Mercredi 14 juillet 3 14 /07 /Juil 22:52

Voici comment s’est passé ma première fois avec un mec. J'avais 20 ans.

Mon nom est Sam, je suis à moitié algérien et français. À l’époque, je vivais chez ma mère et pour les grandes vacances, je décidai de monter deux mois chez mon cousin Joris (25 ans, sportif, boxe et muscul, 1m81, 75kg, brun et super bogoss).

Fin juin, j'arrivais chez lui avec une simple valise. Il me laissa le canapé comme lit. Après quelques jours de recherche de taff, je ne trouvais rien sauf un simple boulot chez McDo, le rêve quoi, ça ne gagnait pas grand chose. Le soir, je lui ai raconté ma journée, mais il en avait rien à faire, lui ce qu'il voulait, c'était être prêt pour son combat de boxe ce weekend. Il était juste en survêt et torse nu en train de faire des pompes, et moi j'étais en train de le matter grave. Pourtant à l’époque, je n'avais jamais couché avec un mec.

Le soir du combat, il rentra complètement défoncé. Il avait bien sûr gagné et il avait bien fêté ça avec ses potes. Moi j’étais en train de dormir, je pigeais rien de ce qu il me disait.

— Ça va Joris? Ton combat s’est bien passé?

— Je l'ai défoncé grave, ce bâtard!

Il avait le visage quand même un peut gonflé, il avait dû s'en manger plus d’une bonne quand même.

— Et après avec les pote, on est allé en boîte fêter ça, et il y avait une putain de meuf! Trop bonne, avec un bon p’tit cul!!!

Il s’avança vers moi, me regarda le cul.

— Limite comme le tien Sami, et il me plota le cul.

— Oui mais je suis pas une meuf Joris! Bon allez, bonne nuit cousin! Il est super tard et je suis cassé et en plus je taff moi demain!

— Tu as rien foutu de la journée et tu es cassé!!! Tu pourrais au moins t’occuper de moi un peu! Putain!

 Il puait l’alcool, je l'aidais à lui retirer ses basket, son jean. J'étais assez gêné car il ne portait pas de slip et je voyais sa queue. Elle ne bandait même pas mais elle était super grosse avec de bonnes couilles mais il y avait pas un poil. Joris me regarda:

— Allez cousin, suce moi, j'ai vu que tu arrêtais pas de mâter la dernière fois! Allez pompe moi, putain je suis trop chaud!

— Oui c’est ça Joris, bonne nuit!

En vérité, j'en avais grave envie, mais bon, je me cassais asse vite car je commençais à avoir ma queue raide dans mon boxer.

Deux minutes plus tard, je n'entendais plus rien. Il devait être en train de dormir. Moi je bandais toujours. J'ai commencé à me branler et quelques minutes plus tard, j'avais joui et je m'endormais en pensant à mon cousin et sa queue.

Quand d'un coup on m'arracha les cheveux et je me pris une baffe dans la gueule, je tombai au sol.

— Tu es vraiment une pute comme toutes les filles. Tu mates et tu fais rien!

Et là, je me pris un coup de pied dans les côtes. Il me prit la tête, me mit un bon coup de poingt dans la geule. Je tombais sur le canapé complètement sonné.

— Comme j'ai pas sauté cette pute en boîte, c’est toi que je vais sauter. Tu as le même cul et tu dois être encore plus serré qu’elle du cul.

Je pigeais vraiment rien de ce qu'il pouvait se passer. Je sentis mon caleçon partir à une vitesse et il me le mit direct dans la bouche.

— Et ne gueule pas trop fort, tu vas voir je suis sûr que tu vas l'aimé, toute les filles l'aiment ma queue. Je vois pas pourquoi pas toi.

 J’avais le corps posé sur le canapé, le cul et les jambes qui dépassaient, il me cracha sur mon cul.

— En plus tu es comme les filles, tu n'as pas de poil, je kiff trop ça!

Il me cracha sur ma rondelle, il y mit un doigt et là déjà j'avais mal. Il avait l'air d'avoir une putain de grosse queue, j'ai su plus tard qu'elle faisait 22cm et super épaisse. Il commença à me travailler le cul avec un deuxième puis un troisième.

— Ça y est, tu es enfin prête salope, tu vas aimer j'en suis sûr, et même tu en redemanderas encore plus.

Il approcha son gland de ma rondelle et poussa d'un coup sec jusqu'au bout. Je me mis à gueuler comme si j'avais reçu un coup de poignard, même mon caleçon n'arrêtait pas le son de ma voix. Il me prit la tête et me la plaqua face contre le canapé pour étouffer les cris, mon cul était déchiré en deux. Il me mit un coup de poingt dans le côté, ce qui me bloqua la respiration.

— Putain tu vas aimé être ma pute je te jure, tu vas être accro de ma queue!

Et il commença à me ramoner le cul. J'avais tellement mal que je n'entendais limite plus tout les insultes qu'il était en train de me dire. Il était en train de me pistonner de plus en plus fort, je sentais ses couilles me taper le cul. Il me claquait les fesses avec force que j’en oubliais le mal que me faisait mon cul.

Il se retira d’un coup, il me prit par les cheveux et me fouta debout contre le mur. Je chialais comme un môme, lui disait plutôt comme une bonne meuf qui vient de se faire dépuceler. Il me retira mon caleçon de la bouche, m'écarta les jambes et pointa sa queue contre mon cul encore en feu. Il rentra encore une fois d'un coup, mais cela me fit moins mal que la première fois.

— Allez salope! Bouge ton cul sur ma queue!

 Il me claqua encore une fois le cul. Les mains posées contre le mur, je commençais à bouger mon cul d’avant en arrière, lui posait les siennes sur les mienne et parlait comme une pute dans le creux de l’oreille.

— Tu aimes ça hein? Dis le moi.

Je n'arrivais pas à sortir un seul mot mais je començais à trouver un certain plaisir.

— Allez Sam, dis le moi, tu aimes te faire mettre?

En réponse, j'accélérais le mouvement de mon cul sur sont pieu.

— Oui c’est ça salope, bouge bien ton cul. Ça prouve que tu aimes ça. Allez plus vite!

Je commençais à gémir de plus en plus, je sentais que j'allais jouir sans même me toucher. Joris lui ne parlait plus mais il me pilonnait de plus en vite et de plus en plus fort quand il se raidit et m’écrasa la gueule contre le mur et là, je sentis une vague de chaleur dans mon cul. Moi les mains toujours bloquées par les siennes, je me mis à jouir et déchargeais tout contre le mur et poussai un râle en même temps.

 Joris se retira de mon cul sans rien dire et repartit dans sa chambre et ferma la porte. Moi, les jambes en coton, je glissais contre le mur. Je me mis à pleurer. J’avais le cul en feu et qui coulait du sperme de mon cousin et j'avais la joue posée contre le mur dans mon sperme.

Je réussis à peine à dormir cette nuit là et le lendemain matin, je partis direct bosser au McDo. Mais je me disais: Putain, comment ça va se passer ce soir quand je vais rentrer du taffe?

Par Bipuce - Publié dans : Histoires
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Mardi 6 juillet 2 06 /07 /Juil 22:51

Le Bac est passé. La prochaine rentrée se fera en fac. En attendant, mon père veut que je bosse. Il a usé de ses contacts et m’a trouvé un poste de réceptionniste dans un hôtel en Suisse. Je ne connais pas le travail mais je bénéficierai d’une formation sur place.

Durant le trajet en train, je m’isole régulièrement dans les toilettes pour me branler. J’aime toujours autant ça. La nuit venu, le compartiment que j’occupe est pratiquement vide. Discrètement, je sors deux revues de mon sac. Un magazine porno que je cache dans un magazine consacré aux voitures. Les photos et la situation m’excitent.

Je sors ma queue de mon jeans et je me branle doucement en regardant autour de moi pour ne pas me faire surprendre par le contrôleur. Je passe un doigt sur mon gland luisant, je récupère la mouille qui s’en échappe, je la porte à mes lèvres, c’est délicieux. J’alterne des passages rapides tout le long de ma bite, et des mouvements plus lents. Je prends mon temps, je ne suis pas pressé de jouir. Je savoure le moment. C’est bon de prendre son temps. Je suis tout transpirant. Mon jeans me colle à la peau. Très excité, je m’enhardi, et je fais glisser mon pantalon jusque sur mes genoux. Je continue à me branler en me caressant les couilles. Depuis quelques temps, je les rase. Elles sont lisses et douces. Mes doigts glissent vers mon anus. Il est tout humide de transpiration. Il palpite sous mes doigts. J’y enfonce le majeur. C’est bon, je me sens seul au monde, abandonné au plaisir de ma branlette. Je ferme les yeux.

En les ouvrants, je découvre devant moi, un grand gaillard, treillis militaire qui se tient devant moi. Il a sorti sa queue. Il me regarde en silence. Alors, sans qu’il ne m’ait rien demandé, j’engouffre sa queue. Je la tête avec délice. Je prends entièrement sa bite en bouche jusqu’à me coller le nez dans ses poils bruns. Je joue avec son gland. Je passe ma langue sur toute la longueur de sa tige, puis je le reprends en bouche. Lui ne dit rien. Seule sa respiration qui s’accélère me permet de deviner qu’il apprécie mes efforts. Je poursuis ma pipe bien décidé à le faire gicler. Je me branle en même temps. Je ne vais pas tarder à gicler, la pression monte. J’aspire sa queue à fonds, je veux qu’il vienne lui aussi. Ma bouche se fait plus rapide sur sa bite, je n’en peux plus, je jouis. Mon foutre se répand sur mon tee-shirt. Je veux continuer à la sucer, aller jusqu’au bout de ma mission. Il se recule, prend sa queue en main et après trois mouvements, gicle à son tour sur mon tee-shirt.

Sans prendre le temps de se réajuster, il s’éloigne, la queue à l’air. Je me rhabille, et je m’endors.

Au matin, c’est le contrôleur qui me réveille à l’arrivée du train en gare. Il me sourit. Reprenant mes esprits, je réalise que mon tee-shirt porte les traces de mes activités nocturnes. Vite fait, j’enfile un pull, et je descends sur le quai. Au loin, j’aperçois le soldat, il me sourit puis disparaît dans la foule.

Je sors de la gare, sur le parking, une voiture de l’hôtel m’attend. Au volant, un black. Il se présente, Djallil. Le trajet jusqu’à l’hôtel se fait en silence. Sur place, le chef de réception m’attend, je le suis dans son bureau. Il me dit s’appeler Fabien. Il m’explique brièvement quel sera ma tâche et comment va se dérouler la formation. On sort de son bureau pour rejoindre la chambre que l’hôtel à mit à ma disposition. Je dépose mes affaires et je suis Fabien jusqu’à la lingerie.

Au milieu des machines et des étagères de linges, Simone, la lingère nous attend pour l’essayage de mon uniforme.
Elle : « Allez mon minou, en slip ! »
Je suis pétrifié, ils vont découvrir que je ne porte pas de sous-vêtement sous mon jeans.
Elle : « Sois pas timide ! »
Fabien : « On n’a pas toute la journée, dépêchez-vous jeune homme : » Alors, devant eux, je vire mon pull et mon tee-shirt ensemble, cachant ainsi les tâches de foutre résultant de mon aventure ferroviaire. Je vire mes pompes et mes chaussettes. Je me tiens maintenant devant eux, torse nu et en jeans.
Simone : « Tu dois essayer ce pantalon, tu ne comptes quand même pas l’enfiler sur ton jeans. » Je devine que de son côté, Fabien s’impatiente.

Vaincu, j’ôte mon jeans. Me voilà entièrement nu, les deux mains sur mon sexe, cherchant à cacher l’essentiel.
Simone éclate de rire : « En voilà un qui veut me faire faire des économies de lessives. » Le rouge me monte aux joues, je ne sais plus où me mettre.
Simone : « Bon… pour les essayages, j’aimerai autant que tu portes un petit bout de tissu pour cacher ton petit robinet. Je vais chercher ça, je dois bien avoir un vieux slip oublié par un client… » Et elle s’éloigne.

Je reste seul avec Fabien que me regarde de bas en haut. Pour un premier jour de travail, ça commence bien. Heureusement, la lingère revient rapidement, un slip blanc à la main. Mon calvaire touche à sa fin. Elle jette le slip dans ma direction. Je tends le bras pour l’attraper, mais il vient de poser sur une corde à linge. Je dois me bagarrer pour l’atteindre et le récupérer.
La lingère éclate de rire : « C’est un garçon ! » Fabien manque de s’étouffer dans un fou rire contenu.
Voulant à tout prix récupérer ce foutu slip, je n’ai pas attention que les deux bras en l’air, je leur exhibe mon sexe.
Pendant la séance d’essayage, j’ai les deux yeux rivés sur le sol.

Fabien me raccompagne à ma chambre.
« Vous avez votre après-midi et votre soirée de libre. Profitez-en pour faire quelques courses… des slips par exemple. Je vous attends, demain matin à 8 h. » « Bien, Monsieur. » Suivant ses conseils, dans l’après-midi, je quitte l’hôtel et me rends en centre-ville. Je dois absolument m’acheter des slips. Dans le magasin, j’en choisis cinq, tous blancs.
De retour à l’hôtel, je descends directement au réfectoire du personnel. Sur place, je retrouve Djallil. Il n’est pas très bavard, moi non plus, on dîne en silence. Le repas fini, je rejoins ma chambre. Je me déshabille, et je m’endors ainsi, nu sur le lit.
Le lendemain matin, j’enfile un slip neuf, mon uniforme et je descends à la réception. Fabien m’attend. Il m’indique le bureau que je vais occuper pendant toute la saison. Ma formation commence aujourd’hui. Cette première journée fût longue.

Au moment de rejoindre ma chambre pour me changer et aller diner, ma collègue réceptionniste m’informe qu’il y a un paquet dans mon casier. Surpris, je prends le paquet et je monte dans ma chambre. Enfin seul, j’ouvre le paquet, et je découvre un string blanc.
Qui a bien pu laisser ça pour moi ?

Peu importe, je l’essaie. C’est la première fois que j’en porte. Face au miroir, j’admire le résultat. Déjà ma queue prend du volume. Le tissu se tend resserrant un plus la ficelle sur ma raie. Je suis super excité. J’essaie de me calmer, j’enfile mon jeans et un tee-shirt pour descendre diner.

 

Ce matin, pour mon troisième jour à l’hôtel, j’enfile mon uniforme sur le string qu’un mystérieux inconnu m’a offert. Cette sensation d’être nu, sans l’être vraiment sous mon pantalon me plait beaucoup. Habillé ainsi, je donne l’impression d’être un garçon sage à l’extérieur et une petite salope en dedans. Cette idée m’excite. Je descends à la réception. Je retrouve Fabien. Son sourire me paraît suspect.

Est-ce lui qui m’a fait ce cadeau ?

Djallil, qui est chargé de l’entretien et de la maintenance vient s’enquérir des travaux qu’il doit réaliser aujourd’hui. Lui aussi,  je le trouve particulièrement souriant.
D’ailleurs, l’ensemble du personnel me sourit. Je trouve cela suspect.
Sont-ils au courant de ce qui s’est passé lors des essayages ?
Ont-ils deviné que je porte un string aujourd’hui ?

J’essaie de travailler mais j’ai des difficultés à ma concentrer. Dès que je me lève, j’ai l’impression que tous les regards fixent mon cul.

Le soir, je monte rapidement dans ma chambre. Mais avant de descendre manger, je m’octroie une petite branlette. Allongé sur mon lit, toujours habillé de ma chemise blanche déboutonnée et de ma cravate, le pantalon noir juste ouvert et baissé sur mes cuisses, je dégage ma tige bandée du string. Je me branle ainsi en uniforme. De ma main libre, j’écarte la ficelle de ma raie, mes doigts se perdent en direction de mon anus. J’ai envie de jouir vide. J’accélère les mouvements sur ma queue. Je bande tellement que j’en ai presque mal. Et dans un râle, des flots de sperme viennent s’écraser sur mon ventre.

Calmé, je file sous la douche. Avant d’aller diner, je lave mon string dans le lavabo et le laisse à sécher sur le porte-serviette.
Au réfectoire, Djallil me demande s’il peut venir se doucher dans ma chambre avant de quitter l’hôtel. Il a une soirée de prévue et n’a pas le temps de repasser chez lui. J’accepte.
On monte ensemble.

Il file direct dans la salle de bain. J’entends l’eau couler. Puis Djallil m’appelle. Je n’ose pas entrer dans la salle de bain même si je crève d’envie de le voir nu. A travers la porte, je lui demande ce qu’il veut.
« Apporte-moi une serviette. »
Une serviette à la main, j’ouvre timidement la porte. L’eau ne coule plus.
« Vas-y, rentre. »

Je cède à l’invitation. Il se tient devant moi, entièrement nu. Des gouttes d’eau ruissellent sur son corps. Je découvre sa peau d’ébène, ses muscles saillants. Il ne cache rien de son intimité. Son sexe au repos ne fait pas mentir la réputation des blacks. Ses poils noirs courts et crépus entourent une tige impressionnante au gland circoncis. Ses couilles forment un petit sac compact. Je ne peux détacher mon regard de son corps.
« Quand tu auras fini de me mater, tu me passeras la serviette. » Je lui tends la serviette en bredouillant. Je reste là, comme pétrifié, admirant le spectacle pendant qu’il s’essuie.
Enfin sec, il passe dans la chambre, je le suis. Il s’assoie sur le lit, la serviette autour de la taille. Il n’a pas l’air pressé de s’habiller.
« Tu ne t’habilles pas ? »
« J’ai laissé mes fringues dans la salle de bain. » Je retourne dans la salle de bain. Je ramasse ses fringues sur le sol. Au milieu, je découvre un caleçon bleu à carreaux. Je ne peux m’empêcher de la renifler, l’odeur est virile et musquée. Ca sent bon le mâle.
Quand je retourne dans la chambre, Djallil est étendu sur le lit, la serviette est sur le sol. Il se caresse doucement. Sa queue a pris du volume.
« Viens me sucer. »

L’invitation tant attendue. Je ne fais pas prier. Je le rejoins sur le lit. Je passe ma langue sur son gland. Je resserre mes lèvres sur sa tige. Et je pompe avec gourmandise. Les deux mains sur la tête, Djallil, très viril me regarde m’activer sur sa queue. Je suce comme si ma vie en dépendait.
« T’aimes ça ?»

Pour seule réponse, je m’applique encore un peu plus à le sucer. Jamais je n’avais encore sucé une queue si volumineuse. J’écarte les mâchoires au maximum, mais je ne parviens pas à l’engouffrer toute entière.
« Tournes-toi. »

J’obéis avec regret, je veux encore me délecter de sa bite. Il fait glisser mon jeans, faisant apparaître mon cul. Il resserre ma ceinture sur mes cuisses. Elles sont collées l’une à l’autre.
De ses mains puissantes, il écarte mes fesses. Je sens maintenant sa langue sur ma rondelle. Il passe sa tige entre mes lobes bien serrés. Il se branle entre mes fesses.
« Patience, j’enfile un préso. »

Je n’y tiens plus, je veux le sentir au plus profond de moi. Je ne peux même pas me branler, mon sexe est toujours prisonnier de mon jeans qu’il a juste descendu pour libérer mon cul.
Son gland s’immisce entre mes fesses, il vient frapper mon anus. Il force le passage. Je le sens progresser doucement en moi. Djallil marque une pause ; « Tu la veux toute entière ? » Je soupire un « oui ».

Doucement, il reprend sa progression. Sa queue prend possession de mes entrailles.
« C’est fait, je suis à fonds. T’inquiètes, je vais te baiser doucement, pour que tu t’habitues. Je ne veux pas t’abîmer, je veux pouvoir te baiser pendant toute la saison.» Alors, lentement, les va-et-vient dans mon cul ont commencé. Je me sens écartelé. Je ne peux m’empêcher de couiner. Je suis comme une chienne en chaleur. Et toujours impossible pour moi de libérer un peu de tension en me branlant. Seule sa queue dans mon cul me procure du plaisir. Il m’a baisé ainsi pendant trente minutes en marquant des pauses, retenant ainsi son foutre renfermé dans ses couilles.

J’avais le cul en feu, je le suppliais de jouir. Puis, les mouvements dans mon cul se sont fait plus rapides. Il s’est mis à grogner, et j’ai senti tout son poids s’étendre sur moi. Il est resté quelques instant ainsi, sur moi, puis, doucement s’est retiré, me laissant comme une impression de vide. Il s’est étendu sur le lit pour reprendre son souffle. Moi, je ne pouvais plus bouger, je sentais que mes jambes ne me porteraient pas. Ma cuisse gauche était humide et poisseuse. J’avais joui ainsi, sans me toucher. Les coups répétés de sa queue contre ma prostate m’avaient fait gicler.

Epuisé, je l’ai rejoint sur le lit.
« Bon, je dois y aller, je suis déjà en retard. On remettra ça plus tard. Et continues de porter le string blanc qui t’a été offert, ça m’excite. » « C’est toi qui me l’a offert ? » « Non. » « Mais qui est-ce alors ? » « Chut ! C’est un secret, mais tu finiras bien par le savoir. » Me laissant sans réponse, il quitte la chambre. Je me demande bien qui a pu me laisser ce string. Je sens que la saison dans cet hôtel me réserve des surprises agréables.

 

Au matin du quatrième jour, je poursuis ma formation à la réception de l’hôtel. Ma collègue, Corinne s’occupe bien de moi. Elle est sympa mais très bavarde.
Djallil arrive vers 9h00 pour récupérer le planning des réparations à faire. Il me décroche un sourire. Je rougis, un peu mal-à-l’aise mais excité.

Ma queue se raidit dans mon string.
Il quitte la réception pour rejoindre son atelier et Corinne commence à me parler de lui. Elle m’explique qu’il rend de nombreux services dans l’hôtel. Elle me dit qu’il n’est jamais contre délaisser la plomberie et l’électricité pour s’occuper d’une cliente ou d’un client.

Elle me dit qu’elle-même a déjà eu recours à ses services. Face à ma surprise évidente, elle se marre.
-« C’est un baiseur. Il a une grosse queue, et il sait s’en servir. Il te fera peut-être l’honneur de te saillir un jour. » Je ne sais pas quoi répondre.
Elle poursuit :
-« Je suis sûr qu’il aime aussi les p’tits culs comme le tien. Et tu ne serais pas contre, n’est-ce pas ? » Je ne réponds rien, je la laisse parler.
-« Un jour, lors d’un contrôle de chambre, je suis montée sur un escabeau pour vérifier la fixation des rideaux. Je portais des bas et un mini-string sous ma jupe. J’ai senti son regard sur mon cul. Puis ses mains sont remontées le long de mes jambes. Accrochée à l’escabeau, je l’ai laissé faire. Il a fait glisser mon string. Ses doigts sont venus me caresser. Puis il a passé sa langue sur mon sexe. J’étais comme hypnotisée.

J’étais toute humide. Il est passé dans mon dos et il m’a prise. C’est un super souvenir. » -« Alors, il baise les filles et les mecs ? » -« Oui, il aime le sexe, le reste il s’en fout. » Le reste de la matinée fût tranquille. Ponctué par les départs des clients et quelques passages de Djallil.
Dans l’après-midi, Corinne me demanda de descendre une feuille de maintenance à l’atelier.
Sur place, je retrouve Djallil, occupé à des travaux de peinture.
-« C’est bien que tu sois passé, j’ai un truc pour toi. » Il me tend un sac en plastique. A l’intérieur, je découvre un slip un peu spécial.
-« Qu’est-ce que c’est ? »
-« C’est un jock-strap. Essaye-le, tu vas tout de suite comprendre son intérêt. » Alors, au milieu de l’atelier, j’ai ôté mon pantalon et mon string. J’ai enfilé le cadeau de Djallil.
-« Tu vois, ta petite queue est bien soutenue. Ton cul est bien rond et toujours disponible. Comme ça, dès que j’en ai envie, tu as juste à baisser légèrement ton pantalon pour enfiler ma bite dans ton cul. »

Avec ce nouvel accessoire, je me sentais de plus en plus salope. N’y tenant plus, je m’avance vers lui, je descends la fermeture éclair de son bleu de travail jusqu’à l’élastique de son caleçon. Je veux goûter à sa queue raide mais il m’interrompt.
-« Allez, rhabille-toi. Je n’ai pas le temps de m’occuper de toi pour l’instant. Maintenant, tu sais que je peux te baiser à tout moment si j’ai envie. » Un peu déçu mais très excité, j’ai quitté l’atelier.

Le reste de l’après-midi m’a semblé interminable. Je suis impatient de rejoindre ma chambre pour me branler.
Ma journée terminée, je monte dans ma chambre. En ouvrant la porte, j’entends l’eau couler dans la salle de bain. La porte est entrouverte. Sous la douche, Djallil se savonne. Je profite du spectacle.
-« Attends- moi dans la chambre, ne te change pas, j’arrive, j’ai une surprise pour toi. » Sans poser de question, je vais m’asseoir sur le lit. Il me rejoint, une serviette autour de la taille. Je veux lui arracher, je veux sa queue.
Il regarde sa montre.
-« Patience, ma surprise arrive. »
On frappe à la porte.
-« Va ouvrir. »
J’hésite mais j’obéis. Derrière la porte, trois blacks me sourient. Ils entrent sans rien dire. Je ne sais pas quoi penser. Ils ont entre 20 et 25 ans. L’un deux porte un jeans large qui lui descend sur les fesses laissant largement apparaître son boxer. Un autre est en jogging blanc. Je peux deviner qu’il porte un slip à rayures. Le troisième, jeans noir et chemise rouge.
Au milieu de ces quatre mecs, je ne sais pas quoi faire.
-« Montre-leur que tu aimes la bite, viens me sucer. » Je suis à la fois honteux et excité. Je rejoins Djallil sur le lit. Se saisissant de ma cravate, il me tire vers lui. Sa queue raide cogne mon menton. Il passe sa bite sur mon visage, m’empêchant de la gober. Je dois me bagarrer pour enfin l’avaler.

Pendant que je m’applique à sucer Djallil, des mains parcourent mon corps. Je sens mon pantalon glisser, faisant apparaître mon cul ouvert et disponible à leurs assauts. Bien vite, je n’ai plus que ma cravate et le jock-strap pour seul vêtement. A genoux sur le lit, le black en jogging me présente sa queue. Djallil me guide vers la bite de son pote. D’une main sur ma tête, il m’impose son rythme. Pendant que je suce le joggeur, une langue rappeuse fouille mon cul. Des mains m’écartent les fesses, les malaxent. Le black en jeans noir et chemise rouge se rapproche. Djallil me pousse la tête vers sa braguette. Je bouffe sa queue à travers le tissu. Il fait tomber sa chemise, ouvre un à un les boutons de son jeans faisant apparaître un caleçon en soie noir. Il sort sa bite par l’ouverture du caleçon.

Pas besoin de consignes supplémentaires, je l’avale direct. Le joggeur me présente à nouveau sa queue. J’alterne les bites dans ma bouche. Djallil se branle en profitant du spectacle. Les mains du quatrième se posent sur ma taille me forçant à me cambrer un peu plus. Je sens sa queue qui glisse le long de ma raie et qui trouve rapidement le chemin de ma rondelle. Il s’enfonce en moi en douceur. Je couine comme une chienne en chaleur. Un coup d’œil dans le miroir me confirme que j’ai vraiment l’air d’une salope, agenouillé sur le lit, en jock et cravate, une queue dans la gueule et une dans le cul.

C’est une sensation étrange mais j’aime me voir ainsi. Je sens la queue du quatrième abandonner mon cul. Dans le miroir, j’aperçois Djallil de positionner et présenter sa bite à l’entrée de mes fesses. Je le sens glisser doucement en moi. Il m’encule ainsi plusieurs minutes. Puis se retire et me force à me retourner. C’est maintenant au tour du joggeur de prendre possession de mes entrailles. Il joue avec mon cul, il alterne les passages rapides et les coups de buttoirs lents et profonds. Djallil de rapproche de lui et lui fait comprendre qu’il veut reprendre sa place dans mon cul. Mon baiseur se retire.

Djallil me couche sur le dos, se saisit de mes jambes et enfonce son pieu direct. Baisé ainsi, je peux voir sur son visage tout le plaisir que lui procure mon cul. Les bites de ses potes viennent me cogner les joues. Je suce. Je jette de nouveau un coup d’œil dans le miroir. J’adore le spectacle que j’y vois. C’est comme un film porno dont je serai l’acteur principal.

Djallil se retire d’un coup.
« Encore. » Je veux qu’il me baise encore.
« Attends, j’ai une idée. »
Il me fait descendre du lit, me positionne debout face au miroir, les mains de chaque côté, et s’enfonce en moi.

« Profites du spectacle. » Derrière moi, les mecs se bousculent. Le joggeur reprend possession de mon cul, puis le quatrième et vient enfin le tour du mec à la chemise rouge. Il a gardé son caleçon en soie. Le tissu me caresse les fesses pendant que sa bite me pilonne. Il m’encule quelques minutes face au miroir puis m’entraine de nouveau sur le lit sur lequel il s’allonge et me force à s’asseoir sur son pieu.

Il me soulève de ses bras puissants Je gueule mon plaisir. Djallil et ses deux autres potes se tiennent debout sur le lit et me présente leur bite. Je les suce chacun leur tour. Bientôt, dans un jet puissant, je reçois la semence épaisse du joggeur sur le visage. Le quatrième gicle dans mes cheveux, sur mon front et sur mon nez. Djallil se met face à moi. Il accélère les mouvements de sa main sur sa queue et se vide les couilles sur mes lèvres, sur mon menton et dans mon cou.

Dans le miroir, je vois la bite du mec au caleçon en soie disparaître dans mon cul. Je vois également mon visage de salope, rougi par le plaisir et recouvert du foutre de mes baiseurs.
Mon dernier amant me soulève de plus en vite. Sa queue apparaît puis disparait dans mon cul, quand dans un soupir, il jouit. D’un coup, ses bras se relâchent et je viens m’empaler entièrement sur sa bite. Ce dernier coup de buttoir contre ma prostate me fait jouir à mon tour.

Mon foutre s’échappe des mailles épaisses de mon jock.
Mes baiseurs m’abandonnent sur le lit. Chacun leur tour, ils profitent de la douche puis quittent la chambre.
Je m’endors ainsi, la queue engluée dans le jock et le visage recouvert de foutre.

 

Plusieurs jours se sont écoulés depuis que j’ai subi, pour mon plus grand plaisir, les assauts de Djallil et de ses potes.

Je progresse dans mon travail à la réception, mais dès que j’ai l’occasion, j’en profite pour m’échapper et retrouver Djallil à l’atelier ou dans une chambre en réfection. Malheureusement, il est très occupé. Plus d’une semaine que je n’ai pas goûté à sa queue.
Je ne tiens plus, j’ai envie de sa bite.
Il est 16h00, c’est le calme plat à la réception, je monte dans les étages, espérant le trouver.
En effet, arrivé au deuxième étage, je l’aperçois au bout du couloir, grimpé sur un escabeau, occupé à changer les filtres de la climatisation.
Il a dû arrêter le système et il fait très chaud. Il travaille torse nu, le haut de son bleu de travail noué sur ses hanches. La transpiration fait briller ses muscles. Je m’approche de lui, j’ai envie de passer ma langue sur son torse, de lui lécher les tétons, de descendre jusqu’à son nombril en l’embrassant pour enfin libérer son pieu et me régaler. Je me poste devant lui.
« Désolé, Damien, j’ai pas le temps. »
« Mais … »
« Mais quoi ? Vas-y, dis-le. »
« J’ai envie de te sucer, j’ai envie que tu me baises. » « Ici, dans le couloir ??? » J’hésite. « Si tu veux. » Il descend de l’escabeau. De son bras, il m’attire vers lui, il m’enserre, je suis collé contre son torse, sa main descend sur mes fesses.
« Je savais que te faire patienter ainsi réveillerait la petite salope qui est en toi. » Il a raison, je me sens lui appartenir entièrement, il peut me prendre ici, je me laisse faire, j’en ai envie, même au risque d’être vu au milieu de ce couloir.
« Tu en as envie, n’est-ce pas ? »
Sa main glisse entre mon pantalon et mes fesses.
« Oui, j’en ai envie Djallil. »
Ses doigts caressent mes fesses laissées nues par le jock-strap. Ils glissent le long de ma raie. Son majeur cogne ma rondelle. Je me laisse faire. D’un coup, son doigt prend possession de mon cul.

J’étouffe un petit cri de plaisir. Mes yeux sont pleins d’envie.
Djallil me sourit. Il enfonce son doigt encore un peu plus. Je gémis. Ma queue manque de place enserrée dans le jock. Djallil joue avec son doigt, il le fait coulisser en moi.
« T’es bien chaud ? »
« Oui. »
Il retire son doigt et libère sa main de mon pantalon.
Derrière nous, j’entends des pas. C’est Fabien.
« Damien, je vous cherchais, j’ai des photocopies à vous faire faire. Djallil, mettez un tee-shirt, je ne peux tolérer que vous vous exhibiez ainsi dans les couloirs de l’hôtel. Ici, nous sommes dans un établissement respectable, je vous demanderai d’avoir une tenue correcte. Vous passerez dans mon bureau à 18h45. » « Bien, Monsieur Fabien. » Il s’éloigne, nous laissant à nouveau seuls.
« Tu bandes encore ? »
« Oui. »
Il vient plaquer sa main contre ma braguette. Ma queue est dans sa main.
« Ta bite a déjà goûté à un cul ? »
« Non, pas encore. »
« Retrouves moi à l’atelier à 18h30. Maintenant, laisses-moi, j’ai du travail. » « Mais … » « Je sais, tu as envie de ma queue, tu l’auras plus tard. » Frustré, je retourne à la réception.
18h30, je suis à l’atelier, Djallil m’attends.
« On monte dans le bureau de Fabien. »
« Mais… »
« Ne discutes pas, Fais moi confiance, et fais ce que je te dis. Pour l’instant, son bureau est vide. Je vais l’attendre tranquillement pendant que tu seras dissimulé dans ses toilettes privées. Je te ferai signe le moment venu. » On monte dans le bureau, je me cache dans les toilettes, laissant la porte légèrement entrouverte. Djallil s’assoie devant le bureau. Fabien ne tarde pas à arriver.
« Tu es déjà là. »
« Oui, Monsieur. »
« Djallil, je ne peux pas t’autoriser à travailler torse nu. » « Le spectacle ne vous a pas plu ? » De ma cachette, j’assiste à leur entretien. Face à cette dernière question, Fabien à l’air gêné.
« Si, mais la question n’est pas là. Déjà que je ferme les yeux sur tes activités annexes au sein même de l’hôtel. » « Mais on sait tous les deux pourquoi vous fermez les yeux, Monsieur Fabien… » De là où je suis, je peux voir mon chef rougir. Djallil se lève. Il fait face à fabien, il se rapproche de lui. Fabien se recule, il touche le bureau, il ne peut pas reculer plus.
Djallil pose ses mains sur les épaules de Fabien et le force à s’agenouiller. Il l’attrape par les cheveux et vient coller sa tête contre son entrejambe.

« Elle vous a manqué, Monsieur Fabien ? » « Djallil…. » « Chut, un gentil garçon ne parle pas la bouche pleine, Monsieur. Taisez-vous et sucez. » Toujours caché, je vois mal mais je devine que mon chef s’active sur la bite du technicien. Djallil pivote un peu, entrainant Fabien avec lui. Je vois maintenant distinctement la queue de Djallil coulisser entre les lèvres de Fabien. Ce spectacle est des plus excitants, je ne peux m’empêcher de sortir ma bite et de me branler. Jamais je n’aurai supposé que Fabien aimait la bite autant que moi.
Maintenant, Djallil force Fabien à se relever. Il le retourne et le plaque contre le bureau.

« Bougez pas, Monsieur. » Fabien attend sagement. Djallil passe de l’autre côté du bureau, coince la cravate de Fabien dans le tiroir et le referme. Le chef est prisonnier. Djallil passe sa queue sur le visage de Fabien, puis lui enfourne de nouveau. Les bruits de succion reprennent. Je suis obligé de ralentir les mouvements de ma main sur ma bite, je suis prêt à gicler.
Djallil repasse derrière Fabien. Il le défroque et passe sa chemise et sa veste sur sa tête. Je découvre que Fabien aussi est adepte du jock-strap. Il a un cul bien rond. Djallil caresse les fesses de Fabien, celui-ci gémit. Le technicien s’accroupit et bouffe le cul rond. Le chef n’en peut plus de gémir.
« Vas-y, baise-moi ! »
« Vous la voulez, Monsieur ? »
« Oui, je la veux, je veux que tu me baises. » Les supplications de Fabien m’électrisent. Djallil couvre sa queue d’un capote et la fait coulisser dans la raie de son passif. Il me fait signe. Je m’approche en silence. Fabien n’a pas détecté ma présence. Sous mes yeux, Djallil enfonce son pieu dans le cul lisse et bien ouvert de mon chef. Il entre doucement. Fabien pousse des petits cris de plaisir. Djallil décule d’un coup. Fabien grogne et soupire. Le technicien renfonce sa queue et commence à pilonner le cul bien chaud. Je sens le plaisir envahir tout le corps de Fabien.

Djallil me tend un préso. Je suis surpris, mais je le déroule sur ma queue. Il se retire et m’incite à le remplacer. Je vais baiser mon chef. Son cul est bien ouvert, il réclame ma queue. Je m’enfonce doucement. C’est la première fois que ma queue s’immisce dans un cul. Je la rentre à fonds. C’est bon. J’y vais doucement. Je matte ma bite entrer et sortir de ce cul si appétissant. J’accélère, puis je ralentis, je veux que ce moment dure. Le travail de ma bite dans son cul fait gémir Fabien.
Djallil repasse devant le bureau et lui présente de nouveau sa queue. Fabien a un geste de recul. Il vient de comprendre la situation même s’il ne sait pas qui lui pilonne les fesses. Djallil l’immobilise et lui enfonce son dard dans la gueule. Soumis, Fabien suce. De mon côté, je m’applique à bien le défoncer, pour son plaisir et pour le mien.
Bientôt, je sens la sève monter, mon visage se crispe, j’essaie de me retenir mais Djallil me fait signe que je peux lâcher la purée.
Un dernier va-et-vient dans le cul de Fabien, et je gicle en gueulant comme jamais. Je reste dans son cul quelques instants, puis je me retire doucement, la capote emplie de ma semence. Je suis exténué.
De son côté, l’ultime plaisir se dessine sur le visage de Djallil, sa respiration devient plus rapide.

« Allez, Monsieur Fabien, avalez, c’est tout pour vous. » Je me réajuste et je quitte le bureau en silence, je ne veux pas que mon chef puisse deviner qui est son deuxième baiseur.
Je rejoins ma chambre rapidement. J’espérais que Djallil passerait me voir mais il n’est pas venu ce soir là. Je ne l’ai revu que le lendemain. Evidemment, j’ai également revu Fabien. Cependant, je trouvais mon chef beaucoup moins impressionnant et beaucoup plus appétissant.

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Lundi 28 juin 1 28 /06 /Juin 22:38

J'avais 18 ans. Il en avait 27. Ça aurait pu ressembler à un viol si, au fond de moi, je n'étais pas heureux de ce qui m'arrivait.

   En me réveillant ce matin-là, je me suis d'abord demandé ce que je pouvais bien foutre dans cette putain de grange ! J'étais complètement à poil dans la paille avec un mal de crâne pas possible. J'ai senti un corps collé contre le mien. C'était celui de Mathieu, rencontré la veille. Complètement à poil, lui aussi. Puis, je me suis rappelé. Des images un peu floues, d'abord. La bringue de la veille, chez une copine. Tout le monde avait picolé sec. Moi aussi. Sono à fond mais pas beaucoup d'ambiance. Vers une heure du mat, un mec que j'avais aperçu dans la soirée me propose de bouger et de partir en stop jusqu'à Apt terminer la soirée dans une boîte de nuit. C'était Mathieu.   

- C'est un peu nul, ici. Et à voir ta tête, je suis sûr que tu préfèrerais être ailleurs.   

Ce mec était vraiment séduisant. Je dirais même charismatique. Je ne le connaissais pas mais acceptais sa proposition. Nous étions en pleine campagne, un endroit désert, perdu dans le Lubéron. Il nous a fallu marcher un quart d'heure sur un chemin de terre avant d'atteindre la petite départementale. On se dirigeait comme on pouvait tellement la nuit était sombre. Une heure après, on était toujours comme deux cons, plantés sur le bord de la route. C'était en plein été mais il n'y avait pas un chat. Mathieu était prêt à aller à pied jusqu'à Apt. Ça ne faisait pas loin de dix bornes.   

Tandis que le jour commençais à arriver, les choses me revenaient un peu mieux. Mathieu dormait comme un vrai bébé, à plat ventre, les cuisses écartées, un bras replié sous sa tête. Non, ce n'était pas un rêve. Il m'avait baisé. Je me suis fais enculer pour la première fois par un mec que je ne connaissais même pas ! Et je me souviens avoir beaucoup aimé, même si je faisais mine de ne pas vouloir. Comme lorsque j'ai pris sa queue dans ma bouche pour la pomper. C'était la première fois que je suçais un mec.   

A ce moment-là, mes souvenirs étaient plus clairs dans ma tête. Nous n'en pouvions plus de marcher, aussi Mathieu m'a proposé de passer la nuit à la belle étoile. Il faisait doux, il nous suffisait de trouver un champ ou un coin tranquille. C'est en nous écartant de la route que nous sommes tombés sur cette grange. On n'y voyait rien à l'intérieur mais on a tout de suite senti de la paille sous nos pieds. On s'est allongé mais impossible d'arriver à s'endormir. Mathieu était près de moi. Il m'a lancé :   

- Pas de chance, ce soir ! Ni l'un, ni l'autre n'aura tiré son coup ! Pourtant, j'en avais une super envie, pas toi ?   

Moi aussi, je comptais bien terminer ma soirée autre part que dans cette grange. On a continué à parler de cul. Mais je n'osais pas lui dire que j'étais gay. Je n'avais encore jamais eu d'expérience mais, à 18 ans, je savais déjà que je préférais les mecs.   

J'étais toujours aussi ivre mais cette discussion s'est mise à me faire bander. Mathieu ne pouvait pas voir, à cause de l'obscurité, ce que j'étais en train de faire. Je lui parlais, la main glissée sous mon froc, mes doigts palpant ma tige et mes couilles. Un mec aussi bandant à côté de moi en train de me parler de ses fantasmes, j'avais envie de me branler, de sortir ma queue et de l'astiquer. Elle était hyper raide. Soudain, Mathieu s'est jeté sur moi en me disant :   

- Et si tu me servais de nana ! Quand je trique trop, j'arrive jamais à m'endormir !   

J'étais vraiment surpris. Je me suis débattu pour lui résister, pensant qu'il plaisantait. Mais il a eu le dessus. C'était un mec musclé et hyper sportif. Pendant qu'on marchait, il me disait qu'il pratiquait le tennis, le foot et pas mal d'escalade. Il était grand, brun, et vraiment bien bâti.   

Il a réussi à m'immobiliser sur la paille. Il était sur moi, coinçant mon corps entre ses cuisses et tenant fermement mes poignets. Il a continué en me demandant :   

- T'as jamais baisé avec un mec ?   

J'ai répondu que non. Il a ajouté :   

- Même pas une petite pipe ?   

A cause de l'alcool, je n'arrivais plus à lui résister, j'étais persuadé qu'il s'agissait d'un jeu. Une chose était sûre, je n'aurais jamais osé lui avouer que je ne me branlais qu'en fantasmant sur des mecs. J'ai senti soudain qu'il cherchait ma bouche pour m'embrasser. Cette fois, j'ai compris qu'il était sérieux. Même si j'attendais cette occasion depuis si longtemps, la peur dominait. J'ai détourné mon visage. J'avais l'impression de lutter contre un fantôme dans cette grange obscure. Mathieu riait.   

- Baiser entre mecs, c'est meilleur qu'avec une nana, crois-moi ! Tu préfères quoi ? Que je t'encule ou que tu m'encules ?   

Moi, je lui répétais toujours la même phrase :   

- Arrête ! Déconne pas !   

Tout en me maintenant immobilisé, il a lâché l'un de mes poignets pour plaquer sa main entre mes cuisses. Il m'a tout de suite traité de salopard en trouvant ma bite raide sous ma braguette. Je n'avais pas débandé et il s'est mis à me palper les couilles et le manche avant d'entreprendre de défaire mon froc. En fait, je n'étais pas mécontent qu'il me mette la bite à l'air. J'avais envie de baiser et l'alcool allait m'aider à réaliser ma première expérience homo.   

Sans la moindre culpabilité. Car cette culpabilité n'est arrivée que ce lendemain quand j'ai vu Mathieu, allongé nu dans la paille, et que j'ai réalisé qu'il m'avait baisé de cette façon.   

Mais sur le moment, j'étais pétrifié. Mes dernières résistances ont sombré quand sa main s'est mise à faire coulisser ma pine entre ses doigts. Dés lors, je me suis laissé faire. Il s'est déshabillé et m'a aidé à me foutre complètement à poil. Cette fois, je n'ai pas refusé sa bouche quand il a cherché à m’embrasser. Il a pris ma main pour la diriger vers sa queue. J'ai senti sous mes doigts une bite tiède, assez épaisse et qui me paraissait bien plus longue que la mienne. Cela m'a excité de branler sa tige. Lui, il s'occupait de la mienne. C'était étrange comme sensation. On ne se voyait pas, on s'entendait seulement respirer et gémir. J'ai entendu Mathieu me murmurer :   

- Suce-moi, j'en ai très envie.   

A ce moment-là, j'ai refusé. J'ai tenté de me dégager en lui disant que je ne voulais pas aller plus loin. Il s'est alors étalé de tout son corps sur le mien. Sa voix avait changé.   

- Tu bandes comme un taureau et tu me dis que t'as pas envie ? De toute façon, t'as pas trop le choix maintenant. Où tu te laisses faire ou je te la mets de force. A toi de choisir.   

Tout était confus. J'avais gardé sa queue dans ma main. Voyant que je ne bougeais pas, il s'est redressé et est venu s'asseoir sur mon torse, les jambes pliées sur mes bras, pour me mettre sa queue dans la bouche. Son gland dégageait une légère odeur épicée. J'ai commencé par passer ma langue dessus puis il a fait glisser son manche entre mes lèvres. Je pompais sa queue. J'étais très excité. La peur et le désir se confondaient. Mathieu me guidait, il me disait comment il aimait qu'on lui fasse les choses. Je l'écoutais et je m'efforçais de m'appliquer. Il s'est redressé et m'a demandé, pour ne pas dire ordonné, de m'allonger sur le ventre. Ce que je fis. Il s'est occupé de mon cul, le mouillant de salive, dardant sa langue à l'intérieur, enfonçant un premier doigt puis un second.   

Quand il m'a dit que j'allais être sa femme pour la nuit et qu'il allait me baiser et se vider les couilles dans mon trou, j'ai ressenti une très grande excitation. Je ne pouvais m'empêcher de dire non mais je savais que je voulais qu'il le fasse. Il allait m'enculer, et je me sentais prêt à recevoir sa grosse queue. Il m'a demandé de me placer à quatre pattes et il s'est posté, à genoux derrière moi. Il m'a encore léché l'anus, le lubrifiant abondamment. J'avais hâte de me faire sauter, de me faire élargir encore plus par sa belle bite, mais je manifestais pourtant un autre refus.   

- S'il te plait, non.   

- Je crois que t'as vraiment pas compris ce qui va se passer, mon gars. Je vais te baiser que tu le veuilles ou non. Y'a personne à des kilomètres alors laisse-toi faire. Tu vas être une bonne femelle. Tu vas prendre ma queue dans ton trou et tu vas la fermer, OK ?   

Je n'ai plus protesté. Il s'est amusé à glisser son gland dans ma raie avant de l'immobiliser sur ma pastille. Je n'ai pas pu m'empêcher de crier quand il a commencé à me forcer. Ça brûlait. Mathieu a attendu quelques secondes avant de s'introduire plus en avant. J'avais très mal, je pensais que je ne serais pas capable d'en supporter plus. Je lui ai demandé de se retirer mais Mathieu m'a répondu :   

- Aide-moi ! Ouvre-moi ton cul de salope si tu veux pas avoir mal !   

J'ai fait ce qu'il m'a demandé et il s'est enfoncé plus en avant. La sensation cuisante était toujours là mais Mathieu a réussi à m'emmancher complètement. Il ne s'est pas mis à bouger tout de suite. Il s'est penché sur moi, a glissé sa main entre mes cuisses et s'est mis à me branler. Le plaisir que me procuraient ses doigts m'a permis d'oublier aussitôt les premiers inconforts que je ressentais par derrière. Peu à peu, il a commencé à aller et venir. D'abord, avec douceur. Il a attendu que je gémisse pour m'enculer plus sèchement. Au bout d'un moment, il s'est complètement déchaîné entre mes fesses et j'ai vraiment eu l'impression de jouir avec ma bite et mon trou du cul quand j'ai déchargé sur la paille. Mathieu, lui, a crié en jutant, puis il est retombé sur moi.   

Il s'est allumé une cigarette et m'a regardé.   

- J'en ai pas fini avec toi. Tu vas encore recevoir.   

J'avais un peu mal entre les fesses mais je ne regrettais pas du tout de m'être fait baiser comme ça par lui.   

- Pas la peine que je te dise de raconter ça à personne, compris ? De toute façon, qui te croirait ?   

Pendant qu'il fumait sa cigarette, il m'a demandé de venir entre ses cuisses pour le sucer. Je me suis exécuté. Et sa cigarette finie, il m'a encore baisé. Plus longtemps cette fois.   

Voilà ce que j'avais fait cette nuit ! Les images se bousculaient comme des petits flashs. Mathieu s'est réveillé au moment où je cherchais mes vêtements pour me rhabiller. Je me suis senti très mal à l'aise, lui me souriait. Il m’a demandé :   

- Tu ne veux pas remettre ça, avant de passer ton slip ? J'ai toujours une super trique quand je me réveille.   

Il s'est tourné et m'a montré sa queue raide, plaquée sur son ventre. Je l'avais branlée cette nuit, sucée, prise dans le fion mais je ne l'avais encore jamais vue. Je lui réponds que non et qu'il fallait oublier tout ce qui s'était passé entre nous.   

- Ne m'oblige pas à te violer encore une fois, je sais que t'as aimé ça.   

Il écartait les cuisses en me tendant sa queue redressée avec sa main. De voir sa queue aussi raide avec le gland bien décalotté, j'ai eu encore envie de la sucer. Je me suis mis à bander, moi aussi et, bien que dans un état très vaseux, je me suis approché de lui pour prendre en bouche ce membre tendu. Ensuite, il m'a encore baisé. Et cette fois-ci, sans que je ne refuse de quelque façon que ce soit. Nous n'avons quitté la grange qu'en fin de matinée.
Par Bipuce - Publié dans : Histoires
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Vendredi 25 juin 5 25 /06 /Juin 23:50

Je m’appelle Alexis, 18 ans, 1m77 pour 75 kg.
Il y a un mois environ, j’étais invité chez une de mes meilleures amies pour faire une petite soirée. Comme toutes les vacances, ses parents partaient et elle avait la maison pour elle seule.

Le soir venu, je vais chez mon amie, je sonne, je rentre, je me sert un verre. Je ne connais que mon amie et deux autre copines. Tous les autres sont majoritairement des gars de sa classe que j’ai du croisé une ou deux fois. Je ne suis pas d’un naturel à me mêler aux gens que je ne connais pas. C’est donc avec une autre amie que nous avons décidé de nous occuper des pizzas. Les gens viennent, se servent, sont déjà bien chaud suite à l’alcool, bien qu’on soit en tout début de soirée.

La soirée se passe, je m’ennuie comme toujours. Je décide donc de m’isoler en haut des escaliers, en face de la porte de la salle de bain. Je vois les gens aller et venir, chacun me demande vite fais si ça va et je répond toujours oui d’un signe de tête.
Un garçon décide se s’asseoir à côté de moi. Il s’appelle Arthur, du même age que moi et du même lycée. Je l’avais pourtant jamais vu. On commence à parler de tout et de rien, il me demande si j’ai une copine… Un peu patrac par l’alcool, il ne tiens plus trop, même assis. Il me demande de la conduire jusqu’aux toilettes. Je m’exécute, croyant qu’il voulais vomir… Cependant il me dis qui voulais pisser et qu’il y arriverais pas tout seul… Je suis étonné et comprends pas bien ce qu’il veut dire, mais je reste avec lui. Il s’assoit sur les chiottes ne tenant pas debout et je me fais un plaisir de le mater. Je lui demande si ça va et me dis d’approcher. Il m’attrape la tête et la dirige vers son chibre.

J’essaye de me débattre mais il me tiens fermement. Je commence donc une fellation et je ne me débat plus, étant excité moi même. Il avait une bitte d’environ 18 centimètres et bien épaisse. Bien qu’il soit un peu pompette, il prenais quand même du plaisir, il gémissait et m’enfonçait sa bitte de plus en plus profond. J’en pouvais plus, je croyais que j’allais vomir mais il continuait encore. J’essayais de m’appliquer mais il me baisé littéralement la gueule. D’un coup, je sentis son souffle s’accélérer, il me tennais de plus en plus fort. Un flot m’envahit la gorge. Il venait de me jouir dans la bouche et j’avalais pour ne pas m’étouffer. Il me lâcha et s’approcha de ma bouche pour me faire un long baisé, voulant goûter à son propre foutre. Il me dis qu’il allais mieux d’un seul coup et il me laissa en plan dans le chiotte.

J’allais me rincer la bouche quand un autre gars rentra dans les chiottes. Arthur avait déjà raconté ses ébats à son pote. Mais celui-ci y alla encore plus violemment. Il me bloqua contre le mur, me baissa mon pantalon et mon boxer, et sans même me préparer me pénétra d’un coup. Pas le temps du pousser un cri qu’il avait déjà mis sa main sur ma bouche. Il me lima de plus en plus fort, mon cul me brûlait et je mordais sa main tellement j’avais mal. Il s’amuser à sortir et à me re-pénétrer d’un coup. Il devais avoir une bite énorme, encore plus grosse que celle d’Arthur. C’était la première fois qu’on me sodomisé.

Il me souleva ensuite et m’assis sur les chiottes pour me prendre dans une nouvelle position. Je pouvais le voir, mon visage était face au sien. Je l’embrassais, l’excitation venait en moi. Il me dit à l’oreille qu’il adorait et qu’il voulait me défoncer pour que je ne puisse plus m’asseoir pendant une semaine. Il me traité de PD et me limais toujours aussi fort. Il se mit a gueuler et je sentis mes entrailles se remplir. Et il continuait a me limer pensant encore bien 5 minutes. J’allais exploser à mon tour quand il pris ma bitte en bouche et avalais tout sans en perdre une goutte. Et dire que c’est moi qu’il traitait de PD…

Je me rhabillais et retournait en bas avec les autres, satisfait de ma soirée.

Par Bipuce - Publié dans : Histoires
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Jeudi 8 avril 4 08 /04 /Avr 21:56

Après plusieurs rencontres, mes 2 mâles me demandèrent de me procurer plus de lingerie sexy. Je leur dis que malheureusement, ma situation ne me permettait pas de dépenser là-dessus. Le jeune demanda à son père s’il pouvait me payer quelques fringues.

« Je n’ai pas beaucoup d’argent, je vais voir ce que je peux faire! », répondit-il!

Un beau jour, il me dit qu’on allait dans une boutique érotique. Là, il me fit essayer, des bas, des jupes, etc. Lorsque la vendeuse alla s’occuper d’un autre client, il en profita pour entrer dans ma cabine et me dit : « depuis tout à l’heure que tu m’allumes en te montrant habillé contre une traînée! Tu vas me sucer maintenant! »

Je me mis immédiatement à genoux pour lui faire une pipe. Il ne tient pas longtemps et comme nous étions dans une boutique, je ne voulais pas salir tout le plancher. J’ai donc avalé prestement toute sa semence avec délectation…

Il choisit donc ce qui lui plaisait et paya la note. J’étais content et redevable envers lui. C’est sans hésitation que j’ai accepté sa demande d’aller chez lui pour parader dans ma nouvelle tenue. Lui et son fils s’assirent donc sur le sofa et je leur fit une danse, comme dans un cabaret. Suivit bien sûre par des pipes et des sodomies très féroces.

Quelques jours plus tard, j’arrivai chez lui et son fils étais absent. Je revêtis tout de même ma tenue et m’installai près de lui pour regarder la télé. Soudain, on cogna à la porte! Un homme dans la cinquantaine entra et parla avec mon amant dans la cuisine. Après quelques minutes, je les entendis marcher vers le salon. J’étais terrifié et je ne savais pas où me cacher. Mais l’inconnu ne sembla pas surpris de me voir : « ha! La voici donc la petite travelo dont tu m’as parlé ». Rassuré, je lui souris. Mon amant me dit: « tu sais, il est veuf depuis quelques mois et, comme tous les hommes, il a des besoins. Alors, je lui ai parlé de toi et lui ai dit que, si je te le demandais, tu baiserais avec lui ».

Je rougis instantanément. M’offrir à cet inconnu? Je ne savais pas trop… Mais comme il m’avait fait tous ces cadeaux, j’ai donc acquiescé à sa demande. Nous sommes allés dans la chambre pendant que mon amant retourna regarder la télé. Aussitôt la porte fermée, l’inconnu colla son ventre sur mon dos, tire mes cheveux par l’arrière en tournant ma tête pour qu’il puisse entrer sa langue dans ma bouche. Je me laissai faire, déterminé à le satisfaire entièrement… Il me plotais tout partout pendant qu’il me roulait une pelle.

Il me retourna fortement et poussa sur mes épaules pour me faire mettre à genoux. Il enleva alors son pantalon et présenta sa queue sous mon nez. Elle sentait fort. Mais elle était grosse et malgré son manque d’hygiène, il m’excita quand même… Je me suis donc appliqué à le sucer convenablement, entrant sa verge jusqu’au moment où mon nez touchait à son ventre. Il semblait aimer. Puis, il se retourna et s’appuya sur le lit, me présentant son cul en me disant de faire ma bonne chienne et de lui licher l’anus. Ce que je fis, sans grand enthousiasme. Finalement, il me fit mettre à 4 pattes sur le bord du lit et il me prit sans ménagement et sans trop me préparer. Ça me fit légèrement mal, mais sans plus. Sans même me prévenir, il joui dans mon ventre et s’en fût, heureux.

Seul dans la chambre, je les entendis parler. J’allai voir par l’entrebâillement de la porte et je vis soudain l’inconnu donner de l’argent à mon amant. Je me dépêchai à retourner au lit, apeuré à l’idée de ce que je venais de comprendre. Lorsque mon maître arriva, je fis comme si je n’avais rien entendu. Il me donna une bise en me disant qu’il était content de moi et que si je voulais, un autre de ses amis viendrait s’amuser avec moi. Je compris alors que j’étais devenu, à mon insu, une pute dont les faveurs sexuelles serviraient à rembourses ma nouvelle lingerie. J’eus alors une formidable érection…

Les semaines passèrent et mon amant m’avait déjà fait rencontrer une douzaine de ses « amis ». Je prenais de plus en plus plaisir à cette situation. Pas tellement de me faire baiser par des inconnus mais plutôt pour la sensation que ces rencontres m’offraient… Je me rendais compte avec le temps que j’étais plus soumise que je ne l’imaginais et cette idée d’être un objet sexuel en vente libre pour le portefeuille de mon propriétaire me plaisait vraiment!

Un soir, alors que nous baisions ensemble et qu’il me faisait languir, à genoux devant lui à quémander sa queue, il me tapotait la figure avec son gland en me traitant de salope. Je le suppliais et fini par lui dire : « oui, vas-y, traite moi comme la pute que tu as fait de moi! ».

Il arrêta alors et me fixa dans les yeux en me disant : « alors tout ce temps, tu savais que je te vendais à des inconnus et tu continuais quand même… Tu n’es vraiment qu’une traînée! »

- Oui, lui dis-je le regard étincelant, je le savais et j’aime ça! J’aime être ton jouet et ta bonne pute qui t’amène de l’argent. Je suis prête à plus si tu le veux, je suis à toi!

Ma dernière phrase l’alluma au max puisqu’il entra alors sa queue tout au fond de ma bouche, jusqu’à ce que son gland frappe ma gorge, et il me baisa dans la bouche comme un déchaîne, jusqu’au moment où sa crème chaude inonda ma bouche…

Je le remerciai docilement et lui demandai si je pouvais aller m’empaler maintenant sur le sexe de son fils pour pouvoir jouir du cul, que j’avais en feu!

- Oui mais avant, me dit-il, tu vas me dire ce que tu voulais dire par être prête à plus…
- Et bien, débutai-je en rougissant, si tu veux, je pourrais rencontrer de tes clients plus souvent… Peut-être même tapiner sur la rue, juste un soir! Pour être vraiment une traînée à ton service!
- Hummm, ça me plaît bien ça… Je vais y penser! Il doit y avoir moyen de faire fructifier un si beau talent, me dit-il avec un clin d’œil. Tu peux aller te faire sauter, maintenant, sale garce!

Toute excitée, je me relevai et aller derechef dans la chambre de son fils. Celui-ci avait bien sure entendu toute la conversation et était déjà nu, la queue dur comme du fer en attendant mon arrivée : « alors tu veux jouer à la pute? Commences déjà par pratiquer là-dessus, on verra si tu le mérites! »

Je lui fis alors une superbe pipe, avant de m’empaler aller-retour comme une malade sur sa verge, jusqu’à temps qu’il inonde mon ventre. Je jouis alors sans même me toucher…

Un soir, comme toujours, j’arrivai habillée en fille chez mon amant. Son fils était assis sur le canapé, nu. En me voyant, il claqua des doigts en me pointant le sol. J’allai donc me mettre à genoux devant lui et je pris sa queue dans ma bouche. Je le suçai voracement. Entretemps, son père vint se mettre derrière moi et il me prit sans avertissement. Je pris un plaisir fou à être prise par mes deux hommes en même temps. Ils jouirent simultanément, le jeune dans ma bouche et le père dans mon cul en disant : « T’es une bonne chienne! Demain, je vais réaliser ton désir! On part tôt pour aller à la ville voisine. Je vais te faire tapiner sur le trottoir demain soir! ».

J’étais aux anges. Je me suis branlé trois fois avant de pouvoir dormir, trop excité à l’idée de devenir une pute professionnelle!

Nous partîmes tôt le lendemain. Nous sommes arrivés après le souper. Nous avons recherché le quartier idéal et nous avons trouvé une ruelle mal famée, où des putes faisaient le trottoir. Mon amant me fit descendre en disant : « Maintenant, tu vas bien travailler, petite pute. Tu ne refuses personne. Tu me redonnes tout l’argent par la suite. Ton seul salaire sera de te faire baiser dans la bouche et dans ton cul de salope ».

Je commençai donc à marcher sur le trottoir. Essayant de prendre la démarche et les poses des filles expérimentées qui étaient là.

Finalement, une voiture arrêta avec deux hommes à l’intérieur. Mon cœur battait à une vitesse folle. Ils m’amenèrent derrière une station-service pas loin de là. Le conducteur me dit : « On te donne 150 $ et tu fais tout ce qu’on te dit ».

J’avais peur mais j’acceptai, en me souvenant de l’ordre de mon amant de ne rien refuser. Nous sommes descendus de la voiture et l’un d’eux me prit aussitôt fermement par le menton et me traitant de sale pute et de pédé. Il me gifla avant de me cracher au visage. Cela m’excita au maximum. Ils me firent mettre à genoux dans un coin : « On va d’abord vider notre vessie sur toi. Par la suite seulement, tu pourras nous sucer ».

Je n’avais jamais essayé les jeux uro mais j’en avais envie! Le premier m’aspergea les seins et le visage. Puis son copain prit la relève. Il me dit d’ouvrir la bouche en m’ordonnant d’avaler. Avant même d’avoir fini de se vider, il entra sa queue pour baiser ma bouche. Son sexe allait et venait jusqu’au fond de ma gorge avec un filet de pisse qui coulait de chaque côté de mes lèvres. C’était délicieux !

Ils me mirent ensuite à quatre pattes. Un me baisait la bouche pendant que l’autre me bourrait le cul. Celui derrière me donnait de fortes claques sur les fesses et il m’insultait. Celui qui se tenait devant moi retirait souvent sa queue de ma bouche pour me gifler et me cracher au visage, avant de poursuivre. Il finit par remplir ma bouche de foutre. L’autre me baisa encore avant de se retirer pour venir se soulager entre mes lèvres : « C’est ça, salope ! Goûte à mon sperme et à ta merde en même temps ! ».

Pour une première expérience, j’aurais souhaité quelque chose de plus tendre, mais cette rencontre m’a permis de me découvrir encore plus. Je sais maintenant à quel point j’aime être soumis, insulté et abusé…

Par Bipuce - Publié dans : Histoires
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