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Jeudi 1 octobre 4 01 /10 /Oct 22:46

Bonjour, moi c'est Marc, je me suis fait prendre par les gendarmes hier alors
que je vendais du haschisch.Nuit à la gendarmerie puis passage au tribunal
pour comparution immédiate. J'ai 19 ans, c'est la première fois que je vendais,
c'est con. Une nuit dans une cellule, puis transfert par camionnette au
tribunal. Nous sommes le 1er juin, il fait chaud, la séance est prévue pour 15h
et il en est déjà 16h30. L'atmosphère est étouffante, je suis assis sur un banc
avec les menottes, une chaîne est reliée à un gendarme, nous sommes vendredi.
Ils discutent du week-end qu'il vont passer, ils ont décidé de faire un tour en
vélo; ils n'en ont rien à faire de moi.

Une sonnerie retentit, les gendarmes se lèvent et me disent: "C'est ton tour."
Je les suis dans un dédale de couloirs, nous arrivons dans la salle d'audience,
plafond haut, une dizaine de personnes assise sur des bancs, la lumière filtre
à travers des fenêtres hautes, on voit la poussière danser dans les rayons de
soleil. Un greffier hurle la cour, les gendarmes se lèvent et me font lever. Le
président, ses assesseurs, le procureur de la république et le greffier. Ils
sont tous en noir, ça fait peur.

"Accusé, levez vous, déclinez vos prénom âge te profession." Ce que je fais.
S'en suit une litanie de griefs de questions pour me piéger, dans la salle une
jeune fille, avocat commis d'office, elle tremble comme un feuille morte. Le
président me fait un portrait de gangster, le procureur, une femme dans la
quarantaine, belle se lève et prononce contre moi un réquisitoire d'une rare
violence, elle demande 6 mois de réclusion. J'en ai les jambes coupées, vient
ensuite la plaidoirie de la jeune avocate, lamentable, heureusement que la
peine de mort n'existe plus j'y aurais laissé ma tête. La cour se retire pour
délibérer, on sort et on se retrouve dans une petite pièce à côté de la salle
d'audience.

Il fait chaud, pas de fenêtre, les gendarmes ont repris leur conversation sur
leur virée en vélo. Une heure passe. Quand la sonnette retentit, on se lève, la
cour a fini de délibérer. On entre dans la salle et on attend; la cour rentre.
"Accusé levez vous, la cour vous condamne à 6 mois de prison avec 2 mois de
sursis, vous serez transporté à la prison de ..... où vous accomplirez votre
peine. Greffier transmettez les documents à messieurs les gendarmes. La séance
est levée."

Il est déjà 6h. On prend une série de couloirs et d'escaliers, on arrive dans
une cour où se trouve la camionnette des gendarmes. On me fait monter à
l'arrière, menottes aux poings. On démarre, on traverse la ville, il fait une
chaleur suffocante d'orage. On sort de la ville et on prend une route de
campagne, on file puis on ralentit, on arrive devant une immense bâtisse
entourée de hauts murs. Un coup de klaxon, les portes s'ouvrent et se referment
derrière nous. Le moteur s'arrête, un gendarme vient m'ouvrir. Je sors, des
gardiens sont là, brève discussion amicale entre les gendarmes et les gardiens,
puis les gendarmes m'enlèvent les menottes et me remettent aux gardiens avec
les papiers du tribunal.

Demi-tour, les portes s'ouvrent la camionnette s'en va, je suis seul avec mes
gardiens. On me fait rentrer dans la loge des arrivants, on vérifie les
papiers, puis on me conduit vers l'accueil. Là, 2 gardiens derrière un comptoir
et le gardien qui m'accompagne, encore une vérification des papiers. Un ordre,
"À poil!", j'hésite, le gardien qui m'accompagne, un mec d'une trentaine
d'année, me sourit et me dit: "Tu te fous à poil, t'a compris?" J'enlève ma
veste, le gardien à côté de moi la donne au 2 autres derrière le comptoir qui
la fouille, je fais sauter mon t-shirt qui rejoint ma veste, je défais ma
ceinture, le gardien me dit de l'enlever et il la passe au 2 autres, je vais
pour enlever mes baskets il me dit d'enlever les lacets, je fais tomber mon
jeans que je tends et j'attends. Le gardien à côté de moi me fait un sourire et
me dit: "À poil!" Je baisse mon slip, rouge de honte. Mon slip rejoint mes
autres vêtements.

À ce moment le gardien à côté de moi me dit de mettre mes pieds le long d'un
ligne blanche tracée sur le sol et de poser mes deux mains sur le comptoir, ce
que je fais. "Écarte les jambes!" Il me donne un petit coup de pieds pour me
faire écarter les pieds. Il enfile un gant en caoutchouc, je lui demande ce
qu'il fait, il me répond avec un sourire: "On va voir si t'a rien de caché."
Les 2 autres se marrent. Je sens un contact froid sur mon cul, je vais pour me
relever, le gardien me dit de ne pas bouger, qu'il me met de la vaseline, je
gueule que je suis pas pédé. Il me répond en rigolant que plus tard, je
regretterai de ne pas en etre, ce qui fait marrer les 2 autres. Je sens un
doigt qui glisse dans mon cul et qui commence à le fouiller, bon y'a rien, il
pourrait arrêter, mimas il continue le salaud, il me masse la prostate et je
commence à bander ferme. Le salaud le fais exprès, maintenant je bande raide,
son doigt ressort, il me dit: "C'est fini, tu peux te relever."

Je bande comme un fou, je ne bouge pas. Il me file une claque sur la fesse en
me disant: "Debout!" Je me redresse en cachant très mal ma queue raide, les 2
autres éclatent de rire en disant: "Il a l'air d'aimer ton petit doigt dis
donc!" Je suis rouge pivoine, le gardien à côté de moi me regarde et dit: "J'ai
l'impression que ça t'a plu..." On me rend mes vêtements, on garde ma ceinture,
mes lacets ma montre, on me file une couverture et des draps. Le gardien qui
m'accompagne me guide vers une porte, il me pousse dans une petite pièce et me
dit de me foutre à poil pour la douche. Je me glisse sous l'eau, pendant ma
douche le gardien me dit: "Excuse moi pour tout à l'heure, mais tu as un si
beau petit cul que je n'ai pas résisté au plaisir de te masser le cul." La
douche est finie, je m'habille, direction les cellules, l'heure de la soupe est
passée, je mangerai demain matin.

Un couloir avec des portes de cellules, puis on s'arrête devant une porte,
"C'est là!", me dit mon gardien. Il fait tourner la clef, ouvre la porte,
dedans à gauche de l'entrée, des chiottes un lavabo, un peu plus loin deux lits
superposés, de l'autre côté, une table des chaises et 2 autres lits superposés
près de la fenêtre grillagée. Trois mecs, Un gras dans les 40 ans en short et
t-shirt distendu, un grand maigre, barbu pas sympathique en short lui aussi
semble pas propre dans les 40 ans lui aussi, et puis un mec en jogging dans les
20 ans souriant, semble gentil. Le gardien me présente comme le nouveau, nous
souhaite un bonne nuit et referme la porte avec un curieux sourire.

La porte refermée, le gros se lève et me dit: "Bonjour petit, ta place c'est
là-haut!" et il me montre le lit près de l'entrée. "Moi c'est Roger, lui," il
me montre le grand maigre, "c'est Marcel, et lui, le petit jeune c'est Thomas.
Bon on va passer aux choses sérieuses!" dit-il en me caressant les fesses. Je
lui prends le bras en lui disant que je ne suis pas pédé, ça le fait rire et il
pose une nouvelle fois ses pattes sur mon cul. Je me dégage quand le grand
maigre me prends les couilles à pleine main en disant: "Tu vas pas jouer les
pucelles mec. Va falloir que t'y passes. " Pendant ce temps là le gros me dégage
les fesses, en moins de 2, je me retrouve à poil. Le grand maigre me serre les
couilles pour que je ne me débatte pas, je cherche à lutter j'me ramasse un
paire de baffes magistrale.

"Tu vas te calmer, petit, sinon tu vas déguster. Tiens, pour commencer tu va me
nettoyer la queue." Il me présente une queue, courte mais très large qui pue
comme pas permis. Je refuse, l'autre manque de m'arracher les couilles, une
main me plaque le visage contre cette queue immonde. Pour m'obliger à ouvrir la
bouche il me pince le nez, je manque d'étouffer, j'ouvre la bouche il en
profite pour me rentrer sa queue nauséabonde. J'en ai des hauts le coeur. "Suce
petite salope, vas-y, nettoie-moi l'engin." L'autre, le grand maigre, me masse
le cul, sans lâcher mes burnes. J'étouffe, je suis au bord du vômissement,
heureusement le troisième ne bouge pas. "C'est bien petite chienne, suce bien,
j'ai la queue bien raide les couilles pleines, Maintenant tu vas me les vider."
Sur ces mots, il se retire de ma bouche, me fait tourner et me prend par les
hanches. Je vais pour gueuler quand le grand maigre me file sa queue qui n'est
pas plus propre dans la bouche. Elle est plus fine mais plus longue, je la sens
toucher ma luette, je vais vômir, il le sent et se retire un peu.

Le gros pendant ce temps m'a rentré un puis deux doigts dans le fion sans
ménagement. J'ai mal mais je ne peux hurler avec la queue de l'autre dans la
bouche. Il retire ses doigts et pose son gland contre mon trou, je me raidis.
Il me fille une claque sur la fesse en me disant de me détendre si je ne veux
pas avoir mal. Et d'un coup, il me pénètre. La douleur est fulgurante, j'ai
l'impression d'un pieu en fer rougi au feu. Je manque de m'évanouir. Le grand
maigre m'a filé une baffe, je ne peux me soustraire à la queue dans mon cul et
l'autre dans ma bouche. La douleur est insupportable. Le gros me lime
rapidement sans se préoccuper de moi, il accélère la cadence et crache dans mes
entrailles. Il se retire satisfait.

"À toi!" balance-t-il au grand maigre. Le grand maigre se retire de ma bouche
et vient m'enfoncer sa queue, sans crier gare. Elle est plus fine et passe
mieux mais la douleur est encore là. Le gros me donne sa queue à nettoyer,
comme je vais pour refuser, je me ramasse une nouvelle baffe et je me retrouve
avec sa queue baveuse de sperme à nettoyer. Le grand me défonce ne
s'intéressant qu'au plaisir qu'il retire de mon cul. La douleur s'efface petit
à petit, il me file des claques sur les fesses et me branle en même temps, je
ne bande pas. Puis il pousse un cri et se vide dans mon trou. Le gros s'est
assis sur le lit et regarde tout sourire en se branlant doucement. Le grand
maigre se retire d'un coup et me donne sa queue à nettoyer. Il dit au jeune:
"Vas-y, il est à toi." Le jeune s'approche de mes fesses, les caresse et pose
doucement son gland contre mon trou distendu et visqueux. Il pousse doucement
et me pénètre lentement. Il commence des mouvements de bassin lentement, il me
lime doucement, je commence à sentir du plaisir, je n'en reviens pas. Il n'y a
plus de douleur, il me baise pour se donner du plaisir mais il veille au mien.
Sa main glisse sous mon ventre et vient me branler doucement, je commence à
bander, je ressens du plaisir. Son gland vient frotter sur ma prostate et me
fait découvrir des sensations inconnues. Je sens sa queue grossir, il va
bientôt jouir. Je sens les contractions de sa queue, il accélère les mouvements
de sa queue et de sa main sur ma queue bien raide. Il pousse un gémissement et
vient dans mon trou, moi de mon côté je viens dans ses doigts. Il se retire
doucement, me caresse les fesses et me dit: "Je vais faire ton lit..." Les 2
autres sont tout sourire.

Le gros me dit: "T'es un bon petit, maintenant couche toi, demain il faut être
prêt pour le p'tit déj." Il se lève, pisse et va se coucher, le grand maigre en
fait autant. Le jeune m'aide à monter dans mon lit, me fait un sourire. Je
m'allonge sur le lit, j'ai le cul en compote. La lumière s'éteint. Quelques
minutes pus tard les ronflements du gros et du grand maigre démarrent. La honte
m'étouffe, j'ai mal, des sentiments confus se mélangent dans ma tête, et une
envie irrésistible de pleurer m'envahit. Je sanglote dans le noir, quand tout à
coup une main vient se poser sur moi, je me relève un peu c'est le jeune, qui
est monté sur mon lit. Il se couche à côté de moi et me dit tout bas: "Ne t'en
fais pas, ils m'ont fait pareil quand je suis arrivé, ils ne sont pas méchants
mais comme tu as pu t'en rendre compte, ils n'ont aucune éducation." J'ai
glissé ma tête sur l'épaule du jeune et je pleure en silence. Il me parle
doucement pendant que sa main me caresse, je lui dis que je ne suis pas pédé,
mais que j'ai pris du plaisir quand il m'a baisé. Il me confie, qu'il ne
voulait pas me baiser mais s'il ne l'avait pas fait les autres auraient piqué
une colère et m'auraient fait subir des sévices.

Il approche ses lèvres de moi, j'ouvre la bouche, sa langue vient rencontrer la
mienne, un long baiser s'en suit. Il me dit pour me faire pardonner: "Je vais
te sucer tu veux?" "Je veux bien," lui dis-je dans un souffle. Il glisse sur le
côté et je sens sa bouche envelopper mon sexe qui durcit immédiatement, il me
suce en douceur sa langue tourne autour de mon gland, je me retiens de gémir,
je sens que je vais venir, je tente de me retirer, il poursuit, je viens dans
sa bouche, j'ai l'impression que je vais me vider, la tête me tourne. Quand ma
queue redevient molle, il remonte et me donne un baiser où se mêlent sa salive
et mon sperme. Le goût me surprend, mais je lui rends son baiser. Il me dit:
"Passe une bonne nuit, je veille sur toi." Je m'endors, une nuit pleine de
cauchemars.

Le lendemain matin au réveil, le gros et le
grand maigre tirent sur mes couvertures, et me disent de
descendre, je m'exécute. Il me disent: "C'est l'heure du
p'tit déj." Comme je les regarde sans comprendre, le gros me
dit: "Il faut nous purger les burnes, allez, tu nous suces!" Il
me fait mettre à genoux, et me présente sa queue, je gobe
il commence à me limer la bouche, il vient rapidement. Le
grand maigre prend sa place, et me fourre la bouche sans
ménagement, il vient rapidement, se retire et va pisser. Le
gardien arrive, accompagné d'un prisonnier qui apporte le
petit déjeuner. Le gardien me dit avec un petit sourire:

- T'as passé une bonne nuit?

Je vais pour dire ce qui s'est passé quand je rencontre le regard dur du grand
maigre.

- Oui je vous remercie.
- Bon. Si tu veux, après le petit déjeuner, tu peux aller travailler avec les
autres, tu veux?
- Pas aujourd'hui.
- Bon comme tu veux.

Le gros et le grand maigre partent travailler,
le jeune leur dit qu'il va rester avec moi pour la première journée.

- Ok comme tu veux.

La porte se referme et je me retrouve seul avec le jeune.

- Bon moi c'est Thomas et toi?
- Moi c'est Marc.
- T'es là pour combien de temps?
- Quatre mois et toi?
- Moi Il me reste 3 mois. Quand je suis arrivé ils m'ont violé comme toi, ça a
duré 1 mois tous les jours, et puis ils ont arrêté, maintenant ils me baisent
1 fois tous les 15 jours. Je n'y prends pas plaisir mais si je ne dis rien, ils
me foutent la paix, alors...
- Tu était homo avant?
- Non comme toi j'avais des copines, jamais je n'avais pensé que je baiserais
avec des mecs ou que je me ferais baiser. Quand tu es entré hier soir je me
suis dit: "le pauvre il va morfler", je n'avais pas le choix sinon ils m'auraient tapé dessus.
Tu ne m'en veux pas?
- Non je ne t'en veux pas, tu a été doux avec moi et je dois dire que tu m'as
donné 2 fois du plaisir. Je ne croyais pas qu'on pouvait jouir avec une queue
dans le cul.
- Si tu veux ce soir après qu'ils t'auront encore baisé et qu'ils dormiront, tu
pourras me baiser si tu veux.

La journée se passe sans encombre, et le soir de nouveau, le gros et le grand
maigre me baisent, mais cette fois sans violence. Ils se couchent, et peu de
temps après, les ronflements démarrent. Thomas attend un peu et vient me
rejoindre.

"Je tien parole, si tu veux me baiser, vas-y." Il caresse ma queue qui gonfle
rapidement, se retourne et me présente son trou. J'avance le bassin, mon gland
vient toucher son trou. Il me dit: "Vas-y!" Je pousse mon gland, il rentre sans
trop d'effort. Ma queue glisse dans son trou, c'est doux chaud, je commence des
va-et-vient. Il accompagne mes mouvements par des mouvements du bassin, il a
tourne sa tête et me donne un baiser. Je vais jouir, lui dis-je. Je sens les
contractions de son trou, il va jouir aussi. Ses contractions provoquent ma
jouissance, je sens son jus venir dans mes doigts. Il se retourne, je
l'embrasse en lui disant:

- Merci.
- Tu n'as pas à me remercier, j'y ai pris du plaisir aussi. Si tu veux on
recommencera.

Les jours se suivent et se ressemblent, quand un matin de douche, le gros et le
grand maigre y vont tout joyeux, ils reviennent propres et souriant. Le soir,
je m'attends encore une fois à subir leurs assauts quand le gros nous dit: "On
sort demain les gamins alors ce soir, c'est vous qui nous baisez." Thomas et
moi, on se regarde incrédules, le grand maigre nous dit: "Oui on sort demain
alors notre cadeau à nous, c'est qu'on vous offre notre cul pour vous remercier
de nous avoir soulagé." Ce faisant ils baissent leur short et nous présentent
leurs culs. Thomas me fait un signe, il me montre le grand maigre et me dit:
"Je commence par le gros." Thomas file une claque sur les fesses du gros,
celui-ci surpris se retourne. Thomas lui dit: "Suce moi un peu pour m'aider à
bander." Le gros s'exécute.

Je dis au grand maigre: "Et toi alors, tu vas me faire bander?" Il se retourne
et commence à me sucer, il est doué le salaud. Thomas et moi nous sommes bien
raides. "Allez, tournez vous!" Le gros et le grand maigre nous présentent leur
cul. Thomas attrape les hanches du gros et sans préliminaire l'enfile jusqu'à
la garde, le gros pousse un petit cri. Moi j'en fais autant, le grand maigre
tente d'échapper mais je le rattrape et l'enfile d'un coup. Il pousse un cri,
je ne m'en occupe pas et le lime sans faiblesse. Je vais venir, Thomas me lance
un regard, je lui dis que je vais venir, il me dit que lui aussi. On lâche
notre purée en même temps. On se retire. Le gros et le grand maigre se
redressent. Thomas leur dit de nous sucer pour nettoyer nos queues. Ils vont
pour protester, mais Thomas leur dit: "Allez, en vitesse!" et on échange le
gros prend ma queue en bouche et le grand maigre prend Thomas. Nos queues
reprennent de la vigueur.

Thomas leur dit: "Allez, en position." Les deux compères se retournent et nous
présentent leur cul. Je prends le gros par les hanches et lui enfile ma queue
d'un coup, il pousse un cri. Pendant ce temps Thomas enfile le grand maigre
jusqu'à la garde. Thomas leur dit: "Allez les salopes, embrassez-vous." Il
s'embrassent pendant qu'on les lime. Je viens dans le cul du gros, je sens
qu'il vient lui aussi, il pousse un long soupir. Thomas s'est vidé lui aussi et
s'est retiré; le grand maigre se finit à la main.

Le lendemain au réveil, Thomas saute sur ses pieds me dit de descendre; on se
lève et on présente nos queues pour le p'tit déj. Le gros et le grand maigre
nous vident les burnes. "Bonne journée les mecs et profitez de la liberté."
Nous sommes seuls, maintenant depuis 3 semaines et nous nous aimons tous les
soirs.

Quand un soir la porte s'ouvre, on nous amène un jeune. Le gardien se retire.
Le jeune est un peu effrayé, nous le rassurons, tu ne risques rien, on va pas
te violer. Le jeune monte dans son lit, nous nous caressons, le jeune nous
regarde sans rien dire. Nous l'oublions et nous nous aimons. Plus tard dans la
nuit nous entendons le bruit caractéristique d'une branlette, c'est le petit
dernier qui se soulage.

Le lendemain soir il va pour se coucher, se déshabille quand il enlève son
pantalon, son slip est super tendu, il tente de cacher son érection, Je lui
dis:

- Si tu veux tu peux baiser avec nous.
- Non, non, dit-il tout rouge.
- Allez, on voit bien que tu bandes! dit Thomas.
- Non, non, dit-il sans conviction.

Je pose une main sur son paquet il ne bouge pas; Thomas s'est approché de lui
et lui caresse les fesses, il me réagit pas. Doucement, je fais glisser son
slip, sa queue libérée vient frapper son ventre je la prends en bouche et
commence une pipe. Il gémit doucement. Thomas lui roule une pelle d'enfer. Il
se libère et se laisse aller au plaisir. Nous finissons la soirée à trois.

Les jours ont passé Thomas est libéré aujourd'hui. Je l'embrasse avant que le
gardien n'arrive, il me dit qu'il m'attendra quand je sortirai. Il est parti,
le petit jeune couche avec moi de temps en temps, mais ce n'est pas pareil
qu'avec Thomas.

Mon tour arrive, je donne un baiser au petit jeune. Formalités et puis la
porte de la prison s'ouvre. Thomas est là, il sort de la voiture, prend mes
affaires qu'il met dans le coffre, nous montons. La porte de la prison s'est
refermée, il passe un bras autour de mes épaules me donne un long baiser et me
dit:

- Bienvenue dans le monde libre. Tu sais où aller?
- Non.
- Viens chez moi si tu veux.

Mon coeur fait un bond. Je lui fais un grand sourire et lui dis avec joie:

- Je n'osais pas te le demander.

Un grand sourire illumine son visage.

- Tu resteras tant que tu voudras, je t'aime.
- Merci, Thomas. Moi aussi je t'aime, tu m'as manqué terriblement.
- Ok allons y, la vie est belle...

Par Bipuce - Publié dans : Histoires
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Mercredi 16 septembre 3 16 /09 /Sep 22:53

Un soir d'été, j'étais parti dormir chez ma meilleure amie. Je suis arrivé, j'ai déposé mes affaires et on a commencé à manger. Une fois terminé, on regardait la TV quand son frère est rentré de chez sa copine. On a bavardé un peu avant de fumer. Lorsque c'était fini, mon amie est partie se coucher car elle travaillait le lendemain. Je restais donc avec son frère dans le salon. C'est un mec comme tout homo en rêverait : grand, peau mate, viril et surtout très bien foutu car il fait de la piscine. Je restais donc à ses cotés à parler de sa copine quand il m'invite dans sa chambre pour jouer à la console. Le fait de me retrouver dans une pièce telle une chambre avec lui me faisait déjà bien rêver. Une fois dans sa piaule, il commence à ranger quelques trucs par terre, ce qui me donne largement le temps de mater son cul ferme et bien rebondi. Je m'imaginais en train de le caresser partout et en y pensant je sentais mon sexe se réveiller !

On commençait à jouer et il m'a proposé de se coucher à coté de lui sur le lit. C'était de trop et mon excitation s'est faite voir.
Il m'a demandé si c'était lui qui me faisait de l'effet et je lui ai répondu non. Mais comme j'avais rougi à cause de cette question, ma crédibilité en avait pris un coup. Il me confirma que je pouvais m'allonger et me fit un clin d'oeil... Je m'exécute, embarrassé. Quelques minutes plus tard, je sentais un regard se posait sur moi et du coin de l'oeil je matais ce mec si bandant. Il était en train de me reluquer du bas vers le haut et en voyant que je l'observais il me dit si ça me tentait de faire une expérience. Il me demanda de me mettre sur le dos et je le vit sourire quand il vit que mon short ne cachait pas ce qu'il fallait.
Il se mit sur son flanc et je vis que lui aussi bandait comme un dingue. Je le fixais droit dans les yeux et on s'embrassa fougueusement pendant longtemps. Je sentais sa queue contre mon bas ventre alors je me suis rapproché de lui en serrant son cul contre moi. Je pouvais enfin tâter ses fesses !

Il commençait à n'en plus pouvoir et me demanda si je voulais sucer une queue de 22cm épaisse ! Je l'embrassais dans le cou puis je lui enlevais son t-shirt. Un corps musclé et fin s'y cachait ainsi que des bras fort bien sculptés. J'avais très chaud de désir donc je me suis hâté de descendre pour le sucer. Je fis glisser son short tout en lui caressant les cuisses. Son boxer moulait très bien son sexe raidi et je devinais la taille et l'épaisseur de son pieux. Un bel engin que je pris en bouche assez vite. Ma bouche était pleine de chair chaude et humide. L'odeur forte de sa bite me faisait des frissons. Je la prenait totalement en bouche ce qui me surpris vu la taille. Ma langue jouait avec son gland et je sentais que ça ne le rendait pas indifférent. Il commençait à faire des mouvements de reins. Je l'entendais respirer fort et je mis mes doigts sur ses lèvres charnues pour lui faire comprendre qu'il faisait du bruit. Au lieu de s'arrêter il lécha et suça mes doigts ce qui me rendit encore plus raide.
Je lui demandais de me prendre et comme s'il n'attendait que ça, il me retourna avec force et me mit à quatre pattes. Mon cul était en sueur et fin prêt à le recevoir. Il jouait avec son gland sur mon anus ce qui me fit mouiller. Il entreprit une première pénétration sans soucis. Il la rentra entièrement et je sentais sa bite chaude en moi. Je voulais rester comme ça tout le temps !
Des va-et-vient commençaient et je ne me contrôlais plus. Je voulais qu'il me défonce ! Tout en me pénétrant, il me caressait le dos. Ses mains moites me faisaient frissonner et comme il voyait que ses caresses ne me laissaient de glace, il allongea son torse sur mon dos pour m'enlacer. Il m'embrassait partout faisant glisser sa langue sur mes épaules, dans mon cou, sur mes oreilles.

Il massait maintenant mon torse, mes tétons puis il commença à me branler tout en continuant à me pénétrer d'une façon régulière, lente et douce. Son corps m'appartenait, je le sentais en moi et sur moi. Il me releva. J'étais à genoux devant lui. Il colla mon dos à son torse et embrassait mes joues. Je tournis ma tête pour l'embrasser à pleine bouche. Son haleine chaude caressait ma bouche. Nos langues jouaient ensemble. Jamais je n'avais été aussi excité ! Il était dans le même état que moi et me dit qu'il allait venir. Il se retira, enleva la capote et m'éjacula dans le dos. Il m'allongea à plat ventre et lécha son propre sperme. Il me retourna ensuite et s'allongea sur moi. Sa queue bandait toujours. On s'embrassa, mélangeant le sperme à la salive. J'aspirais les quelques gouttes de sperme qui étaient sur sa langue. Il commençait à branler ma bite avec son torse en me regardant droit dans les yeux. Il la prit finalement en bouche et me pompa à fond si fort et si bien que !
je vins peu après. Il avala tout mon sperme. On s'est embrasser encore et encore en se caressant. Je prenais en mains ses fesses fermes et rebondies et rapprochais son corps du mien. On s'est assoupi.

Je me souviens encore de son regard quand on s'est réveillés en pleine nuit. Il attendait qu'une chose, recommencer. Je ne me suis pas fait prier et je peux vous dire qu'on a assuré jusqu'au petit matin.
Le matin même, sa soeur m'a demandé pourquoi je ne me suis pas couché dans le lit qui m'était destiné. On lui a répondu que l'on avait fait une nuit blanche. (sans mentir !)
.à jouer à la console.
Une fois ma meilleure amie partie à son boulot, son frère et moi avons déjeuné ensemble sans rien se dire comme si rien ne s'était passé.
Il partit se doucher, sans un mot. J'étais trop déçu ! Je pensais qu'on aurait pu recommencer « son expérience » !

Mais bon, je ravalais mon envie de lui comme je pouvais jusqu'au moment où il m'appela.
J'ai bondi et j'ai accouru vers sa chambre. Il n'y était pas. De la douche, il m'a demandé de lui passer ses affaires pour se changer. D'un air humilié je lui ai donné ses fringues et je lui ai signalé que je n'étais pas son larbin.
Il me fit un grand sourire charmeur et me dit qu'il n'avait pas trouvé d'autre moyen pour m'attirer jusqu'à la salle de bain. Il me prit par la taille et m'enlaça. Il était torse nu et en boxer.
Je sentais son membre au repos contre le mien. Je commençai direct à bander.
Avant de m'embrasser, il me dit qu'il voulait essayer la douche avec moi.
On s'enfila sous l'eau qui coulait déjà et on s'est déshabillés. Sa queue devenait de plus en plus raide au fur à mesure qu'on s'embrassait.
Nos lèvres humidifiées s'échangeaient de long baisers fougueux. Ses mains glissaient sur mon dos pour arriver à mon cul.

Il le caressa et le massa. Je sentis un doigt s'enfoncer puis deux. Mon cul s'ouvrait vite à lui.
Mes baisers étaient de plus en plus profonds qu'il me doigtait.
Je me suis détaché de lui. Ses yeux ne me quittaient plus. Il me dévisageait comme si je n'allais pas lui résister très longtemps. Il s'approcha de moi et me plaqua contre le carrelage de la douche. L'effet froid du mur et l'effet chaud de son corps contre moi me faisaient triquer entre plus. Il se mit à genoux et me pompa.
Je lui caressais sa tête, sa nuque et ses épaules. Avant d'éjaculer, je me suis retiré. Il me regarda droit dans les yeux d'un air déçu mais je lui ai expliquer que je voulais me finir dans son cul. Il m'a dit qu'il n'avait jamais été pénétré et qu'il voulait que ce soit bien fait. Pour le rassurer et lui donner un avant goût, je l'ai retourné, plaqué à mon tour contre le mur. J'ai caressé son cul et entrepris un anulingus.
Je léchais sa rondelle tendre. Je sentais qu'il se détendait car il écartait ses jambes afin que ma langue rentre plus.

On a fini de se doucher en vitesse et on a couru vers son lit. Je lui ai écarté ses cuisses et j'ai commencé à le doigter.
Il pinçait ses lèvres de plaisir. Je sentais qu'il n'allait pas tarder à y passer. J'ai mis ses jambes sur mes épaules et j'ai guidé mon pénis vers son cul.
Il me dit d'y aller doucement. Je confirmais d'un sourire. Mon gland est rentré sans problème et je faisais de petits va-et-vient pour qu'il se détende encore plus.
Ma queue glissait de mieux en mieux. Je l'ai pénétré entièrement et une fois à l'intérieur de lui, je le regardais dans les yeux en commençant le bourrage. Il me fixait aussi et il avait l'air d'apprécier ma tendresse à son égard. Il me demanda d'y aller franco peu de temps après et je lui ai obéi.

Ma bite s'enfonçait bien et mes couilles venaient percuter son cul. Il se masturbait en même temps, je me suis mis sur son coté pour le défoncer. Il avait une petite douleur de temps à autre mais il en redemandait encore. Je l'embrassais dans le cou pendant qu'il massait mon cul. Il n'avait pourtant pas l'air d'être novice en ce qui concerne la sodomie tellement il avait du plaisir.
Il m'a répondu qu'il se doigtait régulièrement et il me fit un clin d'oeil. J'allais bientôt venir.
Je me suis retiré, j'ai enlevé la capote et j'ai approché ma bite de sa bouche. Il l'a tout de suite attrapé et m'a sucé et pompé jusqu'à la dernière goutte. Il m'a dit que je lui avais fait du bien. Pour me remercier, il m'a expédié sa queue là où il faut et m'a défoncé avec force. Son excitation était telle qu'il a éjaculé peu après en moi.
On s'est emballé pendant plusieurs minutes comme si on était au début de la coït.
Après s'être remis de nos émotions, il m'a avoué que sa copine ne lui plaisait pas et qu'il était en fait attiré par les mecs.
Il m'a dit qu'il avait un copain depuis plusieurs mois et que sa dite copine lui servait d' « alibi ».
J'étais très étonné par ses propos et je trouvais ça déprimant de se trouver une copine pour « sauver »son image de mec viril.
Je lui ai aussi demandé si son mec était autant bandant et bon au lit que lui avec un sourire en coin.
Il s'est mis à sourire également avant de m'embrasse

Par Bipuce - Publié dans : Histoires
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Mercredi 2 septembre 3 02 /09 /Sep 22:43
Je m'appelle Fabien et j'ai 23 ans. Toutes les personnes des deux sexes me trouvent
séduisant. Il faut dire qu'avec une silhouette fine, blond et des yeux bleux, j'ai de quoi faire
tourner les têtes. Je me sens plutôt bi, ayant eu des aventures avec des mecs et des femmes
sans avoir eu spécialement de préférence pour l'un ou l'autre sexe.

Depuis quelques mois pourtant, le petit frère de Stéphanie, ma meilleure amie, m'a totalement
séduit. Jérémy a 20 ans, et pourtant, je le connais depuis plusieurs années. Il faut dire qu'il est
parti en apprentissage pendant trois ans et que nos chemins ne s'étaient pas croisés pendant
cette période. Quand je l'ai revu, je n'ai su résister à son charme ravageur. Il avait changé, et
avait un corps de rêve.

Stéphanie s'en est vite rendu compte. Un soir, elle m'en toucha deux mots. Lors de notre
discussion autour d'un verre, elle m'avoua que son petit frère me trouvait aussi à son goût et
n'osait me le dire de peur que je le rejette. Elle me proposa alors de jouer les intermédiaires, et
de monter un petit plan.

Le jour dit, je me retrouvais invité chez ses parents, comme cela arrivait parfois. Les parents
de Stéphanie et de Jérémy me connaissaient et ils étaient content de me voir. Après un bon
repas, et une partie de jeux de cartes bien délirante, il se faisait tard. Stéphanie insista pour
que je passe la nuit chez eux, prétextant que je ne pouvais conduire avec tout l'alcool que
j'avais bu. Jérémy appuya sa demande, et me demanda si je pouvais dormir dans sa chambre.

Très rapidement, je me retrouvais seul avec lui. On se déshabilla, et il me dit

"- Si ca te dérange pas, j'ai l'habitude de dormir nu."

Je ne dis mot, et il se mit nu. Je fis de même et on riait de nos débuts d'érection. On avait
vraiment envie l'un de l'autre, et on le savait. je m'approchais de lui et me mis à l'embrasser
tendrement. Il me serra contre lui et on se serra l'un contre l'autre. On se retrouva rapidement
dans son lit, lui sur moi. Je le sentis se frotter sur moi et je le caressai en gémissant.
J'écartais mes jambes pour mieux le sentir sur moi.

Il me regardait tendrement, et je souriais. Je relevai légèrement mes fesses et je lui fis
comprendre que je voulais qu'il me prenne.Il pointa rapidement son sexe, épais et assez long,
sur mon trou et me pénétra doucement. J'étais pourtant plus vierge de ce coté, mais il me fit
légèrement mal.

Il s'excusa, me dit que c'était sa première fois avec un mec. Je l'invitai alors à continuer, et il
reprit sa pénétration en douceur.

"- Putain, c'est vraiment bon. Fabien, j'aime vraiment ton cul" me dit-il en commençant ses va
et vient en moi. Je gémis rapidement de plaisir, ce qui provoqua une accélération de ses
mouvements. Il se mit aussi à gémir et on se mit à s'embrasser entre deux mouvements.

J'aimais le sentir en moi, et il aimait ce qu'il me faisait. Il s'arrêta de temps en temps pour
apprécier ce qu'il faisait et il aimait me voir prendre mon plaisir. Je le trouvais beau, et je râlais
de plaisir.

Il alla de plus en plus vite. Je sentis rapidement qu'il n'allait plus tarder à venir et je me mis à
me caresser. Je voulais jouir avec lui. Très vite, il jouit en moi et il put me voir jouir juste après
sur mon ventre.

On s'embrassa tendrement avant qu'il ne s'allonge à côté de moi, heureux d'avoir pu m'aimer.
On se regarda, souriant et content de nous. Je me leva pour aller laver rapidement mon ventre.
Puis je me rallongeai à côté de lui.

Il se lova contre moi et on tenta de dormir ainsi......
Par Bipuce - Publié dans : Histoires
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Mercredi 19 août 3 19 /08 /Août 23:04
J'ai vécu ma première expérience il y a quelques jours et encore excité je viens vous la raconter.
Fils unique, mes parents ont accepté que je parte en vacances avec des amis à eux, à la campagne et plus exactement dans le Quercy. Ces amis avaient deux enfants : un garçon et une fille. La fille Coline est très jolie et il y a longtemps que j'en pince pour elle, mais elle n'a pas l'air de faire attention à moi. Elle est blonde sa peau est légèrement colorée et ses yeux bleus ressortesnt bien sur son visage d'ange.
Son frère Dany, plus jeune, plus petit mais très gentil, prévenant, très sympathique.
Nous prîmes possession de nos chambres en arrivant et bien entendu je patageais celle de Dany. La chambre de Coline était au bout du couloir et pour s'y rendre il fallait passer devant celle des parents.
Plusieurs jours passèrent et Coline bien qu'agréable ne prêtait pas beaucoup d'attention à moi, à ma grande déception. Par contre Dany redoublait d'attention et de prévenance.
Un soir, sortant de la salle de bains, il arriva dans la chambre entièrement nu. C'était la première fois que je le voyais ainsi et j'avoue que ça m'a excité. Son corps était lisse entièrement et quelques poils blonds frisaient au dessus d'un petit sexe au long prépuce. Je matais en découvrant, et mon sexe se mit à se redresser. Il faisait comme si de rien était et se mit dans son lit tel quel, puis s'endormit peu après.
J'avais gardé cette image de ce garçon nu, beau et lisse. Je finis par m'endormir péniblement en me caressant le sexe.
Le lendemain, il était pourtant tard, Dany arriva dans la chambre toujours entièrement nu. Il s'assied sur son lit, face à moi et me dit :
- Comment tu me trouves ?
- Tu es très beau Dany ! La nudité te va bien, tu es superbe !
- Et toi, tu veux bien te mettre nu que je te regarde ?
- Euh ! tu veux me voir à poil, complètement ?
- Oui Cyprien, maintenant, là, tout de suite... si ça ne te dérange pas trop ?
- Surpris et confus, je ne pouvais pas refuser, lui étant nu.
tout doucement, j'écartais les draps, sortis du lit face à lui, puis baissais mon slip, me retrouvant à mon tour entièrement nu devant Dany, mon sexe légèrement redressé.
Ses yeux ne quittaient pas mon entrejambe, comme un gamin devant une vitrine de patissier. Peu à peu je vis sa petite queue se redresser et former un arc de cercle dont la pointe allait sur son ventre.
Il tendis une main et me caressa le ventre, puis tendis l'autre main pour m'attirer plus près de lui. Je me laissais faire, ma queue était tendue au maximum et je sentais ses doigts palper, tater, je sentais le plaisir monter. J'étais debout devant lui, et lui toujours assis. J'étais totalement ausculté et Dany finit par me décalotter complètement faisant ressortir mon gland rouge tendu à l'extrème. Ses mains étaient habiles et ses caresses merveilleuses. Sa main gauche passa sur mes fesses qu'il caressa dans un premier temps puis m'attira encore plus vers lui. Il se pencha légèrement, je sentais son souffle chaud sur mon ventre... puis il posa sas lèvres sur le bout de mon gland, oh que c'était bon, je me tins à la table de nuit pour ne pas flancher. Sa langue se mit en action et la pointe de celle ci virvolta autour du méat puis descendit pour titiller le frein et faire le tour de la base du gland. Il y a peu de temps, je n'aurai même pas pu imaginer une telle situation. Mais voilà, j'étais sous les caresses de Dany et sa bouche, maintenant avait gobé mon gland et le suçait délicatement. Une main caressait mes petites boules et mon sexe s'enfonçait peu à peu dans le fond de sa gorge. A chaque aller retour c'était un délice et il prenait tout son temps et prenait lui même beaucoup de plaisir. Il s'appliquait à me donner le maximum de plaisir, emettant assez de salive pour que ses lèvres glissent bien sur ma hampe. Ne sachant pas quoi faire de mon autre main, je la posais sur sa chevelure blonde et il se mit à accélèrer ses va et vient buccaux et ne pouvant plus me retenir je lâchais tout mon jus dans sa bouche et il avala chaque saccade avec un petit cri de plaisir. Une fois tout déchargé dans sa bouche il me maintint fixement dans cette position comme s'il voulait que ça ne se termine pas. Je sentais sa langue sur mon gland qui se dégonflait peu à peu, puis mon sexe mou sortit d'entre ses lèvres encore tendues.
Il se redressa et face à moi, me prit dans ses bras et me roula une pelle magnifique.
Sa bouche avait bon goût et le mélange salive sperme était agréable. Son baiser dura quelques minutes et je sentis son sexe tendu titiller mon ventre.
Il se rassit sur le bord de son lit, et j'en fis autant. Il me regarda droit dans les yeux et me dit : "tu as aimé, Cyprien" et j'ai hoché la tête pour confirmer. Et il continua : "tu sais qu'il y a longtemps que j'avais envie de toi, et je désespèrais quand je remarquais qu'il n'y en avait que pour ma soeur."
Je lui répondis que je n'y connaisais rien avec les garçons et que je n'y avais jamais pensé, mais que j'avais été, grâce à lui, merveilleusement étonné. Il sourit ...
Nous enlevâmes la table de nuit qui nous séparait et nous rapprochâmes les deux lits côte à côte. Nous nous etendîmes tous les deux dans nos lits, les draps rejetés et rapidement mon sexe se redressa. Un rapide coup d'oail et je vis que le sien n'avait pas perdu de son intensité. En rampant, je m'approchais à mon tour de son sexe tendu et entre deux doigts je décalottais son sexe fin et découvrit un gland pointu rose. Je le lèchais comme un sucre d'orge avant de le prendre entièrement dans ma bouche. Je fus surpris par le plaisir que j'eus de le sucer comme ça, moi le keum à fille ! Je le suçais comme j'aurais aimé être sucé par sa soeur et je prenais tout mon temps afin qu'il profite au mieux de mes caresses buccales. Son bassin ondulait et il respirait très fort. Je caressais ses petites boules recouvertes d'une peau très fine et avec un doigt j'allais lui caressais son anus serré. Cette caresse lui fit comme une décharge électrique et son corps sursauta plongeant au plus profond son sexe dans ma bouche pleine de salive. Ma salive coulait sur son sexe et arriva sur le doigt qui s'apprêtait à pénétrer son anus. J'enfonçais ce doigt de plus en plus profond et j'entendis de cris de plaisir de Dany qui avec sa main m'incitait à aller encore plus loin.
J'agitais mon doigt de plus en plus fort, Dany se tordait de tout son corps en hurlant, puis je reçu tout un jet de sperme dans ma bouche que je pompais avidement. Son corps s'arquebouta me délivrant tout son plaisir. Puis, il se calma et son bassin redescendit lentement pour rester figé. A ce moment, je relevais ses jambes, les ramena sur sa poitrine puis je dirigea la pointe de mon gland retonifié à l'entrée de son anus. En appuyant légèrement, il pénètra dans son ventre. J'avançais lentement pour ne pas lui faire mal, puis arrivant au bout je me mis à le limer comme une femelle. Ses cris redoublèrent d'intensite et il me serrais dans ses bras. Ma queue glissait bien dans son ventre et mes boules frappaient ses fesses lisses. Rapidement j'envoyais tout le jus renouvelè dans le fond de ses trippes. Et je restais comme ça, immobile, face à lui. Nous nous embrassâmes longuement et je sentis son anus me pincer le gland avant que celui ci ressorte. C'était merveilleux, délicieux.
Jusqu'au 14 juillet nous avons fait l'amour tous les soirs et toute la nuit.
Là, je viens de rentrer et je n'arrête pas de penser à lui. J'attends son retour avec impatience.
Par Bipuce - Publié dans : Histoires
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Jeudi 13 août 4 13 /08 /Août 22:39
Il y a quelques jours, un après midi ou il faisait bien chaud, je m'étais promené en ville.
Voulant m'arrêter quelques instants dans un bar pour boire un verre et me reposer un instant, je m'assis à l'ombre en terrasse. Au même ou le serveur prit ma commande, un jeune beur s'approcha et s'assit à une table voisine. Un rapide salut, je le dévisageais rapidement tout en lui souriant.

Quelques minutes après, alors que le serveur apporta nos commandes, le jeune se permit de me proposer de s'asseoir à ma table. J'acceptais, ce qui me permettait de chasser mes songes de ma nuit précédente. Je le regardais encore, trouvant ce jeune vraiment mignon.
Nous parlions de tout et de rien pendant un court instant. Je sentis un de ces pieds me frôler, puis un de ses genoux. Je lui souris, le laissant faire. Je passai alors une de mes mains sous la table pour lui caresser son autre genou.

Il se pencha vers moi et me dit : J'ai trop envie de toi, tu m'excites grave. Tu viens chez moi ?

Sa question ne me surprit plus. J'avais moi aussi trop envie de lui. Il comprit ma réponse sans avoir à l'entendre. On finit nos verres et on se leva en même temps. Je le suivis impatiemment chez lui. En peu de temps, on se retrouva dans son petit studio. Il me proposa de me mettre à l'aise, et en fit de même.

On se retrouva nu et je pus le voir dans toute sa splendeur. Son visage et son torse sans un poil, quelques uns qui montaient de son pubis jusqu'à son nombril, son sexe tendu vers le haut, tout me mettait en émoi. Je m'approchai de lui, et on s'étreignit. Je l'embrassai sur la joue, sur le cou. On se frottait l'un à l'autre tendrement. Il m'emmena sur son lit, s'allongea sur le dos et s'offrit à mes baisers sur son corps.

Je descendis doucement sur son sexe, et me mis à le sucer tendrement. Il soupira de plaisir, mit ses mains sur ma tête pour me donner son rythme. Je lui massai ses couilles, et descendis une main sur ses fesses. Il me laissa faire, emporter dans son plaisir. Je lui caressais tendrement son trou, voulut lui entrer doucement un doigt, mais il le retira aussitôt. Je n'insistai pas pour la pénétration mais continuai à lui masser son trou, ce qu'il avait l'air d'apprécier.

Sentant qu'il allait venir dans ma bouche, je me retirais et remontais vers sa tête, tout en lui embrassant son corps. Nos corps se collèrent l'un à l'autre, il me caressa mon dos et nos sexes se battirent l'un contre l'autre. Il me retourna, et me je l'emprisonnai dans mes bras et mes jambes. Il se frotta sur moi, comme s'il voulait jouir sur moi.

Je voulais qu'il me prenne, mais à ma façon. Je réussis à le retourner, et je m'assis sur son bas ventre. Il comprit ce que je voulais. Il m'aida en prenant son sexe dans une de ses mains et en le pointant dans mon trou. Je fis le reste et sentis son gros dard rentrer en moi.

Que c'était vraiment bon de le sentir en moi ! Il mit ses mains sur mes hanches et fit des petits mouvements de son fessier pour mieux rentrer en moi. J'ondulais mes fesses pour le sentir aller en moi plus profondément. Nous n'avions pas eu besoin de parler pour trouver notre rythme. Nous nous mîmes à râler en même temps.

Il finit par jouir, trop rapidement à mon goût, et au sien aussi. Je m'allongeai peu après à ses côtes, il prit ma queue dans une de ses mains et il se mit à me masturber. Il savait s'y prendre et il me fit jouir rapidement, tout en me souriant.

Il me proposa de prendre une douche, ensemble. Et quand il me savonna, il se mit à caresser mes fesses. Je les lui écartais, et il me reprit une deuxième fois, à son allure et il recracha une deuxième fois.

Il avait vingt deux ans, et c'était sa première expérience gay. Et je voudrai bien le revoir pour lui en faire un peu plus.
Par Bipuce - Publié dans : Histoires
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