Mercredi 6 mai 3 06 /05 /Mai 22:14
Je vais donc vous relater ma première expérience homosexuelle, vécue il y a peu. Je suis brun aux yeux bleus, 1m79, 78 kg et plutôt baraqué. J'avais soi-disant un petit quelque chose qui plaisait aux filles et à ma copine en particulier. Je ne ressentais pas l'envie de la tromper, mais c'est pourtant ce que j'ai fait.


J'étais donc parti effectuer un tournoi de hockey avec mon équipe à Moscou. Très belle ville en plein hiver, enneigée et peuplée de très belles créatures féminines. Mais venons-en à mon histoire.


Je partageais donc ma chambre avec un très bon ami. Je n'aurais jusqu'au moment fatidique que j'évoquerais plus tard jamais pensé à coucher avec lui et pourtant...


Très beau jeune homme : brun, yx verts, 1m78, 76 kg et beau corps musclé. Et célibataire, à se demander comment cela peut être vrai.


Donc, un matin, réveil en règle en vue d'un petit déjeuner collectif. Je me douche donc et m'allonge ensuite sur mon lit le temps que Mathieu (c'est son nom) se douche également. J'étais donc allongé torse nu - baggy.


Tout se passe normalement : il revient dans la chambre, on discute de choses et d'autres et du manque que pouvait me procurer l'éloignement de ma copine. Et je pense que c'est ça qui a du le pousser à me dire cette phrase qui a tout déclenché, qui malgré sa banalité apparente voulait tout dire.


"Tu as donc besoin d'occupation".


Je n'ai pas percuté tout de suite mais quand il s'est approché de moi avec pour intention de m'embrasser, j'ai compris. Je ne sais pas ce qui m'a poussé à répondre à son baiser. Peut-être l'attirance pour les hommes que j'avais toujours refoulée. Quel baiser fougueux ! Je ne pense même pas au fait que je puisse tromper ma copine. Sans doute l'excitation du moment. Il me caresse en même temps le torse et s'installe sur moi.


Ne pouvant y résister, je sens que l'érection arrive, et quelle érection, je n'en avais peut-être jamais eu une aussi subite. Pour info, j'ai un sexe de 19-20 cm (dans la moyenne donc) qui me convient parfaitement. Et Mathieu m'enlève le baggy puis le dernier rempart à l'acte ultime, mon caleçon.


Là, il prend donc en main mon sexe et le masturbe. Je me demande bien pourquoi étant donné qu'il est vraiment à son maximum, tant niveau taille que largeur. Il me suce, de doux va-et-vient qui me procurent des frissons intenses. Quel bonheur, je n'avais encore jamais ressenti autant de plaisir. J'ai même cru l'espace d'un instant que les femmes ne pourraient plus me procurer de plaisir au niveau sexuel, que je deviendrais totalement homosexuel.


Et ce qui devait arrivé arriva, 4-5 jets successifs de sperme que Mathieu avale goulument. Il en lèche les dernières gouttes sur mon gland. Quel bonheur, il suce divinement bien.


Vu la forme que tenait mon sexe, il s'empala dessus, et je m'aperçus que Mathieu était également sans expérience avec les hommes puisque je dus forcer l'entrée de son anus. Et là, en même temps qu'il s'empalait sur moi, il se branlait. Il fut le premier à éjaculer sur mon torse. Il en recueillit quelques gouttes et me les porta à la bouche. Je les léchai avec plaisir. Un nectar véritablement exquis.


Mathieu qui avait encore quelques gouttes de mon sperme au coin des lèvres se serra contre moi, avec toujours mon sexe dans son petit trou pour me faire goûter mon sperme. Moins bon que le sien mais néanmoins très bon.


Je ne le pénétrais plus pendant quelques instants au cours duquel notre étreinte fut torride.


"Retourne toi" m'ordonna-t-il.


Il devenait tout d'un coup dominateur.


Je lui obéis donc avec plaisir et là, il forcais l'entrée de mon anus et me pénétrais avec un plaisir intense. C'était bon, terriblement bon, j'étais totalement envoûté par cet homme, que je considérais il y a encore 10 minutes comme un de mes meilleurs amis. Il éjacula au plus profond de moi.


Et là était fini notre acte.


Depuis, je suis toujours avec ma copine que je regrette quand même d'avoir trompée et je suis resté ami, simple ami avec Mathieu.
Par Bipuce - Publié dans : Histoires
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Mercredi 6 mai 3 06 /05 /Mai 22:11

Bonjour, je m’appelle Jean, je suis en deuxième année de fac, j’ai un petit
appart et mes parents jusqu’à présent m’aidaient financièrement. Cet été
mon père a dû quitter son emploi et du coup, il ne peut plus m’aider. J’ai
trouvé un petit boulot le soir: je nettoie une petite superette à côté de
chez moi et je remplis les gondoles.

Je finis en général vers minuit, et en rentrant je me remets à bosser mes
cours, je ne me couche pas avant 2 ou 3 heures du mat. Je suis crevé et
dans la journée j’ai du mal à me tenir éveillé.

J’ai un copain de fac que je retrouve plusieurs fois par semaine soit chez
lui soit chez moi. Quand nous sommes seuls, c’est la fête du sexe, on
commence en général en douceur par des caresses et puis rapidement nous
nous laissons emporter par la fièvre et nos ébats deviennent volcaniques et
nous laissent épuisés et heureux.

Ce soir Marc, mon copain, doit passer chez moi, je suis heureux de le
retrouver mais complètement crevé; enfin quand il sera là, j’oublierai mes
soucis. On sonne, j’ouvre, c’est lui. Une bonne pelle baveuse des mains
baladeuses et nous voici partis pour un bon après-midi de baise. Nous
sommes allongés sur mon lit et Marc me suce lentement, comme j’aime, en me
léchant les couilles de temps en temps. Je m’abandonne à ses caresses.

- Jean?
- Oui.
- Jean qu’est-ce qu’il y a? Cela fait 10 minutes que je te suce et ça a
l’air de te faire autant d’effet que la lecture du code fiscal de
l’année. Qu’est-ce qui ne va pas?
- Rien Marc je suis un peu crevé.
- Raconte moi, qu’est-ce qui t’arrive?
- Rien, rien vraiment.

Marc m’a pris les couilles dans sa main et commence à me les serrer.

- Jean si tu ne me dis pas ce qui se passe je vais serrer tes couilles
jusqu’à te les écraser! et ce faisant il serre un peu plus et ça devient
douloureux. Alors?
- Rien je te dis.

Il serre un peu plus et la douleur devient intolérable.

- Alors?
- Bon, papa a perdu son boulot cet été et il ne peut plus m’aider pour
l’appart, j’ai trouvé un petit boulot dans l’épicerie d’à côté mais je
suis crevé je finis de bosser vers minuit et en rentrant je bosse mes
cours, j’en peu plus! dis-je en éclatant en larmes.

Marc est venu s’allonger près de moi, m’a pris dans ses bras et me donne un
baiser.

- Je ne vais pas te laisser tomber mec. Tu te rappelles l’année dernière,
c’est toi qui me prêtait du fric. J’ai trouvé un boulot un peu spécial
mais ça rapporte pas mal si tu veux je te présente le mec qui me fait,
comment dirais-je «bosser».
- C’est quoi comme boulot?
- Bon je vais chez un mec et il me filme alors qu’il me chatouille, qu’il
me branle ou me donne des fessées. Il commercialise la K7 sur Internet et
me file une bonne prime. Si tu veux je te présenterais.
- Ça va pas non? et si on me voit sur Internet?
- Si on te voit sur Internet c’est que le mec est allé chercher ce site et
que donc il est pédé, t’auras pas de réflexions va. Si tu veux je te
montrerai la K7 qu’il a fait avec moi, ça te tente?
- C’est bien payé?
- Mille euros la séance.
- Wouah, tout ça pour une fessée.
- Bon je vais chez moi je te rapporte la K7 on regarde ensemble et si tu
veux je prend rendez-vous avec ce mec.
- Ok.

Marc est allé chez lui, il revient rapidement je mets la K7 dans le magnéto
on s’installe et on regarde.

Je vois un mec dans la cinquantaine qui le reçoit discute avec lui, lui
demande de se foutre à poil. Un fois à poil, il passe des bracelets en cuir
aux poignets et aux chevilles de Marc, puis il attache Marc à un banc et
commence à lui donner un fessée sévère, je vois le visage de Marc sur
l’écran qui indique que ce n’est pas du chiqué, il morfle un max.

Les positions varient, au long de la K7 puis on voit Marc allongé sur le
dos dans un lit et le mec qui le branle et arrête à chaque fois que Marc va
jouir. Marc finit par le supplier de le laisser jouir. Le mec continu comme
si de rien n’était, un gros plan montre les couilles de Marc gonflées à
bloc et qui ne demandent que de se vider. Enfin le mec reprend sa branle
plus rapidement et on voit 5, 6 jets crémeux sortir de la queue de Marc et
venir s’écraser sur sa poitrine. Le mec étale le sperme de mon pote lui
roule une pelle et sur ces images le mot fin apparaît.

Marc se tourne vers moi et me demande ce que j’en pense.

- Je ne sais pas, je suis troublé.
- Ça pour être troublé, t’es troublé! Regarde, tu bandes comme un cerf.

Je ne me suis pas rendu compte mais ma queue soulève mon boxer, Marc la
dégage et commence un pipe d’enfer je me laisse aller et j’explose dans sa
bouche.

Après cette séance, Marc m’a demandé si je voulais rencontrer son mec. J’ai
accepté, rendez-vous est pris pour cet après-midi. J’ai passé un jeans
moulant un t-shirt noir moulant et des baskets. Marc passe me chercher nous
nous rendons chez le mec.

Un mec qui me fait un drôle d’effet, à la fois sympa et bizarre, je sens
que le courant ne passe pas avec lui, j’ai envie de partir mais comme Marc
a pris rendez-vous je fais un effort. Le mec me regarde, fixe son regard
dans le mien et tout de go me dit: «À poil, qu’on juge la marchandise».
Cela me déplait souverainement et je lui rétorque que je ne suis pas de la
marchandise. "Bon comme tu veux mec, si t’as besoin de fric et que tu veux
tourner avec moi, il faudra que tu fasses ce que je te dis, si ça te
déplait, je ne te retiens pas." Je regarde Marc avec un air désolé.

- Pardon Marc mais je préfère partir.
- Bon Jean, tu me laisses 5 minutes, je te rejoins dehors OK.

Je sors dans le jardin, j’ai l’impression d’avoir fait une grosse connerie,
mais je me sens libre ne même temps. J’allume un clope, Marc me rejoint,
m’embrasse et me dit:

- Ce n’est pas grave, il ne t’en veut pas et te trouve mignon. Si tu
changes d’avis il te recevra de nouveau.

Nous rentrons, les jours passent je suis de plus en plus crevé, Marc me
surveille du coin de l’œil et me file du fric quand je suis pris à la
gorge.

- Jean, Jean, Jean!
- Quoi?
- Jean tu t’es endormi pendant le cours. Le prof t’a pas vu, mais il y a
des potes qui se sont marrés en te voyant roupiller.
- Marc j’en peux plus, rappelle ton mec je suis prêt pour une K7.
- Ok Jean je l’appelle.

Deux jours plus tard Marc me dit que nous avons rendez-vous l’après-midi
même. Je suis pris au piège mais je ne peux plus reculer. On va chez le
mec, je sens la tension qui monte pendant la route. On arrive chez le mec
qui nous reçoit avec un grand sourire.

- Alors on a changé d’avis petit arrogant?
- Oui, Monsieur, j’ai vraiment besoin d’argent.
- Appelle moi Alexandre et pas Monsieur. Bon on va descendre au sous-sol
pour la séance OK?
- OK.

J’ai la gorge nouée, on descend et on arrive dans une vaste pièce chauffée:
il y a un lit, un banc, celui où j’ai vu Marc recevoir sa fessée. Des
lanières avec des anneaux pendent du plafond, un siège de chiottes dans un
coin. Alexandre m’a regardé découvrir le lieu.

- C’est là que ça va se passer, me dit-il.
- Ah au fait, je te présente Olivier, c’est lui qui va nous filmer.

Un mec sympa avec un sourire doux me tend la main. Dans un coin un bureau,
Alexandre me le montre et me dit:

- Là-dessus, il y a 1000 euros pour toi, on fait le film et ils sont à toi.
Tu refuses, tu te barres et on en reste là, alors?
- OK j’accepte.
- Bon Olivier commence!

Olivier se place derrière la caméra et fait signe OK.

- Bon Jean le film a commencé, la dernière fois que tu es venu tu étais un
peu arrogant, aussi j’ai décidé de t’humilier un peu pour te rabattre ton
caquet.

Ce disant il ouvre un porte et fait rentrer 3 jeunes mecs dans les 20 ans
qui s’installent sur des chaises.

- Voilà, je leur ai demandé de venir pour assister à ton dressage. Allez
hop, à poil!

J’hésite à me foutre à poil devant tous ces mecs, quand une claque me tombe
sur les fesses. J’enlève mon t-shirt, des sifflets admiratifs soulignent
mon striptease.

- Allez, vire-moi le fute maintenant!

Je défais la ceinture ouvra la braguette et fais glisser mon fute, dans un
coin Marc m’encourage avec un bon sourire où je lis de l’amour.

- Approche!

Je m’approche d’Alexandre, il me baisse mon slip et commence à me tâter,
les seins le ventre les couilles, la queue, il me retourne me tâte les
fesses, les écarte. Je sens son doigt qui s’attarde sur ma rosette je suis
rouge pivoine; les 3 mecs me regardent avec gourmandise. Alexandre me
pousse vers eux et leur dit de juger de la marchandise.

Le premier mec passe ses mains sur moi arrive à mes couilles les soupèse
dégage mon gland, et enfile son doigt sans prévenir dans mon trou
m’arrachant un petit cri.

- Pas mal le mec!

C’est son jugement. Je passe ensuite dans les mains des 2 autres mecs, le
dernier me branle en disant qu’il veut juger le matos, le salaud me fait
bander, j’ai honte mais il faut y passer.

Alexandre a repris le fil des opérations.

- Allonge toi sur le sol cuisses écartées!

Il va vers un meuble sort une poche en caoutchouc, la remplit d’eau à un
robinet et reviens vers moi.

- Je vais te nettoyer ton petit cul...

Il enfonce une canule dans mon cul et ouvre un petit robinet, je sens l’eau
chaude me remplir le ventre. Il retire la canule te m’enfonce un plug en me
disant qu’il faut que je garde cette flotte le plus longtemps possible. Il
a commencé à me masser le ventre pour bien répartir l’eau, je lui dis que
je n’en peu plus, mais il me dit que ce n’est pas assez et me masse de plus
belle comme s’il voulait nettoyer mes intestins en profondeur.

- J’en peux plus! je lui dis.
- Ok, lève toi! Tu vois les chiottes? Tu peux te vider.

Olivier s’est approché du siège et attend. J’ai la honte de ma vie mais je
ne peux pas faire autrement mon ventre me torture et réclame de se vider.
Je m’approche du siège enlève le plug, mes intestins se vident je me cache
le visage. La voix d’Alexandre claque:

- Tu t’es bien vidé?
- Oui.
- Bon viens on va finir le boulot!

Il me montre un coin douche me demande de me courber. Il enfile une canule
sur le tuyau de la douche et me la rentre dans le cul. Il ouvre le robinet
l’eau rentre dans mon cul et sort, quand l’eau qui sort est claire il
arrête.

- Bon te voilà propre! Viens ici.

Il est assis sur un banc me fait allonger sur ses cuisses, Olivier fait le
tour pour me prendre sur toutes les coutures. Premières claques sur les
fesses, il n’y va pas de main morte: je sens mes fesses chauffer.

- Tiens, regarde!

Je tourne la tête et vois mes fesses rouges.

- Bon après cet échauffement on va passer à autre chose.

Il attache mes poignets à un mousqueton fixé au plafond, il prend une
tapette genre raquette de ping-pong et les coups commencent à tomber. Je me
tortille mais je ne peux m'échapper. Il arrête au bout de 5 minutes. Mes
fesses sont brûlantes, Olivier les filme de près.

- Les mecs ça vous dirait de lui filer un bonne fessée?
- Oui! hurlent-ils en chœur.

Je les avais oubliés sous les coups, je vois qu’ils bandent tous dans leur
jeans.

Le premier se lève et prend une large lanière de cuir et commence à me
frapper les fesses et le bas du dos. Une dizaine de coups, de plus en plus
forts. Le deuxième prend la relève, il fait attention de ne pas frapper
trop fort, ouf tous ne sont pas des sadiques. C’est au tour du troisième:
lui commence à me frapper doucement puis les coups sont de plus en plus
fort et deux fois le bout de la lanière frappe mes couilles, la deuxième
fois je manque de m’évanouir sous la douleur.

- Bon ça suffit! a hurlé Alexandre.

Alexandre me détache, et m’allonge sur le banc, il m’attache les poignets
et les chevilles aux pieds du banc, il prend une tapette en cuir et
commence à me frapper en prenant son temps à coups réguliers. La douleur
liée à la chaleur de me fesses me fait hurler. Je le supplie d’arrêter mais
il continue. Le temps n’existe plus, mes larmes coulent sur me joues, je le
supplie de s’arrêter.

- OK mec je crois que ça va faire une K7, on va finir.

Il me détache, me retourne me voilà allongé sur le dos sur le banc, de
nouveau il m’attache. Je suis exhibé aux yeux de tous, les spectateurs ont
la trique. Alexandre commence à me branler, doucement je trique rapidement
je sens le foutre monter, Alexandre s’en aperçoit et arrête un moment puis
il reprend. Cinq fois, il arrête au moment où je vais jouir... Mes couilles
me font mal, je n’ai qu’une envie c’est qu’il me laisse jouir.

- Alexandre s’il te plaît, laisse-moi jouir j’en peux plus, laisse-moi
jouir.
- Bon, tu as été un bon gars, j’accepte.

Il recommence à me branler, je sens les contractions dans mon bas-ventre,
je crie en lâchant une série de jets impressionnante, je suis vidé mais
Alexandre continue de me masser le gland avec mon jus. C’est insupportable
quand on a joui comme ça avec autant de violence de se faire masser le
gland qui est devenu hyper-sensible.

- Arrête Alexandre s’il te plaît.
- Ok c’est fini!

Il me roule une pelle et me détache. Les spectateurs applaudissent, c’est
fini. Marc est venu m’embrasser, il me glisse à l’oreille:

Je vais m’occuper de toi, viens.

Il me conduit dans le coin douche, fait couler l’eau, et me lave en
douceur, ensuite il me sèche avec une serviette en faisant attention de ne
pas frotter trop fort sur mes fesses, puis il me passe une crème sur les
fesses, la douleur semble s’atténuer mais reste bien réelle. Alexandre à
renvoyé les 3 spectateurs. Nous sommes maintenant quatre, Alexandre,
Olivier le caméraman, Marc et moi.

- Tiens, prends ton argent sur le bureau tu l’as bien mérité. Si tu veux
revenir tu peux, la prochaine fois je ne te ferai pas mal, promis.
- Merci.

Je prends l’enveloppe, Marc passe son bras sur mes épaules et me dit:

- Allez, on y va.

J’ai du mal à marcher, je m’assieds avec prudence dans la voiture, je suis
dans un autre monde. Marc me dit de regarder ce qu’il y a dans l’enveloppe,
j’ouvre je compte les billets, il y a 1500 euros! Je n’en reviens pas.

J’ai repris les cours 3 jours après, Marc m’apportait les cours qu’il avait
pris pour moi.

Un matin le facteur m’a apporté un paquet. J’ouvre, c’était une K7 avec un
petit mot d’Alexandre: "Pardon pour t’avoir fait souffrir, mais c’était le
contrat. Comme promis quand on s’est quittés, la prochaine fois si tu veux,
je ne te frapperai plus. Bonne vidéo!"

Je mets la K7 dans le lecteur et je me vois arriver dans cette salle,
j’éprouve un mélange d’effroi et de satisfaction, j’arrête la K7 et décide
d’attendre Marc pour la regarder avec lui...

Par Bipuce - Publié dans : Histoires
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Mercredi 6 mai 3 06 /05 /Mai 22:09

Bonjour, je m'appelle Bastien, j'ai 19 ans, je suis plutôt grand et assez beau.

Je passais ma journée de samedi chez Julien et Damien, deux amis qui étaient dans ma classe, et qui étaient des frères jumeaux. Ils étaient bruns, de taille moyenne, avaient les yeux bleu foncé. Tous deux étaient vraiment superbes et j'avoue avoir souvent fait des rêves cochons à propos d'eux.

Bref, Damien était parti pour le week-end chez un ami et les parents étaient en voyage, ce qui fait que j'étais seul avec Julien. Nous regardions la télé, allongés tête-bêche sur un canapé. Nous avons passé une bonne partie de l'après-midi ainsi. Vers 18h, il me proposa de rester dormir chez lui, et je m'empressai d'accepter son invitation.

Nous regardions encore et toujours la télé, et, après le deuxième film, Julien s'est mis à zapper et est tombé sur le porno de canal +. Nous décidâmes de le regarder et nous redressant, nous avons commencé à reluquer la télé. Il y avait un homme dont la queue était aussi grosse que celle d'un cheval, et qui se faisait sucer par une jeune indienne. "Vas-y cochonne, applique-toi," lui lançait l'homme. Puis, la prenant en levrette, il plongea d'un coup sa queue dans le vagin de l'indienne. Après s'être secoué un peu, il s'attaqua à son anus.

— J'ai besoin d'aller au toilette, dit Julien.

— Tu veux aller te branler!

— Pas du tout.

— Mets-toi en caleçon, pour voir.

Il enleva son pantalon et se montra en caleçon. Il ne pouvait plus le nier, il bandait comme un fou.

— Bon d'accord, je voulais me branler, mais j'aimerais quand même voir tes dessous.

Je m'enlevai mon jean, et lui montrai mon caleçon.

— Hum. Je crois qu'on est dans la même situation, non?

— Oui, répondis-je gêné.

Nous continuions à regarder le film. Le mec était en train de se partouzer trois filles et allait jouir. Julien se touchait discrètement:

— Tu sais Julien, tu peux te mettre à poil, on est presque comme des frères, lui lançai-je.

— T'as raison. Mais j'aimerais alors que tu te foutes à poil toi aussi, sinon je serai trop gêné.

Nous enlevâmes nos caleçons. Je ne bandais plus, mais quand je découvris la queue de Julien, la mienne se remit en service. La bite de Julien était moyenne en taille, plutôt épaisse, mais ses couilles étaient très jolies. La mienne était aussi large mais plus longue, et mes couilles plus grosses. Aucun de nous deux n'avions de poils (à part sur le pubis).

Nous commençâmes à nous branler devant le film porno. Toutefois, je ne pouvais m'empêcher de mater Julien, ce qu'il remarqua:

— Tu aimes ma queue?

— Non, rassure-toi, je ne regardais pas.

— Dommage. Moi, j'aime beaucoup la tienne.

Il se remit à se branler. Alors, je me mis à lui toucher le sexe. Il me coucha sur le dos et s'allongea sur moi.

— Je t'aime, lui dis-je

— Moi aussi.

Il m'embrassa et plongea sa langue dans ma gorge. Je fis la même chose. Alors, écartant ses jambes, je cherchai à l'enculer.

— Pas tout de suite.

Se dirigeant vers mon entrecuisse, il s'avança vers mes couilles.

— Laisse. Je préfère te faire jouir.

Je le mis debout et lui enlaçant les fesses, me mis à diriger son dard vers ma bouche ouverte. Je fis entrer quelques centimètres de son pénis dans ma bouche. Il gémit. Je lui souris pour lui dire que tout allait bien, et, tirant la peau de son prépuce, je me mis à dévorer son gland rose. Sa bite me pénétrait de plus en plus, et je pris des libertés en lui enfonçant mes doigts dans le cul, ce qui le ravissait.

— Je vois que vous vous amusez bien!

C'était Damien. Julien a tout de suite débandé et est devenu rouge pivoine:

— C'est la première fois qu'on fait ça, tu sais.

— Tu verras quand je dirai ça aux parents.

— Oh non!

Pendant qu'ils parlaient, je regardais l'entrecuisse de Damien, qui grossissait à vue d'oeil. Le traitant de cochon, je me jetai sur lui et baissant son pantalon et son caleçon, je dévoilai son érection, exactement la même que celle de son frère. Je me mis à la sucer de même:

— C'est trop bon, je vais exploser, me dit-il au bout de quelques minutes.

Amenant Julien à ma bouche, je me mis alors à lécher leurs deux glands. Tous deux poussaient d'énormes râles de plaisir.

— C'est vraiment trop, j'en peux plus!

— Putain, Bastien, je vais jouir, vas-y, suce-moi, oui, c'est bon!

Je savais qu'ils n'allaient pas tarder à cracher la purée et les rapprochant, je tâchais de prendre le plus possible de leur queue et leur mis deux doigts dans le cul à chacun.

— Arrête, laisse-nous sortir où tu vas tout te prendre dans la bouche!

— Putain, putain, Bastien, laisse-nous sortir, on va pas tarder à jouir.

— Oh oui, oui, Bastien.

— Sors, je vais éj..."

Sur ce, je reçois une énorme giclée de liquide chaud dans la bouche, suivie immédiatement d'une seconde. Les jumeaux se retirèrent.

— Désolé.

— Pourquoi?

— T'as tout pris dans la bouche.

— Vous êtes fous, c'était trop bon, j'ai pris mon pied, les mecs.

— Fallait nous le dire.

— T'essaieras avec deux queues dans ta bouche.

Et de rire.

Nous nous sommes mis à discuter un peu, après cela. Nous allâmes nous coucher, et, nous décidâmes de dormir à trois dans le lit double des parents des jumeaux.

— Vous avez déjà fait un truc pareil, vous, demandai-je.

— J'ai jamais couché avec une fille, et encore moins avec un mec!

— Moi non plus, dit Julien.

— Bon, on est tous dans la même situation.

Toutefois, je commençais à m'impatienter. En effet, mon engin n'avait pas encore été utilisé. Je me tournai vers Julien: il était beaucoup plus fin que son frère, alors que Damien était très "primitif". Je le caressai. Il se tourna et se mit à me sucer. Je tressaillis, la sensation était tout simplement indescriptible. Toutefois, je l'interrompis:

— Je préfèrerais t'enculer, chéri.

Il esquissa un grand sourire, m'embrassa tendrement, et se retourna, me montrant son derrière: "Vas-y." J'avais le trac. Julien m'interrompit en fouinant dans le tiroir de la table de nuit de son père. Il en ressortit une boite de préservatifs, et m'en déroula un autour du sexe, filant ensuite la boite à son frère. Plaçant alors ma pine dure devant son orifice, je sens Damien qui m'enlace: "Vous m'oubliez ?" Je l'entendis déchirer l'emballage d'une capote, et quelques secondes après, je sentis son érection avancer entre mes fesses. Je mis un grand coup de rein et m'enfonçai dans Julien. 5 ou 6 centimètres étaient entrés. Je jubilais. Julien s'était courbé mais il me signalait maintenant que tout allait bien et que je pouvais continuer. Alors, Damien s'enfonça bestialement dans mon trou du cul, me coupant le souffle, et me faisant donner un énorme coup de rein qui précipita ma queue tout entière dans l'anus d'Julien. Je gémis sous le choc, et Julien fit la même chose. Mais le plaisir était en train de m'envahir et je me mis à littéralement ramoner le fion de mon ami, tandis que Damien s'occupait du mien.

Avançant une main, je me mis à branler Julien. Il se mit à me caresser les couilles. Le plaisir était immense. Au bout d'une dizaine de minutes, je sentis le sperme monter dans mon pénis. Je savais que mon éjaculation allait être phénoménale. Je jouis: poussant des râles forts et graves de plaisir, je pressai Julien d'un énorme coup de rein et crachai ma semence dans le réservoir de la capote. Je sentais mon gland macérer dans ce préservatif plein de sperme. Je restai quelques minutes dans le fion de mon ami tandis que son frère n'allait pas tarder à cracher la purée. Je l'aidai en lui secouant les burnes et il éjacula immédiatement. Me retirant de Julien, j'enlevai le préservatif, et le nouai, avant de constater que mon éjaculation avait été phénoménale, vu l'ampleur des dégâts dans le latex.

— Enculez-vous, demandai-je.

— On est frères, je te rappelle!

— Et alors? Vous n'en mourrez pas.

Je réussis finalement à les convaincre. Julien plaça Damien à quatre pattes et fermant les yeux, il se plaça derrière son jumeau, chaussa une capote, et d'un trait l'encula. Les deux garçons étaient beaux à voir. Ils étaient en train de se caresser et tous deux prenaient un pied incroyable, même Damien qui pourtant devait souffrir tant Julien le secouait vite. Comme ils m'excitaient, je me plaçai devant Damien qui prit ma bite molle dans sa bouche de très bon coeur. Lorsqu'elle fut bien dure, je fis signe à Damien et Julien d'échanger leurs positions. Damien encula donc Julien, et je vins derrière Damien. Je n'avais jamais vu ma queue aussi grosse, j'en profitai pour enfiler un préservatif et me plaçant à l'arrière de Damien, le tenant par la croupe, je me mis à le sodomiser comme un chien.

— T'aimes quand je t'encule comme un sagouin, espèce de chien!

— Continue, mon amour, encule-moi plus fort encore!

— Oh oui, voilà, ça fait mal, hein?

— Oui, oui mon salaud!

— Julien, viens plutôt m'enculer!

— Oui, j'arrive. Tiens Bastien, je veux jouir dans TON cul.

— Oh. Oh je t'aime Julien. Damien, tu vas voir ce que tu vas prendre dans ton fion!

Et je crachai la purée, me retirai immédiatement et laissai terminer Julien dans le cul de son frère.

— Damien, je vais jouir. Oh, oh, putain, ce que c'est bon! Oh oui, oui.

— Oui mon frère, oui, prends-moi comme ça, en levrette, oui.

— Ça y est!

Une gerbe de la semence de Julien jaillit du fion de Damien, qui tombèrent tous deux morts de fatigue. Nous dormîmes ainsi, dans notre foutre, simplement.

Cela faisait trois mois que je couchais avec Julien et Damien, deux jumeaux de mon âge, que j'aimais plus que tout. Trois mois déjà, et je ne leur avais pas encore dit que je les aimais autrement que pendant un orgasme. Et pourtant, c'était bien le cas, mais je ne trouvais jamais le moment adéquat pour leur annoncer. Finalement, je me décidai à le faire ce soir.

Leurs parents venaient de partir en week-end avec leur petite soeur. J'avais deux jours pour me déclarer, et je commençais à avoir le trac (je ne savais pas trop si eux aussi m'aimaient). L'après-midi n'avait pas été très agitée: pas mal de gamelles roulées, quelques pipes, rien de plus, mais l'heure du dîner arriva relativement vite. Julien et Damien s'assirent de part et d'autre de moi, comme à l'accoutumée. Mais m'enhardissant, je les pris par la main et leur dis:

— Écoutez, il faut que je vous dise quelque chose, mais ça risque d'être dur.

— Bien sûr, nous t'écoutons, vas-y.

— Bien. On se connaît depuis 3 mois, et j'adore faire l'amour avec vous.

— Mais...

— Non non, je pense juste qu'il n'y a pas que ça. Je crois que je vous aime, voilà.

Les jumeaux fondirent en larmes. J'étais soulagé, mais quand même dans l'expectative, et Julien prit la parole:

— Tu peux pas savoir à quel point ça nous fait plaisir et ça nous soulage!

— Alors ça veut dire que vous m'aimez aussi?

— Mais bien sûr qu'on t'aime! Je ferais tout pour toi.

— Moi aussi, renchéris Damien.

Il y eut un petit temps de silence: une idée se formait dans ma tête, ils s'en rendaient bien compte:

— Écoutez, pour célébrer notre amour, je veux qu'on passe une nuit inoubliable. Mais cette nuit, c'est moi et moi seul qui vous donnerez du plaisir. Je veux vous montrer à quel point je vous aime.

J'avais toujours leurs mains dans mes mains et je les fis se lever et venir devant moi. Je pris Damien par la taille, et en l'enlaçant, je lui répétai que je l'aimais. J'aimais cela. Puis je me levai et pris Julien dans mes bras, l'embrassai à pleine bouche. Je me rassis et déboutonnai le 501 noir et large de Julien, puis descendis très tendrement son boxer et dévoilai sa belle verge jeune et frétillante, surmontée d'une fine toison de poils blonds. Je pris cette belle queue en bouche et la fis enfler jusqu'à ce qu'elle soit raide. Je me mis alors à la sucer amoureusement, délicatement, par petites touches:

— Chéri, j'adore ça. Je crois que j'approche de l'orgasme. Je peux éjaculer dans ta belle bouche?

— Bien sûr.

Je le pris au fond de ma gorge, et le serrai contre moi, lui enlaçant les fesses. Il me caressa tendrement les cheveux en éjaculant sa semence dans ma bouche. Me levant, j'allai embrasser mon bien-aimé, nos langues se mêlant, et un liquide fait de sa semence et nos salives passaient d'une bouche à l'autre. Ce moment était exquis.

Puis je me dirigeai vers Damien et l'allongeai sur la moquette. Je me mis à caresser son corps sublime, à baiser ses lèvres exquises. J'étais aux anges, je l'aimais tant. Je ne cessai de lui répéter que je l'aimais. Julien, lui, me caressait les fesses et le dos pendant qu'allongé sur Damien, je le caressais gentiment. Nous continuâmes à nous caresser pendant quelque 15 minutes, et Julien prit la parole:

— Bastien, j'ai encore envie de toi.

— Je t'offre mon cul, bébé, je sais que tu l'aimes beaucoup.

— Oh oui!

Damien m'écarta un peu les fesses et Julien s'enfonça sans aucun mal. Il me pénétrait doucement, tendrement, comme pour profiter le plus possible de moi. J'aimais ça, j'adorais ça même, et une idée me traversa l'esprit:

— Damien, Julien, s'il vous plaît, je vous veux dans moi en même temps.

— Mais tu vas avoir mal, mon amour.

— Je sais pas, mais je vous aime tous les deux en même temps, et j'ai pas envie de donner de l'amour à l'un puis à l'autre.

— Tu es adorable Bastien, mais je sais pas...

Je pris moi-même le sexe de Damien en main et le dirigeai vers mon trou déjà occupé par Julien. Damien me pénétra alors, tout doucement. C'était l'extase. Ces deux pénis identiques entraient doucement et de façon synchronisée dans mon anus, si bien que la chose imposante que représentaient leurs deux engins ne me faisait pas mal du tout, mais me procurait un plaisir fou. C'était aussi l'extase lorsque les jumeaux se mirent à faire de lents va-et-vient en moi. Je ne cessais de leur répéter que je les aimais, et eux aussi. Finalement, nous râlâmes tous trois en même temps, et je sentis leur semence se répandre dans mes intestins. Je me mis alors à cracher sans même m'être touché.

Je ne voulais pas croire que tout était fini, et je leur demandai de rester en moi encore un peu, mais ils débandèrent trop vite. C'était malheureusement fini. Je les pris à nouveau dans les bras et les embrassai encore une fois, langoureusement.

Par Bipuce - Publié dans : Histoires
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Mardi 5 mai 2 05 /05 /Mai 22:27

Mon frère habite dans une cité du sud de la France, et de temps en temps je passe quelques jours de vacances chez lui.
En promenant mon chien, j'essaie généralement de passer là où il y a des jeunes. Ils discutent, ils fument. Ils passent le temps.
A chaque fois il y en a des bien sportifs, bien macho comme j'aime.
Mais ils ne me regardent pas, alors je pensais qu'ils étaient 100 %
hétéros.
Cette fois-ci ils ne sont que deux, un blanc de 19-20 ans, rek1 aux pieds et en survet Tacchini et un beau métis
d'1m90, aussi sportif que le premier. Le jeune se met à parler de mon chien : "Regarde-le, ce petit chien de PD !" Je fais celui qui n'a pas entendu, mais en fait je commence à
penser que quelque chose est possible. Son pote lui répond : "Je le
reconnais, c'est lui qui nous mate comme une salope en promenant son
chien". Là je rougis comme une petite fille, je suis grillé. Le premier
me dit : "Approche, toi !". J'hésite un peu, mais devant sa forte
volonté je ne peux rien faire d'autre que d'avancer vers lui, les yeux
baissés.
- C'est vrai que tu nous mates, tu cherches quoi ?
- Je ne cherche rien, je passe seulement.
- non tu nous mates. J'ai bien compris ton petit jeu !
- Je vous regardais, mais il n'y avait pas de mal.
- Je sais ce que tu veux. Viens par là.

Et il m'entraîne dans la cave de son bâtiment. Je n'ai jamais osé y entrer, attiré mais trop effrayé par ce qui pourrait m'arriver.
j'essaie bien de résister, mais ils m'emmènent dans une cave sombre.
Dans la cave il y avait un canapé, certainement prévu pour des moments de détente. Le mec dit à son pote : "Sonia ne veut pas, mais je crois que j'ai trouvé quelqu'un pour la remplacer"
Son pote le black me met à genoux, et me fourre son entrejambe sur le visage. J'essaie de résister, mais il me met une baffe dans la gueule. Pas forte, juste ce qu'il faut pour me faire comprendre que je
ne peux pas résister et me rappeler que je ne demande que ça. Il sort
sa queue, déjà un beau morceau alors qu'il ne bande pas tout à fait.
Elle durcit dès qu'elle est sortie, et là je commence à m'inquiéter. Je
ne saurais pas dire la taille, dans les 22 cm,
mais c'est plus grand que toutes les bites que j'avais déjà vu. Je le
suce comme je sais bien faire, doucement, les doigts sous ses bourses,
en alternant fonds de gorge et titillements du gland. "T'avais raison, José, c'est une bonne suceuse que tu as trouvé" José sort alors la sienne, et tourne mon visage vers lui. Là, sans que je m'y attende, il me crache sur la gueule. Tout de suite je comprends qu'il veut être mon chef. Sa queue est plus fine, mais elle est bien assez longue. Je le suce comme son pote. Il me prend la tête entre les mains et il choisit son rythme, il utilise vraiment ma
bouche pour son plaisir. Il me fait bien comprendre que je suis son
objet sexuel. Le noir ne veut pas rester à se branler, il me présente
sa queue pour que je prenne les deux en bouche. Heureusement que je ne
manque pas d'entraînement, parce qu'avec ces deux-là, il faut assurer !
Pendant ce temps-là, le José commence à toucher mon cul, je m'excite comme une petite chienne.Mais deux bites comme ça dans la bouche, ça donne vite des petites douleurs à la machoire. Heureusement pour ma bouche, le José veut autre chose. Il
enfile une capote, ce qui me fait craindre le pire. C'est pas le mec du
genre doux qui ouvre un cul progressivement. Effectivement, il entre
presque d'un coup. La douleur est vive, mais mon cri est étouffé par la grosse bite que j'ai dans la bouche. Peu à peu la douleur se calme, et elle fait place à un plaisir énorme. J'ai deux mecs virils pour moi, je fais la chienne et j'adore ça. Mes gémissements ont l'air de les exciter, parce qu'ils accélèrent le rythme.
"Tu vois, Omar, je t'avais bien dit que ce serait une bonne pute. "
"Dis-le, que tu aimes ça ! "
"mmhh oui c'est bon !"
Et je reprends la queue en bouche.
Derrière moi, je sens que José va bientôt venir. Il se retire, et me jouit sur le dos.
Omar prend alors la place laissée libre, et me rentre son truc énorme dans mon intimité. Il est plus doux que José, mais il prend vraiment son plaisir et moi aussi.
Pendant ce temps, José me met ses doigts dans la bouche : "Tiens suce, salope ! "
Omar me tient par le bassin, si je le voulais je ne pourrais pas échapper à ces deux bras musclés.
"T'es une bonne salope, toi. Dis-le, que tu aimes te faire enculer !"
"Oh oui, elle est trop bonne ta queue !"
Et il ne résiste pas, il jouit dans sa capote tout au fond de mon trou. Moi aussi, ça me fait tout de suite lâcher la purée.
On reprend notre souffle, et ils deviennent tout gentils : "T'es un super bon coup. Reviens demain, tu ne seras pas déçu"
J'ai bien l'intention de revenir !

Par Bipuce - Publié dans : Histoires
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Mardi 5 mai 2 05 /05 /Mai 22:25

Je suis arrivé à Marseille il y a deux jours. Mon patron m'a proposé un poste de commercial dans les Bouches-du-Rhône: j'ai réfléchi 2 secondes aux avantages de cette promotion et direct, j'ai signé! Fini le froid parisien, à moi la chaleur du sud, la Méditerranée et surtout les beaux mâles que je suppose chauds comme de la braise. Pour une salope comme moi, c'est la priorité!
Il ne fait pas très chaud sur la Cannebière ce soir mais j'avais envie de découvrir les lieux et qui sait, faire des rencontres. Après tout, je ne suis pas venu à Marseille pour rester enfermé dans une chambre d'hôtel! J'erre donc du côté du port, on m'a dit qu'une drôle de faune traîne dans l'obscurité des ruelles.


Assis sur un trottoir perdu dans mes songes, j'entends qu'on me siffle à quelques mètres. Je me retourne et aperçois un keum de taille moyenne en survet, une cagoule cachant sa tête. Il me fait signe de le rejoindre. A son niveau, il propose de me vendre du shit, le meilleur de la Cannebière parait-il. Je lui réponds que je ne suis pas du tout intéressé...
"-T'es sûr que t'es pas intéressé par mon matos mec?, m'interroge-t-il d'un air vicelard en se foutant la main au paquet."


Mes yeux se dirigent instinctivement sur le nylon de son jogging. Avec un peu trop d'insistance peut-être... Direct, il m'ordonne de le suivre. Je ne réfléchis pas, je lui obéis. Il me devance, ne se retourne pas, il sait que je le suis déjà soumis. On marche un bon quart d'heure dans la pénombre. J'arrive à lui décrocher son prénom: Malik. Un rebeu bien gaulé qui sait ce qu'il veut, directif et doux à la fois. En tout cas, c’est ce que je croyais. Il m'entraîne dans un dédalle de ruelles plus sombres les unes que les autres. C'est clair: il a bien capté que j'étais nouveau ici, il cherche à me paumer. Pourtant je ne bronche pas. Inconscient, je le suis commençant  d’être affamé. J'espère qu'il m'offrira une belle bite à biberonner. Arrivé au pied d'un immeuble, il se tourne vers moi, me chope par le bras:
"- Vas y mec! Descend, magne-toi!"


Il me pousse brutalement dans un escalier. On arrive dans une cave miteuse où une vieille ampoule crache une lumière blafarde. Sans rien m'annoncer, il prend son portable, compose un numéro:
-"Wesh Souhail! Vas-y ramène-toi, j'ai pécho de quoi nous vider les couilles, on est dans la cave." Et raccroche.


Je commence à comprendre ce qui va m'arriver. A cet instant, je commence à appréhender. Je distingue enfin le visage de mon "ravisseur": une tête de bad boy comme je les kiffe. Mais Malik ne semble pas apprécier que je le dévisage. Il me fout violemment à genoux et colle ma face sur sa teub encore enfouie dans le survet. Je réalise à ce moment qu'il n'a pas débandé, bien au contraire. Une putain de matraque m'attend, raide et lourde. Je vais me défoncer la mâchoire et certainement pas que la mâchoire... Ni une ni deux, il sort son engin et me le balance sous le nez.


Je n'attends pas, je sais ce que lui veut. Je n'ai pas intérêt à la ramener, je vais m'en prendre plein la gueule de toute façon. la bite de Malik est épaisse, veineuse comme je les aime. Circoncis bien sûr, un gland ruisselant de mouille qui se colle à mes lèvres et qu'il balade sur mon visage. Il semble grave excité mon beau taureau. A la grosseur de ses couilles, j'imagine qu'il n'a pas juté depuis plusieurs jours. Je suis un expert pour deviner ce genre de truc. Mais dans l'immédiat je n'ai pas trop le temps de penser. Tenant d'une main sa teub il me l'enfonce comme un piquet au fond de ma gorge sans se soucier si je peux la prendre. Il voit que j'étouffe, ça l'excite davantage, je sens son gland gonfler à chaque va et vient entre mes lèvres qui chauffent. Je n'aperçois même pas son pote Souhail qui est entré dans la cave et qui présente déjà son gourdin devant mes yeux. Là je débloque: une bite de 23 cm bien brune, tellement
énorme qu'elle a du mal à bander!


"- Alors petite pute, on est nouveau sur Marseille? On va te montrer qui sont les boss de la cité. Y a un rite pour les nouveaux ici: faut qu'ils se fassent dresser par Souhail et Malik, c'est la règle. Hmmm t'as une bonne bouche de tepu, toi. Ca se voit que t'as l'habitude de nettoyer des queues de rebeus. Vas-y salope, prend nos deux bites dans ta gueule."
Je m'exécute encore une fois, j'introduis les deux glands dans ma bouche, les deux arabes appuient fortement sur ma tête pour que je les pompe au max. Je sens ma mâchoire craquer. Malik laisse son pote se faire biberonner et passe derrière moi, me fout à 4 pattes et vire mon froc:
"- Oh la pute!! Elle avait tout prévu! Matte ça Souhail, il a foutu un jock strap. C'est carton plein ce soir. Matte-moi ce cul bombé de lopette, c'est un appel au viol ça, tu crois pas?
Souhail contracte ses muscles de mâle et gifle mon visage avec sa teub.
- T'as envie de te faire niker toi, petite pute, hein ?! Tu vas voir ce qu'ils vont te foutre les deux bledars!! Vas-y, suce-moi salope!"
Malik, pendant ce temps, crache sur ma rondelle et m'enfile à sec direct, sans capote sans rien. Je ne peux pas m'empêcher de hurler tellement il me fait mal mais Souhail m'assomme d'une claque.
"- Ta gueule salope!! C'est qui tes maîtres??
- C'est vous mes maîtres, je réponds tant bien que mal."
Malik me bourrine comme un malade en appuyant de tout son poids pour bien  cambrer mon cul. Il sort de mon boule et rerentre direct sans préliminaire. A chaque assaut, je manque de m'évanouir. La douleur commence à laisser place à un drôle de sentiment, j'ai même l'impression de mouiller comme une chienne. Je sens mon trou s'ouvrir béant. Souhail, lui, nettoie à fond ses 23 cm entre mes lèvres et chatouille mes amygdales. Puis, fait signe à son pote de lui laisser la place. Il me relève alors que je suis à moitié inconscient. Je peine pour rester sur mes jambes, il me jette sur un vieux canapé dégueulasse qui pue le sperme rance et m'embroche direct. J'étouffe un cri la gueule enfoncée dans le dossier du sofa. Malik a bien préparé mon cul, il a ouvert la porte du garage... Il refout sa teub dans ma bouche pour la nettoyer. Je pompe comme un malade, je suis pris en sandwich, mes deux rebeus s'excitent sur mes trous, leurs souffles
s'accélèrent.

Souhail a un marteau-piqueur à la place de la bite. Ses couilles viennent frapper sur mes fesses alors même qu'il tire la ficelle du jock strap vers lui et la relâche faisant claquer un bruit sec. Au bout de quelques minutes les deux manos se coordonnent et explosent de plaisir. Malik me crache toute sa purée dans le gosier, c'est chaud, infini, j'avale sa crème au fur et à mesure, il ne veut surtout pas que j'en perde une goutte. Au même moment, Souhail jouit en moi. Je sens des jets chauds de sperme gicler dans mon intestin. Les deux arabes me fécondent comme si j'étais leur meuf! Mon corps se remplit de crème épaisse, je kiffe sa mère! Souhail se retire d'un coup, essuie sa teub sur ma rosette qui fuit déjà tellement elle est ouverte. Il finit de frotter son chibre sur mon visage.
"-C'est bien salope! T'es un bon trou à bites! Tu as fait du bon boulot. Vas-y tu peux te casser maintenant."
Les deux keums se resapent et me laissent là comme un pantin désarticulé, gisant et gavé de sperme de rebeus marseillais...

Par Bipuce - Publié dans : Histoires
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