Lundi 8 juin 1 08 /06 /Juin 22:44
Je m'appelle Jean.
Cet hiver je suis parti à la montagne avec mon meilleur pote: Rémi, ses parents et son frère, Olivier.
On était dans un de ses appartements de station de ski qui ont la taille d'une cage de lapin.
La neige était au rendez-vous, le soleil aussi bref c'était du tout bon ski. Le soir après le dîner, Rémi, Olivier et moi sortions dans un bar, prendre quelques bières avant de se coucher de bonne heure pour le lendemain.

Je partageais une chambre avec Rémi, et Olivier dormait dans une chambre à côté. Comme c'était pas grand nos lits étaient côte à côte.. C’était la première fois que je dormais littéralement à côté de Rémi et cette proximité me gênait un peu.

Rémi était bien foutu, baraqué et belle gueule toutes les filles le trouvaient beau, j'étais pas mal non plus mais disons que j'étais une copie de l'original.
Rémi décide de se fumer une dernière clope au balcon... pendant ce temps je me déshabille pour me foutre au pieu. Il rentre et me dit qu'il va prendre une douche. J'éteins ma lumière et commence à dormir. Rémi rentre peu après, serviette autour de la taille. Dans la pénombre je le vois se sécher et voit sa queue pour la première fois. Je suis excité car je vois qu'il a un début d'érection, il est circoncis (moi pas) et je vois la forme de son gland.

Je me retourne, lui tournant le dos, je grommelle un 'bonne nuit' et m'endors... je me réveille au milieu de la nuit. Rémi dort profondément, son souffle est lent et régulier... J'ai le cœur qui commence à battre plus vite... j'ai tellement envie de toucher sa queue. Très doucement je glisse ma main le long du matelas et sous ses draps, je m'attends à toucher son caleçon mais suis surpris de toucher sa peau! Il dort à poil juste à côté de moi. Il se tourne dans son sommeil vers moi, j'ai juste le temps de retirer ma main... mon coeur bat à toute allure, je suis super excité et coupable à la fois de profiter qu'il dorme.
Ses draps le recouvrent plus, je vois son sexe et ses couilles posés mollement sur sa cuisse. J'ai une érection énorme, je décide d'enlever mon caleçon...

Je suis à poil entrain de bander comme un fou, à côté de mon pote qui dort comme un bienheureux. Je me tourne vers lui et tend la main pour toucher sa bite. J'ai un frisson quand mes doigts touchent cette peau satinée et chaude... Rémi commence à bouger, je retire vite ma main et me met sur le dos en fermant les yeux. Je rougis comme un enfant qui s'est fait prendre et peux juste espérer qu'il n'a rien remarqué.
Il se tourne et je l'entends qui se réveille. Je calme ma respiration pour qu'il croie que je dors. J'ouvre juste très très légèrement un oeil pour l'observer.

Il se regarde et me regarde, il bouge et je le vois qui s'approche de ma queue comme pour être sûr qu'il ne rêve pas. Puis là il se tourne vers mon visage et murmure 'Jean?' 'Jean?' tu dors ?'... Je ne réponds rien, il me secoue légèrement le bras, je ne réagis pas. Satisfait, il se retourne vers ma queue... Le stress de la situation m'a fait légèrement débander et mon gland est de nouveau recouvert par mon prépuce. Il est littéralement face à ma queue, il doit être fasciné par la peau de mon prépuce, lui qui n'en a pas... Puis je le sens me toucher la queue et de deux doigts me décalotte le gland très doucement, puis fais plusieurs fois des allers retours pour découvrir et recouvrir mon gland. Mon meilleur pote est entrain de jouer avec ma queue! Je rebande à nouveau comme un fou, et je vois que lui aussi à une érection.

Là, je me dis que c'est tout ou rien... Rémi est toujours entrain de me branler avec son visage à deux centimètres de mon gland. Je lui dis 'Je peux t'aider ?'
Il est surpris et retire sa main tout gêné... 'C’est pas ce que tu crois, je suis désolé, je... je...' - 'JE veux que tu continues, surtout t'arrête pas mais à une condition' il ne dit rien, je continue 'c'est que je puisse te faire la même chose'... Dans la pénombre je le vois sourire.

Il se remet à me masturber, je tourne mon corps vers lui, pour que je puisse aussi avoir sa queue en face de mon visage. Je veux voir sa bite de près. Il bande aussi fort que moi... Je ne peux pas m'empêcher de me rapprocher toujours plus près de sa bite, je sens que je salive... Sans prévenir je fous sa bite en bouche et commence à la sucer avidement... Je le sens qui s'arrête de me branler, deux secondes après je sens son souffle chaud sur ma bite et lui aussi se met à me sucer...

On est là entrain de se pomper mutuellement comme si notre vie en dépendait, je lèche sa bite de haut en bas et lèche ses couilles, j'ai comme une faim insatiable pour sa bite, à défaut de la mordre je la suce et la lèche et la pompe comme un acharné... Rémi fait la même chose, je le sens gober mes couilles tendues et passer sa langue dessus. Il joue avec la peau de mon gland et passe sa langue sur mon frein, ça m'envoie des décharges de plaisir dans les couilles. Je ne tarde pas à jouir, mais ne peux pas prévenir Rémi vu que ma bouche est 'scotchée' à son érection monumentale... Je jouis et Rémi suce et avale giclée sur giclée...
Je le suce furieusement pour qu'il jouisse et le voit glisser son doigt dans son cul... l'occasion est trop belle, je descends ma langue sous ses couilles et vers son cul, il sent ma langue et retire son doigt. Il écarte sa jambe, m'invitant à lui lécher son petit trou, ce que je m'empresse de faire, l'odeur et la chaleur de son cul me rend fou, je darde ma langue dans son cul, il pousse un râle de plaisir... en même temps il m'écarte les fesses et lui aussi commence à me lécher le cul... Je découvre cette sensation avec bonheur... des spasmes de plaisir me parcourent tout le corps.... on jouit en même temps.. Chacun léchant la bite de l'autre pour la nettoyer...

On s'endort épuisés... je me demande ce qui va se passer demain ???
...Je me réveillais de bonne heure le lendemain, Rémi dormait encore... on n’avait pas échangé un seul mot hier soir, ni même un regard...j'appréhendais le moment où on allait se parler.
Je partais prendre une douche, je n'avais pas fermé à clé, j’appréciais l'eau chaude qui me trempait le corps J'entends la porte s'ouvrir et le jeune frère de Rémi, Olivier, rentre dans la salle de bain... Je me retourne, je le vois, il me voit et dit 'Oh pardon! Je suis désolé je pensais que c'était mon frère'
Je lui réponds 'T'inquiètes, y'a pas de souci'... Je vois son regard se poser brièvement sur mon sexe, je ne peux m'empêcher de regarder celui d'Olivier, il a un piquet de tente dressé dans son caleçon. Il me regarde un peu gêné et dit: 'Je peux vite pisser? Ma vessie va exploser!' - 'Vas-y, je sais ce que c'est'.

Je me mets dos à lui, il est dos à moi pendant qu'il pisse. Cette situation embarrassante m'excite et je sens mon sexe qui commence à gonfler. Je me savonne, et entends Olivier qui tire la chasse et sort de la salle de bain. Je termine ma douche et sort.

Je retourne vers la chambre, Rémi est levé et s'apprête à prendre sa douche.
Je lui dis 'Bien dormi ?' avec un sourire.... Il me répond 'Super Bien' en souriant et sort de la chambre.

La journée de ski se passe bien, on rentre tous crevés à l'appart... On zone un peu devant la télé en buvant une bière, et je retourne prendre une douche après avoir sué toute la journée... Olivier monte dans sa chambre et Rémi reste devant la télé. Je me change dans la chambre et part en serviette à la salle de bain... en revenant je vois la porte entrouverte, je rentre et voit Olivier avec mon slip dans les mains qui le porte à son nez! Il est entrain de renifler les odeurs de mon slip qui a subi tous les efforts de la journée. Je vois une bosse dans son pantalon et je sens immédiatement mon sexe gonfler...

Il se retourne et me voit, surpris il jette mon slip sur le lit et je le vois rougir... 'Oh euh... Jean... pardon, je suis désolé... ne dis rien à Rémi...c'est pas ce que tu crois... Je, je recommencerai plus... promet moi de rien dire à mon frère stp'...
'Tu reniflais mon slip? Ça t'excite ces odeurs hein? Regarde tu bandes comme un taureau' cette position de force où je me trouvais m'excitait de plus en plus. Je me rapproche de lui, il ne bouge plus, les joues rouges il me regarde d'un air coupable... et ça m'excite d'autant plus! Je me rapproche nez à nez, nos érections se touchent à travers les tissus. Olivier baisse la tête et je lui murmure 'Plutôt que de renifler mon slip je vais te faire renifler ma queue... Les joues rouges, Olivier bredouille un son inaudible. J'entends Rémi qui monte les escaliers. Je dis à Olivier 'Va dans ta chambre, je t'y rejoins, sinon ton frère va savoir'

Olivier sort à toute vitesse, sans doute content de remettre cet épisode à plus tard. Avoir le contrôle de la situation m'a tellement excité, que j’aie du mal à cacher mon érection quand Rémi rentre dans la chambre.
Il me dit 'Alors? On s'est fait plaisir sous la douche' avec un clin d'oeil et un grand sourire... A mon tour de rougir et de répondre 'Ouais...peux pas m'en empêcher'.
Rémi me dit 'Je vais vite en ville m'acheter une nouvelle paire de gants et faire des courses avec les parents pour ce soir, tu veux venir ?'
Moi: 'Oh non, c'est gentil je suis crevé je crois que je vais rester ici et faire une sieste'...
Rémi: 'Ok, ben Olivier reste aussi, donc si vous voulez nous rejoindre appelle moi'
Moi: 'Ok pas de problèmes' ... j'ai une boule dans le ventre. Olivier et moi allons être seuls! J’ai la bouche sèche et suis déjà entrain de m'imaginer comment ça va se passer.

Après 10mn j'entends la porte qui claque... Je suis toujours en serviette et me branle doucement... j'ai mal à la queue tellement qu'elle est dure. Je me lève, je laisse la serviette et sort nu dans le couloir, mon sexe fièrement dressé et mes couilles qui pendent. J'ouvre la porte de la chambre d'Olivier. Il est en caleçon sur son lit entrain d'écouter son Ipod. Il me voit et sa mâchoire tombe, le rouge lui monte aux joues.
Je m'avance vers lui, il s'assied sur son lit et regarde ses pieds.
'Ne sois pas timide' je lui dis d'une voix faussement assurée... 'Fous toi à poil je veux voir ta bite'
Il s'exécute aussitôt, il commence à avoir une érection et fixe mon sexe des yeux.
'Rapproche toi, tu sentiras mieux'...je sens son souffle sur mon sexe et le voit renifler mon gland, j'ai du mal à pas lui jouir au visage tellement mes couilles sont tendues.
Je lui ordonne de se coucher sur le lit... 'Laisse toi faire' Je me met à genoux au dessus de sa tête et me baisse jusqu'à ce que mon petit trou touche le bout de son nez. 'Renifle Olivier'... je sens le bout de son nez qui se frotte contre mes fesses et mon anus, je vois Olivier machinalement porter sa main à sa queue pour se branler. Je l'en empêche et lui dis: 'Lèche moi le cul'

Je sens sa langue passer le long de ma raie, cette sensation chaude et mouillée qui glisse sur mon anus qui palpite de plaisir. Il commence à me lécher le trou comme un chien. Je vois sa queue avoir des spasmes. Mes couilles sont tendues et prêtes à exploser. Je me relève et voit une pointe de déception dans son regard. 'Assis' je lui ordonne... Je suis debout face à lui, mon sexe turgescent face à son visage... 'Suce moi et fais ça bien'... Il ne lui en faut pas plus pour qu'il enfourne mon sexe dans sa bouche et commence à me sucer avec frénésie. Il bave, suce, lèche ma hampe de haut en bas, s'attarde avec le bout de la langue sur mon gland. Je sens que je ne vais pas tarder à jouir. 'Suce mes couilles', Olivier s'exécute... la sensation est trop bonne, mon anus se contracte et se décontracte de plaisir.

Je prends Olivier par les cheveux et éloigne sa tête de mon sexe, je le regarde, il me regarde et je vois dans son regard qu'il est loin, presque dans une transe 'sexuelle'. 'Suce et avale' je lui ordonne de façon plus brutale. Il me suce et essaye de prendre toute ma queue en bouche... à ce moment je tiens sa tête et lui déverse des giclées de sperme qu'il avale en hoquetant... Il se recouche sur le lit pour reprendre ses esprits...

Il est couché sur le dos, son sexe est brillant tellement qu'il mouille... Je ne vais pas le laisser dans cet état. Son sexe est plus petit que le mien, ses couilles sont lisses et douces.
Je lui intime de relever et écarter ses jambes... Je l'entends, son souffle s'accélère. Je me baisse et passe le bout de ma langue tout le long de son gland, de sa hampe et de ses couilles. Je le suce doucement, et j'apprécie la douceur tendue de son sexe. Je lui gobe les couilles et il pousse un petit 'Oh' de surprise puis gémit de plaisir... Je passe la langue entre ses couilles et sa petite fleur brune... il remonte les jambes à son torse de façon instinctive. La vue est superbe, ce beau cul avec ce trou qui palpite fiévreusement, et les couilles tendues juste au dessus. Je passe ma langue tout autour de son anus et le long de sa raie. Il soupire de bonheur. Des petits coups secs de langue de haut en bas avant de plonger le bout de la langue dans son cul... Je sens que tout son corps à des spasmes au moment ou j'introduis ma langue dans son trou. Je bave abondamment sur son cul... et me remet à lui sucer la bite... au moment ou je sens qu'il va jouir je suce plus fort et glisse un doigt dans son anus... Je sens son anus se contracter autour de mon doigt avant de sentir des giclées de sperme m'inonder la bouche.

J'avale tout et continue de lui lécher la bite avec mon doigt dans son cul... il bande encore comme un fou et une idée germe dans mon esprit... Le sexe d'Olivier me parait assez fin et court pour que je me l'imagine dans mon cul...

Je rebande à l'idée et lui ordonne de ne pas bouger... Son sexe est encore luisant de ma bave... Je me met à genoux au dessus de lui et attrape sa queue pour la diriger vers mon trou. Je me baisse doucement et m'arrête quand je sens son gland chaud posé contre ma rondelle moite.
'Ne bouge pas' je lui dis. Je suis face à lui il a le regard fixé sur ma queue qui rebande et sa bite juste en dessous qui s'apprête à glisser dans mon cul. Je me baisse encore, je sens le gland qui pousse contre mon sphincter... mais ça ne me fait pas mal, c'est comme quand je me glisse deux doigts dans le cul quand je me branle.

Mais sentir cette tige chaude et dur en moi, m'envoie des décharges de plaisir dans le ventre. Je m'arrête lorsque mes fesses sont chatouillées par ses poils et je sens le contact de son bassin contre mes fesses. Ca y'est je suis planté! Je reste comme ça, sentant mon anus se serrer contre la base de son sexe. à ce moment je sens une vague de chaleur et comprend qu'Olivier vient de me jouir dans le cul!
Mon anus se contracte immédiatement lorsque je sens mes couilles décharger ma semence une deuxième fois. Et je ne me suis même pas toucher la queue! Je pousse un profond soupir de plaisir... et on se retrouve tous les deux à reprendre notre souffle. Olivier est entrain de débander dans mon cul...je sens son sperme couler entre mes cuisses et cette tige dure et chaude se ramollir.

Une dernière chose avant d'en finir avec lui... Je me met sur le dos en relevant les jambes et ordonne à Olivier 'Maintenant tu vas me nettoyer le cul avec ta langue' il se met à quatre pattes et lèche les écoulements de sperme le long de mes cuisses, avant de placer sa bouche sur mon anus et littéralement aspirer le sperme qui y reste.

Je me lève pour aller me nettoyer, Olivier est couché sur le ventre, je regarde son cul et d'une main claque ses belles fesses blanches et rebondies... 'Demain c'est toi qui y passe' là il me regarde avec une légère crainte dans les yeux...

Je rentre dans la douche au moment ou Rémi et ses parents rentrent du village
Et je me dis que ces vacances sont loin d'être terminées!
Par Bipuce - Publié dans : Histoires
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Jeudi 4 juin 4 04 /06 /Juin 22:48
On avait décidé de passer 3 mois à Bali… On ne se connaissait pas bien mon cousin et moi et c’était une des raisons pour lesquelles on avait fait ce voyage ensemble, pour mieux se connaître.

On n’aurait bientôt plus de secrets l’un pour l’autre…

On avait loué une hutte sur la plage pour 1 mois… Confort minimum garanti. Un lit double, une moustiquaire, un WC et, comble de luxe pour ces lieux défavorisés, une douche avec de l’eau chaude !

J’avais 22 ans, mon cousin 21. Je le dépassais d’une tête, et lui était plus ‘enrobé’. On avait passé la première semaine dans un hôtel un peu plus chic, pour s’acclimater au changement. Cela nous a permis de mieux se connaître, on se racontait tout ou presque…

Mon cousin affichait une certaine pudeur, peut-être était-il complexé par son physique ? Je faisais exprès de me dévêtir devant lui avant de prendre ma douche, je voulais qu’il se sente à l’aise avec moi pour se foutre à poil, et pour que surtout je puisse jeter un coup d’œil furtif à son sexe pour comparer.

Mais j’avais beau faire semblant de rien, il continuait à rester pudique s’enfermant dans la salle d’eau pour se changer…

J’avais décidé de passer à la vitesse supérieure. Un soir alors que nous revenions d’une fête bien arrosée, je fis semblant d’être royalement saoul, titubant et m’appuyant à lui pour marcher. Ce n’était pas la première fois qu’il me voyait dans cet état-là sauf que cette fois-ci c’était ‘pas pour du vrai’…

Arrivé dans la hutte, il se mit à rouler un pétard comme à son habitude… il faisait mourant de chaud. Je me mis à lui tenir un discours de poivrot, sans queue ni tête, tout en me déshabillant.

J’étais en caleçon lorsqu’il me tendit le joint… je tirais quelques coups dessus et lui repasse en disant… ‘Fais trop chaud je vais prendre une douche’… Là, je laisse tomber mon caleçon à mes chevilles pour lui dévoiler mon sexe en pleine face. Je vois son regard et ses yeux qui s’agrandissent… je me retourne et marche vers la salle d’eau.

Je laissais la porte ouverte exprès, jouant le jeu du bourré qui s’en fout de tout. Je savais que du lit, il pourrait me mater tranquillement. Je commençais à prendre ma douche, me savonnant lentement le corps, je voulais savoir si il me matait toujours et je vis qu’il était assis confortablement sur le lit, fumant le pétard et me matant avec des yeux gourmands.

Cette situation commençait à m’exciter… je reprenais du savon et m’attaquais à ma queue et mes couilles, les savonnant longuement, me massant tranquillement le sexe qui durcissait à vue d’œil…

Je me rinçais, le sexe bandant à moitié, et sorti de la douche, serviette autour de la taille pour prendre ma place sur le lit. Mon cousin, reroulais un autre pétard et sorti deux grandes bières. Il m’en tendit une ainsi que le pétard fraîchement roulé.

Décidément il avait une idée derrière la tête, et je savais exactement ce que c’était… il voulait que je sois mort saoul histoire que je me souvienne de rien le lendemain… je me laissais faire, j’allumais le pétard et buvait de la bière…

J’étais face à lui sur le lit, je bougeais mes jambes pour qu’il puisse entrevoir mon sexe à travers la serviette de bain, observant son regard qui était fixé sur ma queue. Il ne prenait même plus la peine de me regarder dans les yeux, pensant que de toute façon j’étais mort saoul. J’écartais encore les jambes jusqu'à dévoiler entièrement mon engin et mes couilles.

Puis sur un dernier mot inaudible je fis semblant de m’endormir… Les yeux fermés je l’entendais bouger autour de moi, je commençais déjà à avoir une érection, excité par la suite. J’entrouvris à peine un œil pour le voir attraper son appareil photo, il me prit en photo sous tous les angles, et se rapprochait de mon sexe pour des gros plans. Et je le voyais avec un piquet de tente dans le caleçon

Je bandais comme un fou dans mon ‘sommeil’. Il m’a secoué deux trois fois pour s’assurer que je dormais bien. Et là il se dévêtit enfin ! Son sexe était plus court que le mien, mais surtout quelle surprise ! Il s’était complètement rasé la queue. Je comprenais enfin pourquoi il se cachait pour se changer, il avait honte que je le questionne là dessus.

Il prenait maintenant des photos de nos deux sexes en érection. Il posait le bout de son gland contre le mien et prenais une photo. Je l’aperçus entre deux photos à mater les photos qu’il venait de prendre tout en se masturbant. Mais le meilleur était à venir.

Je le sentis se rapprocher et puis senti son souffle chaud sur le ventre, il avait sa bouche à quelques centimètres de ma queue ! Faisant semblant de la sucer pour se prendre en photo ! Je n’en pouvais plus, du liquide séminal s’écoulait abondamment de mon gland…

Je sentis ses doigts s’enrouler autour de ma queue et très doucement il me décalottait, me branlait avec douceur et lenteur… je sentis sa langue se balader sur mon ventre, léchant le liquide qui s’était répandu… Puis le souffle chaud se rapprocha de ma queue…

Il commença à me sucer la bite, je ne pus m’empêcher un gémissement… il ne s’arrêtait pas pour autant. Il continua à me sucer puis s’arrêta, gardant mon sexe au chaud dans sa bouche.

Il passa ensuite aux couilles les gobant et les léchant avec avidité, pour revenir ensuite à ma queue impatiente. J’étais au paradis ! Je ne pu me contenir longtemps et avant de jouir je mis ma main sur sa tête pour le garder là.

Il savait maintenant que j’étais réveillé mais continua à me sucer jusqu'à ce que je lui déverse mon foutre dans sa bouche, il avalait tout et léchait ce qu’il restait à lécher.

Je lui dit : ouah c’est bon de se faire réveiller comme ça !

Je lui attrapais sa belle queue bandée sans poils, je lui dit ‘couche toi sur le dos’. Il m’obéissait avec une rapidité qui me fit comprendre que c’est cela qu’il voulait… un peu de domination, d’ordres…

Il se couchait sur le dos à ma merci, attendant que je m’occupe de son corps, ce que j’avais bien l’intention de faire. Je lui disait ‘Alors, comme ça tu t’est rasé la bite ?! – et tu n’osais pas te montrer alors que c’est superbe et en plus’… je passais ma langue sur ses couilles et son sexe…’c’est doux’.

‘Ecarte les jambes’, il s’exécuta promptement… Je lui léchais les couilles, le sexe et le gland… puis descendais la langue sous ses couilles, vers son anus dont les odeurs m’excitait les sens. Je passais la langue sur sa fleure brune, ajoutant de la salive, et y enfonçait le bout de la langue. Il avait maintenant remonté ses jambes contre son torse. J’enfonçais la langue profondément dans son anus, il gémissait de plaisir. Je repassais sur ses couilles et son sexe, prenant le soin d’enfoncer un doigt dans l’anus que je venais de quitter, je sentais son anneau se resserrer contre mon doigt alors que je lui pompais avidement le sexe…

Il jouit, je recrachais son sperme sur son pubis rasé et l’étalais à l’aide de sa queue… ‘On ne m’avait jamais fait ça !’ ‘Quoi donc je lui demande’ me lécher l’anus, c’était incroyable !

Je lui réponds que c’est loin d’être fini et qu’il y a avait beaucoup de choses que l’on allait pouvoir découvrir à deux.

Je me remis à lui lécher et doigter l'anus... cette fois ci je le mis sur le ventre... il remuait son bassin de haut en bas en poussant des râles de plaisir. Je sentais son anus s'ouvrir petit à petit et enfonçait un deuxième doigt... 'Ooooh nom de dieu c'est boooooon' gémit-il... Mon cousin devenait une chienne en chaleur sous mes caresses, il cambrait de plus en plus les fesses.

Je lui dis de ne pas bouger et me saisit d'une banane sur la table. Au moment où j'enlevais la peau il se retourne et voit ce que je fais... Il me regarde avec un grand sourire, se lèche les lèvres comme une vraie cochonne et retourne la tête en cambrant son cul au maximum...

Je lui dis, ça va rentrer tout seul... je me rapprochais de son cul, il écartait ses fesses pour ouvrir son anus au maximum... Je lui enfonçait doucement la banane dans le cul... sous le plaisir il contracta son sphincter qui coupa la banane... Un morceau lui restant dans le cul

'Pousse' je lui dis, et le bout de banane ressortit... 'Maintenant mange'. Au moment où il mit la banane à ses lèvres il jouit de grosses giclées de sperme....

Je le tenais... c'est la soumission qui l'excitait le plus...et moi j'allais pouvoir le dominer!

Je me réveillais, mon cousin dormait, la tête posée près de mon sexe en érection. Je le regardais dormir, il était recroquevillé... son petit sexe fripé, mollement posé sur sa cuisse. Le fait qu'il s'était rasé la bite m'avait interpellé le soir d'avant..Mais maintenant que je le regardais, cela m'excitait fortement. Je touchais son prépuce du bout des doigts, et les portait à mes narines: ça sentait le sperme et la pisse, des odeurs fortes qui me faisait tourner la tête.

Il dormait toujours, je décidais de me tourner vers lui pour que ma queue soit devant sa bouche, sous son nez... Je me décalotte doucement le gland sous ses narines, pensant que dans son sommeil il va humer les odeurs que dégage mon sexe. Il se réveille à ce moment et me regarde... Un grand sourire éclaire son visage. Il suce ma bite avidement, passant la langue autour de mes glands qui m'envoie des décharges de plaisir dans le corps. Je pose ma main sur sa tête et agrippe ses cheveux, c'est moi qui donne le tempo. A mon plus grand plaisir il se laisse faire et je lui baise la bouche de plus en plus vite jusqu'a ce qu'il hoquette en recevant mon foutre dans la gorge.

Je reste sur ma faim et voit son sexe un peu enfantin au garde à vous... une érection me reprend. Je lui dis sèchement de venir avec moi dans la salle de bains. Il me suit comme un petit chien... Je m'assieds sur les chiottes, je lui dit de prendre les ciseaux, la mousse et le rasoir, mon cousin s'exécute et reviens.

Je coupe ma toison autour de mon sexe et y applique de la mousse... Je me tiens de bout devant lui et lui dit: ' A genoux, rase moi'
Il s'exécute, mon sexe dandine mollement devant son nez. Il fait ça d'une main experte et rapide, comme quoi il a du se raser plus d'une fois... il a même la raie du cul rasée... pas un poil, c'est comme du satin.
Je passe sous la douche et dit à mon cousin de me rejoindre, nos sexes se touchent et on ne peut s'empêcher de se donner des coups de hanches en faisant glisser nos sexes durs l'un contre l'autre.

Je trouve l'occasion de le remettre en position de dominé: 'penche toi en avant', Il s'exécute illico attendant avidement la suite, je passe le pommeau de douche contre ses fesses et contre son anus, comme un massage. Mais mon idée n'est pas de le masser: 'Ecarte tes fesses' je lui dit. Il s'applique et agrippe ses fesses en les écartant le plus possible. Parfait, son trou est ouvert, offert : Je pose le pommeau contre son trou, l'eau lui remplit directement les intestins, je sens que ses jambes vont flancher... je m'arrête.

'Mets toi debout!'
Je le vois, un air étonné sur le visage... l'eau chaude commence à couler le long de ses jambes, parfois un peu brune...
Il regarde ses pieds pour voir l'eau s'écouler, apparemment il a apprécié car sa bite est en pleine érection, 'lavement' je lui rétorque avec un sourire, 'allez viens'

Il me suit dans la chambre et on se couche sur le lit double... Là il m'avoue: 'je fantasmais depuis le début quand tu m'as invité a t'accompagner en voyage. Ça faisait des semaines que je voulais avoir l'occasion d'être seul avec toi... quand je t'ai vu nu la première fois j'ai eu une érection et j'ai cru jouir dans mon pantalon, je n’ai pas arrêté de penser que je voulais te voir et ta belle bite en érection. Hier soir, l'occasion était trop belle alors j'en ai profité...'

Il me disait ça à genoux et sur les coudes devant moi, son cul cambré complètement offert... je lui ai répondu: 'et bien c'est la dernière fois que tu en profites sans mon accord!'

Reste comme tu es ! Je lui ordonne... je me place derrière lui et lui bouffes le cul, je salive abondamment et enfonce ma langue le plus profondément possible, il en gémit de plaisir. Ce gros cul offert, imberbe et luisant me donne des lancements dans la queue, je bave sur mon majeur et le glisse lentement dans son cul... Il se cambre encore plus, je vois son anus et ses belles couilles serrées par le désir. Je glisse un deuxième doigt et un troisième. Son sphincter est complètement relâché, je joue avec mes doigts dans son cul, j'élargis son anus alors qu'il pousse des râles de plaisir.

Je ressors mes doigts, je l'entends soupirer. Je place mon gland contre son trou, qui se serre instinctivement au contact. J'entends mon cousin soupire 'ouuuuuuiiiiii baise moi'
Je pousse mon gland à l'intérieur, je le vois mordre le coussin et lui dit 'relâche toi et pousse'... obéissant je sens sa poussée faciliter ma pénétration, je le remplis doucement, centimètre par centimètre jusqu'à ce que nos peaux se touchent...
Je commence un lent va et vient tout en lubrifiant le reste de ma queue avec une crème.

Je l'entends pousser des 'Oh' 'Oh' qui m'excitent d'autant plus, j'accélère le rythme. Il commence à gémir et le bruit de mes couilles qui claquent contre son cul m'extasie. J'attrape sa queue et sens qu'il a déjà joui... néanmoins je le branle encore, mes doigts sont pleins de sperme.
Je le ressens jouir entre mes doigts, décidément c'est un véritable geyser! Je porte mes doigts à sa bouche et lui fait sucer...je sens que je ne vais pas tarder à jouir. Je l'attrape fermement par les hanches en donnant des coups de plus en plus forts et de plus en plus rapides...

Je joui dans un râle de plaisir au fond de son cul, six grosses giclées qui l'inondent. On ne bouge plus pour quelques instants, je reste planté dans son cul. Je ressors doucement, un bruit de succion quand mon gland ressort du cul dans lequel il était si profondément fiché. Mon cousin reste sur le ventre, couché dans son propre sperme, et le mien dégoulinant entre ses cuisses. Je regarde son anus qui palpite encore de tous ses efforts, rouge, béant, offert. Et je ne peux m'empêcher de porter ma langue à mon sperme qui s'écoule de son cul...

Par Bipuce - Publié dans : Histoires
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mercredi 3 juin 3 03 /06 /Juin 22:43
J’ai 23 ans et suis homo à 100% !

Lorsque j’avais 18 ans je suis parti en Sicile par le biais d’un échange scolaire. Le séjour s’était bien passé et j’avais particulièrement sympathisé avec un italien, plutôt mignon avec un corps façonné par la musculation et la danse, qui avait des airs parfois un peu efféminés (rien de méchant) mais me parlait de son ex copine qui habitait désormais très loin, je m’étais donc fait une raison…

Lors de mon départ les élèves nous avaient organisé une soirée, boissons, musique… N’étant pas très fêtard, je restai un moment puis décidai de partir me doucher avant d’aller me coucher.

Je me dirigeai donc vers les douches et entrai dans la cabine. Les douches n’étaient pas mixtes et heureusement car les cabines étaient fermées par des vitres coulissantes à peine opaques et il n’était donc pas bien difficile de voir ce qui se cachait derrière…

Quoiqu’il en soit, je commençai à faire couler l’eau et j’entendis mon ami italien qui m’appelait dans le couloir. Je lui répondis donc et je l’entendis entrer dans la salle de douches. Il n’y avait alors que moi qui me douchais et il me trouva donc sans difficultés. Il ne disait rien mais j’arrivais à apercevoir un léger sourire. Toujours sans rien dire je le vis s’en aller… mais pas bien longtemps, il était parti fermer la porte (qui pouvait être ouverte à n’importe quel instant) et je l’entendis retirer ses vêtements.

Il revint ensuite devant ma cabine de douche, complètement nu, et se mit à me parler de choses et d’autres, mais rien de réellement intéressant… Son corps qui m’avait excité tout au long du séjour était devant moi, mais cette fois-ci sans vêtements ! Je réussis à le regarder uniquement dans les yeux pendant quelques secondes mais la tentation était trop forte et je finis par baisser les yeux de plus en plus souvent… Je sentis que je commençai à bander, ce qui me gênait un peu puisqu’il m’avait dit avoir une copine…

Il eut de nouveau un léger sourire et me demanda s’il pouvait entrer… Je ne me fis pas prier et fis coulisser la porte pour le laisser entrer, malgré ma forte timidité… Les douches étaient étroites et une fois que nous fûmes tous deux dans la cabine, la porte coulissante close, il ne nous restait pas beaucoup de place, mais ce n’est pas moi qui allais m’en plaindre ! Il bougea faiblement et je sentis son sexe frôler ma cuisse alors que nous étions face à face. La réaction fut instantanée, je commençait à sentir mon sexe gonfler et le sien aussi par la même occasion… Il me lança :

« Hé non, je n’ai pas de copine… »

Puis il m’embrassa tout en me caressant les couilles. J’étais aux anges et j’avais le cœur qui battait fort, je n’avais jamais rien fait avec un gars bien que j’en eusse eu très envie depuis des années ! Je me mis à lui caresser les fesses, elles étaient très rondes et fermes. Je lui caressai tout le reste du corps, je suis très tactile et j’étais gâté avec son corps musclé. Je terminai mon petit parcours sur sa queue, qu’il avait déjà bien dure et commençai à le masturber tout doucement. Il continuait à m’embrasser mais m’appuya par une faible pression sur les épaules pour me faire baisser. Ce n’était pas simple vu l’étroitesse de la cabine de douche mais ce n’était quand même pas un mur qui allait m’empêcher de faire ma première fellation !

Sa bite était de taille assez sympathique, environ comme la mienne, peut-être un peu plus grosse, et je la pris directement dans ma bouche. Cela avait l’air de lui plaire, j’entendais sa respiration s’accélérer tandis que son souffle se faisait de plus en plus fort. D’une main, je lui caressais les couilles, le sexe, et de l’autre, parfois ses fesses, parfois son torse imberbe. Je bandais vraiment fort et je sentais qu’il était très excité. Après quelques minutes, il repoussa ma tête et me leva, tandis que lui s’agenouillait.

Il me regarda dans les yeux, toujours avec le même petit sourire, et caressa mon gland décalotté du bout de la langue. J’en eus des frissons de plaisir, sentir le contact chaud d’une langue pour la première fois sur son gland, et regarder cette personnes les yeux dans les yeux me donnait une sensation étrange mais tellement plaisante… Après avoir fait plusieurs tours de mon gland, il descendit gober mes couilles quelques instants, remonta et prit mon pénis dans la bouche. Je ne pus m’empêcher de pousser un gémissement de plaisir, c’était tellement bon !

J’étais tellement préoccupé par la fellation qu’il me faisait que j’avais à peine remarquée son autre main qui caressait mes fesses. Il avait déjà commencé à m’introduire lentement un doigt et à faire des allers-retours avec. Je me sentais un peu pris au dépourvu, mais j’avais vraiment envie de me faire sodomiser alors je le laissais continuer et l’encourageai à en mettre d’autres par des cris de plaisir.

Il ne se fit pas prier et en introduisit un deuxième, puis un troisième. Une vague de plaisir m’envahit lorsqu’il les enfonça relativement loin et je jouis dans sa bouche en lâchant un petit cri de plaisir et de surprise. Je le sentis avaler tout mon sperme et cela m’excitait… Après avoir bien nettoyé mon gland, il releva les yeux, me fixa et remuait ses doigts dans mon trou maintenant bien écarté.

Il se releva, me tourna délicatement face au mur et se plaqua contre moi. Je pouvais sentir son sexe droit contre ma raie, son torse contre mon dos tandis qu’il m’embrassait dans le cou. Il me demanda à l’oreille si j’avais envie qu’il me sodomise et je répondis timidement que oui, même si je n’attendais que ça !

Il continuait de m’embrasser dans le cou tout en manipulant son sexe. Je le sentis contre ma rondelle et il l’introduisit assez facilement à ma surprise même si cela a nécessité quelques étapes intermédiaires. Il arriva donc rapidement à enfoncer la totalité de sa queue et je sentis ses couilles taper contre moi. Il était très doux et continuait de m’embrasser partout. Il commença à faire des va-et-vient dans mon cul et j’aimais ça ! Je pouvais sentir sa respiration haletante sur mon cou ce qui m’excitait encore plus…

Les mains posées sur mon bassin, ses lèvres contre mon cou, sa respiration sur moi et surtout son sexe qui me pénétrait… C’était un plaisir immense et après quelques minutes je sentis sa respiration s’accélérer et s’accompagner de gémissements… Je savais ce que cela signifiait et j’en salivais d’avance, même si j’aurais aimé que cela continue encore et encore… Quelques instants après je le sentis jouir dans mon trou et son sperme chaud m’envahit, c’était bon !!!

Enfin il se retira, je me retournai et nous nous sommes embrassés pendant de longues minutes. Nous voulûmes prendre notre douche ensemble mais ce ne fut pas évident à cause de la petitesse de la douche mais ce fut un petit jeu excitant avec des frôlements plus qu’agréables…

La douche terminée, nous sortîmes tous les deux alors que personne n’était venu déranger notre petite aventure…
Par Bipuce - Publié dans : Histoires
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Jeudi 28 mai 4 28 /05 /Mai 22:53
A l'époque de cette histoire, je devais être âgé d'une vingtaine d'années. J'étais jeune ouvrier dans un garage-station-service effectuant, ici ou là, quelques petites réparations ou contrôles automobile.
Un soir, alors qu'approchait l'heure de la fermeture, mon patron, propriétaire du garage, m'informait qu'un client nous avait laissé sa voiture pour un contrôle complet et qu'il la reprendrait le lendemain matin.
En deux mots, il me demandait tout simplement de commencer ma journée du lendemain, un peu plus tôt.
Je ne sais pas ce que vous préférez, mais moi le matin, j'aime les draps de mon lit, aussi je lui proposais de vérifier la dite voiture le soir même et de fermer le garage.
Il accepta bien volontiers ma proposition, ferma la station-service et me laissa les clefs pour tout boucler après mon travail. Sur ce, il me laissa à ma tâche.
J'aimais me retrouver seul en ce lieu, toutes ces voitures et moi seul, maître à bord de ma petite usine...
Le véhicule à vérifier était une berline, voiture spacieuse et puissante avec juste un zeste d'allure sportive, bref, une petite bombe... J'imaginais déjà son propriétaire sûrement très jeune, dévorant les kilomètres au volant de ce bolide, qu'une brève pré-visite m'avait démontré bien entretenu.
Le travail serait donc simple, et rapide.
J'en étais à plus d'une demi-heure de main d'œuvre quand des coups furent frappés à la porte du garage. Absorbé par mon travail, et l'heure de fermeture passée depuis longtemps, je décidais d'ignorer la chose, seulement quelques secondes plus tard, d'autres coups plus insistant, renouvelèrent l'appel.
"La maison est fermée", criais-je en direction de la porte tandis que j'étais allongé sur un banc roulant glissé sous la voiture.
"Ma voiture est chez vous, ouvrez, s'il vous plaît."
Et alors, me dis-je, il ne peut pas repasser demain ?
Ma réflexion s'arrête là car, dans une petite entreprise comme la nôtre, le client est roi c'est bien connu. Aussi, bien que maugréant, je me glissais de dessous la voiture, m'essuyais rapidement les mains et allais ouvrir à mon gêneur...
Et là, big, le flash, fini le gêneur, si je vous dis "Apollon", vous comprenez ma vision...
Un gars, à peine plus âgé que moi, mais plus grand et plus fort aussi, blond aux superbes yeux bleus et cheveux courts, le corps musclé, habillé d'un survêtement qui démontre, au sac de sport qui l'accompagne, une pratique sportive régulière.
"Bonsoir, me dit l'inconnu, je suis Alain, je vous ai laissé ma voiture pour une révision, je devais la reprendre demain matin mais j'ai vu la lumière. Je me suis arrêté pour voir si elle ne serait pas prête et si je ne pourrai la récupérer ce soir, ce qui me ferai gagner du temps pour mon départ demain matin."
"ah, répondais-je, cela va être difficile, je viens juste de débuter les contrôles et j'en ai encore pour une bonne heure..."
Le type prend un air des plus dépités et m'explique qu'il sort d'un entraînement de musculation, qu'il vient de se faire déposer au garage et qu'il n'a aucun moyen pour rentrer chez lui.
Je l'ai déjà dit, le client est roi... Aussi, je lui propose d'entrer et d'attendre la fin de mon contrôle.
Aussitôt, le visage d'Alain s'illumine, il empoigne son sac de sport et pénètre dans le garage. Nous discutons trois minutes de choses sans intérêt et je me remets à ma besogne.
Alain me paraît plutôt sympa, le travail avance vite et il ne rechigne pas à m'aider sur un point ou sur un autre en m'avançant tel ou tel outil.
Nous sympathisons très vite, les blagues commencent même à fuser et c'est très simplement qu'Alain m'invite à prendre un verre chez lui, une fois le travail terminé, chose que je m'empresse d'accepter.
Je termine donc ma série de contrôle, range mes outils et me prépare à me changer afin de retrouver une tenue correcte. Pour ce faire, nous disposons au fond du garage d'une pièce qui nous sert de vestiaire et de local de douche.
Croyez-moi, après huit heures à travailler dans les graisses et les huiles, la douche de fin de service n'est pas un luxe. Aussi, quand le garage est rangé et qu'Alain a pu admirer mon travail, je lui dis que j'en ai juste pour quelques minutes avant d'être à lui...
Je me dirige donc, toujours en discutant, vers le vestiaire local de douche où Alain me suit. Je commence à me déshabiller et pudiquement Alain me tourne le dos, tandis que je passe sous la douche.
Je suis évidemment plein de savon, quand la sonnerie du téléphone retentit. A cette heure tardive, cela ne peut être que mon patron qui, comme à chaque fois que je suis seul, s'informe de mon travail.
Au moment où je saisis une serviette, Alain passe la tête à la porte et ne peut manquer de me voir nu, l'espace d'une seconde. Il a un petit sourire, et me demande : "tu ne réponds pas ?" si, si, j'y vais..." Je noue une serviette autour de ma taille et vais répondre au téléphone dans un local, tout à côté du vestiaire. Alain me suit toujours. Au téléphone, c'est bien mon patron, le propriétaire du garage : je lui énumère mon travail de la soirée, quand soudain, je sens le corps d'Alain s'appuyer au mien. Je sens son bas-ventre plaqué contre mon dos, j'ai un léger tressaillement mais je ne veux pas alerter mon patron et continue comme si rien ne m'arrivait.
Évidemment, Alain prend cela comme un encouragement, son corps se fait plus lourd, sa main droite s'est posée sur mon épaule, la gauche sur le haut de ma poitrine...
Ses caresses m'ont certes surpris, mais ne me gênent pas bien au contraire, je m'en amuse même en répétant la dernière phrase de mon patron : " Bien, Monsieur, compris, je vous décris tout ce que je fais pour la facture. Comptez sur moi... "
Alain lui, ne reste pas inactif. Sa bouche s'est posée sur mon cou et sa main gauche a glissé le long de mes abdominaux.
Même si je suis moins grand et moins large que lui, je n'ai pas à rougir de ma personne. Mon mètre soixante douze pour soixante dix kilos sont une bonne présentation de ma petite personne, en tous cas, Alain à l'air de la trouver à son goût.
En sortant de la douche, je m'étais rincé rapidement et maintenant Alain lèche une à une les gouttes d'eau sur mes épaules. Sa main gauche se fait, elle, plus insistante et se fraie un chemin entre mon corps et la serviette nouée à ma ceinture.
Je termine ma discussion avec mon patron, il me souhaite une bonne soirée et raccroche. Au moment où moi aussi je repose le combiné téléphonique, ma serviette, mon dernier rempart, tombe me laissant ainsi dans le plus simple appareil... Aussitôt, Alain pèse sur mon épaule, m'invitant à poser les deux mains sur le bureau.
Sa main gauche à atteint mon pubis. Il joue avec mes poils qu'il enroule autour de ses doigts, tandis que sa main droite elle, est descendue sur mes fesses qu'elle caresse doucement... Cette même main droite se retrouve soudainement emprisonnant ma verge qui n'est pas restée insensible à ses caresses. Il la sous-pèse, descend jusqu'à mes testicules qu'il sous-pèse aussi.
Son corps non plus n'est pas resté sans réaction : la barre dure de son bas-ventre qui m'écrase le dos m'est le témoin de son émotion.
Sa langue, elle, a continué à lécher mon dos, ses dents mordillent maintenant mes épaules, tandis que sa main à commencé sur ma verge un mouvement de va et vient des plus doux, mais dont je ne saurai sûrement pas me satisfaire. D'un mouvement rapide, je me retourne, je lui prends la tête dans les mains, il a un violent mouvement de recul vite passé. En baissant les yeux, la vue de ma verge tendue à son maximum le rassure. Je tiens fermement son visage dans mes mains et approche ses lèvres des miennes. Sa bouche s'ouvre sans attendre et un long très long moment se passe avant que nos deux langues ne se séparent. Je replonge très vite ma langue dans cette bouche, m'abreuve de sa salive mais ne veux pas non plus en rester là.
A mon tour, j'explore son corps : j'ouvre sa veste de survêtement et la laisse tomber. Je vais très vite pour glisser les mains sous son tee-shirt, caresser ses abdominaux et lui ôter ce vêtement.
Je m'arrête trois minutes, pour admirer ce corps bien bâti : un V parfait, pas un point de graisse. Il me sourit et avance une main vers ma verge. Je lui prends cette main, lui en glisse le pouce sous sa ceinture de pantalon, je lui prends l'autre main, lui glisse l'autre pouce sous la même ceinture et, sans un mot, d'un geste lui ordonne un strip-tease.
Le sourire qu'il affiche montre qu'il n'est pas mécontent de la tournure que prennent les événements. Il baisse les yeux vers son pantalon et je peux remarquer à la bosse qui déforme son entre-jambes que le spectacle qui m'attend ne sera pas commun.
Ses mains quittent sa ceinture pour venir en coquille enserrer sa virilité. Je n'en ai encore qu'une vague idée, mais je sais que très bientôt j'userai de cet objet dont dame nature l'a visiblement bien fourni. Comme s'il comprenait mon attente, il se décide lui aussi à jouer, il s'adosse au bureau et laisse ses mains glisser le long de ses jambes, tel un ballet bien orchestré, d'un seul geste il se défait de ses lacets et d'un pied chassant l'autre, retire ses chaussures de sport. Ses chaussettes elles aussi, finissent sur le parquet.
Il me regarde, un large sourire narquois aux lèvres et fait lentement glisser son pantalon le long de ses cuisses musclées, découvrant un boxer blanc presque transparent, mais au devant doublé d'une poche bleu marine. Oui, on ne peut appeler que poche cette avancée bien remplie. Il retire complètement son pantalon et se retourne pour le déposer sur le bureau.
Il tourne la tête pour me parler, mais mon doigt s'est posé sur ses lèvres :
- Silence.
Alors il commence à faire glisser le dernier vêtement. Quand son boxer est à mi-cuisses, je fais un pas et prends la position qu'il détenait il y a cinq minutes encore. Je me colle à son dos et mes mains enserrent sa poitrine. Sa tête bascule en arrière et ses courts cheveux blonds viennent caresser le creux de mon épaule.
Mes mains glissent sur son torse et à mon tour je découvre son pubis, je ne m'y éternise pas, trop pressé de découvrir l'objet...
Et quel objet ! Ce que j'ai maintenant en main mesure près de vingt cinq centimètres, si ce n'est plus. Longue mais fine, sa verge palpite maintenant au creux de ma main. Je le caresse et sa bouche vient à la rencontre de la mienne : difficile ici, de décrire la douceur de cet instant.
Ses mains ont glissé jusqu'à son pantalon et, tandis qu'il se penche un peu plus en avant, il sort de sa poche un préservatif muni de sa dose de lubrifiant. Toujours sans un mot,je m'habille de la chose et lui caresse les reins doucement, trop doucement sans doute, car ses deux mains se sont posées sur ses globes de chair tendre et les écartent doucement.
Quelle beauté que cette rosette brune qui me semble m'attendre. Je dépose la goutte de gel à l'entrée de cette voie royale et glisse tendrement un doigt chargé d'étudier le terrain. Mon doigt est vite remplacé par mon muscle d'amour qui n'a rien contre l'idée de se reconvertir en foreuse de chantier et qui, doucement, entre dans ce fourreau chaud et si hospitalier.
Alain se raidit et soupire, je me méprends, me retire doucement, mais son cri et sans appel :
"Non, viens vite..."
Le mot est lancé, alors oui, je viens, je glisse et travaille ardemment ce corps qui se donne et qui maintenant soupire de plus en plus d'aise... Mon sexe entier est avalé par son orifice qui ne semble pas vouloir me libérer, mais quelques minutes de cette épreuve de force ont raison de moi...
Alors qu'une nouvelle fois, avec un énorme "Han" de bûcheron, je m'enfonce dans les entrailles de mon ami, un éclair me brouille la vue, le même éclair me brûle la nuque, le cou et glisse le long de ma colonne vertébrale et s'échappe dans un hurlement et un dernier sursaut sur le corps d'Alain qui, au même instant, dans le même hurlement, éjecte une laitance crémeuse loin devant lui...
Nous nous regardons, rions franchement, et nous embrassons à nouveau. Nous savons que cette nuit sera très longue, qu'il nous reste beaucoup de terrain à découvrir.
Nous nous échappions très vite de ce lieu. bien sûr il resterait à jamais l'endroit de notre découverte, l'endroit où, sans un mot, nos corps s'étaient dénudés et aimés. Mais avouons-le aujourd'hui, les odeurs de graisse, de cambouis, ne sont pas ce dont on peut rêver pour approfondir encore plus notre connaissance de l'autre.
Ce soir-là, après nous être rhabillés, nous avons, comme prévu, pris la direction de l'appartement d'Alain, un petit deux pièces de célibataire, coquet, bien rangé, très agréable enfin, pour ce que je peux en décrire, car Alain ne m'a pas vraiment laissé de temps pour la visite.
A peine la porte d'entrée refermée, nous nous sommes à nouveau retrouvés enlacés, nos bouches ne faisant qu'une...
Et, comme je l'avais fait dans un lieu qui était mien, Alain, maître chez lui, ne me laissa en rien la direction des opérations.
Nos langues toujours emmêlées, mon ami de soirée s'attaqua à ma ceinture, mais là, finie la découverte, fini les vêtements que l'on effeuille, il savait et connaissait ce qu'il allait trouver, et ne voulait pas perdre de temps.
Le tapis du salon fut notre nid.
Sans pouvoir vous décrire comment il s'y prit, j'étais nu, allongé, lui debout me disant :
" -Tu aimes les strips ? alors regarde..."
Et j'ai vu... Oui, il était expert, de cela aucun doute. Il était encore en boxer que je criais grâce...
Alors, en sous-vêtement, il s'agenouilla entre mes jambes. Son sourire toujours aussi merveilleux, il entreprit une caresse sur ma verge, celle-là même dont je l'avais privé quelques heures plus tôt...
Ses mains douces m'enserrèrent. Il me manipula doucement et quand mon gland fut sorti de son enveloppe de peau, c'est avec sa langue qu'il travailla ma lance.
Quelle douceur, quelle chaleur que cette bouche qui me léchait, m'aspirait, me titillait... Le temps s'arrêta, mes mains, mes doigts se perdaient dans la douceur de la soie de ses cheveux.
Après un long moment de ce délice, il s'arrêta, me regarda, et crânement, il fit enfin sauter son tee-shirt, ce corps souple et musclé, ce corps que j'avais déjà goutté avait retrouvé toute sa splendeur, le boxer prêt à craquer, lui aussi, fut vite arraché. Cette verge longue et fine pointait à nouveau à son maximum.
Assis sur mon torse, j'avais à quelques centimètres des lèvres, ce sucre d'orge dont la grosse veine battait au rythme de son cœur. Comment aurai-je pu résister à son invite ? Quand sa hampe franchit le seuil de mes lèvres, je sus que j'allais l'aimer. Longue, fine lisse, elle avait tout pour régaler les langues les plus exigeantes. Je le suçais, l'aspirais et lui, il soufflait, s'étirait les yeux clos...
De mon côté, mes suçions se faisaient toujours plus fortes, j'aimais son odeur, j'aimais ce sexe, je voulais sa semence.
Alain glissa de quelques centimètres, et, sans se défaire de ma bouche, s'allongea à mon côté tête bêche et entama lui aussi la caresse que je lui prodiguais et qui n'est pas prêt de s'effacer de ma mémoire. Celle-ci fut plus rapide car, de ma lance érigée, Alain glissa vers l'étage inférieur et engloutit une à une mes deux perles de mâle qui, gonflées au maximum, attendaient de se libérer de leur élixir d'amour.
Là non plus cependant il ne s'attarda point, sa langue poursuivit son chemin, descendit encore, et vint titiller l'entrée de mes reins... Je compris à cet instant, que ma bouche ne serait pas longtemps seule à connaître ses vingt cinq centimètres de douceur.
Sans concertation aucune, Alain se retira de ma bouche, il s'habilla d'un préservatif venu de je sais où et me regarda fier de sa longueur. Le membre ainsi habillé était réellement impressionnant, je lui dis simplement :
"Doucement".
Son sourire en guise de réponse me rassura. Le coussin de velours qu'il glissa sous mes reins me rassura, le gel dont il m'enduisit me rassura, le baiser tendre qu'il me donna me rassura, l'amour, le vrai, la tendresse étaient au rendez-vous...
Malgré cela, quand il se présenta à l'entrée de mes reins, je tressaillis sûrement très fort car sa main douce vint caresser mon ventre puis mes cuisses. Il enduisit son préservatif d'une nouvelle couche de gel et vint repositionner la pointe de sa lance où elle était censée allumer ses feux d'amour...
Il mit toute sa tendresse dans son entrée, quand je sentis enfin sa chaleur en moi, il me demanda :
"Je ne te fais pas mal ?"
Pour toute réponse, je le regardais et lui souriais...
Oh, non ! Alain tu ne me faisais pas mal, tu pouvais venir, venir au plus profond...
A toi qui lit ces lignes, je te souhaite un jour de connaître une ivresse de vingt-cinq centimètres qui te pénètre, qui prend son temps pour aller et à mi-chemin se retirer pour mieux revenir.
Je ne sais plus combien de temps il à fallut à Alain pour s'enfoncer entièrement en moi. Combien de temps il m'a fallu attendre pour sentir la base de sa verge et son ventre enfin rencontrer les globes qu'il envahissait.
Quand enfin, il fut entré de toute sa longueur, il ressortit presque entièrement et, là, la tempête se déchaîna, de plus en plus vite, Alain me clouait au sol, son regard allant de sa verge qui s'enfonçait, à mon visage qu'il surveillait à l'affût de la moindre douleur.
Mais non, il aurait pu buter en moi dix fois plus fort, je n'aurai pas crié... Il était long, doux et bon...
Après un très long moment de ce réel bonheur, je n'étais plus qu'un pantin entre ses bras, lui au contraire, plus il me besognait, plus il semblait redoubler de fougue. A tel point, qu'à un moment, sa cadence se ralentit, il s'arrêta presque et le sportif qu'il était n'avait pas fini de me surprendre. Sans quitter mon corps de son pieu, ses mains passèrent sous mon dos, et tous ses muscles travaillèrent ensemble pour nous lever.
Mes bras autour de son cou, sa longueur toujours figée en moi, il me porta dans sa chambre, m'installa sur son lit et repartit à sa charge héroïque. Je ne peux vous dire le temps qu'il mit à honorer mes entrailles, ce dont je me souviens, toutefois, c'est l'état de mon être quand je sentis sa semence se déverser au fond de son préservatif.
Il s'affala sur moi, me lécha, m'embrassa, me caressa le corps.
Moi, je n'en pouvais plus, je ne pouvais que lui caresser la tête, ce qu'il comprenait comme la plus grande des reconnaissances.
L'instant d'après, il vint se lover contre moi, il m'enserra le torse, et me dit :
"Dors, demain, je veux t'aimer..."
Avec une telle promesse, d'autres que moi se seraient sans doute enfuis. Après ce que je venais de connaître, je n'osais croire à plus... Pourtant, je sombrais très vite dans un univers d'étoile et de rêve...
Que croyez-vous qu'il arriva ?
Rêve ou pas, je sentais à nouveau la douceur chaude de la bouche d'Alain sur ma turgescence d'amour. Il m'aspirait et me léchait tant et si bien que j'avais l'impression d'être attaché, à sa merci...
Attaché, non je ne l'étais pas, mais en croix oui...
Je m'éveillais doucement et Alain était bien là, entre mes jambes écartées au maximum, afin de lui laisser le champ libre. Mes bras tendus de chaque côté du lit avait dans leurs poings les replis du drap.
Quand il vit mes yeux s'ouvrir, il lâcha mon sexe, et vint m'embrasser tendrement.
"Bonjour petit homme, bien dormi ? "
Ainsi j'avais dormi ? Il me semblait le sentir encore au fond de moi. Était-il réellement insatiable ? Sûrement, car à cheval sur mon torse, il recula doucement jusqu'à ma hampe qu'il s'était appliqué à rendre ferme et s'empala littéralement sur elle.
Un seul élan, un seul mouvement et nous étions à nouveau lié l'un à l'autre...
Mes mains enserrèrent ses hanches et les yeux dans les yeux il commença à monter et descendre le long de ma colonne. Ses mains à lui entourant sa lance dressée, il se masturba tout en me menant au réel bonheur. De plus en plus vite, il haletait, sa main droite le caressant, sa main gauche voyageant de ses bourses à ses seins qu'il pinçait doucement. Quand il commença à ralentir, je sus qu'il allait éclater. Moi aussi je m'abandonnais. Ensemble nous lâchâmes notre sève, moi en lui, le plus profondément possible, lui sur moi, mais avec quelle ressource. Longuement il se vida, des jets d'une force que je n'avais jusqu'alors jamais connue vinrent cingler mon corps et mon visage.
Vous l'avez compris, cette nuit là fut de celles que l'on connaît rarement le temps d'une vie, quand, en nous séparant, nous nous embrassâmes une dernière fois, nous nous promîmes de nous revoir dès son retour de voyage.
Quand j'arrivais au garage ce matin-là, mon patron remarqua tout de suite mon oeil fatigué et me dit :
"Tu aurais vraiment dû aller te coucher hier soir. Mais au fait, je viens de recevoir un appel du propriétaire de la voiture qui tenait à me dire bravo pour mon personnel... Je te félicite pour lui, apparemment il était heureux..."
Heureux ? Seulement heureux ?...
Par Bipuce - Publié dans : Histoires
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Vendredi 22 mai 5 22 /05 /Mai 22:34
Ce jour-là, mon ami, Larry, m'avait invité à visiter son nouveau studio. Il disait avoir besoin de mon avis pour meubler. Le salon sentait encore la peinture fraîche, il n'y avait qu'une banquette et une petite table. Larry et moi étions des amis d'enfance, et souvent nous nous rejoignions après les cours. Nous fréquentions la même université, nous étions en troisième année. Goulven, un nouvel ami de Larry, était là ausssi. Il était le plus jeune de notre cercle d'amis, il venait d'avoir ses dix-huit ans. Goulven était beau, il portait sur ses epaules une belle chevelure blonde bouclée en coupe dégradée. Ses grands yeux bleus vifs et sa silhouette mince le rendaient assez attrayant.Larry, bien que très séduisant, se montrait jaloux de Goulven et ne manquait jamais de le lui faire payer. Larry servit à Goulven un grand verre de cognac et lui demanda de l'avaler d'une traite. Gouven obtempéra. J'en fus surpris, car je ne l'avais encore jamais vu boire. Larry lui servit un autre verre qu'il vida de la même manière, puis lui ordonna de venir s'asseoir sur ses genoux. Larry en profita pour carresser d'une main sensuelle la cuisse de son ami. Je fus gêné par la tournure que prenaient les choses, même si je n'étais pas tellement étonné de l'attitude de Larry. Il aimait en faire voir de toutes les couleurs aux nouveaux de l'université, et il traînait aussi derrière lui une belle réputation d'homosexuel qu'il ne cherchait pas à nier.
Puis il poussa Goulven à côté de moi sur le canapé et lui murmura à l'oreille:
"Occupe-toi un peu de notre invité, je avis aller préparer notre terrain de jeu".
Larry sortit après m'avoir encore exhorté à boire. Je m'exécutais pour ne pas le vexer. Il m'arrivait parfois de boire, mais je n'aimais pas tellement les alcools forts. Goulven était ivre. Il riait sans pouvoir s'arrêter et commença à me parler de sexe. Il était tout prêt de moi, mais je sentais à peine son haleine d'alcool. Son parfum m'enivrait. Goulven dégageait un tel charme, c'était incroyable. D'un coup il saisit ma tête à deux mains et me colla sa langue dans la bouche. J'essayais en vain de lui résister. Goulven était tendre, doux et passionné, et je le laissais me renverser en arrière sans interrompre notre baiser. C'était si sensuel, il me procurait des sensations incroyables.
Lorsque nous nous séparâmes, je vis que Larry nous observait avec intérêt. Je me levais aussitôt, mais il se rapprocha de moi, ses yeux sombres luisaient d'envie. Larry était bel homme: corps musclé, peau cuivrée, cheveux noirs, tout en lui appelait à l'amour. Il ùe saisit la main et m'emmena dans sa chamnbre. Le lit était défait et la pièce dégageait une forte odeur d'encens qui me faisait tourner le tête. Je dus m'asseoir sur le lit, Larry en profita pour m'allonger et me déshabiller. Je protestais d'une voix lointaine, je me sentais vidé de mes forces. Sans me lâcher des yeux, Larry se dévêtit lentement, sensuellement, puis s'allongea, nu, à mes côtés. Retrouvant d'un coup ma vigueur, je cédais à mes impulsions et embrassais ce corps magnifique. Mon membre se raidissait d'impatience.
Larry m'ordonna alors de lui faire une pipe. Je pris alors conscience de ce que je faisais et eus un mouvement de recul, de dégoût de moi-même. C'était la première fois qu'une telle chose m'arrivait. Larry me sourit et m'encouragea, me disant qu'il n'avait encore jamais touché un corps maghrébin. Flatté par ce compliment implicite, je m'agenouillais entre ses jambes pendantes. Je l'appliquais autant que je le pouvais, je ne voulais pas que Larry sente ma maladresse. J'étais encore vierge, je n'avais encore eu aucune aventure, même pas avec une fille.
C'est alors que Goulven nous rejoignit. Larry lui signifia d'un geste de ramper à quatre pattes sous moi. Mon corps tout entiet se crispa lorsque je sentis la douce main de Goulven sur mon cul et sa langue brûlante sur mon sexe. Ce fut alors d'autant plus difficile pour moi de poursuivre ma fellation alors que mon corps tout entier ne demandait qu'a s'abandonner aux vigoureux coups de langue de Goulven. Ce petit salaud était habile, il me léchait les couilles frénétiquement, puis avalait toute entière ma belle bite bien raide. Il massait aussi mon trou du cul d'une main, et me suçait toujours plus vite, et très vite j'explosais dans sa bouche. Goulven avala les premières giclées et reçu le reste sur son beau visage. Il finit de lécher le restant de sperme sur mon gland violacé puis me laissa reprendre ma fellation.
J'étais bien, terriblement excité, je en me contrôlais plus, je voulais faire jouir Larry de mes mains et de ma langue comme Goulven venait de le faire pour moi. De temps en temps, je mordillais le gland de Larry. Sa bite était énorme, j'avais du mal à l'avaler entière. Bientôt, Larry commença à gémir. Je me rappelais nos souvenirs d'enfants tout en le pompant de plus belle. J'étais très excité, puis Larry éjacula. J'eus un mouvement de recul, son sperme avait un goût étrange, inconnu pour moi. Il me gicla en pleine face puis soupira, satisfait, et se leva.
"Tu suces bien, tu es une petite salope tu sais. Maintenant on va pouvoir s'occuper de toi, allonge toi sur le ventre" dit-il d'un air mystérieux.
Je m'allongeais sur le lit. Larry écarta mes fesses et fit couler un gel froid sur mon anus. Puis il entra un doigt, puis deux, tout en me disant de me détendre. Je commençais à m'afoller, j'essayais de me débattre.
"Calme-toi, tu vas aimer ça tu verras. Tu ne peux plus reculer maintenant, tu vas me faire goûter à tn petit trou."
Les paroles de larry m'excitèrent encore plus! Il me dit de me lever et d'enculer Goulven, ce que je fis sans grande difficulté. Jusque là, en effet, c'était très agréable. Puis Larry présenta son gland à l'entrée de mon anus et poussa doucement. Je dus crier, cela faisait tellement mal! La bite de Larry était tellement grosse, elle n'en finissait pas de dilater mes chairs. Au bout de longues minutes, je sentis enfin la douleur se dissiper et le plaisir monter en moi.
Puis nous nous séparâmes, Goulven s'endormit aussitôt, couché sur le sol, et Larry s'allongea insolemment sur le ventre, en travers de son lit. Je sentis un picotement au creux de mes reins en observant son dos cuivré et malgré ma lassitude je me traînais jusqu'à lui. Larry gémit de surprise lorsque je le pris. Mes va-et-vient le firent vite gémir. J'étais bien de lui, j'étais bien de son corps frémissant sous mes coups de reins de plus en plus rapides et puissants. Etrangement, nous avons éjaculé en même temps. Mes ongles déchirèrent le dos de Larry au paroxysme de mon plaisir.
Ensuite nous nous allongeâmes ensemble, Larry tira les draps sur nous deux et m'enlaça.
"J'ai trouvé en toi ce soir bien plus qu'un ami, me dit-il tendrement. J'espère que ce petit exercice t'a donné envie de recommencer. Je compte bien te présenter un jour à mes amis gays, si tu est d'accord. Avec toi et Goulven, on pourrait organiset une belle petite soirée, qu'est-ce que tu en dis?"
Nous nous sommes endormis ainsi, j'étais terriblement bien dans la douceur et le chaleur de son corps. J'espère que son projet verra le jour, je suis tout excité à l'idée de renouveler cette expérience avec lui et d'autres...
Par Bipuce - Publié dans : Histoires
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Présentation

Créer un Blog

Recherche

Calendrier

Avril 2025
L M M J V S D
  1 2 3 4 5 6
7 8 9 10 11 12 13
14 15 16 17 18 19 20
21 22 23 24 25 26 27
28 29 30        
<< < > >>
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés