Jeudi 8 avril 4 08 /04 /Avr 21:55

Je suis un homme de 25 ans, cheveux long, look très féminin, petit cul bombé et je suis vraiment en chaleur ce soir. Je décide de mettre un soutien-gorge aguichant, caché sous une chemise sport et je pars en voiture, en quête d’une queue à sucer.

Ne sachant où aller, je décide de me rendre à un Centre commercial près de chez moi. Je sais qu’aux toilettes de cet endroit, des hommes aiment se montrer à l’occasion. Mais déception, lorsque j’arrive, il n’y a personne… Je commence donc un lent lavement de mes mains, une diversion au cas où, en espérant l’arrivée d’un homme en manque de sexe. Après quelques minutes, un homme fini par arriver. Dans la cinquantaine et en forme, type Arabe, il me plait immédiatement. Je le regarde dans les yeux et il me retourne un regard complice. Puis, il s’installe à l’urinoir. Je le suis en déboutonnant ma chemise et je prends illico l’urinoir à côté de lui. Il me jette un coup d’œil et j’en profite pour écarter ma chemise, question qu’il voit mon soutif. Il regarde puis me sourit. Rassuré sur ses intentions, je me recule un peu, lui aussi, et je peux voir son membre. Il a un super beau sexe, au moins 7 pouces, au repos, non circoncis. J’adore les grosses queues molles et au repos, j’aime les sentir grossir dans ma bouche et cette seule pensée me met l’eau à la bouche!

Il se rend tout de suite compte que je salive en regardant son sexe et me dit : « alors salope, tu sembles intéressé à ce que tu vois ».

- Oh oui, lui dis-je, laissez-moi vous sucer et la mettre bien à fond dans ma bouche, s’il vous plaît Monsieur!
- Je n’aime pas vraiment les jeunes efféminés dans ton genre d’habitude mais j’ai une proposition pour toi. Si tu acceptes, je te laisserai me sucer comme tu voudras.
- Je ferai tout ce que vous direz, promis!

Il m’explique alors qu’il a un fils handicapé, de 19 ans. Il est en chaise roulante et ne peut pas beaucoup sortir de chez lui. Comme il n’y a pas de filles qui s’intéressent à lui, il me demande d’essayer de le séduire pour lui offrir sa première pipe. Il me dit que, avec mon air féminin, je réussirai peut-être. Si c’est le cas, je pourrai avoir ma récompense. J’accepte donc de relever le défi.

Une fois chez lui, il me présente à son fils comme étant un de ses collègues de travail puis, faignant d’avoir oublié d’acheter quelque chose à l’épicerie, nous laisse ensemble pour quelques minutes. Je suis très nerveux. Je ne sais pas comment m’y prendre. Je ne sais même pas s’il aimerait se faire sucer par un mec. Nous discutons un peu, de tout et de rien. Puis soudain, la chance me sourit! Je ne me souvenais pas d’avoir laissé quelques boutons de ma chemise ouverte et il s’aperçu que je portais de la lingerie.

- Dis donc toi, mais tu portes des fringues de nana! Tu n’es qu’une putain de travelo, avec tes grands cheveux de fille en plus. Est-ce que mon père sait ça?

Je saute évidemment sur l’occasion qu’il me présente pour jouer mon jeu : « ah zut! J’ai oublié de l’enlever. Non, s’il te plaît, ne le dit pas à ton père surtout. Imagine ce que je vais devoir endurer au bureau s’il l’apprend ».

Une douce lueur passa alors dans ses yeux : « très bien! Si tu enlève ta chemise et me laisse voir, je garderai peut-être le secret ».

Je me lève donc devant lui et enlève lentement ma chemise. Je vois qu’il apprécie. Mais son père revient à ce moment là. Je me dépêche de remettre ma chemise et de me rasseoir. Le fils dit alors qu’il est l’heure pour lui d’aller se coucher. D’habitude, c’est son père qui va le mettre au lit mais ce soir, il dit avoir un peu mal au dos et demande à son fils si ça le dérangerait que ce soit moi qui y aille. Son fils accepte sans poser de questions et me fait un petit sourire. Je le pousse donc jusqu’à sa chambre et il m’explique que je dois le prendre dans mes bras pour le poser dans le lit. Ce que je fais minutieusement. Mais en le couchant, ma tête s’approche de la sienne et il s’avance sans m’avertir pour m’embrasser. Saisi par cette action, je ne bouge pas. Il introduit alors sa langue dans ma bouche. Je la sens inexpérimentée alors j’y mets du mien en lui montrant comment rouler une pelle du tonnerre. Il semble adorer. Puis, je dois bien sûre le dévêtir. Je lui retire donc son t-shirt, ses bas, et lorsque je lui retire son pantalon, je vois une imposante bosse dans son slip.

- Et bien, je lui dis, notre petit baisé t’a excité à ce qui paraît!
- Évidemment! Et je suis peut-être handicapé, mais je ne suis pas dupe. Je sais bien que tu ne travailles pas avec mon père. Il t’a traîné jusqu’ici pour que tu me suces, pas vrai, il m’en parle déjà depuis un bout de temps?
- Tu as raison, ai-je dû admettre. Il m’a demandé de te faire ta première pipe.
- Ok, et que t’a-t-il promis en retour?
- Et bien, lui dis-je rougissant, il m’a dit que je pourrais le sucer lui aussi…
- Et bien, vas-y! C’est ce que nous voulons tous à ce qui me semble.

Je lui ai souri et je me suis assis près de lui. Ma main s’est mise à caresser sa queue au travers de son slip. Lui aussi possédait un super beau membre, le vrai fils de son père. Je me suis rapidement penché sur lui pour le mettre dans ma bouche. D’être le premier à le goûter m’excita au max et je l’ai sucé avidement. Il n’a pas tenu longtemps et m’a dit qu’il allait jouir. Je me suis espacé un peu et il a lâché plusieurs jets de foutre sur ma figure. Nous nous sommes mutuellement remercié, je lui ai souhaité une bonne nuit et je lui ai promis de revenir.

Je lui ai mis sa couverture et j’ai quitté sa chambre. Son père m’attendait dans le salon. Lorsqu’il m’a vu arrivé, le visage couvert de foutre, il eu un sourire de contentement. Il s’est alors levé et, avec ses doigts, a ramassé le foutre de son fils pour le porter à ma bouche. Je suce ses doigts avec délectation, le foutre goûtait très bon. Chose promise chose dû, il sortit sa belle queue de son pantalon et a claqué des doigts en me montrant le sol. Je me suis aussitôt agenouillé devant le sofa pour le sucer à son tour. Il m’a dit que finalement, même s’il préférait les hommes plus virils, il appréciait grandement ma fellation. Je lui ai dis que j’étais à son service. Il s’est alors retourné en se mettant à genoux sur le sofa, dos à moi. Je compris immédiatement et ma langue alla se promener dans sa raie et caressa son petit trou. Il me dit alors de me retourner et de venir s’asseoir sur son sexe, ce que je fis avec plaisir. Je me suis fait aller de haut en bas comme un animal jusqu’à ce que je sente qu’il avait inondé mon cul.

Nous nous sommes revus, tous les 3 trois, par la suite. Comme son fils savait ce qui se passait, nous n’avions plus à nous séparer. Ils s’assoyaient tous les 2 sur le sofa pendant que je leur montrais mes nouvelles lingeries, puis je les suçais en alternance. La plupart du temps, je restais à 4 pattes devant le sofa à sucer le fils pendant que son père m’enculait à fond. Ça se termine toujours par mon visage plein de foutre et mon cul également. J’adore rendre service!

Par Bipuce - Publié dans : Histoires
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Mardi 19 janvier 2 19 /01 /Jan 22:57

Lorsque j'avais vingt ans j'initiais des gens à la photo, généralement ils étaient quatre dans la petite chambre noire, dont Arnaud 18 ans, splendide garçon aux cheveux blonds et aux yeux rieurs, je le connaissais depuis quelques mois, je l'avais photographié en petit short laissant voir ses cuisses et une protubérance attirante au niveau de son entrejambes. J'avoue que je me branlais souvent en regardant cette photo.

Lorsqu'ils étaient dans la chambre noire, tandis que je travaillais avec les autres, je voyais du coin de l'oeil Arnaud qui caressait la cuisse d'un de ses copains qui ne réagissait pas.
Dans la lumière rouge, Arnaud était désirable à mourir !
Cet après midi là, il vint seul, les autres avaient pris congé. Il portait à présent un léger pantalon de toile mais la protubérance est toujours là.

Il développe une épreuve, la met dans le bain de fixage. Nous attendons, je suis derrière lui, ma tête sur son épaule, mes mains le long de ses reins, instictivement je caresse ses reins, son t-shirt trop court fait apparaître son nombril, j'accentue ma carese,je bande ! Il tourne la tête vers moi, me sourit en passant sa langue sur ses lèvres pleines avec un regard vicieux.

Encouragé par cette invite, je l'embrasse dans le cou, son odeur de jeune mâle m'enivre, je ne résiste pas à descendre ma main jusqu'à sa ceinture, il sourit toujours, ma main s'introduit dans son léger pantalon, mes doigts arrivent à sa bite chaude et douce qui durcit lentement, il ne porte pas de slip ! Il soupire en détachant sa fermeture éclair et murmure:
-Fais-moi jouir!

Il se cambre sur moi, la tête en arrière contre la mienne, sa sagaie se dresse dans ma main, dure, chaude et raide.Son corps cambré est un arc dont la flèche veut jouir ! Mes doigts vont et viennent, dégageant le gland, le recouvrant lentement, il émet des petits râles de plaisir et, tounant la tête vers moi, il entrouvre les lèvres contre les miennes , aussitôt nos langues se mêlent, mon jean est prêt à craquer! Dans ma main, sa bite devient encore plus dure, ma main accélère un peu ses allers retrours, il halète:
-Ou...OUIIII! BR...BRANLE-MOI A FOND !
Mais il ajoute:- Tu veux que je te le fasse ?

Et d'une main, il détache rapidement ma braguette et en sort mon épieu raide comme jamais qu'il saisit dans son poing qui va et vient à toute vitesse! Je suis prêt à jouir, je l'arrète, me penche et introduis sa flèche entre mes lèvres.
-OUAAAH! Fait-il en poussant sa bite dans ma gorge.
Son piston entre et sort de plus en plus vite, son poing continue à me branler, je suis au bord de l'orgasme.

Tout son beau corps se tend, je le sens frémir, son piston durcit soudainement dans ma bouche, il halète:
-Je...JE VAIS...JOUIR ! C'EST BOOOON!
Et dans un spasme:
- JE JUUUUUTE!

Un grand jet puissant s'écrase sur ma gorge, un autre m'éclabousse le visage, un troisième, il jute à n'en plus finir!
-Et toi? Fait-il en me branlant vigoureusement.
Ma bouche contre la sienne j'halète:
-TU...BRANLES BIEN! Je...Je JUUUTE!

Mes jets éclaboussent ses cuisses, sa main en est enduite, nous ne débandons pas encore, tenant nos bites dans nos mains, nous frottons nos glands dégoulinants de sperme l'un contre l'autre, il rigole:-Qu'est-ce que c'est bon! Et il m'embrasse profondément, nos langues emplies de jus se mêlent à nouveau.

Cela a duré une heure, les épreuves son bien fixées! Mais nous restons frémissants l'un contre l'autre avant de nous décider à remettre nos bites dans nos pantalons.

Par Bipuce - Publié dans : Histoires
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Jeudi 14 janvier 4 14 /01 /Jan 22:27

Voilà à présent 5 ans que je suis l'heureux propriétaire d'un bel appartement dans une petite résidence calme et charmante. Toutefois, ma chère voisine (une dame âgée) étant récemment décédée, ses héritiers ont vendu l'appartement à une famille qui vient d'emménager. Cette famille se compose d'un couple ayant la cinquantaine, ainsi que leurs deux enfants, Alice 16 ans et Romain 19ans.
Évidemment, je n'ai pas failli à mon devoir de me présenter dès que l'occasion s'est présentée, afin d'obtenir en retours des informations sur ces charmants nouveaux voisins.

Je m'appelle Gérald, je suis consultant informatique, 32 ans célibataire, brun cheveux courts, yeux noisette, 1 m 82, 75 kg, sportif (natation, tennis et jogging), plutôt musclé et j'ose le dire assez bel homme ! Mon apparence est celle d'un homme soigné mais masculin. Bref, je me fais draguer régulièrement aussi bien par des femmes et que par des hommes.
Mes voisins sont donc charmants, Claude et Martine (les parents) sont des gens serviables et très sympathiques, fiers de leurs enfants et ils forment à vrai dire une famille parfaite. Ils sont tous 4 très beaux. Ma préférence va cependant au beau et jeune Romain.
Outre la beauté liée à sa jeunesse, ce garçon est réellement pourvu d'une plastique avantageuse, la pratique régulière du sport (le foot et le judo, et un peu de musculation !) lui a donné un corps taillé dans du marbre.

Néanmoins mes rapports avec mes voisins ne consistent qu'en des bonjours/bonsoirs, bref tout de ce qu'il y a de plus banals. Je pense qu'ils savent que je suis gay, je ne m'en cache pas et ils m'ont croisé à plusieurs reprises dans l'immeuble main dans la main ou bouche contre bouche avec mes petits amis du moment. Ils ne s'en sont jamais offusqués, ils ont l'air open à ce niveau là. Pour tout dire, je me fiche du regard des gens et je fais ce qui me plaît où ça me chante.
Toutefois, alors qu'ils partent en week-end prolongé, Claude et Monique me demandent s'il m'est possible de m'occuper de Zadig (le chat !) pendant leur absence, je n'ai juste qu'à lui changer la litière et lui donner à manger et à boire, c'est tout. J'accepte évidemment, j'ai d'ailleurs moi-même un chat.

Il me confit donc leur clef, et me précise au passage que Romain rentrera plus tôt de ce week-end et qu'il viendra récupérer les clefs dimanche matin vers 10 h après son retour en train.
Bref, le week-end se passe et Romain arrive comme prévu.
Je lui propose, par politesse (mais très innocemment je dois avouer !) de déposer ses affaires et de venir déjeuner chez moi vers 12 h afin de ne pas le laisser seul passer son dimanche, il accepte la proposition et me dis qu'il doit faire son jogging, je lui propose alors de l'accompagner. L'affaire est faite, à 11 heures, nous sortons de l'immeuble pour notre footing. La discussion, tourne autour de banalités, j'apprends qu'en plus d'être beau il est intelligent, il est en math spé, et vise une prestigieuse école d'ingénieur. J'apprends également qu'entre le sport et ses études, il n'a pas beaucoup de temps à accorder aux filles qui le courtisent.

Notre footing est terminé, nous prenons l'ascenseur, tous les deux en T-shirt et minishort transpirants, brûlants, haletants. J'ai devant moi le corps divin de Romain, il me regarde de ses yeux fixes, il me sourit, je lui dis :
- tu sais tu es un beau garçon ! Si j'avais quelques années de moins, je tenterai ma chance, enfin si tu étais gay bien entendu.
- Bah justement, comme tu abordes le sujet.
- Oui ???
- Bah en fait ne t'inquiètes, moi ça me gêne pas du tout ! J'ai des amis gays tu sais !
- Non sans blague ?? (Dis-je sur un ton ironique !)
- Oui, enfin, bref, tout ça pour dire que je te trouve cool et sympa et que j'aime ta compagnie.
- C'est réciproque. Allez file te doucher, et rejoins-moi pour déjeuner.
Sur ces paroles, je suis en émois, c'est un garçon open et je suis sûr qu'il ne serait pas contre une initiation. ! J'élabore donc un plan.

Comme prévu il arrive, je m'excuse de ne porter qu'une simple serviette autour de la taille car je sors de ma douche. Je lui propose de s'asseoir et de se mettre à l'aise sur le canapé. Je m'assois près de lui, et remarque son regard insistant sur mon corps.
- Tu sais je trouve que tu as un très beau corps pour ton âge, me lance t-il !
- Oui bah tu sais à 32 ans on est pas encore tout à fais foutu !, il rit et me lance,
- Enfin je veux dire que moi j'ai pas le corps que tu as.
- Tu veux rire ?? Tu es vraiment parfait, quelle est ta taille, et ton poids ?
- 1 m 81 et 72 kg. Je me trouve trop maigre, j'aimerais plutôt être taillé comme toi.
- t'inquiètes pas, tu prendras de la masse. (Et là il enlève son pull, laissant voir son torse, sculpté et imberbe)
- Tu sais, que ce que tu fais là, ça risque de m'exciter. Bredouillai-je.
- Ah oui ?? Alors j'enlève mon jeans aussi ! (Et il joint le geste à la parole !)

Inutile de dire que mon sang ne fait qu'un tour, ce petit gars commence sérieusement à me chauffer, s'il continu il va savoir où ça lui gratte !

Le voilà donc en petit boxer blanc, fier de l'effet produit, il me lance :
- alors, qu'est ce que t'en penses ? C'est vrai que c'est pas si mal que ça .on dirait même que ta queue a gonflé.
- ouais, bah tu peux être fier ! Maintenant je vais bander pour le reste de la journée, petit con ! À toi de me calmer maintenant !
Il se jette alors sur mes lèvres et m'embrasse, me caresse et enlève ma serviette, je suis à présent à poils, je sers son corps contre moi et je sens à mon tour que je lui fait au moins autant d'effet qu'il m'en fait ! Il bande comme un âne !

Ni une, ni deux, il descend doucement, me lèche le torse, le ventre, mes couilles, et ma bite raide comme la justice ! Prête à être bouffer comme jamais par cette bouche de jeune mec pas avare du coup de langue, il lape ma tige comme un chaton laperait son lait, d'ailleurs, à ce rythme là mon lait finira pas jaillir sur sa tronche s'il ne ralentit pas le rythme, hors j'ai bien envie de goûter à son petit anus. J'ai d'ailleurs commencé à glisser ma main dans son boxer et lui caresse les fesses pendant qu'il me suce comme une sangsue, apparemment je me trompai bien sur son compte, il n'en est sûrement pas à sa première pipe, il tortille tellement du cul, que je ne serai pas le premier à avoir fait le passage de côté là non plus, ça m'excite encore plus.

Je lui travaille le cul de mes doigts experts, et je sens bien que déjà il mouille comme une petite chienne, il n'attend qu'une seule chose à présent, ma longue et belle bite.
Énergiquement, je le retourne et le couche sur le ventre dans le canapé. Je prends juste la peine d'enfilé une capote (j'en glisse toujours sous le coussin du canapé !), je ne prends pas la peine de lubrifier, et j'entame l'entrée de mes 18 cm dans son petit cul encore serré, mais plus pour très longtemps encore, il me résiste en gémissant de douleur d'abord, mais me fait signe d'un regard langoureux que cette douleur est le prémisse d'un pied d'enfer. Doucement toutefois je suis finalement entièrement dans son cul, je vais alors pourvoir commencer des petits va et vient d'abord puis plus fort et plus énergique ensuite.

A présent je le ramone, le défonce, mais il aime, il gueule son plaisir :
- Vas-y, défonce-moi le cul ! Encore ! Plus fort, à fond !!! hummmmm !!! Oui !!!!!!!
Je n'y crois pas ! je m'acharne sur son cul et il en veut encore ! Ma parole je ne sais pas ce qu'il lui faut ! Bref je décide de changer de position, je le met sur le dos et commence une nouvelle fois mon ramonage intensif, il apprécie, nous somme yeux dans les yeux. 10 minutes plus tard je jouis tout le jus que j'ai retenu depuis plus de 45 minutes à présent, et je m'écroule sur lui, heureux et repus je décule. Il me dis alors :
- Dis voir mon gars, tu t'es bien amusé, à mon tour maintenant..
C'est vrai que lui n'a pas encore joui, il place sa main sur ma rondelle heureusement de ce côté, je suis plutôt gourmand !

À mon tour,je prend position, la levrette s'impose naturellement, il me saisi par les hanches et me pénètre sans ménagement après avoir mis une capote. Je suis alors soumis à ce jeune homme qui sait manier sa baguette ! Il m'éclate le cul et m'embrasse le dos, le cou, les lèvres, il ne me baise pas, il me fait l'amour je suis aux anges. Ma bite reprend d'ailleurs de la vigueur grâce à ce corps à corps divin. Ses bras m'encerclent, il me possède et pourtant j'ai bien l'impression que c'est moi qui dirige les opérations, son souffle est haletant, insistant, sa jouissance est proche, il décule rapidement et me crache son jus sur mon torse. Il ne m'en faut pas moins pour qu'à mon tour, après une minute de branlette je lui rende la pareille sur sa poitrine et son ventre. Nous voilà donc mort de fatigue et étreint les bras dans les bras, lèvres contre lèvres !

Inutile de préciser que ce repos juste nécessaire nous a permis de remettre cela durant tout l'après midi.

Depuis ce jour je suis devenu un proche de la famille, car Romain a su vanter mes mérites et m'a introduit dans sa famille comme faisant parti de ses amis. D'ailleurs, je semble très bien accepté auprès de son père qui m'a proposé une partie de squash et m'a vanté les bienfaits du sauna et hammam de son club, il est clair que je ne tarderai pas à connaître la face cachée de ce charmant quinquagénaire.

Par Bipuce - Publié dans : Histoires
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Lundi 4 janvier 1 04 /01 /Jan 23:02

J'avais 18 ans et j'étais en semi pro de football je sortais avec une bimbo blonde, yeux bleus, gros nichons. Le genre de nanas que tt mec hetero rêverait d'avoir. J'étais macho, pratiquement homophobe et je n'aimais que draguer les nanas. Un jour après un match de qualification perdu j'ai piqué une crise de nerfs au terrain et je suis rentré chez moi complètement énervé.

Je rentre dans ma chambre je pleure un bon coup et là ma mère toque à la porte pour m'annoncer que ma petite amie est arrivée je lui crie de dégager et quelques minutes plus tard elle vient m'annoncer que Kevin était là. Kevin c'était un mec avec qui j'ai toujours eu un malaise, on se regardait beaucoup mais on a jamais été vraiment complices Il m'intriguait énormément il avait des yeux extrêmement beaux d'un bleu-vert très clair, un corps sublime, et une face d'ange. Quand ma mère m'annonça qu'il est venu, je me suis relevé et je lui ai dit de le laisser entrer.

Il est entré dans ma chambre, il portait un t-shirt assez moulant qui dessinait parfaitement son torse, il m'a fait un sourire et il est venu s'asseoir au bord du lit. Son parfum sentait trop bon et je ne sais pas ce qui m'a pris g t tout troublé. G t tellement triste d'avoir perdu mais il avait les mots qu'il fallait pour me consoler.

A un certain moment nos regards se sont croisés, il m'a fait un sourire juvénile. Et je ne sais pas pourquoi j'ai commencé à lui caresser le visage en lui disant qu'il avait les plus beaux yeux au monde. Il souriait et commençait à me caresser la main et là j'en pouvais plus je l'ai embrassé. Il me donnait des coups de langues (comme un chaton) sur les lèvres c'était tellement excitant que je sentais ma queue se réveiller on c embrassé pendant de longues minutes, je sentais nos langues s'emmêlaient et jouer ensemble. Il m'a enlevé mon t-shirt sauvagement puis a commencé à m'embrasser le torse quand on a entendu des bruits de pas dans le couloir. J'ai vite remis mon t-shirt (à l'envers) mais nos têtes étaient ébouriffées et kan ma petite amie est rentrée complètement énervée que j'aie pu l'envoyer chier. Elle a rien remarqué (comme quoi les blondes...)

Je la regardais énervée et s'excitant comme une puce puis g regardé Kevin plus beau que jamais allongé à coté j'ai commencé à lui caresser la queue à travers son pantalon, je la sentais devenir de plus en plus grosse. Ma copine nous regardait d'un air incrédule. Kevin retira ma main et me chevaucha, il s'assit sur moi et se mit à m'embrasser dans le cou, à sucer mes tétons, à frotter sa verge contre la mienne. J'étais tellement bandé que je me fichais de la réaction de ma copine qui sortit en courant.

On était nus à présent, moi allongé sur le dos Kevin penché sur ma queue, qu'il léchait comme une sucette, puis il l'introduit dans sa bouche et commença à me sucer comme jamais on me l'a fait, je voyais ma verge disparaître dans sa bouche. Je me relève et lui tint la tête pendant que lui, à genoux continuait à s'exécuter en levant vers moi ses magnifiques yeux bleus. Ca a duré une bonne dizaine de minutes. Je lui bourrai la bouche et il me pinçait les boules tendrement, sa queue était raide et verticale, il ne s'était même pas encore caressé. Puis Il se retira et alla s'allonger sur le lit. Il me regardait comme une « allumeuse » et me dit : « j'ai envie de te sentir au fond de moi » Jamais personne ne m'avait dit ça aussi clairement, j'étais très troublé et je bandais toujours comme un âne !

Il écarta les jambes et commença à se caresser en me regardant droit dans les yeux pendant que je mettais ma capote, Je l'ai prévenu qu'étant hetero je n'avais pas de lubrifiant à la maison pour sa rondelle. Il a dit qu'il préférait sans, ça m'a encore plus étonné. Il m'excitait comme JAMAIS aucune fille ne l'avait fait jusqu'à présent. On s'est roulé des pelles ce qu'il aimait particulièrement (ça le faisait bouger dans tous les sens) puis je mis ma queue sur sa rondelle : il l'avait préparé pendant qu'on s'embrassait et le salaud était tellement excité qu'il mouillait du cul. Je mis mon gland sur son anus et j'introduis l'extrémité. Il gémit et me dit : oui encore. J'introduis encore un bout et je vois qu'il aime ça alors je lui mets la quasi totalité de ma bite dans le cul et j'entends un : aaahh c booonn !! Ça m'a encouragé et j'ai commencé un va et vient doux qui lui arrachait à chaque fois un gémissement de plaisir. (Il gémissait comme une petite salope et j'aimais ça :p)

J'aimais le voir comme ça sur le dos, les jambes sur mes épaules, les mains jouant avec mes tétons (il ne se masturbait mm pas). Il avait l'air de souffrir et de s'extasier en mm temps c t MAGIC ! J'ai accéléré le mouvement et ça devenait encore plus animal. Kevin s'est mis à quatre pattes et m'offrait un cul magnifique (J-Lo version mec) J'étais encore plus excité et je le baisais sans répit il criait et s'est donné une tape sur la fesse pour m'encourager à faire de même. Je me suis pas fait prié, je lui donnais des tapes ce qui augmentait son désir. On était dans un état second tous les deux, c t tellement bon et étrange d'entendre la voix d'un mec te dire : t'arrête pas, baise moi au lieu des voix féminines habituelles et saoulantes. Il était soumis à mes désirs, j'avais le contrôle sur un mec que toutes les filles rêvaient d'avoir dans leur lit. Cette baise a duré au moins une heure et demi et lorsque j'ai senti la sève monter g retiré ma queue de son cul et automatiquement il c mis a genoux en me regardant dans les yeux et il a mis sa bouche sous ma bite en me massant tendrement les boules. J'aurai pu remplir toute l'Afrique avec mon sperme ce soir là (je sais pas pkoi l'Afrique.) Je n'avais jamais éjaculé comme ça ! Peu après sa verge a lancé quelques jets un peu partout. On c callés sur le lit, je l'ai pris dans mes bras et il a mis sa tête sur mon torse. Et je l'ai remercié de m'avoir fait vivre ça. Apres on a repris nos délires de machos, on a parlé de foot et on c endormis l'un contre l'autre.

Kevin est resté mon plus grand amour pendant près de deux ans malgré mes très nombreuses conquêtes. Je l'aimais comme un fou mais on n'a jamais officialisé notre histoire à cause de ma carrière en tant que footballeur et à cause de la carrière politique de son père qui risquerait gros si on savait que son fils se faisait mettre ! Personne n'a jamais su ce qu'il en était à part mon ex stupide blonde mais personne ne l'a vraiment cru. C t notre histoire à nous et aujourd'hui je pourrai toujours tout plaqué pour lui mm si chacun a pris un chemin différent.

Par Bipuce - Publié dans : Histoires
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Mercredi 2 décembre 3 02 /12 /Déc 23:15

Cet été mon père m'annonça que je devais les accompagner pour leurs vacances en Tunisie, j'ai eu beau négocié et dire qu'il n'avait pas réservé de chambre pour moi, mais mon père me dit il y en aura sûrement de libre.
A 18 ans je n'avais pas envie de les suivre vu que je suis fils unique et ça ne m'enchantais pas de passer 15 jours de vacances avec mes vieux, mais je n'avais pas le choix vu que j'avais été désagréable avec eux auparavant et que les résultats scolaires n'étaient pas à la hauteur de ce qu'ils voulaient.

Nous sommes arrivés à hôtel club le samedi soir vers 23 h, j'étais crevé après avoir fait 1h30 de car depuis l'aéroport. J'accompagnai mon père pour retirer les clés, là mon père annonça qu'il souhaitait une chambre pour moi. Le tunisien qui était à l'accueil lui dit qu'il était complet et qu'il ne pouvait pas lui en donner, mais il proposait de rajouter un lit de camp dans leur chambre...

- "Tu vois je te l'avais dit, je te signale que je ne vais pas passer 15 jours sur un lit de camp dans votre chambre."
Puis là je m'adresse au tunisien de l'accueil et lui dit :
- "Vous avez vraiment rien même une simple chambre sans confort ?"
Devant mon insistance et mon énervement à passer 15 jours dans la chambre de mes vieux, il me dit qu'il voulait bien me donner une chambre dans le bâtiment des salariés, mais qu'il fallait que je sois discret car ça ne devait pas se savoir, je lui ai dit que ça ne me gênait pas du moment que j'avais une chambre seul pour moi, puis mon père à dit ok, je retrouvais le sourire.

Le mec de l'accueil, appela Karim un jeune tunisien et lui dit :
- tu conduis ce jeune homme dans votre bâtiment et tu lui donnes la chambre qui est vide à côté de la lingerie.
Le jeune avait l'air étonné et me dit de le suivre.
Je saluais mes vieux puis je suivis Karim, sur le chemin il me dit qu'il était étonné car jamais on ne donnait de chambre dans ce bâtiment, je lui ai raconté pourquoi.
On arriva au bâtiment qui se trouvait à l'écart de l'hôtel et on se dirigea vers ma chambre dans un dédale de couloir ou l'on croisa plusieurs jeunes beurs. Puis il entra dans une chambre, oh pour être simple c'était simple, un lit très bas, une armoire et une mini salle de bain avec douche.

- Installe toi, je repasserais te voir quand j'aurais fini avec les autres clients arrivés ce soir
- Ok !

Puis je pose mon sac sur le lit et me mis à torse nu et enlève mon pantalon de survet pour me retrouver en caleçon car la nuit était étouffante . Je rangeais mes affaires dans l'armoire quand soudain la porte s'ouvrit, c'était Karim qui revenait me voir.
- Alors ça va ?
- Oui
- Tu as l'air cool toi !
- Oui, je n'avais pas demandé à venir mais maintenant que je suis là je veux m'éclater.
Puis on discuta un peu et Karim me souhaita bonne nuit et me quitta.

J'ai voulu fermer la porte après lui, mais il n'y avait pas de clé, tant pis. Puis le lendemain matin je rejoins mes vieux pour le petit dèj et là ils m'annoncent qu'ils souhaitaient faire le grand sud sur 3 jours, je leur ai dit que moi je voulais pas et que je restais là, mon père a accepté.

Dans l'après midi je revu Karim on discuta et je lui dis que mes vieux partaient pour 3 jours faire le grand sud. Il m'a demandé ce que j'allais faire pendant ce temps, je lui ai dit :
- profité et faire ce que je veux.

Le soir je me retrouvais seul à dîner à table, le jeune serveur qui me servait me demanda :
- C'est toi romain le jeune qui est dans notre bâtiment ?
- Oui !
- Je suis juste à côté de moi.

Puis plus tard suis allé en boîte jusqu'à 2 h du mat, mais je m'emmerdais car il y avait pas beaucoup de jeune de mon age. En rentrant un peu éméché à ma piaule je rencontre Karim et le serveur du midi. On se salue et je rentre dans ma chambre.

La encore je me met à l'aise soudain Karim me parle, il était rentré dans ma chambre sans prévenir.
- hé que fais tu là ?
- Je m'emmerde alors je suis venu discuter avec toi si t'es ok.
- Ouais ok
il est en marcel échancré qui fait ressortir sa musculation et en pantalon survet, pied nu.
Je m'assois sur le lit face à lui et lui demande pourquoi il va pas en boîte pour s'éclater et il me
réponds qu'il n'a pas le droit comme tous les employés d'ailleurs.

- Putain ça doit être mortel, que faite vous alors pour vous amuser ?
- Ho on a plusieurs trucs mais faut encore trouver un qui veux.
- Un quoi qui veux quoi ?

puis la il s'approche de moi se met devant moi et sors sa bite !
- un qui me la suce dit il

J'ai un mouvement de recul mais il me prends par les tifs et me tire sur la tête et me la plaque à sa bite !
- Allez fait le moi j'ai très envie que tu me suces, et surtout crie pas car sinon mes potes vont venir.
Je veux résister mais quand je veux dire quelque chose il en profite pour me la mettre en gueule. J'ai failli dégueuler, mais il commence des va et vient. Elle est très brune et grosse.
- allez suce moi bien, tu va aimer tu vas voir.

Puis il continue à me limer la gueule et il va profond me toucher le fond de ma gorge.
- Tu sais j'aimes me faire sucer par des jeunes blancs comme toi allez suce mieux que ça.

Puis je fini par le sucer, car je ne sais pas pourquoi je commençais à aimer ça. La il gémissais et me dit :
- hoa t'est une bonne suceuse va y encore.

J'étais loin d'imaginer ce qui allait m'arriver. Il allait et venait, puis soudain il me pris la tête, la tenant bien et il allait et venait.
- Tu vas aimer tu vas voir t'auras une surprise
Puis d'un coup il a gémit et j'ai senti de longs jets chaud dans ma gueule.
J'ai voulu le repousser mais il me tenait et il a poussé profond, j'ai du tout avaler pour ne pas dégueuler.

- Hoa mec t es bonne pute alors c'était bon hein le bon jus chaud, putain moi j ai aimé. suce moi encore pour me nettoyer la teub.
je l'ai fait mais lui dit :
- pourquoi tu as fait ça, je ne suis pas un PD !
- Tous les blancs sont des PD !

Puis il s'est refroqué
- tu le dis a personne, sinon je dirais que c'est toi qui m'a proposé. allez bonne nuit.

Il est sorti.

Je suis allez me laver la gueule tellement j'avais le goût du son jus en gueule. Puis me suis couché.
Le lendemain matin je suis allé prendre mon petit déjeuner, seul car mes vieux étaient déjà partis pour 3 jours.
Quand j'ai demandé un café au serveur, il m'a demandé avec un sourire, si je voulais un peu de crème chaude dedans...
Putain Karim à du lui raconter...

Je ne m'étais pas trompé car pendant toute la journée, tous les jeunes employés que je croisais me souriaient et me disaient bonjour par mon prénom alors que je ne les connaissais pas.
Puis au cours de l'après midi, j'ai croisé Karim qui est venu me demandé si j'allais bien,
je lui ai dit que c'était un salop d'avoir fait ce qu'il avait fait et qu'en plus il en avait parlé.
Il m'a dit qu'il avait dit à tous ses potes que j'étais une bonne gueule à bites et qu'il reviendrait ce soir, je lui ai dit NON, mais il a souri et a continué son boulot.

Je suis allé à la boîte de l'hôtel club. Vers 2 h du matin je rentrais sans faire trop de bruit car ne voulais pas que Karim sache que j'étais rentré.
Mais quand suis rentré dans ma chambre il était allongé sur mon lit torse nu en pantalon de survêt...
- putain je t'attendais !

La je lui ai dit que je voulais pas refaire ce qu'il m'avait forcé à faire l'autre soir, qu'il pouvait se casser. Il a souri, s'est levé et en passant à coté de moi il m'a touché la bite en me disant "on se reverra". Puis il est parti, j'ai poussé la porte sans la fermer à clé car pas de clé.
J'ai pris une douche et me suis pieuté tranquille.

Plus tard me suis réveillé... Quelqu'un enlevait mon drap ! J'ai voulu me lever, mais un mec me saisi la tête et ma flanqua une bite dans la gueule. C'était Karim qui était revenu, mais la il était venu avec 2 potes qui mataient.
J'ai du le sucer, puis il a dit a Farid de prendre sa place, je l'ai sucer aussi puis comme j'étais nu, Karim m'a touché le trou du cul et a dit putain il est serré comme je les aime. J'ai lâché la bite de Farid et lui ai dit :
- non pas ça je suis vierge !
- pas pour longtemps mec !

Farid m'a remis sa bite en gueule. Karim et le 3ème mec m'ont forcé à me foutre à 4 pattes sur mon lit et Karim a mouillé ses doigts de salive et m'a mouillé le trou du cul en disant "putain ça va être bon".
Le 3ème me tenait par les hanches quand Karim s'est mit derrière moi bite contre rondelle. Il a poussé doucement en disant à Farid de bien me limer la gueule.
Je sentais la bite de Karim entrer dans mon trou, j'avais envie de crier mais ne pouvais pas avec la bite de Farid en gueule.
Il s'enfonça d'un coup sa bite dans mon cul et commença son va et vient, j'avais le cul en feu et ça me faisait mal. Karim et Farid me limaient tous les 2 ensembles.
Farid a parlé au 3ème en arabes... Il est sorti puis est revenu au bout de 2 mn avec un appareil photo. Il a flashé plusieurs poses surtout ma gueule avec une bite dedans.
- Comme ça on te tient salope, fallait pas venir dans notre bâtiment !
Puis Farid a gémit et m'a juté dans la gueule
- Avale salope fait moi comme à Karim !
J'ai avalé. Je commençais a ne plus sentir la bite de Karim dans mon cul, et même à aimer ça.
Farid dit à Kamel de me donner sa bite à sucer. Elle était courte mais grosse.
Il souriait et me disait :
- tu vas devenir une bonne salope, un bon PD comme on les aime.
Karim et Kamel me limaient ensemble à grand coup. Karim me lâcha son jus dans le fion
- Waou ! Je l'engrosse la salope putain qu'elle est bonne. Farid prend ma place !
Le jus que j'avais au cul a fait que je n'avais plus mal, puis ils m'ont niqué une bonne partie de la nuit à 3.

Quand ils ont eu ce qu'ils voulaient Farid me dit avant qu'ils ne partent
- Si tu parles on affiche tes photos partout. Maintenant tu devras servir tous nos potes quand ils voudront, si un me dit que tu as refusé... On l'affiche ! Compris salope ?
-oui

Je me suis couché avec un mal au cul !

J'aurais bien changé de chambre, mais j'avais peur que Farid affiche les photos... Je ne dirais rien.

Le lendemain et le surlendemain ils sont revenus à trois pour me baiser toutes la nuit, mais tous les jeunes rebeux de l'hôtel le savaient rien qu'à voir la façon dont ils me mataient en souriant et en me demandant si ça allait.

Le 3ème soir, mes vieux sont revenus de leur virée, nous sommes allez dîner ensemble.
Farid le serveur de l'hôtel n'arrêtait pas de me mater. Il est venu prendre la commande.
Il a dit à mon père :
- vous savez on prend bien soin de votre fils depuis que vous êtes allez faire votre raid.
- c'est bien continuez comme ça c'est très gentil à vous.
- On va continuer ne vous inquiéter pas ! Hein Steph tu es comblé avec nous ?
- oui.

Mon vieux commanda 3 cocktails pour leur retour.
Farid c'est ramené avec les 3 cocktails, Il dit avant de rire :
- J'ai mis plus de jus dans celui de Steph.
J'ai eu un vieux doute et ne voulais pas le boire. Mes vieux voulaient trinquer et je l'ai bu sous le regard amusé de Farid... Je savais qu'il y avait de la jute.

Puis à la fin du repas Farid me dit:
- Soit ce soir a 23h dans ta chambre sinon tu sais ce qui t'arrive.

A 23h je me suis rendu dans ma chambre.
Karim, Farid et Kamel étaient là
- alors t'a aimé le cocktail ? C'est Kamel a juté dedans ! On a envie de baiser avec toi dans la lingerie sur les ballots de linge ok !?!
J'ai demandé si j'avais le choix...
- hé non allez viens avec nous


Je les suivis, on arriva dans la lingerie ou se trouvait une montagne de ballot de linge sale.
Farid me dit:
- Ca nous existerais de t'attacher sur les ballots pour te niquer... Allez à poil !
Je me suis mis nu.
- vous me détacherez après ?
- oui quand tu n'en pourras plus.

Puis Farid m'accroupi sur 2 ballots m'écartant les jambes et me les attacha à 2 autres ballots en
Écartant bien car il voulait bien voir ma rondelle. Ils en firent de même avec mes mains.

Karim dit :
- Putain il est existant comme ça offert à nos bites.
Il me morlarda sur le trou pour le mouiller, il baissa son froc et m'encula
Direct, mon trou était juste à la hauteur de sa bite.
Kamel se positionna devant moi et me donna sa
bite à sucer. Il dit a Kamel :
- éteint ça nous existera plus on pourra penser que c'est une meuf qui nous suce.
Ils éteignirent la lumière. Je me faisais prendre en me faisant traiter de salope, de pute, de garage à bites, de sac à jus.

Ca dura un bon moment jusqu'à ce qu'ils me jutèrent dans les trous.
Farid dit Kamel :
- vient lui donner la tienne à sucer moi je l'encule.

Mais je fus surpris par la raideur de la bite de Kamel, surtout qu 'il venait de décharger dans mon cul. Maintenant, Farid allait et venait dans mon cul. Là je fus a nouveau surpris car je trouvait qu elle était plus longue alors je lui ai demandé comment il faisait.
C'est là qu il a entrouvert la porte et j ai pu voir qu'ils étaient plusieurs et qu'ils tournaient sans rien me dire.

- tu vas aimé salope... On a décidé de te baiser à la chaîne pour bien te remplir. Puis ça dura plusieurs heures, car ils sont venus à 8 ou 10 en tout.

Tous les jours je suis retourné dans la lingerie et plusieurs venaient me baiser.
Cela a été les meilleures vacances que je n'ai jamais passées, et mes vieux n'ont
rien vu.
Heureusement... Mon père me croit un vrai mec, pas une salope à bites !

Par Bipuce - Publié dans : Histoires
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