment, j'entendis que la porte de la cabine s'ouvrait et un deuxième type
entra. Le premier occupant n'en parut pas surpris ce qui me laissa penser
qu'ils s'étaient donnés rendez vous ici, à l'abris des regards indiscrets (du
moins le pensaient-ils).
Le nouveau-venu était vêtu d'un schort plutôt moulant et d'un tee-schirt en
coton blanc trempé de sueur qui collait à la peau et laissait deviner une
musculature d'athlète. Il se débarrassa de ses vêtements. Son corps était
comparable en beauté à celui de l'autre homme qu'il alla rejoindre sous la
douche.
Sous le jet de la douche les deux hommes entreprirent de se caresser et chacun
enduisit le corps de l'autre avec une généreuse quantité de savon liquide. Les
deux amants se faisaient maintenant face et leur corps se rencontrèrent. Ils se
mirent à bander et leur sexes prirent une dimension herculéènne. On aurait dit
deux concombres qui palpitaient l'un au contact de l'autre. Ils s'embrassaient
gouluement , se léchaient alternativement le visage et le torse...
Puis le type qui était entré en dernier se retourna et se pencha un peu en
avant. l'autre prit son pieu dans sa main et vint l'appliquer entre les fesses
qui s'offraient à lui. Il entra d'un seul coup de rein dans le ventre de son
copain qui poussa un gémissement profond.
Le mouvement de va-et-vient commença, lent et régulier au début puis de plus en
plus ample et rapide à tel point que le sexe ressortait presque entièrement
avant de s'engouffrer une nouvelle fois. Je voyais le corps de celui qui
recevait ce gourdin se contorsionner sous l'effet du plaisir. Ses muscles
puissants se contractaient alternativement, donnant l'illusion qu'une onde
régulière le parcourrait.
Son sexe était devenu gigantesque et de couleur rouge sombre. L'autre homme
l'avait pris entre ses deux mains et le pétrissait sans ménagement.
Les respirations s'accélérèrent. Les visages des deux hommes se contractèrent.
On devait entendre de l'extérieur le souffle ardent des deux types. Ils
explosèrent en même temps et je vis un long jet de sperme traverser la pièce et
s'écraser sur le mur, suivi de trois autres moins puissants. L'homme semblait
expulser par son sexe le sperme qu'il recevait de son compagnon...
Quelques jours après, l'un des mecs que je croisais sur le chantier me lança un
regard dans lequel je décelai une pointe de complicité.....
Mer 6 mai 2009
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