Mardi 4 août 2 04 /08 /Août 22:51
J'étais timide et empoté et je ne savais rien sur le sexe. Je plaisais aux filles mais n'arrivais pas à aboutir.
Un jour j'étais en vacances et avec un copain nos conversations allaient vers les filles. Nous passions la majorité de la journée ensemble et nous rigolions de tout.
Une fois, je me retrouvais chez lui et ses parents étaient partis pour la journée, malgré un temps pluvieux.
Il en profita pour aller fouiller dans la chambre des ses parents, et revint avec un DVD.
Il m'installa dans le canapé face à la télé et alla brancher le DVD et vint s'installer à côté de moi. Bien sûr c'était un film de cul et dès les premières images nous étions émoustillés. J'avais du mal à me contenir, mais ma queue se redressa, et déforma mon short. Je n'osais pas regarder mon voisin, mais finis par lancer un rapide coup d'œil sur son entrejambe, et comme moi, il bandait furieusement. Sa main sur la pointe que formait son sexe, il se pinçait le bout.
Quelques minutes plus tard, sa main vint sur ma cuisse, surpris, je le laissais faire, j'avais honte. Sa main se rapprocha du pli de l'aine et il me caressa lentement, avant de passer carrément sur mon sexe tendu dans l'étoffe de mon short. Je me mis en arrière, pour lui faciliter la tâche, et il glissa lentement le bout de ses doigts derrière l'élastique de mon short et dans le même mouvement derrière l'élastique de mon slip.
Cette main étrangère était la première à toucher mon sexe, et j'en étais encore plus excité. Il finit par saisir mon membre, et le caressa lentement et délicatement.. Puis, il décida de retirer mes vêtements et je soulevais le bassin pour l'aider. J'étais nu devant lui et affreusement gêné.
Il se releva et en deux secondes et trois mouvements il se déshabilla à son tour. Me laissant voir son sexe fin tendu et décalotté. Il se pencha vers moi et commença à me sucer le gland. Ses lèvres glissaient délicieusement le long de ma tige. Sa langue virevoltait autour de mon gland, la pointe insistant sur le frein, puis sa succion reprenait lentement. D’une main il maintenait mon gland décalotté, et de l'autre il caressait mes boules, l'une après l'autre. J'étais aux anges... Par la délicatesse de ses gestes et par l'amplification du plaisir, je sentais la sève monter. Une simple pression de son majeur sur mon sacrum empêcha une éjaculation qui se voulait rapide. Il reprenait sa caresse buccale et le doigt qui lui avait servi à ralentir la sortie de la sève descendit vers mon anus légèrement dilaté. Avec le plat de son majeur il décrivit des cercles sur ma rondelles, c'était délicieux... Puis délicatement appuya et pénétra son doigt qui sans résistance s'enfonça peu à peu. Une fois bien introduit, il décrivit des cercles petits au début puis plus grands après. Au départ, j'étais gêné par ce corps "étranger", mais je m'y habituais, le plaisir tendu par sa succion simultanée.
Tout en maintenant mon sexe dans sa bouche, il souleva mes genoux afin qu'ils reviennent sur ma poitrine. La vue de sa bouche glissant sur mon sexe m'excita davantage... Mon anus lui était maintenant largement offert et il posa son gland lisse à l'endroit où il avait enlevé son doigt... Il appuya légèrement et son gland disparut dans entre mes fesses. En continuant sa progression, je sentis une petite douleur. Il s'en aperçut et s'immobilisa un instant. Il profita de cette entr'acte pour me rouler une pelle magistrale, et lentement avança sa progression. Ses deux mains maintenaient mes jambes soulevées et il commença à faire des mouvements de va et vient. Son sexe glissait bien dans mon anus mais me brûlait légèrement. Brûlure qui s'estompa pour faire place à un plaisir indescriptible. Mon anus mouillait naturellement et favorisait ses allers et retours. Ses mouvements se firent de plus en plus forts. Il se retirait complètement puis replongeait dans mon trou, c'était merveilleux...
Je sentis qu'il allait jouir, sa queue se faisant de plus en plus chaude et de plus en plus dure. Rapidement, il relâcha mes jambes soutenues hautes, sortit son membre, et d'une main tira sur ma nuque rapprochant son gland de ma bouche que j'ouvris naturellement et je reçus toute sa liqueur par jets successifs dans le fond de ma gorge. Je découvrais et appréciais le goût légèrement salé de son sperme et je pinçais les lèvres pour bien en retenir toute sa consistance.
Il se retira et s'affala sur le canapé à côté de moi en respirant très fort comme épuisé.
Sa main glissa le long de ma cuisse et attrapa mon sexe encore tendu, posé sur mon ventre. Il me branla quelques minutes très lentement pour maintenir la pression, puis il se glissa entre mes jambes à genoux sur le tapis et reprit sa succion / branle jusqu'à ce que je décharge tout mon jus dans sa bouche chaude et accueillante. Il me rinça jusqu'à la dernière goutte puis s'écroula sur le tapis en souriant.
Par Bipuce - Publié dans : Histoires
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Lundi 3 août 1 03 /08 /Août 22:42
Cette histoire m’est arrivée à l’été 2008. Je suis un jeune homme de 24 ans 5 pied 8, 150 lbs et à ce qu’on dit j’ai un beau petit cul bombé et toujours bien rasée. Je suis plutôt bi, mais lorsque je fais quelque chose avec un gars, j’aime me faire prendre en mains et j’aime les gars dominants. Malheureusement là où j’habite, c’est plutôt rare.

Je suis en voyage dans la belle ville de Québec et je n’ai rien à faire. Je vais sur un site de rencontre et je fini par trouver un gars avec une queue de 8,5 très large. Je n'en ai jamais vue de si grosse. Il se dit baiseur hard, mais respectueux. Alors je vais chez lui, il était grand et assez costaud, pas musclé mais pas gros.

J’entre, il me regarde et me dit salut. Il y a un film de cul qui passe à la TV. Il me dit de me déshabiller et de venir m’assoir à côté de lui sur le divan. Je me déshabille donc dans l’entrée, devant les fenêtres dont les stores sont à moitié ouverts. J’ai à peine le temps de m’asseoir, qu’il ouvre son jeans et sort sa queue à moitié bandé et me dit de le sucer. Je me mets donc à la tâche et je sens sa queue grossir dans ma bouche. Plus elle grossit, moins je suis capable de la prendre dans ma bouche. Un fois bien bandé, il m’agrippe la tête è deux mains et commence à me fourrer la bouche. J'adore sa. Malgré ces coups de queue à répétition, seulement la moitié de sa queue rentre dans ma bouche.

À l’habitude je suis capable de la rentrer dans ma gorge pour tout rentrer, mais elle est trop large. Pendent ce temps, je reçois plusieurs fois des giclés de précum très gouteuse dans la bouche. Après 10 bonne minutes il me relève et me tire par le bras dans sa chambre, et me pousse carrément sur son lit.
Il me dit : met toi à 4 pattes dos à moi.

Je m’exécute et il commence à me manger le cul à fond, il a une grosse langue et il essaie de la rentrer le plus possible.

Pour donner une idée, il doit peser au moins 180 lbs et mesure 6 pieds.

Par la suite, il lâche mon cul et me dit de me coucher sur le ventre sur le lit. Il vient se placer au dessus de moi et il commence à me passer sa queue entre les fesses. Je sens que son gland est plein de précum, juste en passant sa queue comme ça, j’ai la raie toute lubrifiée.

Par la suite, sans même me demander si ça me dérange si il ne met pas de condom, il aligne sa queue sur mon anus. Juste le bout de son gland est appuyé sur mon anus. Je m’attendais à ce qu’il appuis doucement pour faire entrer cette queue d’une circonférence impressionnante, mais il se laisse tomber comme une poche et me défonce d'un coup.

Par réflexe, j’essaie de me dégager, mais il me retient par les épaules et par son poids. La douleur est vraiment intense, je n’ai jamais eu aussi mal lors de mes autres pénétrations.

Il voit que j’ai mal et attend bien planter au fond de mon cul. On attend une ou deux minutes que la douleur parte. Ensuite, il remarque que je ne grimasse plus de douleur, il me demande : ça va ? je lui fais signe de la tête que oui.

Il commence donc un vas et vient très lent. Voyant que mon anus s’habitue à sa circonférence, il commence à aller un peut plus rapidement, mais commence à pousser sa queue le plus loin possible dans mon cul. À chaque fois qu’il recule, je sens son gros gland butter sur la partie interne de mon anus, et c’est à ce moment qu’il arrête de reculer. Il recommence par la suite à s’enfoncer et il n’arrête que lorsque je lâche un petit cri de douleur. À chaque fois qu’il s’enfonce à fond, la douleur est vive mais le plaisir l’est encore plus.

De temps à autres, il se relève le haut du corps, sans toutefois sortir totalement de mon cul, et m’ordonnant de reculer, et de pousser. Je m'empale alors tout seul sur sa queue. J'arrête avant que ça me fasse mal, mais il dit : pouce, pouce…

Je pouce donc jusqu'à ce que ça me fasse mal et que je sois bien appuyé contre lui.

Ensuite, il se redresse et me met à quatre pattes et en me tenant pas les hanches continue à me pénétrer, toujours à une vitesse moyenne mais toujours aussi profondément.

Quand ca me fait mal, je mets ma main pour bloquer son élan. Alors il arrête tout mouvement et me disait : enlève ta main, ou il l'enlève lui même et continuais à la pousser à fond.

Tout cela dure environ 45 minutes. Pendant tout ce temps, il n’est jamais sorti de mon cul, ni n’a rajouté de lubrifiant.

Pour terminer, il me tourne sur le coté et me baise en culière en me tirant par les épaules et les hanches pour rentrer à fond. Sans même me demander la permission de me jouir dans le cul, il m’agrippe par les épaules et s’enfonce à fond avec encore plus de force que toutes les autres fois. Je sens sa queue gonfler à chaque jet qu’il projette dans le fond de mon cul. La douleur est intense, mais les spasmes de sa queue et la chaleur de son sperme me font jouir en même temps.

On reste une ou deux minute comme ca, sa queue qui ramollie doucement dans mon cul pour reprendre notre souffle.

Par Bipuce - Publié dans : Histoires
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Lundi 29 juin 1 29 /06 /Juin 23:07
Il y a quelque temps, j'ai pu réaliser mon fantasme. Je suis gay passif et j'adore sucer des bites et me faire sodomiser par des grosses queues.

Lors de mes dernières vacances, j'avais contacté des personnes sur des sites de rencontres pour réaliser mon fantasme. J'avais trouvé cinq gays actifs et on s'est retrouvé dans la maison de campagne d'un d'eux. Les rôles étaient attribués dès le début. J’arrivai à peine qu'ils me déshabillaient et m'emmenaient dans une salle spécialement aménagée dont je ne sortirais pas des vacances. Ils m'enferment dans la salle et me laisse seul une heure pour m'habituer à ma "nouvelle niche". La salle ne contenait qu'un matelas à même le sol et deux gamelles pas de toilettes ou de douche. J’allais vivre là durant une semaine.

Au bout d'une heure j'entends le verrou bouger et je vois mes geôliers entrer. Ils ont tous les cinq la bite à la main qui est étrangement molles. Je comprends vite quand sans un mot, mes geôliers déversent sur moi un flot de pisse. D'abord dégoûté, je m'y fait vite et lève naturellement la tête, la bouche ouverte pour accueillir ce divin nectar dans ma bouche. Ils ont dû se retenir longtemps car il me pisse abondamment dessus. Puis ils me laissent là en disant "on l'a bien baptisé la chienne". Je reste là souillé mais tellement excité.

Deux heures plus tard les voilà qui reviennent "Maintenant tu vas nous sucer ma petite chienne" s'exprime l'un d'eux. Ils sortent tous les cinq leurs bites bandées et me la mettent sous le nez. Je me jette dessus comme un affamé et j'engloutis la première bite la plus petite du groupe, 16*5, et j'ai dans les mains deux belles bêtes de 23 et 24 cm. Elles sont si douces, j'adore vraiment tripoter de belles bites. J'alterne avec les deux autres bites un peu plus petites. Ma bouche et mes mains passent de bite en bite, alors que je suce goulûment une des bites, un autres geôliers force ma bouche et je me retrouve avec deux belles bites dans la bouche et cela m'excite énormément je sens les bites se raidir et je reçois dans la bouche deux éjaculations abondantes. Les trois autres éjaculent à leur tour et je me trouve noyé sous un déluge de foutre si délicieusement savoureux.

Je reprends mes esprits un peu plus tard, je me sens sale. Un peu plus tard mes geôliers arrivent et l'un d'eux me dit "Si tu veux manger, il faudra t'en montrer digne". Je fais oui de la tête. Là l'un d'eux me retourne et commence à me lubrifier l'anus avec du gel, mon trou semble près à tout. Il me fait lécher ses doigts et pointe sa bite sur ma rondelle, il commence à s'enfoncer lentement dans mes entrailles, puis il accélère le rythme et je ressens de plus en plus de plaisir. Soudain il se lâche dans mes entrailles. A peine a-t il sorti sa bite de mon cul qu'une autre vient prendre sa place. Je veux me retourner pour voir qui me sodomise, mais le premier geôliers m'attrape la tête et m'enfonce sa bite molle dans la bouche. J'ai une belle bite dans le cul et une bonne bite dans la bouche, je suis aux anges. Mon deuxième geôlier est plus rapide et m'inonde les entrailles à son tour. Les trois autres décident de me prendre en même temps, le premier s'allonge et me fait signe de venir sur lui, je m'assois de tout mon long sur longue bite pour la prendre bien au fond, je pensais devoir sucer les deux autres bites quand l'un des deux restant me pousse pour me pencher vers l'avant et tente d'enfoncer sa bite dans ma rondelle. Je le sens pousser mais sa bite ne peut pas rentrer. Soudain son gland franchit la barrière du sphincter, la douleur fait vite place au plaisir, et sentir deux bites dans mon bas ventre me met dans tous mes états. Le dernier geôlier se place devant moi et m'enfonce sa bite dans ma bouche. Je suis au septième ciel, je reçois ma première double pénétration annale et j'ai une belle grosse queue dans la bouche. On conserve cette position durant un quart d'heure avant que l'une des bites libère mon trou pour éjaculer sur mon dos. Maintenant mon cul coulisse tous seul sur la bite restante, La bite dans ma bouche explose et je garde bien le sperme en bouche pour ressentir toute la douceur de ce goût si bon. Le dernier dans mon cul m'annonce qu'il va pas tarder a exploser, je me retire rapidement pour prendre se long sexe dans ma bouche. Il éjacule quasi aussitôt dans ma bouche et j'avale avec plaisir ce nectar si doux. "Tu l'as bien mérité" et il me tendent une gamelle pleine d'eau et l'autre pleine de nourritures. "On reviendra plus tard".

Cette routine a duré pendant toutes la semaines, la veille de mon départ, mes geôliers me promettent "On t'as réservé une surprise pour ce soir". Le soir l'un d'eux entre et me bande les yeux et m'attache les pieds de telle façon que je garde les jambes écarter. "Tu vas déguster". Cette nuit j'ai du accueillir une vingtaine de bites dans mon cul et dans ma bouche. Je n'ai pas réussi à compter tellement la jouissance était énorme. Le lendemain on s'est quitté en se promettant de reproduire cette expérience lors des prochaines vacances...
Par Bipuce - Publié dans : Histoires
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Jeudi 11 juin 4 11 /06 /Juin 23:09
Je suis assez provocateur et je m'amuse d'émoustiller des garçons de mon âge ou filles.
1,72m pour 60kg, imberbe presque totalement, j'ai les traits assez fins et mes cuisses sont longues fines et lisses. En été je bronze facilement,ce qui fait que les jambes qui sortent de mon short sont dorées et galbées.
Sous ce short que j'aime court, je m'amuse à ne rien mettre dessous et laisse libre mon sexe de taille très moyenne. Par mes mouvements tout le monde peut imaginer voir mon appendice aller de gauche à droite.
Un jour j'eus la visite d'un copain de classe, même age que moi (18 ans) qui ne parlait que de filles et de ses fantasmes avec elles. Je l'écoutais religieusement et m'étant assis en tailleur sur le canapé face au fauteuil où il était assis je remarquais qu'il lançais son regard vers mon entrejambe et qu'il devait voir une partie de mon sexe libre. Je bougeais de temps en temps pour faire dévoiler ce que j'étais sensé cacher et observais ses yeux qui se fixaient de plus en plus là où je le voulais.
A cette manoeuvre perverse, mon sexe prenait une dimenssion plus importante et je feignais de ne rien savoir, jouant à fond la carte de l'innocence. Plus le temps avançais plus mon interlocuteur bafouillait et la bosse de son short grossissait, au point qu'il gesticulait sur son fauteui pour cacher sa bandaison...
Tout en discutant, je décroisais es jambes pour en allonger une laissant bailler mon short. Je le sentais par le petit courant d'air froid qui s'engouffrait par la jambe de ce short. Il devint rouge, et ses yeux ne me fixaient plus dans les miens mais plutôt vers mon bas ventre...
Il arrêta son monologue, puis tendit sa main pour la poser sur ma cuisses... je ne dis rien, écartais un peu plus mes jambes pour fairer bailler mon short peu plus, ce qui eut comme conséquence que sa main s'avança et lentement glissa sous la jambe du short. Ma queue durcie aussitôt au contact du bout de ses doigts. Il ne disais plus rien et me regardais maintenant droit dans les yeux tout en manoeuvrant à sa guise. Je soutenais son regard ce qui l'incita à aller plus loin. (j'avais peur qu'il s'en effraie et qu'il se retire). Il était trop excité, il caressait maintenant mon sexe tendu et entreprit de le décalotter. Avec son pouce, il passait sur mon frein et aller masser mon gland rouge. J'avançais mon bassin peu à peu pour m'offrir à lui. Il ressortit ma verge par la jambe du short et la tenant d'une main il commença une branle. Puis, n'y tenant plus, il se pencha, donna quelques coups de langue sur le méat avant de gober mon gland dans sa bouche fièvreusement chaude. Maladroitement, il me pompait en m'aspirant à tel point qu'il me faisait un peu mal. Je posais ma main sur sa tête pour le calmer et lui donnais le rythme de sa fellation. Je sentis la sève monter, je fis tout pour me retenir mais il maintenait le bon tempo et je finis par exploser dans sa bouche. Il avala tout au fur et à mesure que je lâchais mes jets de sperme et continuais à sucer de la même manière. Je dus lui bloquer sa tête pour qu'il arrête et il resta un bon moment inerte, mon sexe dans la bouche.
Quand il eut reprit ses sens, il se redressa l'air épuisé et se renversa dans son fauteuil. Je vis la bosse de son entrejambe et encore très excité, je me levais et entrepris de lui retirer son short et son slip en même temps. Il se souleva pour me faciliter la tâche et en un rien de temps il se retrouva le sexe à l'air et en tee shirt.
Je découvris son sexe chaud et tendu avec un long prépuce, fin, lisse, très beau...
Je remontais son tee shirt sur son ventre pour être plus à l'aise et le tenant par les hanches, j'entrepris de le décalotter qu'avec la bouche... Il se tordait de plaisir... Quand son gland fut bien décalotté je commençais à le sucer comme un sucre d'orge, faisant tourner ma langue autour de la base de son gland puis le reprenant en bouche pour bien le déguster. Son bassin commença à onduler et il imposait lui même sa cadence, mes doigts caressais ses boules fines, dures et lisses. Puis ma langue descendit vers son scrotum. Je malaxais bien ses boules dans ma bouches avant de diriger la pointe de ma langue vers son oeillet impatient... Je fis tournoyer ma langue sur son petit trou qui peu à peu s'entrouvrit non sans quelques gémissements de plaisir. Enfin, je parvins à pénètrer le bout dans son anus avec beaucoup de salive et de plus en plus loin. Ses gémissements devinrent des cris ce qui m'excita moi aussi de plus en plus. Je me levais d'un seul coup, releva ses jambes en même temps que je les écartais puis je posais mon gland sur son petit trou entrebaillé un tantinet. Dans sa fièvre il me disais "non! pas ça" mais je compris "continue". Mon gland fin passa la bague de son anus d'un seul coup, il cria et s'immobilisa.. Je le maintenais maintenant das la même position attendant que sa douleur s'apaise puis ntrepirs petit à petit d'aller plus loin. Arrivé à la garde, je fis un petit va et vient puis amplifiant le gest je finis par de larges aller-retour qui lui fit hurler de plaisir. Ses jambes étaient comme suspendues dans le vide pendant que je le limais comme un bélier en rut. Mes boules venaient frapper ses fesses à chaque ballant, il hurlait maintenant de plaisir. Face à lui je voyais son sexe balloter ;; je le pris à pleinemain et entrepris de le branler dans la même fièvre. Je finis par lacher tout mon jus dans le fond de son ventre et silmutanément plusieurs jets de sperme giclèrent sur son ventre. Epuisé, je couchais sur lui, toujours accroché par mon sexe et nous restames un bon moment comme ça, lui me serrant dans ses bras.
Par Bipuce - Publié dans : Histoires
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Jeudi 11 juin 4 11 /06 /Juin 22:54
Ksokos est né très pauvre, dans l’antiquité, les enfants pauvres pouvaient être vendus par leurs parents et élevés dans des orphelinats pour garçon. Ksokos y passa son enfance jusqu’au jour de ses 18 ans.
Le jour de ses 18 ans, il fut envoyé devant le comité des maîtres : un comité qui disposait à leur majorité des jeunes esclaves à une seule condition : qu’ils soient vierges et musclés comme de vrais athlètes. Ksokos ne savait pas ce qui allait lui arriver durant cette journée.
Dès 10 heures, il fut présenté devant le comité des maîtres composé de 10 riches hommes habitant dans un palais : ils choisissaient les jeunes esclaves pour leur jeux sexuels et leur faisaient passer une journée d’initiation très rude.
Ksokos, se trouvait habillé en toge devant cette assemblée qui le scrutait sans broncher. Deux esclaves plus âgés firent leur entrer : ils allaient préparer l’initiation de Ksokos devant les 10 maîtres.
Ils commencèrent par lui enlever sa toge : Ksokos se retrouva nu devant le comité, un peu gêné : il disposait déjà d’un corps sculpté et de muscles robustes ainsi que d’un sexe long et épais qui pendait. Les deux esclaves le firent allonger sur la table placée en face des maîtres. Là, on le rasa de la tête aux pieds puis on lui enduit le corps d’huile parfumée. Ksokos ne bronchait pas et cette nouvelle sensation le gêna.
Ensuite, on le fit mettre à 4 pattes les fesses face aux maîtres. Un des esclaves lui écarta les fesses pendant que le second enfonça un tuyau dans son petit trou. Le tuyau entra facilement car il était bien huilé. Ksokos gémit : il sentait qu’on lui remplissait les boyaux d’un liquide pour procéder à un lavement. Ses boyaux gonflaient, quand il n’en puis plus, on lui retira le tuyau et il expulsa tout le liquide par terre. Son cul était maintenant bien propre.
Les deux esclaves vinrent ensuite s’occuper de son sexe et de ses couilles. Pendant que le premier attacha les mains de Ksokos à la table, l’autre lui attacha les deux pieds bien écartés. Il se retrouvait le sexe face aux maîtres.
Ksokos avait peur car un des esclaves venait de lui mettre un morceau de tissu dans la bouche. Il comprit que c’était pour éviter de l’entendre crier. Pendant que le premier esclave lui massait le gland et tirait sur son long prépuce, le second avait serré ses couilles avec une lanière de cuir : la lanière était trop serrée et Ksokos ne sentait plus ses couilles mais le supplice continua : on attacha à la lanière de cuir des poids qui firent descendre les couilles de Ksokos : les poids étaient tellement lourds qu’il avait peur que ses couilles ne s’arrachent.
Vint ensuite le tour de son sexe, on le badigeonna d’une pommade qui provoqua une énorme érection à Ksokos. Les esclaves en profitèrent pour attraper une sorte d’aiguille qui transperça le prépuce de Ksokos. La douleur était immense : le trou étant fait, on lui enfila dans le trou du prépuce un anneau lourd que l’on referma. Cet anneau très volumineux et inconfortable ne pouvait être retiré que par les maîtres : ainsi Ksokos ne pourrait jamais fait l’amour sauf si l’un des maîtres le souhaitait. Cet anneau très douloureux qui maltraitait les glands rappelait aux esclaves leur condition d’objet sexuel.
Quand on l’attacha à 4 pattes sur la table, Ksokos gémissait de douleur : mais le supplice n’était pas terminé, les 10 maîtres se levèrent et prirent le petit trou vierge de Ksokos chacun à leur tour. Ksokos, sous les coups de butoir avait mal : mal au cul car il était vierge, mal au sexe car l’anneau lui faisait mal et mal aux couilles pendues à un poids. Pourtant il ne débandait pas : la pommade le maintenait en érection forcée. Chacun à leur tour les 10 maîtres le limèrent avec force sans lui parler : juste en le pilonnant comme un chien. Tous se vidèrent dans ses fesses.
Au bout de 2 heures, tous étaient passés. Ksokos était resté attaché à la table le cul endolori et bien ouvert, avec du foutre qui n’arrêtait pas de sortir : 10 bonnes éjaculations dans son petit trou s’écoulaient sur ses jambes musclées. Ksokos avait joui 5 fois à la demande des maîtres : il avait maintenant le sexe endolori et le gland qui pendait, tiré par son anneau d’esclave de sexe…
Par Bipuce - Publié dans : Histoires
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