Histoires

Mardi 5 mai 2 05 /05 /Mai 22:13

Tout commençe un soir dans ma cité à Lyon ou il ne vaut mieux pas être gay ou du moins il faut pas le montrer, je me balade pour faire passer le temps comme beaucoup de mecs qui n'ont rien d'autre a faire. Je rencontre un bogosse marocain (je pense) type laskards (comme je les kiff ! ) qui me demande une cigarette.. un beau rebeu grand bien exitant avec son survet Lacoste et ses tn rekin avec ses chaussettes remontées sur son survet, une casquette sur la tête avec un joli sourire...et le plus interressant c'est que l'on voyait une grosse bosse sous son survet . il était torse nu avec des abddos comme j'en ai jamais vu !! un vrai étalon comme dans les fims gay sur les cité !! J'arrivais pas à me concentrer pour ne plus matter son gros paquet de peur qu'il ne me voit.

Humm j'étais déjà dans mes fantasmes.. Je lui donne la cigarette et du feu il part de me disans : < cimer man ! t'es du quartier ?> je lui répond juste oui la Tour B a côté en lui faisant un signe de la main pour lui montrer ma tour. Ca a juste duré 5 minutes mais il est parti trop vite ... Je me suis retourné pour matter son beau petit cul et je me suis diriger dans ma tour ou je suis monter au 5 eme et je me suis mis dans le débaras ou j'ai sorti ma queue et je me suis mis à me branler en pensant a ce beau beur, Je m'imaginais en train de le pomper . J'ai vite craché mon jus et je suis rentré chez moi dormir en pensant encore à lui. Je réfléchissait comment faire pour le croiser de nouveau...

Il faut dire que je suis dans cette cité depuis 5 ans et que c'est la première fois que je le voyais. Moi je suis un céfrans de 22 piges look lascars aussi car j'aime se style je suis homo mais je ne peut pas m'affirmer en tant que tel dans mon quartier car je fréquente beaucoup de gars de mon quartier qui n'aime pas les " pd " . Pour en revenir à mon histoire je suis descendu pendant une semaine tout les soirs à la même heure pour essayer de revoir mon beau beur mais sans succès...

Puis un soir j'ai fais du réseau téléphonique pour les homos sur un téléphone ethnique et j'ai donné rendez vous à un mec en scred à deux pas de ma cité. Le keum se décris bien foutu rebeu et tres bien monté , comme je suis plutot passif mais si je fais racaille je suis assez docile.Je me rend au rendez vous fixé par le rebeu et de loin je l'apperçoit il à l'air pas mal je me lance.

Je le rejoins il me dis: <c'est toi Bryan ?> je lui répond < oui > puis il me dit :< suit moi je connais un coin sûr > Je l'ai tout de suite suivi car il etait tres mignon et surtout il avait l'air très cho. Il m'enmène dans une cave pas loin de la et il me demande de le pomper, ce que je fais de suite je me met à genoux et je lui sors de son survêt une bonne grosse queue circoncise comme je les aiment. Je me met a lui pomper son gros zoz et il me dit : <pompe moi comme une pute salope> .

Je me suis mis à astiquer sa bite comme il me le demandais et il me dit: <ça te dirait que je te pête ton cul zamel ? > La je lui dit oui et il me demande de me tourner en me retirant sa grosse tige puis il commence a essayer de me mettre sa queue dans le cul. Là je lui dis que ca me faisait mal mais il avait l'air de s'en foutre puis il commence à me cracher de la salive sur mon trou et il m'enfonce son pieu d'un grand coup sec! Je vous dis pas la douleur ! , puis il me lime pendant cinq bonnes minutes et soudain il s'arrete en me disant : < chut j'ettend du bruit> . Là je me stoppe net en me rabillant le cul bien ouvert par sa grosse tige de beur. Il me demande à nouveau de le sucer et la porte de la cave s'ouvre en grand pendant que

je faisait des aller et retour sur son zob. Je rèvais ! Le bogosse de ma cité à qui j'avais passé une cigarette !! c'était lui ...

je venais de comprendre en faites le premier rebeu avec qui j'avais un rendez vous m'avais tendu un piège il étais pas seul il était deux. Je leur ai dis que je préfèrais arrêter car le deuxieme mec " Karim" etait de mon quartier et j'ai tout de suite eu peur d'être griller dans ma cité. Karim a commencer à sortier lui aussi son zob et mon dieu qu'il était épais et large en me disant < ocuppe toi de nos queues et on lache l'affaire> . Je me suis mis a sucer ce beau karim dont je rèvais avec sa grosse bite de 23 cm pendant que l'autre me pinait de plus en plus vite . Karim m'a demander de m'empaller sur sa queue et je lui ait dit non car elle était trop grosse. Son pote m'a tenu les deux mains pendant que j'essayais de me débattre puis il parviens à m'enfoncer son zob pendant que son pote me tenais la tete. Il m'a limer dix minutes puis m'a cracher dans le cul. Son pote m'a tout jouis dans la bouche en me disant : <avale mon jus salope>. Il se sont rabiller rapidement en me traitant de fiotte et de sale pède et mon pisser dessus en me donnant des coup de pieds. Il sont partis en me laissant plein de sperme au cul et dans la bouche. Je me suis rahbillé et je suis vite rentrer chez moi je me suis branler en pensant à se qu'il m'était arrivé et le pire c'est que j'ai pris mon pied ! Je ne les ai jamais revu et je me suis toujours poser la question : de ce que j'aurais fais si le les avais revu ??? Sans réponse ....

Par Bipuce - Publié dans : Histoires
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Mardi 14 avril 2 14 /04 /Avr 22:22

Salut, je vais vous raconter l'histoire qui m'est arrivée lors de mon dernier voyage en Égypte. Je revenais de six mois de boulot avec deux potes G.O. mais nous ne prenions pas le même vol. Thomas et J.F. décollèrent à 12 h ; ils arrivèrent cinq heures plus tard sans soucis.

Moi, je devais attendre jusque 14 h pour embarquer sur mon vol. Coincé en zone de transit, je fis le tour des magasins de détaxes pour passer le temps. Le tour fut rapide et je vins me caler au bar en attendant le départ.

A 14H00, le vol fut annoncé, mais avec un retard d'une heure. L'heure passa et le vol fut encore retardé de quatre heures pour raisons techniques. Enfin, à 19 h, le vol fut affiché au départ. L'embarquement dans les bus se fit rapidement, car nous étions tous pressés de quitter cet aéroport. Tout le monde trouva sa place dans l'avion, nous étions prêts à partir, mais les minutes s'écoulèrent sans que rien ne bouge.

Après plusieurs questions au personnel navigant et une heure d'attente, le commandant de bord, nous informa que l'avion ne pouvait pas décoller pour raison de problèmes électriques. Il nous demanda de descendre de l'appareil le temps de l'intervention et attendre dans les bus. Deux heures plus tard, les bus fermèrent les portes et repartirent vers le terminal de transit.

L'avion était hors service, il fallait attendre que la compagnie affrète un nouvel appareil ! Le temps que l'avion arrive, il fallait encore attendre sept heures, ce qui repoussait le décollage à 04H00 du matin. La compagnie nous dirigea vers un hôtel pour patienter. Je ne sais pas si vous avez déjà vu 150 personnes, qui ne se connaissent pas, arriver dans un hôtel en pleine nuit.

Le service d'accueil était débordé ! La compagnie ne voulant pas payer de chambre individuelle, nous demanda de nous regrouper par groupe (3 ou 4 personnes) pour partager les chambres jusqu'au lendemain midi. C'était la cohue, je me mis dans un fauteuil et attendit que l'accueil se vide. Puis un gars vint me voir pour savoir si je voulais bien me grouper avec lui et chercher une personne de plus.

Le gars, Joachim, revenait de vacances dans un club, proche de celui o j'avais bossé avec Thomas et J.F.

Il y avait un tel bordel que le réceptionniste nous accorda une chambre pour deux. Nous prîmes nos bagages et direction la chambre, car nous étions vannés ! Sur place, la surprise fut de voir un seul lit double dans une grande chambre avec salon et salle de bain.

Joachim me demanda si cela me posait problème. Il était 5 h du matin, nous repartions à 12 h, nous étions là juste pour dormir. Je lui répondis que c'était OK pour moi.

On posa nos bagages, Joachim alla à la salle de bain prendre une douche. Je m'allongeai sur le canapé en attendant de prendre ma douche. Joachim avait laissé son passeport sur la table, je le feuilletais pour voir ces derniers voyages. Toutes les pages étaient maculées de tampons divers et variés.

Juste avant que je ne le repose, Joachim me surprit avec son passeport en main. Il sortait de la salle de bain avec une serviette autour de la taille. Il me dit que cela ne le gênait pas, il en aurait fait de même ! Il m'expliqua qu'il était steward pour une compagnie d'aviation low-cost, il voyageait régulièrement.

Je posai son passeport sur la table et lui sortit le mien, il était tout aussi rempli, mais moi je ne suis pas steward, je bosse dans le secteur du tourisme et du loisir. Puis je me dirigeai vers la douche.

À mon retour, Joachim était déjà au lit et dormait. Je mis un caleçon et me glissa dans les draps. Le sommeil me submergea rapidement.

Je fus réveillé vers 10 h par Joachim, il dormait encore, mais il s'était rapproché de moi, contre moi. Il dormait à poil, allongé sur le côté, ça bite en érection (petite gaule du matin) me frottait la cuisse et son bras gauche m'enlaçait.

Moi aussi je bandais et pour ne pas que la situation porte à confusion, je le repoussai. Il bascula sur le dos et continua à dormir. Sa bite était très jolie, elle était bronzée, rasée, droite et circoncise. Joachim fait du bronzage intégral.

Sa bite dressée était un appel irrésistible. Je décidai de le branler doucement, en espérant qu'il ne me surprenne pas. Après quelques va-et-vient, je le pris en bouche, je le suçai le plus délicatement possible pour ne pas le réveiller, ma pipe était si intense sur son gland et son méat qu'il explosa rapidement dans ma bouche, j'avalai ces quatre jets de sperme au goût sucré. Une fois, bien nettoyée, je reposai sa bite molle sur ces abdominaux.

Je fis semblant de dormir puis attendit qu'il se réveille. Il se leva une demi-heure plus tard, alla au toilette et revint au salon. Il était assis dans un fauteuil, en caleçon. Je fis mine de me réveiller et m'assit sur le bord du lit. Ma bite était toujours au garde à vous.

Il me demanda si j'avais bien dormi et me félicita pour le joli chapiteau présent dans mon caleçon.

Je me dirigeai aux toilettes pour pisser, mais je ne pus, car j'étais trop excité. Je revins au salon avec la bite au garde à vous. Joachim matait la TV, il zappait sur toutes les chaînes à la recherche d'un programme potable.

Je me posai dans le deuxième canapé et matais aussi la TV lorsque Joachim vit que je bandais toujours. Il était étonné que je bande encore après avoir pissé. Il me dit que j'étais endurant, car lui s'était levé avec la bite en berne et qu'il n'avait pas réussi à bander et sortir la moindre goutte de sperme.

Il m'expliqua que le sperme est bourré de protéine et que tous les matins lorsqu'il se lève avec la gaule, il se branle et boit ensuite sa semence pour le petit déjeuner.

Je lui propose d'aller me branler et lui offrir mon sperme dans un verre s’il le souhaite. Il accepte, mais lorsque je passe devant lui pour retourner à la salle de bain, il m'attrape par la cuisse et m'annonce qu'il préfère boire à la source.

Je suis debout face à lui, il reste assis. Sa bouche est à la hauteur de mon caleçon. Joachim le fait descendre jusque mes chevilles. Je commence quelques va-et-vient, mais Joachim m'arrête et me dit qu'il s'occupe de tout.

Sa main droite attrape ma hampe pendant que sa main gauche s'occupe de mes couilles. Ma bite circoncise est tendue au maximum, quelques gouttes de présume perlent sur le bout du gland. Il approche sa langue et récupère le liquide puis sa bouche glisse sur mon gland et absorbe toute la longueur en gorge profonde. Il reste plusieurs secondes avec la bitte au fond de la gorge.

Sa main gauche malaxe mes couilles et les maintient en tension vers le bas. Il me branle avec ces lèvres. Il me fait sucer son index droit pour le lubrifier. Sa main droite passe entre mes jambes, son index vient jouer avec l'entrée de mon anus. La première phalange glisse dans mon anus, il pousse un peu, la deuxième puis la troisième entre dans mon anus.

Il me branle le cul avec son index, ma prostate est électrisée, sa main gauche étire toujours mes couilles vers le bas et sa bouche me suce la base du gland pendant que sa langue joue sur mon frein et mon méat.

Je suis au bord de l'explosion, je gémis, je me contracte. Il avale la totalité de ma bite, son index entre à fond dans mon anus et j'envoie de longues giclées de sperme sur ses amygdales. Il avale tout ! Les jets sont puissants et nombreux, car je ne me suis pas branlé et je n'ai pas eu de rapport depuis une semaine.

Il retire son index de mon anus, sa main gauche relèche mes couilles, mais il garde ma bitte en bouche et la branle avec ses lèvres pour me vider et me nettoyer jusqu'à la dernière goutte.

Je ne bande plus et Joachim a eu sa dose de sperme du matin. Mais toute cette effervescence l'a excité, il bande. Je lui propose de le branler, mais il voudrait m'enculer puis éjaculer sur mon corps pour venir boire son propre sperme.

Je m'allonge sur le lit, Joachim retire son caleçon, il se branle de la main gauche pendant que son index et son majeur préparent le terrain. Il crache sur mon anus pour lubrifier ainsi que sur sa main pour lubrifier sa bite. Il bande au maximum (comme ce matin), son gland est au bord de mon anus, je me relâche et il entre son gland. La douleur est sensible, mais pas infernale, il prend son temps et progresse lentement dans mon anus. Au bout de 5 minutes, son gland frotte ma prostate et ces couilles tapent sur mes fesses, il est entré intégralement.

Il commence ces va-et-vient en variant la vitesse et l'intensité, je bande à nouveau. Ma bite grossit, je me branle.

Une personne frappe à la porte. Joachim et moi stoppons immédiatement tout mouvement. Nous répondons en cœur : OUI ? Le réceptionniste nous indique que notre avion est prêt et que nous avons 15 minutes pour nous préparer. Je réponds OK. Le réceptionniste est reparti.

Joachim reprend ces va-et-vient, je reprends ma masturbation. Je suis au bord de l'explosion et Joachim aussi. Il se retire et envoie plusieurs jets liquides sur mon torse. J'explose en même temps plusieurs jets de sperme. Mon torse est constellé de sperme. Joachim approche et suce toute cette galaxie ! Son petit déjeuner aura été copieux ce matin !

Juste le temps de prendre une douche et rassembler nos affaires, nous arrivons à la réception. Le car est là, nous partons vers l'aéroport. L'avion est lui aussi apte au départ. Nous nous installons côte à côte avec Joachim pour enfin discuter et faire connaissance.

Arrivés à Paris, nous échangeons nos numéros. Sa copine arrive, moi je prends mon taxi et nous reprenons notre vie quotidienne !

Par Bipuce - Publié dans : Histoires
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Mardi 14 avril 2 14 /04 /Avr 22:18

Luis, le plus jeune de la fratrie a 20 ans. Son frère David, l'aîné, en a 22. De leurs origines méditerranéennes, ils ont le teint mat, ce qui rehausse encore la beauté de leur visage. Serviables et polis, ils sont très appréciés dans leur quartier où on les considère comme deux garçons parfaits et charmants. Mais sous cette apparence se cache deux êtres tourmentés sexuellement.

 

Luis a développé une passion obsédante pour les pieds des hommes. Il aime l'odeur du pied nu comme celle émanant d'une chaussette enfermée toute une journée dans de grosses chaussures: baskets monstrueuses, Caterpillar massives ou bottes de moto.

 

Grâce à son père, maçon de profession, Luis eut très tôt la révélation de son goût immodéré pour les attributs du pied masculin. Quand il rentrait du boulot, son père avait l'habitude de s'asseoir dans un fauteuil devant la télévision. Il entreprenait alors de se déchausser. Saisissant ses grosses chaussures de chantier par le talon, il les décollaient avec peine de ses épaisses chaussettes de laine. Puis il faisait descendre celles-ci le long de ses jambes poilues. Parvenu au talon, il insérait son pouce entre le pied et la chaussette et la faisait glisser jusqu'aux orteils avant de la laisser choir à terre avec un soulagement non dissimulé. Une forte odeur de transpiration, mélange de cuir et de sueur virile, s'élevait alors de ses pieds et venait titiller les narines de Luis. Quand l'odeur commençait à l'incommoder, il demandait gentiment à son fils d'emmener chaussures et chaussettes hors de la pièce. Luis devait cacher son émoi quand il prenait en main les chaussettes de son père et qu'à leur contact il sentait sa queue distendre son slip. Luis allait s'enfermer dans la salle de bain et entamait un rituel qui consistait à se déshabiller, à ne garder que ses chaussettes de tennis sur lesquelles il s'enfilait les grosses pompes de son père. Il les laçait pour qu'elles imprègnent bien ses chaussettes blanches. Puis il portait les chaussettes de laine de son père à sa bouche. La senteur amère qui s'en dégageait semblait donner à son sexe une vigueur nouvelle. Pointée à l'horizontale, sa queue laissait poindre les premières gouttelettes de sperme.

 

Avec ferveur, Luis léchait les chaussettes paternelles, les suçait à s'en étouffer, les frottait sur son corps, caressant sa bite, ses testicules et la raie des fesses. Quand il les lâchait, c'était pour prendre en bouche ses doigts parfumés de la senteur de la laine humide. Il s'imaginait alors aux pieds de son père, nettoyant chacun de ses orteils collés. Il lui aurait proposé de ne plus se laver les pieds et de lui laisser le plaisir de leur faire la toilette chaque jour à grands coups de langue et de flots de salive.

 

Ces scènes suggestives que Luis voyait défiler dans sa tête provoquaient inévitablement un tressaillement de sa queue. Quelques gestes masturbatoires suffisaient à libérer la vanne de liquide crémeux qui allait se répandre sur les chaussettes abandonnées sur le carrelage. Alors seulement, il les jetait dans le panier de linge sale.

 

De même qu'il flashait sur les chaussettes de son père, Luis avait pour celles de son frère une vénération identique. David avait les moyens de se payer des chaussettes de marque alors que Luis devait se contenter de celles qu'on lui achetait. En représailles, il prenait un malin plaisir à élargir le moindre trou qui y apparaissait.

 

Entre les deux frères, tout avait commencé le jour où David surprit Luis en train de humer une nouvelle paire de chaussettes Adidas qu'il venait de mettre au linge sale. Luis lui était tombé dans les bras en larmes, s'excusant pour la "violation" de ses chaussettes. "C'est parce que je t'aime, David..." sanglotait Luis à genoux. David ne se rendait pas compte que son jeune frère le débraguettait, massant à travers le slip une queue qui ne tarda pas à s'éveiller. Devenu fébrile, David ne résista pas. Luis s'était jeté sur le membre tendu et le mouillait avidement jusqu'à provoquer l'explosion finale.

 

Une nuit, alors que David est en virée, Luis ne trouve pas le sommeil. Il ne veut surtout pas manquer le retour de son frère. À peine celui-ci a-t-il franchi la porte de la chambre que Luis bondit hors de son lit, le slip gonflé par une queue en transe. David est obligé d'admettre intérieurement que ce membre qui s'agite sous le tissu est un bien joli spectacle. Pourtant, il doit avouer:

 

- Je t'aime bien, petit frère, mais ce soir, je suis "vanné". Je viens de me "taper" la copine de ce prétentieux de Franck sur la cuvette des chiottes et je peux te garantir que je l'ai fait jouir un max. Sûr que son mec ne l'a jamais "tringler" de la sorte! Sans me vanter! D'ailleurs, dans la foulée, j'étais prêt à le dépuceler du cul, ce blaireau! Si tu le voyais frimer avec ses chaussettes, tu en serai fous, frangin; affalé dans un canapé, il croise ses jambes et remonte légèrement ses jeans de telle sorte que le sigle de ses chaussettes paraisse bien en vue.

 

- Alors, tu ne m'aimes plus? ose à peine prononcer Luis. Laisse-moi te faire rebander. J'ai tellement envie de ta queue dans mon cul!

- Regarde, Luis, j'ai quelque chose pour ton petit cul gourmand. David sort de son meuble de chevet un gode de belle taille qu'il présente aux yeux ébahis de son frère.

- OK. Enfonce-le moi, mais après je veux sentir ton membre naturel entre mes fesses.

- Tu es incorrigible, frangin, fait remarquer David alors que Luis a retiré son slip et présente son trou élargi à l'engin en latex que tient son frère.

Après l'avoir badigeonné de salive, il pose l'extrémité du gode à l'entrée du cul de Luis et, forçant si peu, l'introduit dans le fondement qui l'accueille avec ravissement. De petits cris de plaisir encourage David à combler ce si tendre anus. À la vue de son frère défoncé ainsi, sa queue se raidit sous son jeans.

Brusquement, Luis décule le gode et se précipite sur la braguette de son frère, lui extirpant un membre bien droit qu'il s'empresse d'enfourner dans sa bouche. Il le suce alors vigoureusement.

 

Abandonnant pour un instant ce sexe revigoré, Luis déchausse David. Une forte odeur de transpiration le prend aux narines.

- C'est normal, petit frère, tente de se justifier David. Je me suis bien éclaté sur la piste de danse toute la soirée.

Qu'importe! Luis va renifler ces chaussettes blanches humides afin de faire monter l'excitation, si tant est qu'il en ait encore besoin. Luis est maintenant déchaîné, commandant à son frère:

- Baise-moi! Mon trou n'attend que ta bite bien dure! Je mouille à ne plus pouvoir me contrôler...

- Tu sais bien provoquer, frérot, reconnaît David tout en s'enfonçant prestement dans l'oillet intime de Luis qui sent la dureté du sexe progresser au plus profond de lui.

Sous les "han" frénétiques de son frère, Luis se laisse prendre comme une bête, encourageant David de la voix:

- Plus fort... Plus vite... Décharge ta semence... Vide-toi en moi, fais-moi mal... crie Luis qui se branle avec frénésie tout en s'ouvrant à la pine tant aimée.

Il a l'impression que chaque parcelle de son corps explose sous une myriade de gouttes de sueur. Sa peau est luisante, ses mains moites transpirent dans le coton des chaussettes qu'il serre énergiquement. La bestialité de David le transcende.

David, bientôt à bout de souffle, pousse une dernière fois sa bite bien à fond et lâche sa purée en gueulant de plaisir. Dans le même temps, la jouissance de Luis éclate en flots ininterrompus avec la sensation que les deux spermes se libèrent simultanément par l'intermédiaire de sa queue.

Par Bipuce - Publié dans : Histoires
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Dimanche 15 mars 7 15 /03 /Mars 13:45

Bonjour, je m'appelle Jean, je suis en deuxième année de fac, j'ai un petit appart et mes parents jusqu'à présent m'aidaient financièrement. Cet été mon père a dû quitter son emploi et du coup, il ne peut plus m'aider. J'ai trouvé un petit boulot le soir: je nettoie une petite superette à côté de chez moi et je remplis les gondoles.


Je finis en général vers minuit, et en rentrant je me remets à bosser mes cours, je ne me couche pas avant 2 ou 3 heures du mat. Je suis crevé et dans la journée j'ai du mal à me tenir éveillé.

 

J'ai un copain de fac que je retrouve plusieurs fois par semaine soit chez lui soit chez moi. Quand nous sommes seuls, c'est la fête du sexe, on commence en général en douceur par des caresses et puis rapidement nous nous laissons emporter par la fièvre et nos ébats deviennent volcaniques et nous laissent épuisés et heureux.


Ce soir Marc, mon copain, doit passer chez moi, je suis heureux de le retrouver mais complètement crevé; enfin quand il sera là, j'oublierai mes soucis. On sonne, j'ouvre, c'est lui. Une bonne pelle baveuse des mains baladeuses et nous voici partis pour un bon après-midi de baise. Nous sommes allongés sur mon lit et Marc me suce lentement, comme j'aime, en me léchant les couilles de temps en temps. Je m'abandonne à ses caresses.

 

- Jean?

- Oui.

- Jean qu'est-ce qu'il y a? Cela fait 10 minutes que je te suce et ça a l'air de te faire autant d'effet que la lecture du code fiscal de l'année. Qu'est-ce qui ne va pas?

 

- Rien Marc je suis un peu crevé.

- Raconte moi, qu'est-ce qui t'arrive?

- Rien, rien vraiment.

Marc m'a pris les couilles dans sa main et commence à me les serrer.

- Jean si tu ne me dis pas ce qui se passe je vais serrer tes couilles jusqu'à te les écraser! et ce faisant il serre un peu plus et ça devient douloureux. Alors?

- Rien je te dis.

 

Il serre un peu plus et la douleur devient intolérable.

- Alors?

- Bon, papa a perdu son boulot cet été et il ne peut plus m'aider pour l'appart, j'ai trouvé un petit boulot dans l'épicerie d'à côté mais je suis crevé je finis de bosser vers minuit et en rentrant je bosse mes cours, j'en peu plus! dis-je en éclatant en larmes.

Marc est venu s'allonger près de moi, m'a pris dans ses bras et me donne un baiser.

- Je ne vais pas te laisser tomber mec. Tu te rappelles l'année dernière, c'est toi qui me prêtait du fric. J'ai trouvé un boulot un peu spécial mais ça rapporte pas mal si tu veux je te présente le mec qui me fait, comment dirais-je «bosser».

- C'est quoi comme boulot?

- Bon je vais chez un mec et il me filme alors qu'il me chatouille, qu'il me branle ou me donne des fessées. Il commercialise la K7 sur Internet et me file une bonne prime. Si tu veux je te présenterais.

- Ça va pas non? et si on me voit sur Internet?

 

- Si on te voit sur Internet c'est que le mec est allé chercher ce site et que donc il est pédé, t'auras pas de réflexions va. Si tu veux je te montrerai la K7 qu'il a fait avec moi, ça te tente?

- C'est bien payé?

- Mille euros la séance.

- Wouah, tout ça pour une fessée.

- Bon je vais chez moi je te rapporte la K7 on regarde ensemble et si tu veux je prend rendez-vous avec ce mec.

- Ok.

 

Marc est allé chez lui, il revient rapidement je mets la K7 dans le magnéto on s'installe et on regarde.

 

Je vois un mec dans la cinquantaine qui le reçoit discute avec lui, lui demande de se foutre à poil. Un fois à poil, il passe des bracelets en cuir aux poignets et aux chevilles de Marc, puis il attache Marc à un banc et commence à lui donner un fessée sévère, je vois le visage de Marc sur l'écran qui indique que ce n'est pas du chiqué, il morfle un max.

 

Les positions varient, au long de la K7 puis on voit Marc allongé sur le dos dans un lit et le mec qui le branle et arrête à chaque fois que Marc va jouir. Marc finit par le supplier de le laisser jouir. Le mec continu comme si de rien n'était, un gros plan montre les couilles de Marc gonflées à bloc et qui ne demandent que de se vider. Enfin le mec reprend sa branle plus rapidement et on voit 5, 6 jets crémeux sortir de la queue de Marc et venir s'écraser sur sa poitrine. Le mec étale le sperme de mon pote lui roule une pelle et sur ces images le mot fin apparaît.

 

Marc se tourne vers moi et me demande ce que j'en pense.

- Je ne sais pas, je suis troublé.

- Ça pour être troublé, t'es troublé! Regarde, tu bandes comme un cerf.

Je ne me suis pas rendu compte mais ma queue soulève mon boxer, Marc la dégage et commence un pipe d'enfer je me laisse aller et j'explose dans sa bouche.

 

Après cette séance, Marc m'a demand é si je voulais rencontrer son mec. J'ai accepté, rendez-vous est pris pour cet après-midi. J'ai passé un jeans moulant un t-shirt noir moulant et des baskets. Marc passe me chercher nous nous rendons chez le mec.

 

Un mec qui me fait un drôle d'effet, à la fois sympa et bizarre, je sens que le courant ne passe pas avec lui, j'ai envie de partir mais comme Marc a pris rendez-vous je fais un effort. Le mec me regarde, fixe son regard dans le mien et tout de go me dit: «À poil, qu'on juge la marchandise». Cela me déplait souverainement et je lui rétorque que je ne suis pas de la marchandise. "Bon comme tu veux mec, si t'as besoin de fric et que tu veux tourner avec moi, il faudra que tu fasses ce que je te dis, si ça te déplait, je ne te retiens pas." Je regarde Marc avec un air désolé.

 

- Pardon Marc mais je préfère partir.

- Bon Jean, tu me laisses 5 minutes, je te rejoins dehors OK.

Je sors dans le jardin, j'ai l'impression d'avoir fait une grosse connerie, mais je me sens libre ne même temps. J'allume un clope, Marc me rejoint, m'embrasse et me dit:

- Ce n'est pas grave, il ne t'en veut pas et te trouve mignon. Si tu changes d'avis il te recevra de nouveau.

Nous rentrons, les jours passent je suis de plus en plus crevé, Marc me surveille du coin de l'oil et me file du fric quand je suis pris à la gorge.

- Jean, Jean, Jean!

- Quoi?

- Jean tu t'es endormi pendant le cours. Le prof t'a pas vu, mais il y a des potes qui se sont marrés en te voyant roupiller.

- Marc j'en peux plus, rappelle ton mec je suis prêt pour une K7.

- Ok Jean je l'appelle.

Deux jours plus tard Marc me dit que nous avons rendez-vous l'après-midi même. Je suis pris au piège mais je ne peux plus reculer. On va chez le mec, je sens la tension qui monte pendant la route. On arrive chez le mec qui nous reçoit avec un grand sourire.

- Alors on a changé d'avis petit arrogant?

- Oui, Monsieur, j'ai vraiment besoin d'argent.

- Appelle moi Alexandre et pas Monsieur. Bon on va descendre au sous-sol pour la séance OK?

- OK.

J'ai la gorge nouée, on descend et on arrive dans une vaste pièce chauffée: il y a un lit, un banc, celui où j'ai vu Marc recevoir sa fessée. Des lanières avec des anneaux pendent du plafond, un siège de chiottes dans un coin. Alexandre m'a regardé découvrir le lieu.

- C'est là que ça va se passer, me dit-il.

- Ah au fait, je te présente Olivier, c'est lui qui va nous filmer.

Un mec sympa avec un sourire doux me tend la main. Dans un coin un bureau, Alexandre me le montre et me dit:

- Là-dessus, il y a 1000 euros pour toi, on fait le film et ils sont à toi. Tu refuses, tu te barres et on en reste là, alors?

- OK j'accepte.

- Bon Olivier commence!

Olivier se place derrière la caméra et fait signe OK.

- Bon Jean le film a commencé, la dernière fois que tu es venu tu étais un peu arrogant, aussi j'ai décidé de t'humilier un peu pour te rabattre ton caquet.

Ce disant il ouvre un porte et fait rentrer 3 jeunes mecs dans les 20 ans qui s'installent sur des chaises.

- Voilà, je leur ai demandé de venir pour assister à ton dressage. Allez hop, à poil!

J'hésite à me foutre à poil devant tous ces mecs, quand une claque me tombe sur les fesses. J'enlève mon t-shirt, des sifflets admiratifs soulignent mon striptease.

- Allez, vire-moi le fute maintenant!

Je défais la ceinture ouvra la braguette et fais glisser mon fute, dans un coin Marc m'encourage avec un bon sourire où je lis de l'amour.

- Approche!

 

Je m'approche d'Alexandre, il me baisse mon slip et commence à me tâter, les seins le ventre les couilles, la queue, il me retourne me tâte les fesses, les écarte. Je sens son doigt qui s'attarde sur ma rosette je suis rouge pivoine; les 3 mecs me regardent avec gourmandise. Alexandre me pousse vers eux et leur dit de juger de la marchandise.

 

Le premier mec passe ses mains sur moi arrive à mes couilles les soupèse dégage mon gland, et enfile son doigt sans prévenir dans mon trou m'arrachant un petit cri.

- Pas mal le mec!

C'est son jugement. Je passe ensuite dans les mains des 2 autres mecs, le dernier me branle en disant qu'il veut juger le matos, le salaud me fait bander, j'ai honte mais il faut y passer.

 

Alexandre a repris le fil des opérations.

- Allonge toi sur le sol cuisses écartées!

Il va vers un meuble sort une poche en caoutchouc, la remplit d'eau à un robinet et reviens vers moi.

- Je vais te nettoyer ton petit cul...

 

Il enfonce une canule dans mon cul et ouvre un petit robinet, je sens l'eau chaude me remplir le ventre. Il retire la canule te m'enfonce un plug en me disant qu'il faut que je garde cette flotte le plus longtemps possible. Il a commencé à me masser le ventre pour bien répartir l'eau, je lui dis que je n'en peu plus, mais il me dit que ce n'est pas assez et me masse de plus belle comme s'il voulait nettoyer mes intestins en profondeur.

 

- J'en peux

Bonjour, je m'appelle Jean, je suis en deuxième année de fac, j'ai un petit appart et mes parents jusqu'à présent m'aidaient financièrement. Cet été mon père a dû quitter son emploi et du coup, il ne peut plus m'aider. J'ai trouvé un petit boulot le soir: je nettoie une petite superette à côté de chez moi et je remplis les gondoles.


Je finis en général vers minuit, et en rentrant je me remets à bosser mes cours, je ne me couche pas avant 2 ou 3 heures du mat. Je suis crevé et dans la journée j'ai du mal à me tenir éveillé.

 

J'ai un copain de fac que je retrouve plusieurs fois par semaine soit chez lui soit chez moi. Quand nous sommes seuls, c'est la fête du sexe, on commence en général en douceur par des caresses et puis rapidement nous nous laissons emporter par la fièvre et nos ébats deviennent volcaniques et nous laissent épuisés et heureux.


Ce soir Marc, mon copain, doit passer chez moi, je suis heureux de le retrouver mais complètement crevé; enfin quand il sera là, j'oublierai mes soucis. On sonne, j'ouvre, c'est lui. Une bonne pelle baveuse des mains baladeuses et nous voici partis pour un bon après-midi de baise. Nous sommes allongés sur mon lit et Marc me suce lentement, comme j'aime, en me léchant les couilles de temps en temps. Je m'abandonne à ses caresses.

 

- Jean?

- Oui.

- Jean qu'est-ce qu'il y a? Cela fait 10 minutes que je te suce et ça a l'air de te faire autant d'effet que la lecture du code fiscal de l'année. Qu'est-ce qui ne va pas?

 

- Rien Marc je suis un peu crevé.

- Raconte moi, qu'est-ce qui t'arrive?

- Rien, rien vraiment.

Marc m'a pris les couilles dans sa main et commence à me les serrer.

- Jean si tu ne me dis pas ce qui se passe je vais serrer tes couilles jusqu'à te les écraser! et ce faisant il serre un peu plus et ça devient douloureux. Alors?

- Rien je te dis.

 

Il serre un peu plus et la douleur devient intolérable.

- Alors?

- Bon, papa a perdu son boulot cet été et il ne peut plus m'aider pour l'appart, j'ai trouvé un petit boulot dans l'épicerie d'à côté mais je suis crevé je finis de bosser vers minuit et en rentrant je bosse mes cours, j'en peu plus! dis-je en éclatant en larmes.

Marc est venu s'allonger près de moi, m'a pris dans ses bras et me donne un baiser.

- Je ne vais pas te laisser tomber mec. Tu te rappelles l'année dernière, c'est toi qui me prêtait du fric. J'ai trouvé un boulot un peu spécial mais ça rapporte pas mal si tu veux je te présente le mec qui me fait, comment dirais-je «bosser».

- C'est quoi comme boulot?

- Bon je vais chez un mec et il me filme alors qu'il me chatouille, qu'il me branle ou me donne des fessées. Il commercialise la K7 sur Internet et me file une bonne prime. Si tu veux je te présenterais.

- Ça va pas non? et si on me voit sur Internet?

 

- Si on te voit sur Internet c'est que le mec est allé chercher ce site et que donc il est pédé, t'auras pas de réflexions va. Si tu veux je te montrerai la K7 qu'il a fait avec moi, ça te tente?

- C'est bien payé?

- Mille euros la séance.

- Wouah, tout ça pour une fessée.

- Bon je vais chez moi je te rapporte la K7 on regarde ensemble et si tu veux je prend rendez-vous avec ce mec.

- Ok.

 

Marc est allé chez lui, il revient rapidement je mets la K7 dans le magnéto on s'installe et on regarde.

 

Je vois un mec dans la cinquantaine qui le reçoit discute avec lui, lui demande de se foutre à poil. Un fois à poil, il passe des bracelets en cuir aux poignets et aux chevilles de Marc, puis il attache Marc à un banc et commence à lui donner un fessée sévère, je vois le visage de Marc sur l'écran qui indique que ce n'est pas du chiqué, il morfle un max.

 

Les positions varient, au long de la K7 puis on voit Marc allongé sur le dos dans un lit et le mec qui le branle et arrête à chaque fois que Marc va jouir. Marc finit par le supplier de le laisser jouir. Le mec continu comme si de rien n'était, un gros plan montre les couilles de Marc gonflées à bloc et qui ne demandent que de se vider. Enfin le mec reprend sa branle plus rapidement et on voit 5, 6 jets crémeux sortir de la queue de Marc et venir s'écraser sur sa poitrine. Le mec étale le sperme de mon pote lui roule une pelle et sur ces images le mot fin apparaît.

 

Marc se tourne vers moi et me demande ce que j'en pense.

- Je ne sais pas, je suis troublé.

- Ça pour être troublé, t'es troublé! Regarde, tu bandes comme un cerf.

Je ne me suis pas rendu compte mais ma queue soulève mon boxer, Marc la dégage et commence un pipe d'enfer je me laisse aller et j'explose dans sa bouche.

 

Après cette séance, Marc m'a demand é si je voulais rencontrer son mec. J'ai accepté, rendez-vous est pris pour cet après-midi. J'ai passé un jeans moulant un t-shirt noir moulant et des baskets. Marc passe me chercher nous nous rendons chez le mec.

 

Un mec qui me fait un drôle d'effet, à la fois sympa et bizarre, je sens que le courant ne passe pas avec lui, j'ai envie de partir mais comme Marc a pris rendez-vous je fais un effort. Le mec me regarde, fixe son regard dans le mien et tout de go me dit: «À poil, qu'on juge la marchandise». Cela me déplait souverainement et je lui rétorque que je ne suis pas de la marchandise. "Bon comme tu veux mec, si t'as besoin de fric et que tu veux tourner avec moi, il faudra que tu fasses ce que je te dis, si ça te déplait, je ne te retiens pas." Je regarde Marc avec un air désolé.

 

- Pardon Marc mais je préfère partir.

- Bon Jean, tu me laisses 5 minutes, je te rejoins dehors OK.

Je sors dans le jardin, j'ai l'impression d'avoir fait une grosse connerie, mais je me sens libre ne même temps. J'allume un clope, Marc me rejoint, m'embrasse et me dit:

- Ce n'est pas grave, il ne t'en veut pas et te trouve mignon. Si tu changes d'avis il te recevra de nouveau.

Nous rentrons, les jours passent je suis de plus en plus crevé, Marc me surveille du coin de l'oil et me file du fric quand je suis pris à la gorge.

- Jean, Jean, Jean!

- Quoi?

- Jean tu t'es endormi pendant le cours. Le prof t'a pas vu, mais il y a des potes qui se sont marrés en te voyant roupiller.

- Marc j'en peux plus, rappelle ton mec je suis prêt pour une K7.

- Ok Jean je l'appelle.

Deux jours plus tard Marc me dit que nous avons rendez-vous l'après-midi même. Je suis pris au piège mais je ne peux plus reculer. On va chez le mec, je sens la tension qui monte pendant la route. On arrive chez le mec qui nous reçoit avec un grand sourire.

- Alors on a changé d'avis petit arrogant?

- Oui, Monsieur, j'ai vraiment besoin d'argent.

- Appelle moi Alexandre et pas Monsieur. Bon on va descendre au sous-sol pour la séance OK?

- OK.

J'ai la gorge nouée, on descend et on arrive dans une vaste pièce chauffée: il y a un lit, un banc, celui où j'ai vu Marc recevoir sa fessée. Des lanières avec des anneaux pendent du plafond, un siège de chiottes dans un coin. Alexandre m'a regardé découvrir le lieu.

- C'est là que ça va se passer, me dit-il.

- Ah au fait, je te présente Olivier, c'est lui qui va nous filmer.

Un mec sympa avec un sourire doux me tend la main. Dans un coin un bureau, Alexandre me le montre et me dit:

- Là-dessus, il y a 1000 euros pour toi, on fait le film et ils sont à toi. Tu refuses, tu te barres et on en reste là, alors?

- OK j'accepte.

- Bon Olivier commence!

Olivier se place derrière la caméra et fait signe OK.

- Bon Jean le film a commencé, la dernière fois que tu es venu tu étais un peu arrogant, aussi j'ai décidé de t'humilier un peu pour te rabattre ton caquet.

Ce disant il ouvre un porte et fait rentrer 3 jeunes mecs dans les 20 ans qui s'installent sur des chaises.

- Voilà, je leur ai demandé de venir pour assister à ton dressage. Allez hop, à poil!

J'hésite à me foutre à poil devant tous ces mecs, quand une claque me tombe sur les fesses. J'enlève mon t-shirt, des sifflets admiratifs soulignent mon striptease.

- Allez, vire-moi le fute maintenant!

Je défais la ceinture ouvra la braguette et fais glisser mon fute, dans un coin Marc m'encourage avec un bon sourire où je lis de l'amour.

- Approche!

 

Je m'approche d'Alexandre, il me baisse mon slip et commence à me tâter, les seins le ventre les couilles, la queue, il me retourne me tâte les fesses, les écarte. Je sens son doigt qui s'attarde sur ma rosette je suis rouge pivoine; les 3 mecs me regardent avec gourmandise. Alexandre me pousse vers eux et leur dit de juger de la marchandise.

 

Le premier mec passe ses mains sur moi arrive à mes couilles les soupèse dégage mon gland, et enfile son doigt sans prévenir dans mon trou m'arrachant un petit cri.

- Pas mal le mec!

C'est son jugement. Je passe ensuite dans les mains des 2 autres mecs, le dernier me branle en disant qu'il veut juger le matos, le salaud me fait bander, j'ai honte mais il faut y passer.

 

Alexandre a repris le fil des opérations.

- Allonge toi sur le sol cuisses écartées!

Il va vers un meuble sort une poche en caoutchouc, la remplit d'eau à un robinet et reviens vers moi.

- Je vais te nettoyer ton petit cul...

 

Il enfonce une canule dans mon cul et ouvre un petit robinet, je sens l'eau chaude me remplir le ventre. Il retire la canule te m'enfonce un plug en me disant qu'il faut que je garde cette flotte le plus longtemps possible. Il a commencé à me masser le ventre pour bien répartir l'eau, je lui dis que je n'en peu plus, mais il me dit que ce n'est pas assez et me masse de plus belle comme s'il voulait nettoyer mes intestins en profondeur.

 

- J'en peux plus! je lui dis.

- Ok, lève toi! Tu vois les chiottes? Tu peux te vider.

 

Olivier s'est approché du siège et attend. J'ai la honte de ma vie mais je ne peux pas faire autrement mon ventre me torture et réclame de se vider. Je m'approche du siège enlève le plug, mes intestins se vident je me cache le visage. La voix d'Alexandre claque:

- Tu t'es bien vidé?

- Oui.

- Bon viens on va finir le boulot!

 

Il me montre un coin douche me demande de me courber. Il enfile une canule sur le tuyau de la douche et me la rentre dans le cul. Il ouvre le robinet l'eau rentre dans mon cul et sort, quand l'eau qui sort est claire il arrête.

- Bon te voilà propre! Viens ici.

Il est assis sur un banc me fait allonger sur ses cuisses, Olivier fait le tour pour me prendre sur toutes les coutures. Premières claques sur les fesses, il n'y va pas de main morte: je sens mes fesses chauffer.

 

- Tiens, regarde!

Je tourne la tête et vois mes fesses rouges.

- Bon après cet échauffement on va passer à autre chose.

 

Il attache mes poignets à un mousqueton fixé au plafond, il prend une tapette genre raquette de ping-pong et les coups commencent à tomber. Je me tortille mais je ne peux m'échapper. Il arrête au bout de 5 minutes. Mes fesses sont brûlantes, Olivier les filme de près.

 

- Les mecs ça vous dirait de lui filer un bonne fessée?

- Oui! hurlent-ils en chour.

Je les avais oubliés sous les coups, je vois qu'ils bandent tous dans leur jeans.

 

Le premier se lève et prend une large lanière de cuir et commence à me frapper les fesses et le bas du dos. Une dizaine de coups, de plus en plus forts. Le deuxième prend la relève, il fait attention de ne pas frapper trop fort, ouf tous ne sont pas des sadiques. C'est au tour du troisième: lui commence à me frapper doucement puis les coups sont de plus en plus fort et deux fois le bout de la lanière frappe mes couilles, la deuxième fois je manque de m'évanouir sous la douleur.

 

- Bon ça suffit! a hurlé Alexandre.

 

Alexandre me détache, et m'allonge sur le banc, il m'attache les poignets et les chevilles aux pieds du banc, il prend une tapette en cuir et commence à me frapper en prenant son temps à coups réguliers. La douleur liée à la chaleur de me fesses me fait hurler. Je le supplie d'arrêter mais il continue. Le temps n'existe plus, mes larmes coulent sur me joues, je le supplie de s'arrêter.

- OK mec je crois que ça va faire une K7, on va finir.

 

Il me détache, me retourne me voilà allongé sur le dos sur le banc, de nouveau il m'attache. Je suis exhibé aux yeux de tous, les spectateurs ont la trique. Alexandre commence à me branler, doucement je trique rapidement je sens le foutre monter, Alexandre s'en aperçoit et arrête un moment puis il reprend. Cinq fois, il arrête au moment où je vais jouir... Mes couilles me font mal, je n'ai qu'une envie c'est qu'il me laisse jouir.

 

- Alexandre s'il te plaît, laisse-moi jouir j'en peux plus, laisse-moi jouir.

- Bon, tu as été un bon gars, j'accepte.

 

Il recommence à me branler, je sens les contractions dans mon bas-ventre, je crie en lâchant une série de jets impressionnante, je suis vidé mais Alexandre continue de me masser le gland avec mon jus. C'est insupportable quand on a joui comme ça avec autant de violence de se faire masser le gland qui est devenu hyper-sensible.

- Arrête Alexandre s'il te plaît.

- Ok c'est fini!

Il me roule une pelle et me détache. Les spectateurs applaudissent, c'est fini. Marc est venu m'embrasser, il me glisse à l'oreille:

Je vais m'occuper de toi, viens.

 

Il me conduit dans le coin douche, fait couler l'eau, et me lave en douceur, ensuite il me sèche avec une serviette en faisant attention de ne pas frotter trop fort sur mes fesses, puis il me passe une crème sur les fesses, la douleur semble s'atténuer mais reste bien réelle. Alexandre à renvoyé les 3 spectateurs. Nous sommes maintenant quatre, Alexandre, Olivier le caméraman, Marc et moi.

- Tiens, prends ton argent sur le bureau tu l'as bien mérité. Si tu veux revenir tu peux, la prochaine fois je ne te ferai pas mal, promis.

- Merci.

Je prends l'enveloppe, Marc passe son bras sur mes épaules et me dit:

- Allez, on y va.

J'ai du mal à marcher, je m'assieds avec prudence dans la voiture, je suis dans un autre monde. Marc me dit de regarder ce qu'il y a dans l'enveloppe, j'ouvre je compte les billets, il y a 1500 euros! Je n'en reviens pas.

J'ai repris les cours 3 jours après, Marc m'apportait les cours qu'il avait pris pour moi.

Un matin le facteur m'a apporté un paquet. J'ouvre, c'était une K7 avec un petit mot d'Alexandre: "Pardon pour t'avoir fait souffrir, mais c'était le contrat. Comme promis quand on s'est quittés, la prochaine fois si tu veux, je ne te frapperai plus. Bonne vidéo!"

Je mets la K7 dans le lecteur et je me vois arriver dans cette salle, j'éprouve un mélange d'effroi et de satisfaction, j'arrête la K7 et décide d'attendre Marc pour la regarder avec lui...

 plus! je lui dis.

 

- Ok, lève toi! Tu vois les chiottes? Tu peux te vider.

 

Olivier s'est approché du siège et attend. J'ai la honte de ma vie mais je ne peux pas faire autrement mon ventre me torture et réclame de se vider. Je m'approche du siège enlève le plug, mes intestins se vident je me cache le visage. La voix d'Alexandre claque:

- Tu t'es bien vidé?

- Oui.

- Bon viens on va finir le boulot!

 

Il me montre un coin douche me demande de me courber. Il enfile une canule sur le tuyau de la douche et me la rentre dans le cul. Il ouvre le robinet l'eau rentre dans mon cul et sort, quand l'eau qui sort est claire il arrête.

- Bon te voilà propre! Viens ici.

Il est assis sur un banc me fait allonger sur ses cuisses, Olivier fait le tour pour me prendre sur toutes les coutures. Premières claques sur les fesses, il n'y va pas de main morte: je sens mes fesses chauffer.

 

- Tiens, regarde!

Je tourne la tête et vois mes fesses rouges.

- Bon après cet échauffement on va passer à autre chose.

 

Il attache mes poignets à un mousqueton fixé au plafond, il prend une tapette genre raquette de ping-pong et les coups commencent à tomber. Je me tortille mais je ne peux m'échapper. Il arrête au bout de 5 minutes. Mes fesses sont brûlantes, Olivier les filme de près.

 

- Les mecs ça vous dirait de lui filer un bonne fessée?

- Oui! hurlent-ils en chour.

Je les avais oubliés sous les coups, je vois qu'ils bandent tous dans leur jeans.

 

Le premier se lève et prend une large lanière de cuir et commence à me frapper les fesses et le bas du dos. Une dizaine de coups, de plus en plus forts. Le deuxième prend la relève, il fait attention de ne pas frapper trop fort, ouf tous ne sont pas des sadiques. C'est au tour du troisième: lui commence à me frapper doucement puis les coups sont de plus en plus fort et deux fois le bout de la lanière frappe mes couilles, la deuxième fois je manque de m'évanouir sous la douleur.

 

- Bon ça suffit! a hurlé Alexandre.

 

Alexandre me détache, et m'allonge sur le banc, il m'attache les poignets et les chevilles aux pieds du banc, il prend une tapette en cuir et commence à me frapper en prenant son temps à coups réguliers. La douleur liée à la chaleur de me fesses me fait hurler. Je le supplie d'arrêter mais il continue. Le temps n'existe plus, mes larmes coulent sur me joues, je le supplie de s'arrêter.

- OK mec je crois que ça va faire une K7, on va finir.

 

Il me détache, me retourne me voilà allongé sur le dos sur le banc, de nouveau il m'attache. Je suis exhibé aux yeux de tous, les spectateurs ont la trique. Alexandre commence à me branler, doucement je trique rapidement je sens le foutre monter, Alexandre s'en aperçoit et arrête un moment puis il reprend. Cinq fois, il arrête au moment où je vais jouir... Mes couilles me font mal, je n'ai qu'une envie c'est qu'il me laisse jouir.

 

- Alexandre s'il te plaît, laisse-moi jouir j'en peux plus, laisse-moi jouir.

- Bon, tu as été un bon gars, j'accepte.

 

Il recommence à me branler, je sens les contractions dans mon bas-ventre, je crie en lâchant une série de jets impressionnante, je suis vidé mais Alexandre continue de me masser le gland avec mon jus. C'est insupportable quand on a joui comme ça avec autant de violence de se faire masser le gland qui est devenu hyper-sensible.

- Arrête Alexandre s'il te plaît.

- Ok c'est fini!

Il me roule une pelle et me détache. Les spectateurs applaudissent, c'est fini. Marc est venu m'embrasser, il me glisse à l'oreille:

Je vais m'occuper de toi, viens.

 

Il me conduit dans le coin douche, fait couler l'eau, et me lave en douceur, ensuite il me sèche avec une serviette en faisant attention de ne pas frotter trop fort sur mes fesses, puis il me passe une crème sur les fesses, la douleur semble s'atténuer mais reste bien réelle. Alexandre à renvoyé les 3 spectateurs. Nous sommes maintenant quatre, Alexandre, Olivier le caméraman, Marc et moi.

- Tiens, prends ton argent sur le bureau tu l'as bien mérité. Si tu veux revenir tu peux, la prochaine fois je ne te ferai pas mal, promis.

- Merci.

Je prends l'enveloppe, Marc passe son bras sur mes épaules et me dit:

- Allez, on y va.

J'ai du mal à marcher, je m'assieds avec prudence dans la voiture, je suis dans un autre monde. Marc me dit de regarder ce qu'il y a dans l'enveloppe, j'ouvre je compte les billets, il y a 1500 euros! Je n'en reviens pas.

J'ai repris les cours 3 jours après, Marc m'apportait les cours qu'il avait pris pour moi.

Un matin le facteur m'a apporté un paquet. J'ouvre, c'était une K7 avec un petit mot d'Alexandre: "Pardon pour t'avoir fait souffrir, mais c'était le contrat. Comme promis quand on s'est quittés, la prochaine fois si tu veux, je ne te frapperai plus. Bonne vidéo!"

Je mets la K7 dans le lecteur et je me vois arriver dans cette salle, j'éprouve un mélange d'effroi et de satisfaction, j'arrête la K7 et décide d'attendre Marc pour la regarder avec lui...

Par Bipuce - Publié dans : Histoires
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Mercredi 25 février 3 25 /02 /Fév 21:24
J'ai 19 ans, je m'appelle Christophe. Je suis un étudiant sérieux, pas trop mal physiquement, gay mais puceau. Obsédé par le sexe, je me masturbe au moins 4 fois par jours. Je passais une semaine des vacances scolaires chez ma soeur aînée et Jérôme, son mari. C’est un homme de 35 ans, très bandant, travailleur en construction, aussi maniaque du sexe que moi, selon les dires de ma soeur.

Samedi dernier, j'avais rendez-vous avec des copains pour faire une partie de foot au stade municipal. Je me suis levé tôt pour me préparer. D'abord la douche, que je prends dans la salle de bain. Alors que je m'essuyais, le beau-frère, qui devait ressentir un pipi pressant, s'est faufilé dans la pièce, dont j'avais laissé la porte entrouverte. Il pensait sans doute passer inaperçu, ce qui aurait été le cas si je n'avais tiré le rideau à ce moment là... Surpris, Jérôme m'a adressé un sourire gêné. Mais le plus gêné des deux n'était pas celui qu'on pense, j'étais nu devant lui. Sportif certes mais pas spécialement athlétique, avec mon sexe rétréci par l'eau fraîche.

   - Excuse-moi, je suis confus... Ne sachant comment réagir mais pas mécontent apparemment, mon beau-frère a décidé d'en plaisanter:

   - Je n'ai plus qu'à me déshabiller, comme ça on sera à égalité!

   Joignant le geste à la parole, il enleva son t-shirt et je crus tomber à la renverse quand je le vis retirer son jeans, me faisant découvrir presque intégralement son corps. Puis, s'approchant un peu de moi, il me dit:

   - Comment trouves-tu mon corps?

   Sans me laisser le temps de répondre, il dit:

   - Je sais par expérience que les femmes et certaines catégories hommes aiment bien tout ce qui est musclé. Il parlait avec naturel, comme s'il était normal que nous soyons tous deux à poil dans la salle de bain, avec ma soeur qui dormait dans la chambre à côté!

   Moi, je fixais son bas-ventre: on voyait très bien la forme de sa queue sous son slip. Il n'était pas en érection et il paraissait énorme. Jérôme a sans doute réalisé qu'il me troublait:

   - Ça grossit vite ton machin, dis donc...

   L'atmosphère s'érotisait nettement. Il regardait avec un air de reproche mon sexe qui prenait de la vigueur. Vexé, je me suis tourné pour achever de m'essuyer. Je frissonnais, rouge de confusion, envahi de pulsions bizarres. Dans un sursaut de hardiesse, comme un coup de poker, je me suis retourné à nouveau: je bandais dur, vraiment dur.

   - Christophe, je suis terriblement désolé. Tout ça est de ma faute, je n'aurais pas dû... J'en aurais bien envie aussi, mais tu comprends que c'est impossible, n'est-ce pas? Allez, viens: je vais te faire passer ça...

   D'un geste précis, il m'a saisi mon pénis qu'il a caressé méthodiquement, de plus en plus vite. J'étais mal à l'aise mais je me suis laissé faire, j'en avais besoin certainement. Il a concentré sa pression sur le gland, j'éprouvais une troublante sensation qui a fini par s'exprimer par de violentes giclées dans le lavabo. Jérôme m'a embrassé sur le front comme un enfant, et s'est enfui vers sa chambre, enfilant rapidement son jeans. En passant devant la chambre à coucher, j'ai entendu les bruits caractéristiques d'un couple en pleine action. C'était injuste! J'entendais des respirations saccadées, des claquements humides et des plaintes aiguës qui m'inspiraient une jalousie diabolique. Excité par ce que j'entendais, je me rendis à ma chambre pour me branler en pensant à lui.

   Ça ne s'est pas arrangé le soir! Mon beau- frère et ma soeur recevaient des amis. On aurait dit que Jérôme le faisait exprès, qu'il cherchait à m'exciter en vain, moi le jeune qui ne jouait pas dans la cour des grands... Ce que j'aurais voulu, c'était arracher la chemise de mon beau-frère et lui mordre les tétons, les faires durcir de plaisir jusqu'à la souffrance; lui baisser le jeans et passer à l'acte. Qu'il soit le mari de ma soeur ne me gênait pas, j'en avais envie moi aussi et depuis longtemps mais encore plus depuis cet après-midi. Je me sentais dangereusement entraîné vers je ne sais quel abîme. En attendant, je me défoulais dans le foot!

   Le lendemain, j'avais fait un match et j'allais rejoindre les vestiaires, quand j'ai aperçu mon beau-frère sur le bord de la pelouse. On a papoté tant et si bien qu'arrivés aux vestiaires, il n'y avait plus personne. J'étais en tenue sportive: baskets, short et maillot. Il fallait que je me change.

   - Ça ne t'ennuie pas si je te regarde? me demande-t-il.

   - Si, beaucoup! J'avais déjà le short aux chevilles. De toute façon, j'allais garder mon caleçon et enfiler mon jean.

   - Christophe, montre-moi ta bite...

   Sans blague, il pouvait toujours compter là-dessus! Mais en même temps, vaniteux tel un pou, j'étais pris d'une érection rapide. Après une valse-hésitation, j'ai fini par sortir au-dessus de l'élastique du caleçon mon sexe tel que je ne l'avais jamais vu: énorme, veiné et décalotté sous la pression sanguine. Jérôme était torse nu et ne portait seulement qu'un short très court qui rendait hommage à ce qui se trouvait dessous. Il savait que ça me mettait dans tous mes états.

   - Déshabille-toi, je veux te voir à poil...

   Résigné, sous le charme d'une étrange perversité, envoûté à coup sûr, je me suis livré à un curieux strip-tease. J'ai ôté le short, puis j'ai retiré les baskets, le maillot, le caleçon et enfin les chaussettes. J'avais les tétons gonflés comme ceux d'une femme. Je bandais à faire mal, avec les testicules ramassées à la base de la queue.

   - Sait-tu que tu me donnes une folle envie de baiser? À quoi jouait-il? Je le connaissais si bien... Allait-il se dérober comme hier après-midi? Cherchait-il à humilier un puceau pris au piège? Jérôme a sorti une capote en me disant:

   - Allonge-toi sur le banc, les jambes bien écartées de chaque côté. Il fallait assumer maintenant! Finis les délires, les fantasmes... la réalité s'imposait dans toute sa crudité.

   J'ai levé les jambes et je me suis mis en position. Pendant ce temps, je le voyais enlever son short. Il s'approchait de moi lentement, en caressant doucement sa queue qui durcissait sous mes yeux.

   - Sois franc mon beau Christophe, ça fait longtemps que tu rêves de ce moment non?

   À genoux derrière moi, le dos tendu comme pour faire des pompes, le sexe bien raide. Il a frotté son gland à l'entrée de mon anus. Puis il a poussé profond, au maximum de ses forces et, sans réfléchir à rien, il m'a limé comme un dingue. Comme j'étais placé, je voyais sa queue qui pilonnait mon cul. Je sentais ses couilles qui me battaient les fesses. Je gémissais, soumis et enflammé. C'était un grand moment!

   - C'est bon Jérôme, n'arrête pas, vas-y, vas-y!

   Je voulais jouir. Il me défonçait de plus en plus fort, poussant son sexe au fond de mon anus. Je jouissais tellement que ma queue gicla sur mon torse. Jérôme se retira vivement de mon cul, enleva la capote, s'avança vers moi et en vrai mâle macho, il me poigna par les cheveux et commença à me pénétrer dans la bouche, comme s’il pénétrait un anus, de bon coups virils et à fond dans la gorge, me claquant ses grosses couilles sur le menton. Son jeu de va-et-vient dura plus de 10 minutes, avant de se mettre à hurler et me remplir la gorge de plus de 4 jets épais de son sperme qu'il m'a obligé d'avaler. Je dus reconnaître que le goût de son sperme était délicieux. Alors qu'il remettait son short, il me dit:

   - C'est pas croyable, pour un puceau, tu es doué. Tu suces mieux que ta soeur. Si ça te dit, on remettra ça. Tu es là pour la semaine, autant en profiter. Et je ne détesterais pas enculer encore ton beau petit cul. Il me fit un clin d'oeil et me laissa seul au vestiaire.

   J'étais très heureux de cette première expérience. Alors que je m'étais glissé sous la douche, je me branlais en pensant à ce qui m'attendait cette semaine. Et tant pis pour ma soeur.


FIN.
Par Bipuce - Publié dans : Histoires
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