Histoires

Vendredi 22 mai 5 22 /05 /Mai 22:31
Dans les années 70, j'avais 19ans, grand, brun, beau gosse au top de sa jeunesse. La queue des hommes m'attirait déja, mais je n'était jamais passé à l'acte. Et me voila, sac au dos faisant du stop à la sortie des villages algériens, direction: le sahara.
Un soir, au bord d'une piste, des bédouins s'approchent pour me proposer de passer la nuit sous leur tente. C'est 10jours que je passerai sous la tente...et...sous les bédouins. La première nuit, après le repas, je suis allé me coucher dans une petite tente ou étaient stockées diverses marchandises et denrées. Bien que les nuits soient fraîches dans le désert, j'avais chaud et me mis nu sur mon sac de couchage et ne tardai pas à m'endormir en rêvant au sexe puissant de ces rudes hommes du désert. Je suis réveillé dans la nuit par une présence, dans la pénombre, je distingue un homme debout qui me regarde en allumant une petite bougie. Je vois un homme d'une quarantaine d'années oter ses vêtements. Je regarde, médusé et plein de désirs féminins, cet homme en slip qui s'allonge à mes côtés, il est mince, la peau foncée,très viril, un corps de dieu saharien. Tout en me caressant, il me demande si j'aime le zob, timide, je lui réponds que je ne sais pas. Je sens son odeur de mâle m'envahir délicieuseusement et je décide de m'abandonner à lui. Timidement, pendant qu'il me caresse, j'approche ma bouche de son slip sale que je lèche avec délice. M'entendant faire "hmm.." de plaisir, il sort de son slip un sexe impressionnant et dirige son gland humide vers ma bouche. Sans me faire prier j'avale ce sucre d'orge en gloussant de plaisir. Le parfum et le goût de ce sexe pas très propre me fait chavirer la tête. Je me sens une petite femelle en léchant aussi ses couilles odorantes et poilues.
"Tu aimes le zob, hein? Tu aimes cela?" Il sorti son bel outil de ma bouche. "Allonge-toi sur le ventre!" J'obéissait. J'étais en position de soumission, et j'y prenait un grand plaisir..Il écarta mes fesses, cracha dans sa main et me lubrifia la rondelle tout en enfoçant un doigt dans mon intimité. Ce fut la révélation, j'étais heureux et j'allais me faire sodomiser pour la première fois, j'allais connaître le plaisir de se sentir femelle.Sans prévenir, il enfonça complètement d'un violent coup de rein son beau sexe circoncis dans les replis délicats de ma fleur, la douleur était atroce, il me tarauda tel un bouc. Petit à petit, la douleur fit place à un sentiment étrange de bonheur, puis de plaisir intense, il sentait que je commençai à aimer cela."Tu es devenu une femme, maintenant, ton petit trou est à moi, tu es ma pute, mon trou à sperme." Je répondis oui sans trop réfléchir, car l'idée d'être féminisé par cet homme si viril me plaisait. Il me lima longtemps, et plus il sentait que j'aimais cela plus il s'excitait. La douleur me brûlait les entrailles, et je criai de souffrance et du bonheur d'être soumis par un de ces bédouins dont je désirai secrètement être la pute, le trou à plaisirs. Il se vida entièrement en moi avec des râles de jouissance, je me sentai enculé, fécondé, inondé, la sensation de son sperme en moi acheva ma transformation de petit européen en salope soumise à la queue saharienne.
Il me laissa, allongé sur des tapis, le cul en l'air, endolori et bien graissé. Je restai ainsi des heures, ouvert, offert...
Il revint avec de la nourriture, du parfum et une outre pleine d'eau.
Il me dit ce qu'il attendait de moi, je ne devais pas sortir de la tente, seulement pour mes besoins naturels, je devais rester nu jour et nuit dans la tente, attendant, parfumé comme un cocotte le bon plaisir de mon homme et de ses amis.
Je servis de femme à tous les hommes du camp. A n'importe quelle heure du jour et de la nuit, mon anus et ma bouche étaient sollicités par leurs sexes dont j'étais devenu accroc.
Les mâles se succédaient dans la tente et dans mon trou qui s'était bien ouvert, d'ailleurs il ne se refermait plus. Pendant 10 jours et 10 nuits mon anus ou ma bouche furent occupés en permanence, et je me nourrissait presque exclusivement de liqueur de zobs. J'ai dû aussi lécher avec gourmandise des anus sales, poilus, pleins d'odeurs fortes et envoutantes. Les hommes ne se lavaient plus le derrière ni les parties génitales, ils savaient que je ferai leur toilette intime avec ma langue et ma salive, et que je me délectai de cela.
Je suis parti une nuit, discrètement, pour de nouvelles aventures vers le sud saharien. Je pensais en chemin à tous ces zobs que j'allai savourer. J'étais devenu une petite pute du désert et des centaines de mâles en rut se soulagèrent en moi pour mon plus grand plaisir.
Par Bipuce - Publié dans : Histoires
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Vendredi 22 mai 5 22 /05 /Mai 22:30
Salut, je m’appelle David, j’ai 19 ans, je suis brun, yeux bleu, 1m 76 et assez musclé.
Je vais vous raconter une histoire qui s’est passée il y a 4 mois.

C’était les vacances d’été et je passais tout mon temps chez mon cousin Thibault qui avait 21 ans, mes parents avaient confiance en lui et lui adorait s’occuper de moi.
On faisait plein de trucs ensemble (foot, piscine, VTT……) c’était cool.

Un jour qu’on était à la piscine, on s’amusait à se couler lorsque j’ai senti sa main s’introduire dans mon slip, par instinct je me suis reculé. Après on a continué à jouer comme si de rien n’était mais je restais un peu plus distant.
Puis quand on est arrivé dans les douches, Thibault m’a regardé et a fait lentement glisser son slip le long de ses jambes, laissant apparaître son beau pénis, développé un peu puis se dressa d’un coup, il devait faire environ 18 cm : il bandait comme un fou, puis il alla se doucher. Moi j’hésitais à enlever mon slip car j’avais un peu peur par rapport à tout à l’heure. Mais Thibault vint vers moi et me dit de me dépêcher, et il me retira mon slip, il se colla contre moi et m’embrassa, je sentais son sexe bien droit contre mon ventre ce qui eu pour effet de m’exciter.

Il m’étendit par terre, et me caressait les couilles, l’eau ruisselait sur nos corps c’était bon !!! Je lui offrais mon corps et petit à petit mon sexe se dressait de plus en plus. Thibault commença à me sucer, sa langue titillait mon gland, hummmmmmm…c’était trop bon. Il me suçait si bien !!! Que je fini par éjaculer au fond de sa gorge de longue coulées de sperme qu’il avala sans hésitation. Cela m’excitait encore plus.

Il me branlait maintenant et m’enfonçait quelques doigts dans mon cul. J’avais trop envie qu’il me prenne là dans les douches même si quelqu’un arrivait ! Je lui dit puis il commence à me pénétrer, l’eau qui coule facilite la pénétration : c’est divin. Thibault est en train de m’enculer c’est trop bon, ses va et vient me font tellement de bien, lui est au bord de la rupture, puis il fini par se vider dans mon cul, il est épuisé, moi pendant ce temps là je me branle sous la douche, quel plaisir !!! Thibault vient se coller contre moi, je sents dans mon dos sa verge toute excitée, il m’entraîne dans les vestiaires ou d’autre garçons nous regardent, certains bandent déjà, toutse ses bites m’excitent. Mais là on arrête, il y a trop de monde qui nous regarde. Puis on va dans une cabine, chacun rhabille l’autre avec tellement de caresses qu’on fini par bander mais on arrête là et on remet à une prochaine fois notre envie de sexe…..

Par Bipuce - Publié dans : Histoires
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Vendredi 22 mai 5 22 /05 /Mai 22:28
Mon ami m’invita chez lui un soir. Nous avons dîné et il me proposa de m’emmener dans une boite qu’il connaissait sur Paris. Nous arrivâmes donc à l’entrée de cette boite. Le Parthénon était son nom (les Grecs ont une réputation qui n’est plus à démontrer…) L’ambiance était conviviale et la lumière tamisée, presque sombre. Un grand bar courait le long du mur à droite en entrant dans l’immense pièce enfumée. Plusieurs personnes, uniquement des hommes y étaient accoudés et discutaient en consommant. Des groupes se trémoussaient sur la piste de danse au rythme entêtant de la Techno. Au fond de la salle, on distinguait des escaliers ( trois nichés dans des alcôves) qui descendaient on ne sait où. Mon ami, Pierre, m’offrit un verre au bar. On se fraya un passage, non sans peine pour l’atteindre et nous nous sommes accoudés à notre tour. Pierre fouilla dans sa poche et me tendit un objet : « Tiens ! Mets ça ! » Dans la pénombre je distinguais mal l’objet en question en quand je l’eus dans les mains je me rendis compte que c’était un collier en cuir avec des clous, du type de ceux que l’on met pour les chiens dangereux. « Tu veux vraiment que je le mette ? » « Oui, ça me ferait plaisir ! » J’attachais donc le collier autour de mon cou, me demandant ce que penseraient les personnes autour de nous. J’aime bien mettre ce genre de collier, je trouve que ça fait ressortir les traits du visage… Pierre sortit de son autre poche une grande laisse qu’il fixa à l’aide d’un mousqueton au collier. « Tu te sens en forme ce soir ? » Pourquoi cette question ? « Oui, bien sur, ça va … » lui répondis-je. Nous continuâmes à vider nos verres et Pierre se leva ; La laisse m’entraîna à le suivre et je dus me lever précipitamment pour ne pas tomber de mon tabouret. « Eh ! Doucement, j’ai failli tomber ! » Pierre se retourna et me toisant du regard me lança « Ta gueule ! Suis-moi sans rouspéter ! » J’ai compris que Pierre était dans son trip et qu’il avait envie de quelque chose d’inhabituel. Son intonation reflétait autant l’autorité que l’excitation. « Oui maître ! » ai-je répondu simplement. Pierre me fit traverser la piste de dans en me tirant par la laisse. Il ne courrait pas, prenant presque son temps pour que tout le monde me voie. La chienne de son maître, bien docile et obéissante. Au bout d’un moment, Pierre se dirigea vers l’un des trois escaliers. De la musique remontait du sous-sol et nous nous engageâmes dans le conduit. Il y faisait encore plus sombre et des sons de voix se mêlaient à la musique. Mes yeux s’habituèrent à l’obscurité et je pus distinguer un couloir avec des portes de chaque côté. Nous avancions dans ce couloir lentement. La chaleur y était étouffante et l’odeur de renfermé oppressante. Passant devant une des portes qui était restée entrouverte, j’aperçus une croupe poilue s’activer entre deux jambes relevées. Visiblement l’endroit n’était pas fait pour s’ennuyer ou pour dormir. Pierre ouvrit une des portes du fond, comme s’il était chez lui. La lumière était plus que tamisée et le sol semblait recouvert d’une épaisse moquette souple. Au mur, un téléviseur diffusait un film X gay où les protagonistes s’enfilaient à qui mieux-mieux, se suçaient ou se jouissaient dessus sans retenue. Au milieu de la pièce trônait une espèce d’instrument de torture, comme une planche recouverte de moquette de 50 cm de large environ, reposant sur des tréteaux et fixée un peu en pente. Deux étriers partaient de chaque côté et des chaînes pendaient du plafond. « Déshabille-toi ! » Je m’exécutais et Pierre en profitait pour se rincer l’œil. Une fois nu Pierre tira sur la laisse et me fit allonger sur l’engin de torture. En fait, ce n’était pas si inconfortable que cela. « Sur le ventre, pas sur le dos ! » Je me couchais donc sur le ventre les bras ballant de chaque côté attendant la suite des évènements. Pierre attrapa les chaînes et m’emprisonna les mains. Il écartait mes bras, tenus uniquement parles menottes fixées au bout des chaînes. Il me recula un peu pour libérer mon pubis et laisser dans le vide mes couilles et ma queue. Il attacha mes pieds dans des courroies qu’il fixa à d’autres chaînes. Je me retrouvais ainsi pieds et poings liés faisant dos à la porte à la merci de mon maître. L’excitation et la nouveauté de la situation me faisaient perler et je mouillais abondamment « ça t ‘excite tout ça hein ? Attends un peu, tu n’es pas au bout de tes surprises. » Pierre sortit un martinet et commença à me flageller les fesses. Les coups étaient savamment administrés, alliant douleur et plaisir à la fois. Leur force était constamment maîtrisée et me procurait un plaisir fou. Pierre retourna le martinet et passa le manche entre mes fesses. « Tu te sens comment, ma salope ? »



« Excitée, maître ! Très chaude et très salope ! » « Ca tombe bien ! » Pierre lâcha le martinet et sortit de la pièce. « Maître ! Où vas-tu ? Me laisse pas tout seul dans cet état ! » Pierre sortit sous mes protestations et je restais seul dans cette tenue, dans le noir, attendant et redoutant la suite des évènements. La porte était restée ouverte et n’importe qui pouvait entrer. Je me sentais humilié et honteux. Pierre revint et au bruit, je compris qu’il n’était pas seul. « Je vous présente ma petite chienne ! C’est une véritable furie si vous ne l’attachez pas ! C’est pourquoi je vous l’ai préparée et vous pouvez en disposer comme il vous plaira, moyennant 15 Euros la passe. » Je n’en revenais pas de ce que j’entendais. Pierre se servait de moi comme d’une pute à l’abattage. Il m’offrait à ceux qui voulaient de moi et pouvaient payer. Je voulais que tout s’arrête et je commençais à me débattre. J’étais bien attaché et je ne pouvais échapper à mon destin. « Pierre ! S’il te plaît ! Ne fais pas ça ! » Des larmes de honte et d’effroi commençaient à couler le long de mes joues. « Tais-toi ! Salope, tu vas savoir ce que baiser veut dire ! Tu me supplieras et tu m’en redemanderas ! Chienne comme tu es, ça ne peut que te convenir ! » « Allez-y ! Faites en ce que vous voulez ! Elle aime tout cette garce ! Venez vous purger les couilles ! Elle suce, avale, se fait baiser à un, deux ou plusieurs en même temps ! Laissez libre cours à votre imagination ! Cette pute est là pour vous satisfaire ! » Pierre reçu les premiers clients et il les invita à m’utiliser à leur guise. Des mains parcouraient mes fesses, mon dos, mon sexe, mes cuisses… des doigts s’insinuaient dans mon sillon anal et s’introduisaient dans ma bouche. Une queue en pleine érection s’appuya sur mes lèvres « Ouvre ta bouche, salope ! Suce-moi la bite ! » Et elle s’introduisit dans ma bouche. Son propriétaire ne devait pas être très propre car elle avait un goût acre de transpiration et de mouille mélangées. Ses mains me tenaient la tête et il me violait la bouche sans ménagement. Une bouche s’écrasa sur mes fesses fouillait mon anus de sa langue. Elle remontait et descendait rapidement comme pour lubrifier ma rosette. Une deuxième queue rejoignit celle que je suçais. Elles entraient et sortaient alternativement dans ma bouche ou les glands se frottaient contre mes joues, étalant leur mouille sur mon visage. Mon sexe fut happé par une bouche chaude et humide. La personne qui me suçait aspirait très fort et mon sexe enfla rapidement. Mes couilles étaient palpées, tiraillées, caressées ou pincées. Tout comme mes tétons d’ailleurs qui subissaient les outrages de quelques doigts fébriles ou de bouches baveuses. De la vaseline fut appliquée sur mon anus, déjà dilaté par des doigts inquisiteurs. « Ah ! Ma salope, je vais t’enculer ! Je vais te faire jouir du cul, petite pute ! » Le gland d’un sexe gonflé s’appuya sur mon petit trou et s’enfonça jusqu’à la garde. La sodomie était menée à un train d’enfer. Il s’agitait en moi comme un forcené. Une bite dans le cul, une dans la bouche, parfois deux et ma queue aspirée par une bouche experte, l’orgasme ne se fit pas attendre. Je hurlais de plaisir au moment ou je me vidais dans cette bouche. Mes couilles se contractèrent et mon anus aussi, renforçant la pression autour de la queue de mon enculeur. « Tu es étroite, ma chienne ! Oui, tu me serres bien le nœud ! » C’était involontaire car à chaque giclée de sperme, mon anus se contractait convulsivement. J’entendais la bouche suceuse avaler mon nectar et réclamer « Encore ! Donnes moi tout ! » Je n’y pouvais rien mais je larguais ma purée sans retenue. D’ailleurs, immédiatement après, je reçus de fortes giclées de sperme sur le visage et dans la bouche. Les deux queues éjaculaient avec un synchronisme calculé. J’étais inondée de foutre, n’arrivant pas à tout avaler. Mon cul ravagé par cette énorme queue, n’en pouvait plus de s’ouvrir sous les coups de boutoirs et je sentis qu’il m’envoyait lui aussi sa semence dans les entrailles. C’était comme un électrochoc que de se sentir rempli par tous les orifices à la fois. Mon corps était parcouru de frissons et de soubresauts. Je pensais que le calme viendrait à présent mais c’était sans penser aux « clients » qui attendaient patiemment leur tour après avoir payé pierre. Immédiatement après, une autre queue vint remplacer celle que j’avais dans le cul. Bien lubrifié et dégoulinant de sperme, il laissa entrer sans mal, le cortège de queue qui allait suivre. C’était une file ininterrompue de bite qui s’enchaînaient dans mon intimité. Toutes me pénétraient plus ou moins violemment, plus ou moins profondément mais toutes sans exception, se purgèrent dans mes entrailles. Je n’étais qu’une cuvette à sperme. Mon anus ne se refermait pas entre deux intromissions. Il restait béant, dégoulinant de semence, ouvert et offert à la volonté de celui qui voulait s’y introduire. Il y en eut au moins six, mais à partir d’un moment, je ne comptais plus le nombre de sodomies accomplies. Je dégoulinais de foutre, léchais les queues qui s’étaient épanchées dans mes entrailles, nettoyant les glands de ma langue et avalant la plus petite goutte de sperme qui en sortait. Tous ceux qui se vidaient en moi, se faisaient nettoyer la pine par ma bouche, appuyant sur leur tige pour en faire sortir les ultimes gouttes de plaisir. Ma bouche ne désemplissait donc pas et j’en attrapais des crampes dans les mâchoires. Bousculée, maltraitée, remplie, sodomisée, violée, enculée, je n’étais plus moi-même. Je n’avais jamais ressenti autant de honte, de plaisir et de jouissance à la fois. L’humiliation et l’excitation me menaient au paroxysme du plaisir. Parfois, elles étaient trois queues à éjaculer en même temps sur mon visage. Je n’avais plus une partie de mon visage de sèche. La transpiration mêlée au sperme recouvrait mon visage. Même l’urine car l’un de mes violeurs eut la mauvaise idées de me pisser dessus. Debout devant mon visage il tenait sa queue encore gonflée et déversa ses flots d’urine. Cela donna des envies aux autres et je me transformais en urinoir humain. Des hauts le cœur me prenaient de temps en temps, lorsque après m’avoir enculé, le violeur venait pour se faire nettoyer le gland. Le sperme mélangé à mes excréments et à l’urine, tout n’était qu’avilissement et humiliation. Une queue toujours fichée dans mon cul, je compris qu’il allait se passer une chose encore inédite. Du moins pour moi. Un des types qui attendait son tour lança : « Eh ! Il doit être suffisamment préparé maintenant et son cul doit être un vrai garage à bites ! On doit pouvoir tenir à plusieurs là-dedans ! »Joignant le geste à la parole, il se plaça sous moi et demanda à celui qui me sodomisait d’écarter les jambes pour lui faire de la place. Alors, il approcha son gland de mon orifice déjà occupé par une queue et s’enfonça lentement mais sans s’arrêter. Mes gémissements ne lui faisaient ni chaud ni froid, au contraire cela semblait l’exciter encore plus « Oui ! Vas-y ! Couine ma salope ! Je vais te faire hurler ! On va t’éclater ton cul de pouffiasse ! On a payé, c’est pour t’enculer, sale pute ! » Et inexorablement son membre entrait, bousculant encore, s’il était possible, mes chairs. A présent, les deux bites se trouvaient en moi, dilatant mon sphincter au maximum. C’était ma première double pénétration. Je me sentais ouvert en deux. Mon anus n’avait jamais pris deux queues en même temps et j’étais surpris de ne pas hurler de douleur. J’avais été tellement bien bourré auparavant, que les deux bites semblaient à l’aise et pouvaient même bouger. Elles me pilonnaient en cadence, frottant l’une sur l’autre, les glands entrants et sortants alternativement. Ma bouche fut de nouveau prise d’assaut par un gland surdimensionné. Le « supplice » dura environ dix bonnes minutes et l’explosion fut en rapport avec la situation : gigantesque ! La première salve fut tirée par celui qui était dans ma bouche. Instantanément je fus inondé et submergé par un flot de sperme lourd et épais. Bien fiché au fond de ma gorge, impossible pour moi de recracher le jus de ces immenses couilles écrasées sur mon menton. Immédiatement après ou pour ainsi dire en même temps, les deux queues qui me ramonaient, avec une précision diabolique, explosèrent en cœur. Les deux hommes crispaient mes fesses et mes cuisses et se vidaient en même temps en moi. Je ressentis très nettement les jets puissants de foutre m’envahir les intestins. C’était comme un lavement, tant la puissance et la quantité étaient importantes. Devant tant de bonheur, je jouis instantanément et mon sperme s’écoulait par saccade, retombant en gouttes épaisses sur la moquette de la pièce. Nous sommes restés un petit moment sans bouger, attendant que le calme revienne. Nous étions vidés et retombions lentement des cimes où l’extase nous avait projetée. Les deux queues se dégonflaient et sortaient de mon anus qui ne pouvait plus les contenir. Je bavais de longues traînées de salive, de sperme et d’urine, n’arrivant plus à avaler quoique ce soit ; Je n’étais plus moi, et ne voulais plus le redevenir. L’extase avait été si forte que je ne pouvais réprimer les larmes de joie et d’apaisement qui coulaient de mes yeux clos. Exténué, repus et reconnaissant envers mon maître qui une fois de plus avait su avant moi et pour moi, ce que j’allais aimer.
Par Bipuce - Publié dans : Histoires
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Mercredi 6 mai 3 06 /05 /Mai 22:32
Mon récit est authentique et n'a rien à voir avec la fiction. C'était en 1985. J'étudiais au Cégep de St-Laurent, au nord-ouest de Montréal, et je m'y étais affiché sans gêne comme gay, et j'étais même membre du comité gays et lesbiennes du Cégep. Plusieurs filles étaient surprises par cela, car j'avais l'air plutôt straight, et ça les décevait car elles me trouvaient plutôt de leur goût.

Tout a commencé en septembre, dans la première semaine de ma deuxième année au Cégep. J'ai découvert qu'Alain M. était dans mes classe d'éducation physique et de français cette session-là. J'avais connu Alain l'année précédente. Comme moi, il avait alors 18 ans. Il était la coqueluche des filles, et était réputé pour ses aventures avec plusieurs d'entre elles. D'ailleurs, 2 parmi mes copines du Cégep avaient avoué avoir baisé avec lui au printemps dernier, et il était selon elles un excellent et superbe baiseur. Pourtant, Alain était un gars absolument pas prétentieux, ni arrogant. Il était très simple, ne cherchait pas à se faire remarquer, et il y avait même chez lui un brin de timidité. Mais il faut dire que son physique était des plus avantageux: 5'10", environ 170lbs, Alain avait un corps solide et peu poilu (ce que j'ai pu découvrir dans le vestiaire avant les cours d'éducation physique), avec des épaules, un torse et des cuisses de nageur. Le regard un peu brumeux à travers ses yeux bruns, des cheveux brun foncés et mi-longs, il était tout simplement irrésistible, et j'ai fantasmé sur lui dès que je l'ai connu.

Mais bien sûr, à cause de sa réputation de tombeur de filles, j'avais la certitude qu'il était inaccessible pour un gay affiché comme moi. Nous parlions ensemble de temps en temps, il était même sympathique avec moi et le fait qu'il savait que je suis gay ne le dérangeait pas du tout. À ce sujet, il me disait que pour lui, il faut "vivre et laisser vivre". D'ailleurs, je l'aidais parfois dans les cours de français, qui était sa matière faible.

À la troisième semaine de la rentrée au Cégep, Alain me demande de lui donner un coup de main dans les exercices devant préparer à un examen de français. Bien sûr, j'accepte volontiers. On se donne donc rendez-vous pour le même jour, à l'heure du lunch. Ce moment arrivé, on travaille durant une heure sur la matière des cours, puis Alain me demande subrepticement si je voudrais prendre une bière avec lui, après les cours, pour jaser un peu plus. Un peu surpris mais enchanté en même temps, je lui réponds positivement.

Alain m'attend comme convenu à la sortie des cours, à 17h30. Je me demandais bien pourquoi il voulait qu'on "jase un peu plus", mais honnêtement, je n'avais pas même osé pensé à ce qui s'est effectivement déroulé durant la conversation qu'on allait avoir. Alain m'emmène avec sa voiture jusqu'à une taverne, dont l'ambiance est très tranquille et où il n'y a que très peu de gens, ce qui était normal vu l'heure qu'il est. On commande un pichet de bière, et au début, on parle de nos études et de ce qu'on veut faire plus tard sur le plan professionnel. Il me dit qu'il veut être optométriste, mais qu'il sait qu'il doit travailler fort pour y arriver car il n'est pas porté aux études. Je l'encourage à continuer et lui dis que je suis sûr qu'il va réussir.

Puis, subitement, il me fixe dans les yeux et me dit: "Tu sais, je te trouve pas mal courageux de t'afficher comme gay au Cégep. Je respecte beaucoup ça." Je lui réponds que pour moi, il n'y a rien de courageux là-dedans, que c'est comme ça que je suis et que je vis très bien avec ça, avec mes parents qui m'ont accepté d'ailleurs tout de suite.

Alain, me fixant toujours dans les yeux, me demande alors: "Comment tu me trouves, moi?" Étonné, je lui réponds: "Ben, ça dépend. Tu veux dire quoi?" Il me répond par une question qui m'étonne encore plus: "Tu me trouves attirant, non?" J'éclate de rire et lui dis que bien sûr, je trouve son physique des plus séduisants, mais que je sais bien aussi qu'il est reconnu pour ses conquêtes féminines, puis j'insiste en lui affirmant qu'il n'a pas à s'inquiéter, je ne suis pas du genre à "achaler" un hétéro, d'autant plus que je le respecte autant qu'il me respecte lui-même. Alors Alain se fait encore plus clair et me dit: "Si je te disais que j'ai le goût de voir ce que c'est avec un autre gars, d'essayer ça, et que c'est avec toi que je voudrais le faire, est-ce que toi tu voudrais?"

Je n'en crois pas mes oreilles. Je lui demande: "C'est une joke, ou quoi?" Sa réponse, son ton et son regard sont des plus convaincants: "Non, je suis sérieux. Dis moi où, quand, comment, je suis ton homme. Je veux juste essayer par curiosité, mais n'en parle pas à personne de ce que je te demande en ce moment, ni si on fait quelque chose ensemble." Un peu gêné au début, j'assure Alain que je serai très discret, mais je lui dis que ça me fait hésiter, car je m'entends bien avec lui et que je ne voudrais pas que si on fait quelque chose ça nuise à notre relation amicale. Alain m'assure que ça ne nuira à rien, et me répète: "Dis moi où, quand, comment, je suis ton homme". Je lui dis que c'est sûr que je ne veux pas rater l'occasion de tripper avec un beau gars comme lui, mais que puisque ça doit être la première fois pour lui, il me faudra un peu de temps pour penser à la façon de le faire.

Alain semble très satisfait de notre discussion. Puis, l'œil espiègle, il me demande de ne pas trop attendre, au cas où il changerait d'idée. Il me dit que d'ici le vendredi de la même semaine, je devrai lui donner ma réponse. Il me conduit ensuite chez moi, sans revenir du tout sur ce sujet et en me parlant des cours du lendemain.

Rendu à mon appartement, je suis perplexe. Alain m'offre son corps superbe, mais dois-je accepter, vu qu'il est un hétéro reconnu pour coucher avec toutes les filles qu'il veut et qui ne demandent d'ailleurs que ça? Pour surmonter mes doutes, je téléphone à Yves, un ami gay du Cégep mais qui, lui, n'est pas affiché comme tel, afin de lui demander conseil. Yves a 22 ans, et est encore plus expérimenté que moi, alors je me dis qu'il m'aidera bien à voir quoi faire. Yves connaît Alain et, lorsque je lui dis qu'il s'agit de nul autre que lui, il me dit: "Alain M.? Wow! T'es chanceux, toi! Tu serais fou de ne pas sauter là-dessus! Puis de toute façon, c'est assez fréquent que des gars hétéros très portés à coucher avec les filles puissent vouloir voir c'est comment avec un autre gars." Puis Yves me dit que ça l'intéresserait pas mal de participer car ça lui fait penser à un fantasme qu'il a toujours voulu réaliser avec un hétéro, mais que jamais l'occasion ne s'était présentée à lui. Il me dit qu'on pourrait monter un plan qui lui vient en tête.

Je demande à Yves s'il peut venir chez moi tout de suite, pour qu'on en parle face à face. Trente minutes plus tard, il arrive. Je lui demande ce qu'est le plan dont il parlait au téléphone. Yves sourit et me dit: "C'est pas compliqué, tu vas voir. Pour initier un gars hétéro, ça peut être une bonne idée de faire ça comme si on le kidnappait. Bien sûr, ça doit être volontaire de sa part et il doit jouer le jeu. L'idée est qu'il se déshabille et se mette en caleçon. Après on l'attache, et puis il n'a qu'à se laisser faire. Une fois attaché, il ne peut plus rien faire, et il est comme notre étalon. Il plonge en se laissant attacher, puis il a ensuite juste à boire la tasse au complet. Ça peut paraître un peu flyé, mais ça peut être pas mal trippant, pas juste pour nous mais surtout pour Alain s'il est d'accord."

Je réponds que l'idée me semble super, mais il faudra vérifier si Alain veut, premièrement, qu'un autre gars soit dans le coup, et aussi jouer le jeu d'être kidnappé. Je téléphone tout de suite à Alain et lui demande ce qu'il en pense. Alain éclate d'abord de rire, puis il me dit: "Ouais, c'est vraiment flyé! Mais ça a l'air pas mal cool. C'est qui l'autre gars?". Je lui réponds qu'il ne peut pas le savoir, et précise même que si on le fait, il devra avoir les yeux bandés pour ne pas le reconnaître. Alain reste silencieux quelques secondes qui me paraissent interminables, puis il me dit: "OK! C'est pour quand?" Je lui réponds que je le lui dirai dans les prochains jours, le temps de préparer notre plan.

Dès que je raccroche, Yves et moi sommes fous de joie. Yves me dit qu'on peut très bien faire ça chez lui, dès le vendredi soir de cette même semaine. Il habite seul dans une maison semi-détachée comprenant un sous-sol, ce qui convient parfaitement. Il n'a qu'à acheter de la corde et à installer quelques petites choses, et ça y est. On se donne donc rendez-vous pour vendredi soir chez lui, tout en nous promettant de nous téléphoner régulièrement pour préparer les détails de notre plan de "kidnapping".

Dès le lendemain matin, je rencontre Alain au Cégep et lui annonce que c'est pour vendredi soir, soit le surlendemain. Je lui donnerai plus de détails plus tard sur ce qu'il devra faire dès le début de son "kidnapping". Alain a l'air plutôt amusé par tout cela, et il se dit totalement disposé à faire tout ce que je voudrai qu'il fasse. Je conviens avec lui que le jour même de son "kidnapping", il en saura un peu plus long.

Entre temps, Yves et moi nous préparons fébrilement. Il ne nous faut que peu de temps pour tout mettre au point. Le vendredi arrive, et je rencontre Yves en début d'après-midi et je l'invite à prendre une marche dehors sur le terrain du Cégep. Je lui donne l'adresse d'Yves (il ne savait pas qu'Yves habite à cette adresse et il ne le connaît que plutôt vaguement). Puis je lui explique qu'une fois arrivé, il ne doit pas dire un mot et rester en silence. Tout ce qu'il doit faire est d'arriver à cet endroit à 22h pile, de sonner, et ce sera moi qui lui ouvrira la porte. Il devra entrer à reculons sans tenter de regarder derrière lui, et c'est à partir de ce moment qu'il sera "kidnappé". Je précise qu'à cet instant je lui banderai les yeux car il ne doit pas pouvoir voir mon comparse ni savoir chez qui il se trouvera, et qu'il sera aussi attaché juste avant d'être emmené dans la pièce où il sera maintenu en captivité. J'insiste encore sur le fait qu'il ne doit pas dire un mot quand il arrivera, et qu'il doit faire tout ce qui lui sera demandé sans poser de question.

Je demande à Alain si tout ça lui convient et s'il comprend ce qui est attendu de lui. Il me répond en riant: "OK, pas de problèmes! Je serai là puis vous n'aurez qu'à m'enlever! C'est juste drôle de savoir que je vais me faire enlever volontairement!" Nous nous quittons alors, non sans que je lui rappelle d'arriver bien à l'heure.

En début de soirée, je me rends chez Yves pour l'aider dans les derniers préparatifs. Puis nous n'avons plus qu'à attendre l'arrivée d'Alain. Quinze minutes avant l'heure prévue, je me mets à guetter par la fenêtre. Et quelques minutes avant 22h, j'aperçois enfin la voiture d'Alain. Il se gare près de la maison, puis je le vois approcher à pied. Il est vêtu d'un t-shirt blanc, d'un short bermuda et d'espadrilles, sans chaussettes. Je me dirige vers la porte, puis j'attends qu'il sonne.

Dès que la sonnette retentit, j'ouvre la porte. Tel que convenu, Alain a le dos tourné et, sans dire un mot tel que je le lui avais consigné, il entre à reculons, pour qu'il ne puisse pas voir Yves. Je l'arrête après quelques pas et le maintient dans l'entrée. Je referme la porte et je lui bande aussitôt les yeux avec une bande de tissu blanc. J'avais en fait découpé un vieux t-shirt blanc pour fabriquer ce bandeau. Maintenant, il est certain qu'Alain ne verra pas le visage d'Yves, et nous pouvons passer au reste.

Je dis à Alain qu'il doit maintenant se mettre en caleçon, en précisant que c'est le seul vêtement qu'il pourra porter le temps qu'il est avec nous et que ses autres vêtements seront confisqués sous clé. Toujours silencieux, Alain s'exécute sans rechigner. Il retire son t-shirt et ses espadrilles, puis il défait le bouton de la taille de son bermuda et il fait glisser celui-ci le long de ses jambes, pour ensuite lever chacune de celles-ci pour dégager ses chevilles. Yves prend les vêtements d'Alain au fur et à mesure que celui-ci les enlève, pour les ranger plus tard dans une armoire verrouillée.

Le corps d'Alain est tout simplement superbe en petit caleçon. C'est en fait un slip bleu marin, d'allure très sexy et ayant la même forme qu'un maillot de bain Speedo, enveloppant et se moulant parfaitement avec ses fesses et son sexe. À l'époque, c'était le genre de caleçon qui était le plus populaire, contrairement aux boxers d'aujourd'hui, que je trouve d'ailleurs plutôt moches et beaucoup moins sexy. Alain a une allure très virile et mâle ainsi légèrement vêtu, et la couleur bleu foncé de son petit caleçon fait un contraste attrayant qui met en valeur la peau légèrement bronzée de son corps.

Alain semble tout à fait calme et à l'aise de se retrouver ainsi dévêtu devant nous, ce qui le rend encore plus séduisant. En fait, il sait que nous nous emparerons de lui dès son arrivée et qu'il n'a qu'à se laisser faire, ce qui explique qu'il se montre complètement docile. Sans plus attendre, je pose à son cou un collier de cuir, qui se referme sur sa nuque avec un petit cadenas, doté aussi d'un anneau de métal sur le devant. Alain est toujours face à la porte fermée, les yeux bandés et en caleçon.

Ensuite Yves s'approche derrière Alain en tenant d'une main une corde en nylon blanc, souple mais solide, puis il saisit les mains d'Alain qui pendaient le long de ses hanches pour alors placer ses poignets croisés l'un sur l'autre en bas de son dos. Sachant donc déjà qu'il se ferait lier les mains, Alain est toujours calme et silencieux, et il coopère volontiers en prenant soin de maintenir ses poignets dans cette position jusqu'à ce qu'ils se maintiennent fermement l'un sur l'autre par la corde qu'Yves enroule autour d'eux et qui se resserre de plus en plus fermement. Puis, d'un geste sec, Yves fait un noeud final. Pour moi, de voir ces belles mains viriles en train de se faire entraver par cette corde, et juste au-dessus de ce si superbe petit caleçon, est un spectacle sublime que je goûte intensément.

Malgré le récit détaillé de cette prise en charge d'Alain, il s'est à peine écoulé 3 ou 4 minutes depuis son arrivée. Il est maintenant prêt à être conduit dans la pièce où il sera confiné l'essentiel du temps qu'il passera avec nous. Donc, dès l'instant où ses mains sont liées, Yves et moi nous emparons d'Alain en le prenant de chaque côté par les épaules et nous le guidons vers le sous-sol. La descente des escaliers se fait bien sûr lentement, puisque Alain a les yeux bandés et, bien encadré par nous, il dépose ses deux pieds sur chaque marche, jusqu'en bas. Nous lui faisons ensuite faire une douzaine de pas et nous le faisons pénétrer dans la pièce prévue pour lui, dotée seulement d'un matelas en mousse et d'une lampe à l'éclairage blafard. Yves et moi aidons Alain à s'allonger sur le dos sur le matelas. Puis Yves, avec un autre bout de corde, lui a lié les chevilles, jointes l'une contre l'autre.

Alain est maintenant bel et bien notre captif, notre jouet sexuel. Je contemple son corps prisonnier. De son torse imberbe, à cause de ses bras tendus par derrière, se dégageait une allure délicieusement virile, mais une virilité soumise. Alain, si jeune, fort et beau, était tout simplement irrésistible ainsi ligoté, en caleçon et les yeux bandés. La corde qui lui liait les mains dans les dos était certes cachée à notre vue, mais on pouvait ressentir qu'elle entravait la force physique d'Alain, et l'autre corde qui lui liait les chevilles, celle-là bien visible, procurait aux jambes d'Alain une allure de force soumise.

Je signale à Alain qu'il peut maintenant parler, mais seulement pour répondre brièvement aux questions que je lui pose, en utilisant le moins de mots possibles. Aussi, il ne doit jamais parler à Yves, car nous avons prévu que c'est seulement moi qui lui parlerait. Je lui demande alors comment il se sent, et il répond: "Pas de problèmes, ça va..." Je lui demande s'il regrette de se retrouver ainsi ligoté, dévêtu et soumis, et il me répond simplement: "Non." Je lui dis ensuite: "Écoutes, Alain. On va faire les choses graduellement. C'est sûr qu'on a le goût de profiter de ton corps maintenant, mais c'est mieux si on te laisse prendre le temps de bien sentir ta condition de captif. On va donc te laisser seul ici pour un petit bout de temps, puis on va revenir te voir plus tard. Tu verras ensuite ce qui t'attend."

Yves et moi avons donc quitté la pièce, y laissant Alain seul, ligoté sur le matelas, les yeux bandés et en caleçon. Nous avions en effet convenu de prendre notre temps pour le côté sexe, et aussi de laisser Alain éprouver pleinement sa condition et bien sentir l'effet des liens qui lui lient poignets et chevilles, ainsi que du bandeau sur ses yeux. Aussi, nous avions prévu l'absence de chauffage durant cette première période qu'Alain passera seul dans cette pièce, pour qu'il ressente la fraîcheur de l'air sur son corps vêtu seulement de son caleçon, même s'il ne faisait pas excessivement froid, du moins juste assez pour que ce soit légèrement inconfortable. Nous avons bien sûr planifié de mettre un peu de chauffage seulement pour après.

Yves et moi montons alors à la cuisine, pour préparer un bon repas bien nourrissant et complet pour Alain: un délicieux plat de pâtes, une salade de fruits et du bon vin. Après quoi nous prenons tranquillement une bière, en discutant de la suite des choses. Nous sommes vraiment ravis d'avoir ainsi un mec aussi séduisant qu'Alain à notre disposition. Yves me confie d'ailleurs qu'il se sent comme dans un rêve tellement Alain est beau, et nous nous réjouissons de la docilité dont a fait preuve jusqu'ici notre Adonis captif.

Il est maintenant minuit 30, et nous nous rendons compte que cela fait déjà plus de deux heures qu'Alain est isolé dans sa "chambre". Nous décidons que cela suffit. De toute manière, on a bien hâte de le retrouver. Nous nous dirigeons donc au sous-sol et, après avoir ouvert la porte, nous pouvons voir Alain toujours allongé sur le matelas, mais maintenant plus sur le dos mais, placé dos à nous, sur le côté et les jambes pliées par devant. Nous apercevons ses liens, toujours bien serrés autour de ses poignets et chevilles. Il avait l'air un peu assoupi au moment de notre arrivée, mais il bouge aussitôt qu'il nous entend ouvrir la porte.

J'annonce à Alain qu'on allait l'emmener à la salle de bain et qu'ensuite il prendra son repas à la cuisine. Yves défait la corde de ses chevilles. Je précise à Alain que, pour tous les déplacements qu'il ferait d'une pièce à l'autre dans la maison, il garderait les mains attachées derrière le dos et les yeux bandés. Nous l'aidons à se lever debout, puis nous le guidons à l'étage du dessus. Bien entendu, le fait que ses yeux étaient bandés fait que monter l'escalier est aussi laborieux que quand nous l'avons fait descendre.

Nous sommes finalement arrivés sans ambages à la salle de bain. Yves y avait installé une chaîne, cadenassée à un crochet vissé au plafond, et à l'autre bout de laquelle il a pu cadenasser le collier de cuir qu'Alain porte au cou. Une fois Alain ainsi attaché à la chaîne, Yves se retire de la salle de bain puisque jamais Alain ne doit pouvoir le voir. Puis je lui ôte le bandeau et lui détache les mains. Je lui explique qu'il doit être attaché en tout temps, et que c'est dans ce temps qu'il porte ce collier et la chaîne qui y est reliée. La chaîne est assez longue pour qu'il puisse se mouvoir à son aise et sans danger dans la salle de bain, mais elle l'empêche d'en sortir. Je fais noter à Alain que ses mains n'ont été déliées qu'après que le collier ait été bien installé à son cou, et qu'avant de le lui enlever pour sortir de la pièce, je remettrai le bandeau sur ses yeux et Yves pourra alors lui lier les mains de nouveau. Il devra subir cela à chaque fois qu'il aura à venir à la salle de bain, où il pourra faire ses besoins tout seul. Quand il aura terminé, il n'aura qu'à nous appeler.

Je l'ai donc laissé seul et ai refermé la porte. Environ cinq minutes plus tard, j'entends Alain crier: "OK, je suis prêt!" et nous allons le chercher. J'entre d'abord seul pour lui bander les yeux, puis Yves lui attache de nouveau les mains derrière le dos. Il dégage le collier d'avec la chaîne, et nous guidons Alain vers la salle à manger, qui se trouve juste au bout du couloir. Nous l'approchons du comptoir et l'aidons à s'asseoir sur le banc élevé prévu pour lui. Nous attachons ensuite ses chevilles aux barreaux situés en bas du banc, toujours avec de la corde.

J'explique alors à Alain que puisqu'il doit rester ligoté en tout temps, c'est la même chose pour les repas, qu'il devra prendre les mains attachées derrière le dos, et donc que c'est nous qui allons le faire manger, comme un bébé. Et aussi, je lui précise qu'il doit manger ce qu'on a mis dans son assiette, car on le veux en pleine forme, et c'est pour cette raison qu'on lui prépare des repas très copieux. Je lui demande s'il est à l'aise avec ça, et il me répond, tel que convenu de façon très brève mais amusé et en souriant: "Pas de problèmes!"

Pour Yves et moi, de faire prendre ce repas à Alain représente une excellente façon de débuter, avant de passer au côté sexe. Pour nous, de faire manger Alain à la fourchette et à la cuiller, comme un bébé, va le faire plonger peu à peu dans une sensualité qui s'intensifiera ensuite. Ce repas, comme d'ailleurs les deux autres qui suivront d'ici la fin de la captivité d'Alain, se déroule très bien. Il fait preuve d'un très bon appétit, et il avale sans rechigner tout ce que nous lui avons préparé. Entre les bouchées, Alain semble toujours amusé, car par-delà la règle du silence à laquelle il est astreint et qu'il respecte entièrement, il esquisse un sourire entre chaque bouchée. Aussi, parce que ses yeux sont toujours bandés, il ne peut qu'ouvrir la bouche et recevoir les bouchées une à une, et le repas dure pour cette raison pas mal de temps.

Après le dessert, je lui fais prendre trois verres de vin, qu'il doit boire l'un après l'autre et rapidement, en relevant la tête pour que le verre puisse être bien appuyé contre ses lèvres et que le liquide puisse couler ainsi aisément dans sa bouche. Nous avions soigneusement prévu cette étape: ainsi, Alain plonge dans une légère ivresse, juste assez pour le rendre apte à goûter la volupté qui suivra bientôt, car le moment approche de profiter de son corps soumis par les liens qui le maintiennent ligoté.

Yves et moi avions préalablement convenu que je serai celui qui, seul, feras connaître à Alain sa "première fois" du sexe entre hommes. Je ne peux attendre plus longtemps, tellement le désir s'est emparé de moi durant ce repas très sensuel. Je dégage ses chevilles des cordes qui les relient aux barreaux du banc, et Yves et moi le ramenons au sous-sol. Comme Alain est légèrement ivre, nous prenons toutes les précautions requises et le maintenons très fermement durant la descente de l'escalier. Puis nous le faisons entrer dans sa "cellule", le faisons s'allonger sur le dos, et Yves lui attache de nouveau les chevilles l'une contre l'autre.

Yves quitte ensuite la pièce et nous y laisse seuls, Alain et moi. En cet instant précis, le désir ne pourrait m'être plus intense. De voir Alain dans cette posture soumise excite tous mes sens. Ligoté et en petit caleçon, ainsi vulnérable et offert, Alain fait monter en moi le désir d'honorer son membre avec ma bouche. C'est comme si je veux le récompenser pour s'être livré si docilement aux caprices que nous lui avons fait subir, en acceptant de se dévêtir et de se laisser ligoter, tout en sachant qu'il serait complètement à notre merci. Je savais bien sûr que la fellation est une chose que tous les gars adorent recevoir et je suis sûr qu'Alain raffolera de ce que je m'apprête à lui faire, mais je pressens aussi qu'en recevant sa sève dans ma bouche, la récompense que je désire lui offrir sera pleinement partagée.

Je m'allonge le long de son corps et, doucement, je caresse d'abord son torse imberbe mais aux formes si viriles, et palpe ses épaules fermes et sa nuque solide, pour ensuite caresser à deux mains sa chevelure épaisse. Je sens son corps comme étant pleinement mien, il est mon objet, mon jouet dont je peux me servir à ma guise. Sublime sensation que celle-là, jusqu'alors inégalée. C'est alors que je découvre combien il est bon de caresser un gars ligoté: je sens avec délices le corps d'Alain se tortiller sous mes caresses, subissant la contrainte que lui imposent les liens qui maintiennent ses poignets au bas de son dos et ses chevilles réunies. Je me sens ainsi pleinement en contrôle de d'Alain et en possession de son corps ligoté. Cela me rend généreux sensuellement, et la privation de mouvements que lui imposent les cordes qui lui lient les poignets et les chevilles se traduit en moi par un élan consacré à lui donner les plus exquis plaisirs, en d'autres mots de lui procurer une jouissance digne de le faire monter au septième ciel.

Je mordille légèrement ses oreilles et embrasse son cou. Et, peu à peu, je commence une longue descente à coups de petits baisers le long de son torse, donc vers l'objet de ma convoitise qui, sous le petit caleçon, laissait deviner sa forme déjà raidie par le désir. Mes lèvres s'attardent alors autour du nombril, donc à quelques centimètres à peine du but ultime. Puis je poursuis bien lentement ma descente vers le caleçon et son attrayant contenu. Après tout, ligoté comme il l'est, il ne peut que se contenter d'attendre et de recevoir...

J'effleure du bout de mes doigts le long des contours de la taille et des cuisses de son caleçon, tout en contemplant la forme du sexe d'Alain sous le tissu bleu foncé. Le toucher du tissu doux et soyeux est une sensation bien agréable. Puis, je pénètre mes doigts sous l'élastique de la taille du petit caleçon de chaque côté des hanches d'Alain, j'attends quelques secondes et, d'un geste sec, je baisse le caleçon jusqu'aux genoux. Le sexe d'Alain, maintenant entièrement offert à ma vue et raide de désir, me parait si beau et, admiratif, je ressens à nouveau, mais encore plus intensément, qu'il mérite ma bouche. Je le caresse d'abord délicatement. La fermeté, la douceur et la chaleur du membre me sont fort agréables. J'entends Sylvain pousser un premier mais faible gémissement. Je jette un coup d'oeil rapide sur son visage. Sa bouche est entrouverte, le souffle haletant. Puis je sens son corps se tortiller dans une première tentative de se détacher les mains, probablement parce qu'il voudrait saisir ma tête, mais en vain, ce qui excite mes instincts les plus sensuels. Le paradoxe dans lequel Alain se trouve me fascine: sa force physique réduite à l'impuissance par les cordes, mais en même temps son membre qui, lui, témoigne d'une puissance bien visible devant l'imminence de recevoir les plus doux plaisirs par ma bouche.

Alain abandonne rapidement, du moins pour l'instant, cette première tentative présomptueuse de se détacher. C'est à cet instant précis que je décide que le moment est venu de goûter le fruit de ma convoitise. Gardant une main sur le membre d'Alain, j'approche ma bouche sur le gland et y dépose un petit et bref baiser. Après quelques légers et taquins coups de langue, je l'enfouis enfin entre mes lèvres. Alain pousse un doux et long gémissement. Il semble fort bien réagir au fait que, pour une première fois, son sexe se trouve englouti dans la bouche d'un autre mec.

J'apprécie la sensation que fait dans ma bouche ce pieu de chair bien ferme mais douce. Attentif aux réactions d'Alain, dont le corps se tortille de nouveau pour tenter de se libérer de ses liens, et dont la respiration haletante exprime l'intensité de la jouissance qu'il "subit", je ressens toute la signification de "jouir du temps présent". J'active d'abord mes lèvres autour du gland, puis ma langue, puis, prenant soin de bien serrer mes lèvres autour du pieu de chair, j'entreprends un mouvement de va-et-vient du haut vers le bas du membre prisonnier de mes lèvres, pour ensuite m'attarder sur le gland.

Je prends un soin très attentif à faire durer le plaisir de Alain, soumis à cette torture qui lui semble bien douce, en prenant de temps à autre des pauses lorsque je le sens proche du jaillissement. Puis je reprends l'exercice, pour m'arrêter de nouveau, et ainsi de suite. Le corps d'Alain, dont les gémissements s'accentuent et la respiration devient de plus en plus saccadée, se cabre et est tendu par ses liens. Vraisemblablement, Alain s'efforce de concentrer toute sa prodigieuse énergie à jouir du plaisir dont ma bouche le gratifie. Plus ma bouche s'active, plus je sens les chevilles et les bras d'Alain se tortiller pour se défaire de leurs liens. De mon côté, la sueur envahit mon visage, sous le coup des efforts attentifs par lesquels je lui prodigue le plus intense des plaisirs. Avec les gémissements de plaisir qu'Alain fait entendre, je constate que je me débrouille fort bien dans cette exquise tâche.

J'intensifie la "torture" qu'impose à Alain ma bouche refermée sur son membre. Cela dure, dure et dure encore. Puis je sens approcher l'instant où je récolterai le délicieux fruit de mes efforts. Je ne puis plus attendre de goûter enfin la semence du membre prisonnier de mes lèvres. J'accentue donc la succion avec toute l'adresse dont je suis capable, puis, devinant que le moment si convoité survient enfin, je maintiens fermement le gland dans ma bouche tout en resserrant bien mes lèvres autour du membre. Alain pousse alors un râle profond, ma bouche s'emplit de sa semence, qui jaillit à grands jets chauds et crémeux. Le goût âcre et un peu amer me paraît délicieux. Je prends soin de tout avaler, et lèche soigneusement le membre pour ne rien perdre de cette précieuse liqueur.

Tout aussi épuisé qu'Alain, mon torse s'affalle sur sa taille. Reprenant mon souffle, je remonte le petit caleçon d'Alain, dont la respiration est toujours haletante. Une fois revenus à nos esprits, je lui demande: "Alors, qu'est-ce ça te fait de te faire sucer par un autre gars?" Alain, toujours ligoté et les yeux bandés, me réponds: "Franchement, jamais une fille ne m'a fait autant jouir. Peux-être que le fait que je peux pas voir que c'est vraiment un gars qui me suce rend ça encore plus excitant. Aussi, c'est tellement bon de se faire sucer tout en étant attaché. C'est 100 fois meilleur." Je lui demande pourquoi. Il me répond: "Je sais pas... Assez vite, tout ce que mon corps ressentait, c'était les cordes autour de mes poignets et mes chevilles, et ta bouche sur ma queue en train de sucer sans arrêt et de plus en plus fort. À cause des cordes et de mes yeux bandés, toute mon énergie était concentrée sur ma queue et au plaisir que tu me donnais. Y a rien qui peut se comparer à ça."

J'ai dit à Alain que pour moi aussi, c'était très bon. Il a rit un peu, mais je peux voir son visage s'empourprer, peut-être parce qu'il prend conscience du fait qu'il s'est de lui-même livré pieds et poings liés à un autre gars. Je lui annonce qu'il mérite maintenant un peu de repos, et que j'allais le laisser seul pour qu'il dorme un peu, et qu'après, ce serait Yves qui viendra prendre soin de lui. Alain sourit en entendant cet euphémisme mais ne dit mot, fidèle en cela à la consigne du silence à laquelle il est tenu. Je lui rappelle d'ailleurs qu'il ne doit pas du tout adresser la parole à Yves, lorsque celui-ci sera seul avec lui. Je quitte alors la pièce, en laissant bien entendu Alain ligoté et les yeux bandés (d'ailleurs, il ne s'en plaint absolument pas), après avoir vérifié si ses liens étaient toujours bien solidement noués à ses poignets et chevilles.

Il est maintenant plus de 2h du matin. Je rejoins Yves en haut. Nous convenons que c'est lui qui réveillera Alain le lendemain matin, mais d'une délicieuse façon, soit en le suçant à son tour. Nous nous sommes couchés, ravis de savoir Alain ligoté au sous-sol et soumis par ses liens à nos caprices jusqu'au lendemain soir. En effet, nous avions planifié garder Alain en captivité pour une période totalisant 24 heures. Durant ce temps, nous le comblerions de fellations, ce qui est la seule chose qu'il "subira", tel que convenu avec le principal intéressé.

Et nous l'avons bel et bien gardé ligoté, les yeux bandés et en caleçon durant 24 heures, nous avons pris soin de bien le nourrir tel que décrit plus haut, nous le conduisions à la salle de bains à chaque fois qu'il en sentait le besoin, et il a aussi dû prendre 2 douches que je lui ai donnée tandis que ses mains étaient menottées par dessus sa tête au bout d'une chaîne fixée au plafond. De laver son corps soumis, de le frotter et savonner fut pour moi un plaisir intense. Et bien sûr, nous avons gratifié Alain de nombreuses, longues et intenses fellations, qu'il reçu avec une jouissance qu'il me confia plus tard avoir été inégalable.

À 22h piles le samedi soir, j'ai libéré Alain de ses liens, et lui ai redonné ses vêtements. Yves avait alors quitté la maison pour éviter d'être vu et reconnu par Alain. Tandis qu'il s'habillait, Alain me dit qu'il n'avait jamais pensé que ça aurait été si bon et trippant. Il me confie avoir adoré aussi être ligoté et en caleçon durant tout ce temps, car ça intensifiait son plaisir, et le fait qu'il ne pouvait voir son deuxième "kidnappeur" a mis beaucoup de piquant dans son aventure. Il se sentait vraiment comme s'il était kidnappé et il a adoré joué le jeu. Alain est ensuite retourné chez lui, non sans me remercier avec insistance de lui avoir fait vivre une telle expérience.

Par la suite, Alain et moi sommes restés très bons amis. Évidemment, le fait d'avoir vécu ensemble une telle expérience a développé entre nous une profonde complicité. Cependant, nous n'avons jamais recommencé. Alain est resté le jeune mâle avide de filles qu'il était, il a rapidement repris le cycle intense de ses "one night stand" avec des filles, et donc, cette expérience n'en a pas fait un homo. Mais au moins, Alain, tel qu'il me l'a confié, était heureux d'avoir au moins essayé et aussi d'avoir apprécié le sexe entre gars. De mon côté, je lui était reconnaissant de m'avoir fait confiance et, bien sûr, d'avoir pu profiter de son corps superbe.
FIN
Par Bipuce - Publié dans : Histoires
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Mercredi 6 mai 3 06 /05 /Mai 22:16
Je venais d'avoir 18 ans. Étudiant et issu d'une famille plutôt modeste, je
devais financer mes études en travaillant pendant les vacances universitaires.
C'est cette occasion que je me retrouvais embauché sur un chantier dans une
ville du sud de la France.

Il faisait chaud. On était en juin. On travaillait torse nu et les corps des
hommes ruisselaient de sueur dès les premiers efforts, faisant ressortir la
musculature déjà impressionnante de certains d'entre eux.

Derrière le chantier, un coin-douche avait été amménagé pour les ouvriers. Il
était constitué de 2 cabines de douches séparées par une cloison de bois.

Un soir, après le travail, je rentrai dans la douche et commençais à me
déshabiller quand j'entendis que quelqu'un qui faisait de même dans la
douche voisine. D'un tempéramment plutôt voyeur, je regardais par une
fissure que l'humidité avait fait apparaître dans la cloison qui me séparait
de l'autre occupant.

Il était encore en bleu de travail, mais il avait déjà ouvert largement sa
fermeture éclair et laissait entrevoir un torse superbement musclé. Il retira
son bleu de travail qui était du reste son seul vêtement et aparu entièrement
nu à mon regard. Son corps était absolument imberbe. De toute évidence ce type
se rasait entièrement et le résultat était extraordinaire. Les muscles
roulaient sous la peau et semblaient animés d'une vie propre à chacun de ses
mouvements. La chaleur et l'effort physique avaient fait transpirer l'homme qui
luisait littéralement sous l 'éclairage, comme s'il avait plongé dans un bain
d'huile. Ses avant-bras étaient parcourus de veines saillantes, de même que ses
épaules et que ses cuisses. Le sexe était de dimensions à faire pâlir d'envie
n'importe quel homme. Il n'était pas en érection et son gland descendait
jusqu'à mi-cuisse. Comme son -heureux- propriétaire, ce sexe était parfaitement
lisse, comme taillé dans un bois précieux, et parcouru de veines turgescentes.

À ce moment, j'entendis que la porte de la cabine s'ouvrait et un deuxième type
entra. Le premier occupant n'en parut pas surpris ce qui me laissa penser
qu'ils s'étaient donnés rendez vous ici, à l'abris des regards indiscrets (du
moins le pensaient-ils).

Le nouveau-venu était vêtu d'un schort plutôt moulant et d'un tee-schirt en
coton blanc trempé de sueur qui collait à la peau et laissait deviner une
musculature d'athlète. Il se débarrassa de ses vêtements. Son corps était
comparable en beauté à celui de l'autre homme qu'il alla rejoindre sous la
douche.

Sous le jet de la douche les deux hommes entreprirent de se caresser et chacun
enduisit le corps de l'autre avec une généreuse quantité de savon liquide. Les
deux amants se faisaient maintenant face et leur corps se rencontrèrent. Ils se
mirent à bander et leur sexes prirent une dimension herculéènne. On aurait dit
deux concombres qui palpitaient l'un au contact de l'autre. Ils s'embrassaient
gouluement , se léchaient alternativement le visage et le torse...

Puis le type qui était entré en dernier se retourna et se pencha un peu en
avant. l'autre prit son pieu dans sa main et vint l'appliquer entre les fesses
qui s'offraient à lui. Il entra d'un seul coup de rein dans le ventre de son
copain qui poussa un gémissement profond.

Le mouvement de va-et-vient commença, lent et régulier au début puis de plus en
plus ample et rapide à tel point que le sexe ressortait presque entièrement
avant de s'engouffrer une nouvelle fois. Je voyais le corps de celui qui
recevait ce gourdin se contorsionner sous l'effet du plaisir. Ses muscles
puissants se contractaient alternativement, donnant l'illusion qu'une onde
régulière le parcourrait.

Son sexe était devenu gigantesque et de couleur rouge sombre. L'autre homme
l'avait pris entre ses deux mains et le pétrissait sans ménagement.

Les respirations s'accélérèrent. Les visages des deux hommes se contractèrent.
On devait entendre de l'extérieur le souffle ardent des deux types. Ils
explosèrent en même temps et je vis un long jet de sperme traverser la pièce et
s'écraser sur le mur, suivi de trois autres moins puissants. L'homme semblait
expulser par son sexe le sperme qu'il recevait de son compagnon...

Quelques jours après, l'un des mecs que je croisais sur le chantier me lança un
regard dans lequel je décelai une pointe de complicité.....

 

 

Par Bipuce - Publié dans : Histoires
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