Le blog de Bipuce
A l'époque de cette histoire, je devais être âgé d'une vingtaine d'années. J'étais jeune ouvrier dans un garage-station-service effectuant, ici ou là, quelques petites réparations ou contrôles
automobile.
Un soir, alors qu'approchait l'heure de la fermeture, mon patron, propriétaire du garage, m'informait qu'un client nous avait laissé sa voiture pour un contrôle complet et qu'il la reprendrait le lendemain matin.
En deux mots, il me demandait tout simplement de commencer ma journée du lendemain, un peu plus tôt.
Je ne sais pas ce que vous préférez, mais moi le matin, j'aime les draps de mon lit, aussi je lui proposais de vérifier la dite voiture le soir même et de fermer le garage.
Il accepta bien volontiers ma proposition, ferma la station-service et me laissa les clefs pour tout boucler après mon travail. Sur ce, il me laissa à ma tâche.
J'aimais me retrouver seul en ce lieu, toutes ces voitures et moi seul, maître à bord de ma petite usine...
Le véhicule à vérifier était une berline, voiture spacieuse et puissante avec juste un zeste d'allure sportive, bref, une petite bombe... J'imaginais déjà son propriétaire sûrement très jeune, dévorant les kilomètres au volant de ce bolide, qu'une brève pré-visite m'avait démontré bien entretenu.
Le travail serait donc simple, et rapide.
J'en étais à plus d'une demi-heure de main d'œuvre quand des coups furent frappés à la porte du garage. Absorbé par mon travail, et l'heure de fermeture passée depuis longtemps, je décidais d'ignorer la chose, seulement quelques secondes plus tard, d'autres coups plus insistant, renouvelèrent l'appel.
"La maison est fermée", criais-je en direction de la porte tandis que j'étais allongé sur un banc roulant glissé sous la voiture.
"Ma voiture est chez vous, ouvrez, s'il vous plaît."
Et alors, me dis-je, il ne peut pas repasser demain ?
Ma réflexion s'arrête là car, dans une petite entreprise comme la nôtre, le client est roi c'est bien connu. Aussi, bien que maugréant, je me glissais de dessous la voiture, m'essuyais rapidement les mains et allais ouvrir à mon gêneur...
Et là, big, le flash, fini le gêneur, si je vous dis "Apollon", vous comprenez ma vision...
Un gars, à peine plus âgé que moi, mais plus grand et plus fort aussi, blond aux superbes yeux bleus et cheveux courts, le corps musclé, habillé d'un survêtement qui démontre, au sac de sport qui l'accompagne, une pratique sportive régulière.
"Bonsoir, me dit l'inconnu, je suis Alain, je vous ai laissé ma voiture pour une révision, je devais la reprendre demain matin mais j'ai vu la lumière. Je me suis arrêté pour voir si elle ne serait pas prête et si je ne pourrai la récupérer ce soir, ce qui me ferai gagner du temps pour mon départ demain matin."
"ah, répondais-je, cela va être difficile, je viens juste de débuter les contrôles et j'en ai encore pour une bonne heure..."
Le type prend un air des plus dépités et m'explique qu'il sort d'un entraînement de musculation, qu'il vient de se faire déposer au garage et qu'il n'a aucun moyen pour rentrer chez lui.
Je l'ai déjà dit, le client est roi... Aussi, je lui propose d'entrer et d'attendre la fin de mon contrôle.
Aussitôt, le visage d'Alain s'illumine, il empoigne son sac de sport et pénètre dans le garage. Nous discutons trois minutes de choses sans intérêt et je me remets à ma besogne.
Alain me paraît plutôt sympa, le travail avance vite et il ne rechigne pas à m'aider sur un point ou sur un autre en m'avançant tel ou tel outil.
Nous sympathisons très vite, les blagues commencent même à fuser et c'est très simplement qu'Alain m'invite à prendre un verre chez lui, une fois le travail terminé, chose que je m'empresse d'accepter.
Je termine donc ma série de contrôle, range mes outils et me prépare à me changer afin de retrouver une tenue correcte. Pour ce faire, nous disposons au fond du garage d'une pièce qui nous sert de vestiaire et de local de douche.
Croyez-moi, après huit heures à travailler dans les graisses et les huiles, la douche de fin de service n'est pas un luxe. Aussi, quand le garage est rangé et qu'Alain a pu admirer mon travail, je lui dis que j'en ai juste pour quelques minutes avant d'être à lui...
Je me dirige donc, toujours en discutant, vers le vestiaire local de douche où Alain me suit. Je commence à me déshabiller et pudiquement Alain me tourne le dos, tandis que je passe sous la douche.
Je suis évidemment plein de savon, quand la sonnerie du téléphone retentit. A cette heure tardive, cela ne peut être que mon patron qui, comme à chaque fois que je suis seul, s'informe de mon travail.
Au moment où je saisis une serviette, Alain passe la tête à la porte et ne peut manquer de me voir nu, l'espace d'une seconde. Il a un petit sourire, et me demande : "tu ne réponds pas ?" si, si, j'y vais..." Je noue une serviette autour de ma taille et vais répondre au téléphone dans un local, tout à côté du vestiaire. Alain me suit toujours. Au téléphone, c'est bien mon patron, le propriétaire du garage : je lui énumère mon travail de la soirée, quand soudain, je sens le corps d'Alain s'appuyer au mien. Je sens son bas-ventre plaqué contre mon dos, j'ai un léger tressaillement mais je ne veux pas alerter mon patron et continue comme si rien ne m'arrivait.
Évidemment, Alain prend cela comme un encouragement, son corps se fait plus lourd, sa main droite s'est posée sur mon épaule, la gauche sur le haut de ma poitrine...
Ses caresses m'ont certes surpris, mais ne me gênent pas bien au contraire, je m'en amuse même en répétant la dernière phrase de mon patron : " Bien, Monsieur, compris, je vous décris tout ce que je fais pour la facture. Comptez sur moi... "
Alain lui, ne reste pas inactif. Sa bouche s'est posée sur mon cou et sa main gauche a glissé le long de mes abdominaux.
Même si je suis moins grand et moins large que lui, je n'ai pas à rougir de ma personne. Mon mètre soixante douze pour soixante dix kilos sont une bonne présentation de ma petite personne, en tous cas, Alain à l'air de la trouver à son goût.
En sortant de la douche, je m'étais rincé rapidement et maintenant Alain lèche une à une les gouttes d'eau sur mes épaules. Sa main gauche se fait, elle, plus insistante et se fraie un chemin entre mon corps et la serviette nouée à ma ceinture.
Je termine ma discussion avec mon patron, il me souhaite une bonne soirée et raccroche. Au moment où moi aussi je repose le combiné téléphonique, ma serviette, mon dernier rempart, tombe me laissant ainsi dans le plus simple appareil... Aussitôt, Alain pèse sur mon épaule, m'invitant à poser les deux mains sur le bureau.
Sa main gauche à atteint mon pubis. Il joue avec mes poils qu'il enroule autour de ses doigts, tandis que sa main droite elle, est descendue sur mes fesses qu'elle caresse doucement... Cette même main droite se retrouve soudainement emprisonnant ma verge qui n'est pas restée insensible à ses caresses. Il la sous-pèse, descend jusqu'à mes testicules qu'il sous-pèse aussi.
Son corps non plus n'est pas resté sans réaction : la barre dure de son bas-ventre qui m'écrase le dos m'est le témoin de son émotion.
Sa langue, elle, a continué à lécher mon dos, ses dents mordillent maintenant mes épaules, tandis que sa main à commencé sur ma verge un mouvement de va et vient des plus doux, mais dont je ne saurai sûrement pas me satisfaire. D'un mouvement rapide, je me retourne, je lui prends la tête dans les mains, il a un violent mouvement de recul vite passé. En baissant les yeux, la vue de ma verge tendue à son maximum le rassure. Je tiens fermement son visage dans mes mains et approche ses lèvres des miennes. Sa bouche s'ouvre sans attendre et un long très long moment se passe avant que nos deux langues ne se séparent. Je replonge très vite ma langue dans cette bouche, m'abreuve de sa salive mais ne veux pas non plus en rester là.
A mon tour, j'explore son corps : j'ouvre sa veste de survêtement et la laisse tomber. Je vais très vite pour glisser les mains sous son tee-shirt, caresser ses abdominaux et lui ôter ce vêtement.
Je m'arrête trois minutes, pour admirer ce corps bien bâti : un V parfait, pas un point de graisse. Il me sourit et avance une main vers ma verge. Je lui prends cette main, lui en glisse le pouce sous sa ceinture de pantalon, je lui prends l'autre main, lui glisse l'autre pouce sous la même ceinture et, sans un mot, d'un geste lui ordonne un strip-tease.
Le sourire qu'il affiche montre qu'il n'est pas mécontent de la tournure que prennent les événements. Il baisse les yeux vers son pantalon et je peux remarquer à la bosse qui déforme son entre-jambes que le spectacle qui m'attend ne sera pas commun.
Ses mains quittent sa ceinture pour venir en coquille enserrer sa virilité. Je n'en ai encore qu'une vague idée, mais je sais que très bientôt j'userai de cet objet dont dame nature l'a visiblement bien fourni. Comme s'il comprenait mon attente, il se décide lui aussi à jouer, il s'adosse au bureau et laisse ses mains glisser le long de ses jambes, tel un ballet bien orchestré, d'un seul geste il se défait de ses lacets et d'un pied chassant l'autre, retire ses chaussures de sport. Ses chaussettes elles aussi, finissent sur le parquet.
Il me regarde, un large sourire narquois aux lèvres et fait lentement glisser son pantalon le long de ses cuisses musclées, découvrant un boxer blanc presque transparent, mais au devant doublé d'une poche bleu marine. Oui, on ne peut appeler que poche cette avancée bien remplie. Il retire complètement son pantalon et se retourne pour le déposer sur le bureau.
Il tourne la tête pour me parler, mais mon doigt s'est posé sur ses lèvres :
- Silence.
Alors il commence à faire glisser le dernier vêtement. Quand son boxer est à mi-cuisses, je fais un pas et prends la position qu'il détenait il y a cinq minutes encore. Je me colle à son dos et mes mains enserrent sa poitrine. Sa tête bascule en arrière et ses courts cheveux blonds viennent caresser le creux de mon épaule.
Mes mains glissent sur son torse et à mon tour je découvre son pubis, je ne m'y éternise pas, trop pressé de découvrir l'objet...
Et quel objet ! Ce que j'ai maintenant en main mesure près de vingt cinq centimètres, si ce n'est plus. Longue mais fine, sa verge palpite maintenant au creux de ma main. Je le caresse et sa bouche vient à la rencontre de la mienne : difficile ici, de décrire la douceur de cet instant.
Ses mains ont glissé jusqu'à son pantalon et, tandis qu'il se penche un peu plus en avant, il sort de sa poche un préservatif muni de sa dose de lubrifiant. Toujours sans un mot,je m'habille de la chose et lui caresse les reins doucement, trop doucement sans doute, car ses deux mains se sont posées sur ses globes de chair tendre et les écartent doucement.
Quelle beauté que cette rosette brune qui me semble m'attendre. Je dépose la goutte de gel à l'entrée de cette voie royale et glisse tendrement un doigt chargé d'étudier le terrain. Mon doigt est vite remplacé par mon muscle d'amour qui n'a rien contre l'idée de se reconvertir en foreuse de chantier et qui, doucement, entre dans ce fourreau chaud et si hospitalier.
Alain se raidit et soupire, je me méprends, me retire doucement, mais son cri et sans appel :
"Non, viens vite..."
Le mot est lancé, alors oui, je viens, je glisse et travaille ardemment ce corps qui se donne et qui maintenant soupire de plus en plus d'aise... Mon sexe entier est avalé par son orifice qui ne semble pas vouloir me libérer, mais quelques minutes de cette épreuve de force ont raison de moi...
Alors qu'une nouvelle fois, avec un énorme "Han" de bûcheron, je m'enfonce dans les entrailles de mon ami, un éclair me brouille la vue, le même éclair me brûle la nuque, le cou et glisse le long de ma colonne vertébrale et s'échappe dans un hurlement et un dernier sursaut sur le corps d'Alain qui, au même instant, dans le même hurlement, éjecte une laitance crémeuse loin devant lui...
Nous nous regardons, rions franchement, et nous embrassons à nouveau. Nous savons que cette nuit sera très longue, qu'il nous reste beaucoup de terrain à découvrir.
Nous nous échappions très vite de ce lieu. bien sûr il resterait à jamais l'endroit de notre découverte, l'endroit où, sans un mot, nos corps s'étaient dénudés et aimés. Mais avouons-le aujourd'hui, les odeurs de graisse, de cambouis, ne sont pas ce dont on peut rêver pour approfondir encore plus notre connaissance de l'autre.
Ce soir-là, après nous être rhabillés, nous avons, comme prévu, pris la direction de l'appartement d'Alain, un petit deux pièces de célibataire, coquet, bien rangé, très agréable enfin, pour ce que je peux en décrire, car Alain ne m'a pas vraiment laissé de temps pour la visite.
A peine la porte d'entrée refermée, nous nous sommes à nouveau retrouvés enlacés, nos bouches ne faisant qu'une...
Et, comme je l'avais fait dans un lieu qui était mien, Alain, maître chez lui, ne me laissa en rien la direction des opérations.
Nos langues toujours emmêlées, mon ami de soirée s'attaqua à ma ceinture, mais là, finie la découverte, fini les vêtements que l'on effeuille, il savait et connaissait ce qu'il allait trouver, et ne voulait pas perdre de temps.
Le tapis du salon fut notre nid.
Sans pouvoir vous décrire comment il s'y prit, j'étais nu, allongé, lui debout me disant :
" -Tu aimes les strips ? alors regarde..."
Et j'ai vu... Oui, il était expert, de cela aucun doute. Il était encore en boxer que je criais grâce...
Alors, en sous-vêtement, il s'agenouilla entre mes jambes. Son sourire toujours aussi merveilleux, il entreprit une caresse sur ma verge, celle-là même dont je l'avais privé quelques heures plus tôt...
Ses mains douces m'enserrèrent. Il me manipula doucement et quand mon gland fut sorti de son enveloppe de peau, c'est avec sa langue qu'il travailla ma lance.
Quelle douceur, quelle chaleur que cette bouche qui me léchait, m'aspirait, me titillait... Le temps s'arrêta, mes mains, mes doigts se perdaient dans la douceur de la soie de ses cheveux.
Après un long moment de ce délice, il s'arrêta, me regarda, et crânement, il fit enfin sauter son tee-shirt, ce corps souple et musclé, ce corps que j'avais déjà goutté avait retrouvé toute sa splendeur, le boxer prêt à craquer, lui aussi, fut vite arraché. Cette verge longue et fine pointait à nouveau à son maximum.
Assis sur mon torse, j'avais à quelques centimètres des lèvres, ce sucre d'orge dont la grosse veine battait au rythme de son cœur. Comment aurai-je pu résister à son invite ? Quand sa hampe franchit le seuil de mes lèvres, je sus que j'allais l'aimer. Longue, fine lisse, elle avait tout pour régaler les langues les plus exigeantes. Je le suçais, l'aspirais et lui, il soufflait, s'étirait les yeux clos...
De mon côté, mes suçions se faisaient toujours plus fortes, j'aimais son odeur, j'aimais ce sexe, je voulais sa semence.
Alain glissa de quelques centimètres, et, sans se défaire de ma bouche, s'allongea à mon côté tête bêche et entama lui aussi la caresse que je lui prodiguais et qui n'est pas prêt de s'effacer de ma mémoire. Celle-ci fut plus rapide car, de ma lance érigée, Alain glissa vers l'étage inférieur et engloutit une à une mes deux perles de mâle qui, gonflées au maximum, attendaient de se libérer de leur élixir d'amour.
Là non plus cependant il ne s'attarda point, sa langue poursuivit son chemin, descendit encore, et vint titiller l'entrée de mes reins... Je compris à cet instant, que ma bouche ne serait pas longtemps seule à connaître ses vingt cinq centimètres de douceur.
Sans concertation aucune, Alain se retira de ma bouche, il s'habilla d'un préservatif venu de je sais où et me regarda fier de sa longueur. Le membre ainsi habillé était réellement impressionnant, je lui dis simplement :
"Doucement".
Son sourire en guise de réponse me rassura. Le coussin de velours qu'il glissa sous mes reins me rassura, le gel dont il m'enduisit me rassura, le baiser tendre qu'il me donna me rassura, l'amour, le vrai, la tendresse étaient au rendez-vous...
Malgré cela, quand il se présenta à l'entrée de mes reins, je tressaillis sûrement très fort car sa main douce vint caresser mon ventre puis mes cuisses. Il enduisit son préservatif d'une nouvelle couche de gel et vint repositionner la pointe de sa lance où elle était censée allumer ses feux d'amour...
Il mit toute sa tendresse dans son entrée, quand je sentis enfin sa chaleur en moi, il me demanda :
"Je ne te fais pas mal ?"
Pour toute réponse, je le regardais et lui souriais...
Oh, non ! Alain tu ne me faisais pas mal, tu pouvais venir, venir au plus profond...
A toi qui lit ces lignes, je te souhaite un jour de connaître une ivresse de vingt-cinq centimètres qui te pénètre, qui prend son temps pour aller et à mi-chemin se retirer pour mieux revenir.
Je ne sais plus combien de temps il à fallut à Alain pour s'enfoncer entièrement en moi. Combien de temps il m'a fallu attendre pour sentir la base de sa verge et son ventre enfin rencontrer les globes qu'il envahissait.
Quand enfin, il fut entré de toute sa longueur, il ressortit presque entièrement et, là, la tempête se déchaîna, de plus en plus vite, Alain me clouait au sol, son regard allant de sa verge qui s'enfonçait, à mon visage qu'il surveillait à l'affût de la moindre douleur.
Mais non, il aurait pu buter en moi dix fois plus fort, je n'aurai pas crié... Il était long, doux et bon...
Après un très long moment de ce réel bonheur, je n'étais plus qu'un pantin entre ses bras, lui au contraire, plus il me besognait, plus il semblait redoubler de fougue. A tel point, qu'à un moment, sa cadence se ralentit, il s'arrêta presque et le sportif qu'il était n'avait pas fini de me surprendre. Sans quitter mon corps de son pieu, ses mains passèrent sous mon dos, et tous ses muscles travaillèrent ensemble pour nous lever.
Mes bras autour de son cou, sa longueur toujours figée en moi, il me porta dans sa chambre, m'installa sur son lit et repartit à sa charge héroïque. Je ne peux vous dire le temps qu'il mit à honorer mes entrailles, ce dont je me souviens, toutefois, c'est l'état de mon être quand je sentis sa semence se déverser au fond de son préservatif.
Il s'affala sur moi, me lécha, m'embrassa, me caressa le corps.
Moi, je n'en pouvais plus, je ne pouvais que lui caresser la tête, ce qu'il comprenait comme la plus grande des reconnaissances.
L'instant d'après, il vint se lover contre moi, il m'enserra le torse, et me dit :
"Dors, demain, je veux t'aimer..."
Avec une telle promesse, d'autres que moi se seraient sans doute enfuis. Après ce que je venais de connaître, je n'osais croire à plus... Pourtant, je sombrais très vite dans un univers d'étoile et de rêve...
Que croyez-vous qu'il arriva ?
Rêve ou pas, je sentais à nouveau la douceur chaude de la bouche d'Alain sur ma turgescence d'amour. Il m'aspirait et me léchait tant et si bien que j'avais l'impression d'être attaché, à sa merci...
Attaché, non je ne l'étais pas, mais en croix oui...
Je m'éveillais doucement et Alain était bien là, entre mes jambes écartées au maximum, afin de lui laisser le champ libre. Mes bras tendus de chaque côté du lit avait dans leurs poings les replis du drap.
Quand il vit mes yeux s'ouvrir, il lâcha mon sexe, et vint m'embrasser tendrement.
"Bonjour petit homme, bien dormi ? "
Ainsi j'avais dormi ? Il me semblait le sentir encore au fond de moi. Était-il réellement insatiable ? Sûrement, car à cheval sur mon torse, il recula doucement jusqu'à ma hampe qu'il s'était appliqué à rendre ferme et s'empala littéralement sur elle.
Un seul élan, un seul mouvement et nous étions à nouveau lié l'un à l'autre...
Mes mains enserrèrent ses hanches et les yeux dans les yeux il commença à monter et descendre le long de ma colonne. Ses mains à lui entourant sa lance dressée, il se masturba tout en me menant au réel bonheur. De plus en plus vite, il haletait, sa main droite le caressant, sa main gauche voyageant de ses bourses à ses seins qu'il pinçait doucement. Quand il commença à ralentir, je sus qu'il allait éclater. Moi aussi je m'abandonnais. Ensemble nous lâchâmes notre sève, moi en lui, le plus profondément possible, lui sur moi, mais avec quelle ressource. Longuement il se vida, des jets d'une force que je n'avais jusqu'alors jamais connue vinrent cingler mon corps et mon visage.
Vous l'avez compris, cette nuit là fut de celles que l'on connaît rarement le temps d'une vie, quand, en nous séparant, nous nous embrassâmes une dernière fois, nous nous promîmes de nous revoir dès son retour de voyage.
Quand j'arrivais au garage ce matin-là, mon patron remarqua tout de suite mon oeil fatigué et me dit :
"Tu aurais vraiment dû aller te coucher hier soir. Mais au fait, je viens de recevoir un appel du propriétaire de la voiture qui tenait à me dire bravo pour mon personnel... Je te félicite pour lui, apparemment il était heureux..."
Heureux ? Seulement heureux ?...
Un soir, alors qu'approchait l'heure de la fermeture, mon patron, propriétaire du garage, m'informait qu'un client nous avait laissé sa voiture pour un contrôle complet et qu'il la reprendrait le lendemain matin.
En deux mots, il me demandait tout simplement de commencer ma journée du lendemain, un peu plus tôt.
Je ne sais pas ce que vous préférez, mais moi le matin, j'aime les draps de mon lit, aussi je lui proposais de vérifier la dite voiture le soir même et de fermer le garage.
Il accepta bien volontiers ma proposition, ferma la station-service et me laissa les clefs pour tout boucler après mon travail. Sur ce, il me laissa à ma tâche.
J'aimais me retrouver seul en ce lieu, toutes ces voitures et moi seul, maître à bord de ma petite usine...
Le véhicule à vérifier était une berline, voiture spacieuse et puissante avec juste un zeste d'allure sportive, bref, une petite bombe... J'imaginais déjà son propriétaire sûrement très jeune, dévorant les kilomètres au volant de ce bolide, qu'une brève pré-visite m'avait démontré bien entretenu.
Le travail serait donc simple, et rapide.
J'en étais à plus d'une demi-heure de main d'œuvre quand des coups furent frappés à la porte du garage. Absorbé par mon travail, et l'heure de fermeture passée depuis longtemps, je décidais d'ignorer la chose, seulement quelques secondes plus tard, d'autres coups plus insistant, renouvelèrent l'appel.
"La maison est fermée", criais-je en direction de la porte tandis que j'étais allongé sur un banc roulant glissé sous la voiture.
"Ma voiture est chez vous, ouvrez, s'il vous plaît."
Et alors, me dis-je, il ne peut pas repasser demain ?
Ma réflexion s'arrête là car, dans une petite entreprise comme la nôtre, le client est roi c'est bien connu. Aussi, bien que maugréant, je me glissais de dessous la voiture, m'essuyais rapidement les mains et allais ouvrir à mon gêneur...
Et là, big, le flash, fini le gêneur, si je vous dis "Apollon", vous comprenez ma vision...
Un gars, à peine plus âgé que moi, mais plus grand et plus fort aussi, blond aux superbes yeux bleus et cheveux courts, le corps musclé, habillé d'un survêtement qui démontre, au sac de sport qui l'accompagne, une pratique sportive régulière.
"Bonsoir, me dit l'inconnu, je suis Alain, je vous ai laissé ma voiture pour une révision, je devais la reprendre demain matin mais j'ai vu la lumière. Je me suis arrêté pour voir si elle ne serait pas prête et si je ne pourrai la récupérer ce soir, ce qui me ferai gagner du temps pour mon départ demain matin."
"ah, répondais-je, cela va être difficile, je viens juste de débuter les contrôles et j'en ai encore pour une bonne heure..."
Le type prend un air des plus dépités et m'explique qu'il sort d'un entraînement de musculation, qu'il vient de se faire déposer au garage et qu'il n'a aucun moyen pour rentrer chez lui.
Je l'ai déjà dit, le client est roi... Aussi, je lui propose d'entrer et d'attendre la fin de mon contrôle.
Aussitôt, le visage d'Alain s'illumine, il empoigne son sac de sport et pénètre dans le garage. Nous discutons trois minutes de choses sans intérêt et je me remets à ma besogne.
Alain me paraît plutôt sympa, le travail avance vite et il ne rechigne pas à m'aider sur un point ou sur un autre en m'avançant tel ou tel outil.
Nous sympathisons très vite, les blagues commencent même à fuser et c'est très simplement qu'Alain m'invite à prendre un verre chez lui, une fois le travail terminé, chose que je m'empresse d'accepter.
Je termine donc ma série de contrôle, range mes outils et me prépare à me changer afin de retrouver une tenue correcte. Pour ce faire, nous disposons au fond du garage d'une pièce qui nous sert de vestiaire et de local de douche.
Croyez-moi, après huit heures à travailler dans les graisses et les huiles, la douche de fin de service n'est pas un luxe. Aussi, quand le garage est rangé et qu'Alain a pu admirer mon travail, je lui dis que j'en ai juste pour quelques minutes avant d'être à lui...
Je me dirige donc, toujours en discutant, vers le vestiaire local de douche où Alain me suit. Je commence à me déshabiller et pudiquement Alain me tourne le dos, tandis que je passe sous la douche.
Je suis évidemment plein de savon, quand la sonnerie du téléphone retentit. A cette heure tardive, cela ne peut être que mon patron qui, comme à chaque fois que je suis seul, s'informe de mon travail.
Au moment où je saisis une serviette, Alain passe la tête à la porte et ne peut manquer de me voir nu, l'espace d'une seconde. Il a un petit sourire, et me demande : "tu ne réponds pas ?" si, si, j'y vais..." Je noue une serviette autour de ma taille et vais répondre au téléphone dans un local, tout à côté du vestiaire. Alain me suit toujours. Au téléphone, c'est bien mon patron, le propriétaire du garage : je lui énumère mon travail de la soirée, quand soudain, je sens le corps d'Alain s'appuyer au mien. Je sens son bas-ventre plaqué contre mon dos, j'ai un léger tressaillement mais je ne veux pas alerter mon patron et continue comme si rien ne m'arrivait.
Évidemment, Alain prend cela comme un encouragement, son corps se fait plus lourd, sa main droite s'est posée sur mon épaule, la gauche sur le haut de ma poitrine...
Ses caresses m'ont certes surpris, mais ne me gênent pas bien au contraire, je m'en amuse même en répétant la dernière phrase de mon patron : " Bien, Monsieur, compris, je vous décris tout ce que je fais pour la facture. Comptez sur moi... "
Alain lui, ne reste pas inactif. Sa bouche s'est posée sur mon cou et sa main gauche a glissé le long de mes abdominaux.
Même si je suis moins grand et moins large que lui, je n'ai pas à rougir de ma personne. Mon mètre soixante douze pour soixante dix kilos sont une bonne présentation de ma petite personne, en tous cas, Alain à l'air de la trouver à son goût.
En sortant de la douche, je m'étais rincé rapidement et maintenant Alain lèche une à une les gouttes d'eau sur mes épaules. Sa main gauche se fait, elle, plus insistante et se fraie un chemin entre mon corps et la serviette nouée à ma ceinture.
Je termine ma discussion avec mon patron, il me souhaite une bonne soirée et raccroche. Au moment où moi aussi je repose le combiné téléphonique, ma serviette, mon dernier rempart, tombe me laissant ainsi dans le plus simple appareil... Aussitôt, Alain pèse sur mon épaule, m'invitant à poser les deux mains sur le bureau.
Sa main gauche à atteint mon pubis. Il joue avec mes poils qu'il enroule autour de ses doigts, tandis que sa main droite elle, est descendue sur mes fesses qu'elle caresse doucement... Cette même main droite se retrouve soudainement emprisonnant ma verge qui n'est pas restée insensible à ses caresses. Il la sous-pèse, descend jusqu'à mes testicules qu'il sous-pèse aussi.
Son corps non plus n'est pas resté sans réaction : la barre dure de son bas-ventre qui m'écrase le dos m'est le témoin de son émotion.
Sa langue, elle, a continué à lécher mon dos, ses dents mordillent maintenant mes épaules, tandis que sa main à commencé sur ma verge un mouvement de va et vient des plus doux, mais dont je ne saurai sûrement pas me satisfaire. D'un mouvement rapide, je me retourne, je lui prends la tête dans les mains, il a un violent mouvement de recul vite passé. En baissant les yeux, la vue de ma verge tendue à son maximum le rassure. Je tiens fermement son visage dans mes mains et approche ses lèvres des miennes. Sa bouche s'ouvre sans attendre et un long très long moment se passe avant que nos deux langues ne se séparent. Je replonge très vite ma langue dans cette bouche, m'abreuve de sa salive mais ne veux pas non plus en rester là.
A mon tour, j'explore son corps : j'ouvre sa veste de survêtement et la laisse tomber. Je vais très vite pour glisser les mains sous son tee-shirt, caresser ses abdominaux et lui ôter ce vêtement.
Je m'arrête trois minutes, pour admirer ce corps bien bâti : un V parfait, pas un point de graisse. Il me sourit et avance une main vers ma verge. Je lui prends cette main, lui en glisse le pouce sous sa ceinture de pantalon, je lui prends l'autre main, lui glisse l'autre pouce sous la même ceinture et, sans un mot, d'un geste lui ordonne un strip-tease.
Le sourire qu'il affiche montre qu'il n'est pas mécontent de la tournure que prennent les événements. Il baisse les yeux vers son pantalon et je peux remarquer à la bosse qui déforme son entre-jambes que le spectacle qui m'attend ne sera pas commun.
Ses mains quittent sa ceinture pour venir en coquille enserrer sa virilité. Je n'en ai encore qu'une vague idée, mais je sais que très bientôt j'userai de cet objet dont dame nature l'a visiblement bien fourni. Comme s'il comprenait mon attente, il se décide lui aussi à jouer, il s'adosse au bureau et laisse ses mains glisser le long de ses jambes, tel un ballet bien orchestré, d'un seul geste il se défait de ses lacets et d'un pied chassant l'autre, retire ses chaussures de sport. Ses chaussettes elles aussi, finissent sur le parquet.
Il me regarde, un large sourire narquois aux lèvres et fait lentement glisser son pantalon le long de ses cuisses musclées, découvrant un boxer blanc presque transparent, mais au devant doublé d'une poche bleu marine. Oui, on ne peut appeler que poche cette avancée bien remplie. Il retire complètement son pantalon et se retourne pour le déposer sur le bureau.
Il tourne la tête pour me parler, mais mon doigt s'est posé sur ses lèvres :
- Silence.
Alors il commence à faire glisser le dernier vêtement. Quand son boxer est à mi-cuisses, je fais un pas et prends la position qu'il détenait il y a cinq minutes encore. Je me colle à son dos et mes mains enserrent sa poitrine. Sa tête bascule en arrière et ses courts cheveux blonds viennent caresser le creux de mon épaule.
Mes mains glissent sur son torse et à mon tour je découvre son pubis, je ne m'y éternise pas, trop pressé de découvrir l'objet...
Et quel objet ! Ce que j'ai maintenant en main mesure près de vingt cinq centimètres, si ce n'est plus. Longue mais fine, sa verge palpite maintenant au creux de ma main. Je le caresse et sa bouche vient à la rencontre de la mienne : difficile ici, de décrire la douceur de cet instant.
Ses mains ont glissé jusqu'à son pantalon et, tandis qu'il se penche un peu plus en avant, il sort de sa poche un préservatif muni de sa dose de lubrifiant. Toujours sans un mot,je m'habille de la chose et lui caresse les reins doucement, trop doucement sans doute, car ses deux mains se sont posées sur ses globes de chair tendre et les écartent doucement.
Quelle beauté que cette rosette brune qui me semble m'attendre. Je dépose la goutte de gel à l'entrée de cette voie royale et glisse tendrement un doigt chargé d'étudier le terrain. Mon doigt est vite remplacé par mon muscle d'amour qui n'a rien contre l'idée de se reconvertir en foreuse de chantier et qui, doucement, entre dans ce fourreau chaud et si hospitalier.
Alain se raidit et soupire, je me méprends, me retire doucement, mais son cri et sans appel :
"Non, viens vite..."
Le mot est lancé, alors oui, je viens, je glisse et travaille ardemment ce corps qui se donne et qui maintenant soupire de plus en plus d'aise... Mon sexe entier est avalé par son orifice qui ne semble pas vouloir me libérer, mais quelques minutes de cette épreuve de force ont raison de moi...
Alors qu'une nouvelle fois, avec un énorme "Han" de bûcheron, je m'enfonce dans les entrailles de mon ami, un éclair me brouille la vue, le même éclair me brûle la nuque, le cou et glisse le long de ma colonne vertébrale et s'échappe dans un hurlement et un dernier sursaut sur le corps d'Alain qui, au même instant, dans le même hurlement, éjecte une laitance crémeuse loin devant lui...
Nous nous regardons, rions franchement, et nous embrassons à nouveau. Nous savons que cette nuit sera très longue, qu'il nous reste beaucoup de terrain à découvrir.
Nous nous échappions très vite de ce lieu. bien sûr il resterait à jamais l'endroit de notre découverte, l'endroit où, sans un mot, nos corps s'étaient dénudés et aimés. Mais avouons-le aujourd'hui, les odeurs de graisse, de cambouis, ne sont pas ce dont on peut rêver pour approfondir encore plus notre connaissance de l'autre.
Ce soir-là, après nous être rhabillés, nous avons, comme prévu, pris la direction de l'appartement d'Alain, un petit deux pièces de célibataire, coquet, bien rangé, très agréable enfin, pour ce que je peux en décrire, car Alain ne m'a pas vraiment laissé de temps pour la visite.
A peine la porte d'entrée refermée, nous nous sommes à nouveau retrouvés enlacés, nos bouches ne faisant qu'une...
Et, comme je l'avais fait dans un lieu qui était mien, Alain, maître chez lui, ne me laissa en rien la direction des opérations.
Nos langues toujours emmêlées, mon ami de soirée s'attaqua à ma ceinture, mais là, finie la découverte, fini les vêtements que l'on effeuille, il savait et connaissait ce qu'il allait trouver, et ne voulait pas perdre de temps.
Le tapis du salon fut notre nid.
Sans pouvoir vous décrire comment il s'y prit, j'étais nu, allongé, lui debout me disant :
" -Tu aimes les strips ? alors regarde..."
Et j'ai vu... Oui, il était expert, de cela aucun doute. Il était encore en boxer que je criais grâce...
Alors, en sous-vêtement, il s'agenouilla entre mes jambes. Son sourire toujours aussi merveilleux, il entreprit une caresse sur ma verge, celle-là même dont je l'avais privé quelques heures plus tôt...
Ses mains douces m'enserrèrent. Il me manipula doucement et quand mon gland fut sorti de son enveloppe de peau, c'est avec sa langue qu'il travailla ma lance.
Quelle douceur, quelle chaleur que cette bouche qui me léchait, m'aspirait, me titillait... Le temps s'arrêta, mes mains, mes doigts se perdaient dans la douceur de la soie de ses cheveux.
Après un long moment de ce délice, il s'arrêta, me regarda, et crânement, il fit enfin sauter son tee-shirt, ce corps souple et musclé, ce corps que j'avais déjà goutté avait retrouvé toute sa splendeur, le boxer prêt à craquer, lui aussi, fut vite arraché. Cette verge longue et fine pointait à nouveau à son maximum.
Assis sur mon torse, j'avais à quelques centimètres des lèvres, ce sucre d'orge dont la grosse veine battait au rythme de son cœur. Comment aurai-je pu résister à son invite ? Quand sa hampe franchit le seuil de mes lèvres, je sus que j'allais l'aimer. Longue, fine lisse, elle avait tout pour régaler les langues les plus exigeantes. Je le suçais, l'aspirais et lui, il soufflait, s'étirait les yeux clos...
De mon côté, mes suçions se faisaient toujours plus fortes, j'aimais son odeur, j'aimais ce sexe, je voulais sa semence.
Alain glissa de quelques centimètres, et, sans se défaire de ma bouche, s'allongea à mon côté tête bêche et entama lui aussi la caresse que je lui prodiguais et qui n'est pas prêt de s'effacer de ma mémoire. Celle-ci fut plus rapide car, de ma lance érigée, Alain glissa vers l'étage inférieur et engloutit une à une mes deux perles de mâle qui, gonflées au maximum, attendaient de se libérer de leur élixir d'amour.
Là non plus cependant il ne s'attarda point, sa langue poursuivit son chemin, descendit encore, et vint titiller l'entrée de mes reins... Je compris à cet instant, que ma bouche ne serait pas longtemps seule à connaître ses vingt cinq centimètres de douceur.
Sans concertation aucune, Alain se retira de ma bouche, il s'habilla d'un préservatif venu de je sais où et me regarda fier de sa longueur. Le membre ainsi habillé était réellement impressionnant, je lui dis simplement :
"Doucement".
Son sourire en guise de réponse me rassura. Le coussin de velours qu'il glissa sous mes reins me rassura, le gel dont il m'enduisit me rassura, le baiser tendre qu'il me donna me rassura, l'amour, le vrai, la tendresse étaient au rendez-vous...
Malgré cela, quand il se présenta à l'entrée de mes reins, je tressaillis sûrement très fort car sa main douce vint caresser mon ventre puis mes cuisses. Il enduisit son préservatif d'une nouvelle couche de gel et vint repositionner la pointe de sa lance où elle était censée allumer ses feux d'amour...
Il mit toute sa tendresse dans son entrée, quand je sentis enfin sa chaleur en moi, il me demanda :
"Je ne te fais pas mal ?"
Pour toute réponse, je le regardais et lui souriais...
Oh, non ! Alain tu ne me faisais pas mal, tu pouvais venir, venir au plus profond...
A toi qui lit ces lignes, je te souhaite un jour de connaître une ivresse de vingt-cinq centimètres qui te pénètre, qui prend son temps pour aller et à mi-chemin se retirer pour mieux revenir.
Je ne sais plus combien de temps il à fallut à Alain pour s'enfoncer entièrement en moi. Combien de temps il m'a fallu attendre pour sentir la base de sa verge et son ventre enfin rencontrer les globes qu'il envahissait.
Quand enfin, il fut entré de toute sa longueur, il ressortit presque entièrement et, là, la tempête se déchaîna, de plus en plus vite, Alain me clouait au sol, son regard allant de sa verge qui s'enfonçait, à mon visage qu'il surveillait à l'affût de la moindre douleur.
Mais non, il aurait pu buter en moi dix fois plus fort, je n'aurai pas crié... Il était long, doux et bon...
Après un très long moment de ce réel bonheur, je n'étais plus qu'un pantin entre ses bras, lui au contraire, plus il me besognait, plus il semblait redoubler de fougue. A tel point, qu'à un moment, sa cadence se ralentit, il s'arrêta presque et le sportif qu'il était n'avait pas fini de me surprendre. Sans quitter mon corps de son pieu, ses mains passèrent sous mon dos, et tous ses muscles travaillèrent ensemble pour nous lever.
Mes bras autour de son cou, sa longueur toujours figée en moi, il me porta dans sa chambre, m'installa sur son lit et repartit à sa charge héroïque. Je ne peux vous dire le temps qu'il mit à honorer mes entrailles, ce dont je me souviens, toutefois, c'est l'état de mon être quand je sentis sa semence se déverser au fond de son préservatif.
Il s'affala sur moi, me lécha, m'embrassa, me caressa le corps.
Moi, je n'en pouvais plus, je ne pouvais que lui caresser la tête, ce qu'il comprenait comme la plus grande des reconnaissances.
L'instant d'après, il vint se lover contre moi, il m'enserra le torse, et me dit :
"Dors, demain, je veux t'aimer..."
Avec une telle promesse, d'autres que moi se seraient sans doute enfuis. Après ce que je venais de connaître, je n'osais croire à plus... Pourtant, je sombrais très vite dans un univers d'étoile et de rêve...
Que croyez-vous qu'il arriva ?
Rêve ou pas, je sentais à nouveau la douceur chaude de la bouche d'Alain sur ma turgescence d'amour. Il m'aspirait et me léchait tant et si bien que j'avais l'impression d'être attaché, à sa merci...
Attaché, non je ne l'étais pas, mais en croix oui...
Je m'éveillais doucement et Alain était bien là, entre mes jambes écartées au maximum, afin de lui laisser le champ libre. Mes bras tendus de chaque côté du lit avait dans leurs poings les replis du drap.
Quand il vit mes yeux s'ouvrir, il lâcha mon sexe, et vint m'embrasser tendrement.
"Bonjour petit homme, bien dormi ? "
Ainsi j'avais dormi ? Il me semblait le sentir encore au fond de moi. Était-il réellement insatiable ? Sûrement, car à cheval sur mon torse, il recula doucement jusqu'à ma hampe qu'il s'était appliqué à rendre ferme et s'empala littéralement sur elle.
Un seul élan, un seul mouvement et nous étions à nouveau lié l'un à l'autre...
Mes mains enserrèrent ses hanches et les yeux dans les yeux il commença à monter et descendre le long de ma colonne. Ses mains à lui entourant sa lance dressée, il se masturba tout en me menant au réel bonheur. De plus en plus vite, il haletait, sa main droite le caressant, sa main gauche voyageant de ses bourses à ses seins qu'il pinçait doucement. Quand il commença à ralentir, je sus qu'il allait éclater. Moi aussi je m'abandonnais. Ensemble nous lâchâmes notre sève, moi en lui, le plus profondément possible, lui sur moi, mais avec quelle ressource. Longuement il se vida, des jets d'une force que je n'avais jusqu'alors jamais connue vinrent cingler mon corps et mon visage.
Vous l'avez compris, cette nuit là fut de celles que l'on connaît rarement le temps d'une vie, quand, en nous séparant, nous nous embrassâmes une dernière fois, nous nous promîmes de nous revoir dès son retour de voyage.
Quand j'arrivais au garage ce matin-là, mon patron remarqua tout de suite mon oeil fatigué et me dit :
"Tu aurais vraiment dû aller te coucher hier soir. Mais au fait, je viens de recevoir un appel du propriétaire de la voiture qui tenait à me dire bravo pour mon personnel... Je te félicite pour lui, apparemment il était heureux..."
Heureux ? Seulement heureux ?...
Jeu 28 mai 2009
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