Lundi 12 décembre 1 12 /12 /Déc 23:08

Bonjour a tous,
A l'époque âgé de 19 ans et jeune habitant de la région parisienne, j'avais déjà sucé quelque queues (en vacance, ou amis) mais il m'en fallait plus, j'avais ce besoin et cette envie d'aller plus loin.
Un jour n'en pouvant plus, je profitais de l'absence de mes parents pour aller sur un site de rencontre, je m'inscris, mis une photo et n'attendis pas longtemps avant d'avoir des contacts plus ou moins intéressant. L'un d'eux m'attirais plus, il n'habitait pas loin, belle homme de 40 ans. Après quelques échanges me voilà avec une adresse et un rendez-vous dans l'heure. Un peu effrayé, je prends mon courage à deux main et je me rends à l'adresse.
Après 30 minutes de marche je suis sur le palier de la maison, je me met à marcher un peu plus peut être 5 minutes pendant lesquelles je me pose tout un tas de question sur ce qui va se passer, mais l'excitation me fait faire de mi tour, et me voilà finalement devant sa porte.
Je frappes et le bel homme de la photo ouvre:

Lui: "Salut mon beau, vas-y entre, je pensais pas que tu viendrais à vrai dire"
Moi (répondant pendant que je rentres): "Je vous avoue que j'ai failli faire demi tour ! "
Lui: "Et bien je suis content que tu sois là, surtout ne t'inquiètes pas, si tu as le moindre souci, tu me dis on arrête tout, il n'y a aucun problème."

Sur ses paroles réconfortantes, je me sens rassuré. Nous nous installons sur son canapé, et nous continuons à discuter de mes petites expériences. Je suis très excité rien que de parler de mes petits plan suce, et lui aussi au vu de la bosse qui se forme dans son pantalon.
Voyant que je matais sa bosse il me demanda: "Ça te dérange si je me mets à l'aise ? "
Moi: "Non, au contraire" j'avais vraiment hâte de voir ce qui se cachais.

Il enleva son pantalon et sorti sa queue, elle était énorme comparée au bite des copains que je suçais.
Lui:"Vas-y, prend la en main, n'ai pas peur."

Sur ces paroles je m'exécutais, lui debout moi assis sur le canapé, je pris sa grosse queue en main, et commença à le branler, je n'arrivais pas à regarder autre chose que sa queue, elle m'attirait, et le plus naturellement du monde, sans qu'il ne me dise rien, j'approcha ma tête et le pris en bouche.

Il prit ma tête et imprima de petits vas et vient dans ma bouche.

Lui: "Et bien, t'es vraiment une bonne petite suceuse! On voit que tu y prends du plaisir!"
C'était la première fois qu'on me parlait comme cela, et cela m'excitais encore plus. Après un petit moment il reprit sa queue, me leva, et moins de temps qu'il n'en faut je me retrouva à poil dans le salon d'un inconnu.

Lui: " Tu es vraiment magnifique ma belle, vas-y tourne que je vois tout ça"
Lui: " Je vois que ça te gène pas que je te parle comme à une fille n'est ce pas ?
Moi d'un ton honteux :" Non, ça ne me gène pas"
Lui: " Tu n'a pas à avoir honte ma jolie" et me fit un clin d'oeil

Pendant que je tournais lentement et que je sentais son regard sur moi, il me stoppa, et me poussa sur le canapé, de telle sorte que je me retrouve à 4 pattes. Il me caressa le dos, les fesses, et tout d'un coup je sentis sa langue contre mon anus. Cette sensation m'électrisa, sous ses coups de langue somptueux je ne pouvais m'empêcher de lâcher des râles.
Après 5 minutes il se leva et me proposa d'aller dans la chambre. Il me fit passer devant et pendant qu'on montait les marches il me massait les fesses. Étant complètement chauffé par ses coups de langue, je me mis à rouler du cul. On entra dans la chambre, il me poussa sur le lit, me mis a 4 pattes et me présenta sa queue. Pendant que je suçais goulûment sa belle queue, il s'appliqua à me doigter doucement, et très vite je me retrouvais avec 2 doigts fouillant mon cul et une queue a sucer, c'était divin.

Il retira se queue de ma bouche avide, se mis derrière moi et frotta sa queue contre ma raie pendant 30 secondes qui parurent une éternité, ne tenant plus, je lui fis comprendre en dandinant du cul et en le suppliant du regard. Il ne se fit pas prier et commença à forcer ma petite rondelle en y allant doucement, je fermas et les yeux et serra les dents du fait de la douleur, mais ses caresses sur mon corps et son avancée lente remplacèrent la douleur par un départ de feu inouïe lorsqu'il commença ses va et vient.

Au départ lent, je sentais qu'il allait de plus en plus profond, et chaque millimètre gagné me faisait lâcher un gémissement. Après quelque vas vient, je sentis son bas ventre contre mes fesses.
Il s'arrêta et me dit: " Ça y est ma jolie, je suis au fond de ta petite chatte!"
Sur ces paroles il commença à me prendre avec des longs et puissants coup de rein, accroché au drap du lit et la tête dans les draps, me sentant sa femelle, je me cambrais au maximum pour mieux le recevoir.
Lui: " Quel cul ma petite, hum tu la sens bien ma queue!! T'es une vrai petite salope!!..."
Ces mots et sa queue me rendais fou, et entre les gémissements j'arrivais à peine à articuler un "Oh oui!!... Prend moi!!"
Il sorti de ma chatte me tourna sur le dos, relava mes jambes et se mis sur moi pour me présenter pour que je la suce, puis tenant mes jambes contre ma poitrine, me pénétra jusqu'à la garde ce qui me fis gémir, il profita de ma bouche ouverte pour venir fourrer sa langue, et pendant qu'il me roulait un patin d'enfer, il s'activa dans mon trou et me baisa fougueusement.
Dans cette position je pouvais voir sa queue aller et venir et je me disais que c'était fou que cette grosse queue me baise et aille si profond. Après quelque minute de ses vas et vient il ralenti.
Lui reprenant son souffle: " Et bien pour une première t'encaisse bien ! Un vrai trou à bite!"
Moi reprenant mes esprits: " Merci!"
Lui: "T'inquiètes pas, je vais reprendre, je vois très bien que c'est ce que tu veux! regarde tu n'as pas débandé depuis le début"
Moi: "Oui, prends moi!"
Il recommença ces coups de rein viril, cette nouvelle attaque me mis encore le feu. Après quelques minutes je le sentis aller encore plus vite ce qui me faisait crier de plus en plus fort, et dans un râle je sentis de long jet chaud me remplir, une sensation exquise.
Lui : " T'es ma petite chienne maintenant, attend c'est pas fini!"

Il resta en moi, continua de petit va et vient et commença à me branler. Tellement j'étais chaud, je du tenir 20 secondes avant qu'une jouissance extrême s'empare de moi. Il se retira me fis goûter sa queue pleine de jus et étala mon sperme.
Je regarda son réveil: " Faut que j'y aille, je vais me faire tuer!"
Lui: "Si tu rentres comme ça, c'est possible que tu te fasses tuer en effet, va prendre une douche d'abord."

Après une bonne douche,je suis parti précipitamment, mais j'ai tout de même pris le temps de prendre un rendez-vous!

Par Bipuce - Publié dans : Histoires
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Mardi 4 octobre 2 04 /10 /Oct 22:50

Cette histoire se passe début juillet il y a environ 10 ans. A l'époque, j'avais 18 ans et je passais le plus clair de mon temps chez mon meilleur pote C. Nous avions l'habitude d'être seuls chez lui car ses parents étaient souvent au travail et sa soeur ainée de 2 ans était je ne sais où. Comme 2 jeunes puceaux qui se connaissent depuis plus de 10 ans, nous regardions tout le temps des pornos à poil dans son canapé en train de se branler.

Un jour, je m'engageais dans l'allée de la maison de C. et j'ai voulu lui faire une petite blague. Comme son allée était cachée de la vue de tous, je me suis mis à poil avant de sonner chez lui (m'étant assurer auparavant que ses parents n'étaient pas là bien sûr). Il fit de grands yeux ronds quand il me vit entièrement nu, la bite déjà dressée par l'excitation d ema blague. Il me fit entré chez lui et me donna une claque sur les fesses pour continuer sur la plaisanterie. ça m'a fait l'effet d'un électrochoc et a renforcé mon érection. Heureusement, il ne s'en aperçu pas.

Il mit moins de 2 minutes pour se déshabiller et mettre un film pour qu'on puisse se branler. Après la première éjaculation, nous avons fait une pause casse-croute tout en discutant de tout et de rien en rigolant. Quand nous avons repris notre branlette, C. a posé une main sur ma cuisse en la caressant (je précise qu'à l'époque, nous étions imberbe tous les 2). J'aurai du protester et la retirer mais ça m'excitait et je l'ai laissé finalement faire. J'ai même décidé d'en faire autant et de lui caresser moi aussi sa cuisse. Nous éjaculames très fort et le film prit fin.

Nous n'osions ni nous parler ni nous regarder et l'ambiance était tellement lourde que C. mis un film à la hâte pour nous changer les idées. A ce moment là, il a gagné le pompon: c'était un film gay. Il a voulu se lever pour changer mais je lui ai attrapper la main en lui disant de laisser. Il se rassit et s'est branlé sans oser me regarder. Moi, je n'arrêtais pas d'alterner entre le film et sa queue me demandant ce qui m'excitait le plus. Finalement, je suis resté sur sa queue et il finit par s'en apercevoir.

Il bandait dur malgré sa gêne flagrante. J'étais écarlate et je ne pouvais pas m'empêcher de regarder cette magnifique bite tendue. Il m'a demandé pourquoi je la regardai comme ça et tout ce que je pû dire est: "elle me donne envie". Il est resté bouche bée et, sans lui laissé le temps de faire ou dire quoique se soit, je me suis penché pour le prendre ne bouche. Elle avait le goût du sperme et ça me rendait fou. Je m'activait comme un dingue tandis que C. se laissait faire.

Au début tout du moins. Car après peu de temps, il me prit la tête et commença à imprimer un mouvement plus fort et plus rapide pour que je le suce plus intensément. Il ne tarda à me jouir dans la bouche et j'aimais tellement ce goût que j'ai tout avaler d'un coup. Je lui ai même nettoyé sa bite avec ma langue comme je l'avais vu dans le film. Puis je me suis relevé et je l'ai fixé avec ardeur. Il a rougi et tout ce qu'il a sû me dire à cet instant est: "merci".

mais je ne comptais pas en rester là et je lui ai lancé: "à ton tour". Je bandais comme un âne tant j'étais excité. Il a tout d'abord hésité puis il s'est lancé. Il a commencé timidement et après, il s'est battu comme un beau diable pour me faire jouir à mon tour. Je n'ai même pas eu besoin de l'aider. Je lui ai lancé une bonne rasade de sperme au fond de la gorge et il a lui aussi avalé et nettoyé ma bite comme un chef.

Nous nous sommes regardé droit dans les yeux sans rien dire avec une certaine gêne. Puis, d'un coup, nous nous sommes embrassé sans nous concerter. Ce fut un baiser long et intense comme deux amoureux, deux amants, deux personnes qui sont faites l'une pour l'autre. J'ai dû rentrer chez moi car ses parents allaient rentrer mais l'histoire ne se termine pas là et le meileur reste à venir.

   
Par Bipuce - Publié dans : Histoires
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Mercredi 28 septembre 3 28 /09 /Sep 22:51

Bonjour, moi c'est Marc, je me suis fait prendre par les gendarmes hier alors que je vendais du haschisch. Nuit à la gendarmerie puis passage au tribunal pour comparution immédiate. J'ai 19 ans, c'est la première fois que je vendais, c'est con. Une nuit dans une cellule, puis transfert par camionnette au tribunal. Nous sommes le 1er juin, il fait chaud, la séance est prévue pour 15h et il en est déjà 16h30. L'atmosphère est étouffante, je suis assis sur un banc avec les menottes, une chaîne est reliée à un gendarme, nous sommes vendredi. Ils discutent du week-end qu'il vont passer, ils ont décidé de faire un tour en vélo; ils n'en ont rien à faire de moi.

Une sonnerie retentit, les gendarmes se lèvent et me disent: "C'est ton tour." Je les suis dans un dédale de couloirs, nous arrivons dans la salle d'audience, plafond haut, une dizaine de personnes assise sur des bancs, la lumière filtre à travers des fenêtres hautes, on voit la poussière danser dans les rayons de soleil. Un greffier hurle la cour, les gendarmes se lèvent et me font lever. Le président, ses assesseurs, le procureur de la république et le greffier. Ils sont tous en noir, ça fait peur.

"Accusé, levez vous, déclinez vos prénom âge te profession." Ce que je fais. S'en suit une litanie de griefs de questions pour me piéger, dans la salle une jeune fille, avocat commis d'office, elle tremble comme un feuille morte. Le président me fait un portrait de gangster, le procureur, une femme dans la quarantaine, belle se lève et prononce contre moi un réquisitoire d'une rare violence, elle demande 6 mois de réclusion. J'en ai les jambes coupées, vient ensuite la plaidoirie de la jeune avocate, lamentable, heureusement que la peine de mort n'existe plus j'y aurais laissé ma tête. La cour se retire pour délibérer, on sort et on se retrouve dans une petite pièce à côté de la salle d'audience.

Il fait chaud, pas de fenêtre, les gendarmes ont repris leur conversation sur leur virée en vélo. Une heure passe. Quand la sonnette retentit, on se lève, la cour a fini de délibérer. On entre dans la salle et on attend; la cour rentre. "Accusé levez vous, la cour vous condamne à 6 mois de prison avec 2 mois de sursis, vous serez transporté à la prison de..... où vous accomplirez votre peine. Greffier transmettez les documents à messieurs les gendarmes. La séance est levée."

Il est déjà 6h. On prend une série de couloirs et d'escaliers, on arrive dans une cour où se trouve la camionnette des gendarmes. On me fait monter à l'arrière, menottes aux poings. On démarre, on traverse la ville, il fait une chaleur suffocante d'orage. On sort de la ville et on prend une route de campagne, on file puis on ralentit, on arrive devant une immense bâtisse entourée de hauts murs. Un coup de klaxon, les portes s'ouvrent et se referment derrière nous. Le moteur s'arrête, un gendarme vient m'ouvrir. Je sors, des gardiens sont là, brève discussion amicale entre les gendarmes et les gardiens, puis les gendarmes m'enlèvent les menottes et me remettent aux gardiens avec les papiers du tribunal.

Demi-tour, les portes s'ouvrent la camionnette s'en va, je suis seul avec mes gardiens. On me fait rentrer dans la loge des arrivants, on vérifie les papiers, puis on me conduit vers l'accueil. Là, 2 gardiens derrière un comptoir et le gardien qui m'accompagne, encore une vérification des papiers. Un ordre, "À poil!", j'hésite, le gardien qui m'accompagne, un mec d'une trentaine d'année, me sourit et me dit: "Tu te fous à poil, t'a compris?" J'enlève ma veste, le gardien à côté de moi la donne au 2 autres derrière le comptoir qui la fouille, je fais sauter mon t-shirt qui rejoint ma veste, je défais ma ceinture, le gardien me dit de l'enlever et il la passe au 2 autres, je vais pour enlever mes baskets il me dit d'enlever les lacets, je fais tomber mon jeans que je tends et j'attends. Le gardien à côté de moi me fait un sourire et me dit: "À poil!" Je baisse mon slip, rouge de honte. Mon slip rejoint mes autres vêtements.

À ce moment le gardien à côté de moi me dit de mettre mes pieds le long d'un ligne blanche tracée sur le sol et de poser mes deux mains sur le comptoir, ce que je fais. "Écarte les jambes!" Il me donne un petit coup de pieds pour me faire écarter les pieds. Il enfile un gant en caoutchouc, je lui demande ce qu'il fait, il me répond avec un sourire: "On va voir si t'a rien de caché." Les 2 autres se marrent. Je sens un contact froid sur mon cul, je vais pour me relever, le gardien me dit de ne pas bouger, qu'il me met de la vaseline, je geule que je suis pas pédé. Il me répond en rigolant que plus tard, je regretterai de ne pas en avoir ce qui fait marrer les 2 autres. Je sens un doigt qui glisse dans mon cul et qui commence à le fouiller, bon y'a rien, il pourrait arrêter, mimas il continue le salaud, il me masse la prostate et je commence à bander ferme. Le salaud le fais exprès, maintenant je bande raide, son doigt ressort, il me dit: "C'est fini, tu peux te relever."

Je bande comme un fou, je ne bouge pas. Il me file une claque sur la fesse en me disant: "Debout!" Je me redresse en cachant très mal ma queue raide, les 2 autres éclatent de rire en disant: "Il a l'air d'aimer ton petit doigt dis donc!" Je suis rouge pivoine, le gardien à côté de moi me regarde et dit: "J'ai l'impression que ça t'a plu..." On me rend mes vêtements, on garde ma ceinture, mes lacets ma montre, on me file une couverture et des draps. Le gardien qui m'accompagne me guide vers une porte, il me pousse dans une petite pièce et me dit de me foutre à poil pour la douche. Je me glisse sous l'eau, pendant ma douche le gardien me dit: "Excuse moi pour tout à l'heure, mais tu as un si beau petit cul que je n'ai pas résisté au plaisir de te masser le cul." La douche est finie, je m'habille, direction les cellules, l'heure de la soupe est passée, je mangerai demain matin.

Un couloir avec des portes de cellules, puis on s'arrête devant une porte, "C'est là!", me dit mon gardien. Il fait tourner la clef, ouvre la porte, dedans à gauche de l'entrée, des chiottes un lavabo, un peu plus loin deux lits superposés, de l'autre côté, une table des chaises et 2 autres lits superposés près de la fenêtre grillagée. Trois mecs, Un gras dans les 40 ans en short et t-shirt distendu, un grand maigre, barbu pas sympathique en short lui aussi semble pas propre dans les 40 ans lui aussi, et puis un mec en jogging dans les 20 ans souriant, semble gentil. Le gardien me présente comme le nouveau, nous souhaite un bonne nuit et referme la porte avec un curieux sourire.

La porte refermée, le gros se lève et me dit: "Bonjour petit, ta place c'est là-haut!" et il me montre le lit près de l'entrée. "Moi c'est Roger, lui," il me montre le grand maigre, "c'est Marcel, et lui, le petit jeune c'est Thomas. Bon on va passer aux choses sérieuses!" dit-il en me caressant les fesses. Je lui prends le bras en lui disant que je ne suis pas pédé, ça le fait rire et li pose une nouvelle fois ses pattes sur mon cul. Je me dégage quand le grand maigre me prends les couilles à pleine main en disant: "Tu vas pas jouer les pucelles mec. Va falloir que t'y passes." Pendant ce temps là le gros me dégage les fesses, en moins de 2, je me retrouve à poil. Le grand maigre me serre les couilles pour que je ne me débatte pas, je cherche à luter j'me ramasse un paire de baffes magistrale.

"Tu vas te calmer, petit, sinon tu vas déguster. Tiens, pour commencer tu va me nettoyer la queue." Il me présente une queue, courte mais très large qui pue comme pas permis. Je refuse, l'autre manque de m'arracher les couilles, une main me plaque le visage contre cette queue immonde. Pour m'obliger à ouvrir la bouche il me pince le nez, je manque d'étouffer, j'ouvre la bouche il en profite pour me rentrer sa queue nauséabonde. J'en ai des hauts le coeur. "Suce petite salope, vas-y, nettoie-moi l'engin." L'autre, le grand maigre, me masse le cul, sans lâcher mes burnes. J'étouffe, je suis au bord du vômissement, heureusement le troisième ne bouge pas. "C'est bien petite chienne, suce bien, j'ai la queue bien raide les couilles pleines, Maintenant tu vas me les vider." Sur ces mots, il se retire de ma bouche, me fait tourner et me prend par les hanches. Je vais pour geuler quand le grand maigre me file sa queue qui n'est pas plus propre dans la bouche. Elle est plus fine mais plus longue, je la sens toucher ma luette, je vais vômir, il le sent et se retire un peu.

Le gros pendant ce temps m'a rentré un puis deux doigts dans le fion sans ménagement. J'ai mal mais je ne peux hurler avec la queue de l'autre dans la bouche. Il retire ses doigts et pose son gland contre mon trou, je me raidis. Il me fille une claque sur la fesse en me disant de me détendre si je ne veux pas avoir mal. Et d'un coup, il me pénètre. La douleur est fulgurante, j'ai l'impression d'un pieu en fer rougi au feu. Je manque de m'évanouir. Le grand maigre m'a filé une baffe, je ne peux me soustraire à la queue dans mon cul et l'autre dans ma bouche. La douleur est insupportable. Le gros me lime rapidement sans se préoccuper de moi, il accélère la cadence et vient dans mes entrailles. Il se retire satisfait.

"À toi!" balance-t-il au grand maigre. Le grand maigre se retire de ma bouche et vient m'enfoncer sa queue, sans crier gare. Elle est plus fine et passe mieux mais la douleur est encore là. Le gros me donne sa queue à nettoyer, comme je vais pour refuser, je me ramasse une nouvelle baffe et je me retrouve avec sa queue baveuse de sperme à nettoyer. Le grand me défonce ne s'intéressant qu'au plaisir qu'il retire de mon cul. La douleur s'efface petit à petit, il me file des claques sur les fesses et me branle en même temps, je ne bande pas. Puis il pousse un cri et se vide dans mon trou. Le gros s'est assis sur le lit et regarde tout sourire en se branlant doucement. Le grand maigre se retire d'un coup et me donne sa queue à nettoyer. Il dit au jeune: "Vas-y, il est à toi." Le jeune s'approche de mes fesses, les caresse et pose doucement son gland contre mon trou distendu et visqueux. Il pousse doucement et me pénètre lentement. Il commence des mouvements de bassin lentement, il me lime doucement, je commence à sentir du plaisir, je n'en reviens pas. Il n'y a plus de douleur, il me baise pour se donner du plaisir mais il veille au mien. Sa main glisse sous mon ventre et vient me branler doucement, je commence à bander, je ressens du plaisir. Son gland vient frotter sur ma prostate et me fait découvrir des sensations inconnues. Je sens sa queue grossir, il va bientôt jouir. Je sens les contractions de sa queue, il accélère les mouvements de sa queue et de sa main sur ma queue bien raide. Il pousse un gémissement et vient dans mon trou, moi de mon côté je viens dans ses doigts. Il se retire doucement, me caresse les fesses et me dit: "Je vais faire ton lit..." Les 2 autres sont tout sourire.

Le gros me dit: "T'es un bon petit, maintenant couche toi, demain il faut être prêt pour le p'tit déj." Il se lève, pisse et va se coucher, le grand maigre en fait autant. Le jeune m'aide à monter dans mon lit, me fait un sourire. Je m'allonge sur le lit, j'ai le cul en compote. La lumière s'éteint. Quelques minutes pus tard les ronflements du gros et du grand maigre démarrent. La honte m'étouffe, j'ai mal, des sentiments confus se mélangent dans ma tête, et une envie irrésistible de pleurer m'envahit. Je sanglote dans le noir, quand tout à coup une main vient se poser sur moi, je me relève un peu c'est le jeune, qui est monté sur mon lit. Il se couche à côté de moi et me dit tout bas: "Ne t'en fais pas, ils m'ont fait pareil quand je suis arrivé, ils ne sont pas méchants mais comme tu as pu t'en rendre compte, ils n'ont aucune éducation." J'ai glissé ma tête sur l'épaule du jeune et je pleure en silence. Il me parle doucement pendant que sa main me caresse, je lui dis que je ne suis pas pédé, mais que j'ai pris du plaisir quand il m'a baisé. Il me confie, qu'il ne voulait pas me baiser mais s'il ne l'avait pas fait les autres auraient piqué une colère et m'auraient fait subir des sévices.

Il approche ses lèvres de moi, j'ouvre la bouche, sa langue vient rencontrer la mienne, un long baiser s'en suit. Il me dit pour me faire pardonner: "Je vais te sucer tu veux?" "Je veux bien," lui dis-je dans un souffle. Il glisse sur le côté et je sens sa bouche envelopper mon sexe qui durcit immédiatement, il me suce en douceur sa langue tourne autour de mon gland, je me retiens de gémir, je sens que je vais venir, je tente de me retirer, il poursuit, je viens dans sa bouche, j'ai l'impression que je vais me vider, la tête me tourne. Quand ma queue redevient molle, il remonte et me donne un baiser où se mêlent sa salive et mon sperme. Le goût me surprend, mais je lui rends son baiser. Il me dit: "Passe une bonne nuit, je veille sur toi." Je m'endors, une nuit pleine de cauchemars.

Le lendemain matin au réveil, le gros et le grand maigre tirent sur mes couvertures, et me disent de descendre, je m'exécute. Il me disent: "C'est l'heure du p'tit déj." Comme je les regarde sans comprendre, le gros me dit: "Il faut nous purger les burnes, allez, tu nous suces!" Il me fait mettre à genoux, et me présente sa queue, je gobe il commence à me limer la bouche, il vient rapidement. Le grand maigre prend sa place, et me fourre la bouche sans ménagement, il vient rapidement, se retire et va pisser. Le gardien arrive, accompagné d'un prisonnier qui apporte le petit déjeuner. Le gardien me dit avec un petit sourire:

— T'as passé une bonne nuit?

Je vais pour dire ce qui s'est passé quand je rencontre le regard dur du grand maigre.

— Oui je vous remercie.

— Bon. Si tu veux, après le petit déjeuner, tu peux aller travailler avec lesautres, tu veux?

— Pas aujourd'hui.

— Bon comme tu veux.

Le gros et le grand maigre partent travailler, le jeune leur dit qu'il va rester avec moi pour la première journée.

— Ok comme tu veux.

La porte se referme et je me retrouve seul avec le jeune.

— Bon moi c'est Thomas et toi?

— Moi c'est Marc.

— T'es là pour combien de temps?

— Quatre mois et toi?

— Moi Il me reste 3 mois. Quand je suis arrivé ils m'ont violé comme toi, ça a duré 1 mois tous les jours, et puis ils ont arrêté, maintenant ils me baisent 1 fois tous les 15 jours. Je n'y prends pas plaisir mais si je ne dis rien, ils me foutent la paix, alors...

— Tu était homo avant?

— Non comme toi j'avais des copines, jamais je n'avais pensé que je baiserais avec des mecs ou que je me ferais baiser. Quand tu es entré hier soir je me suis dit: "le pauvre il va morfler", je n'avais pas le choix sinon ils m'auraient tapé dessus. Tu ne m'en veux pas?

— Non je ne t'en veux pas, tu a été doux avec moi et je dois dire que tu m'as donné 2 fois du plaisir. Je ne croyais pas qu'on pouvait jouir avec une queue dans le cul.

— Si tu veux ce soir après qu'ils t'auront encore baisé et qu'ils dormiront, tupourras me baiser si tu veux.

La journée se passe sans encombre, et le soir de nouveau, le gros et le grand maigre me baisent, mais cette fois sans violence. Ils se couchent, et peu de temps après, les ronflements démarrent. Thomas attend un peu et vient me rejoindre.

"Je tien parole, si tu veux me baiser, vas-y." Il caresse ma queue qui gonfle rapidement, se retourne et me présente son trou. J'avance le bassin, mon gland vient toucher son trou. Il me dit: "Vas-y!" Je pousse mon gland, il rentre sans trop d'effort. Ma queue glisse dans son trou, c'est doux chaud, je commence des va-et-vient. Il accompagne mes mouvements par des mouvements du bassin, il a tourne sa tête et me donne un baiser. Je vais jouir, lui dis-je. Je sens les contractions de son trou, il va jouir aussi. Ses contractions provoquent ma jouissance, je sens son jus venir dans mes doigts. Il se retourne, je l'embrasse en lui disant:

— Merci.

— Tu n'as pas à me remercier, j'y ai pris du plaisir aussi. Si tu veux on recommencera.

Les jours se suivent et se ressemblent, quand un matin de douche, le gros et le grand maigre y vont tout joyeux, ils reviennent propres et souriant. Le soir, je m'attends encore une fois à subir leurs assauts quand le gros nous dit: "On sort demain les gamins alors ce soir, c'est vous qui nous baisez." Thomas et moi, on se regarde incrédules, le grand maigre nous dit: "Oui on sort demain alors notre cadeau à nous, c'est qu'on vous offre notre cul pour vous remercier de nous avoir soulagé." Ce faisant ils baissent leur short et nous présentent leurs culs. Thomas me fait un signe, il me montre le grand maigre et me dit: "Je commence par le gros." Thomas file une claque sur les fesses du gros, celui-ci surpris se retourne. Thomas lui dit: "Suce moi un peu pour m'aider à bander." Le gros s'exécute.

Je dis au grand maigre: "Et toi alors, tu vas me faire bander?" Il se retourne et commence à me sucer, il est doué le salaud. Thomas et moi nous sommes bien raides. "Allez, tournez vous!" Le gros et le grand maigre nous présentent leur cul. Thomas attrape les hanches du gros et sans préliminaire l'enfile jusqu'à la garde, le gros pousse un petit cri. Moi j'en fais autant, le grand maigre tente d'échapper mais je le rattrape et l'enfile d'un coup. Il pousse un cri, je ne m'en occupe pas et le lime sans faiblesse. Je vais venir, Thomas me lance un regard, je lui dis que je vais venir, il me dit que lui aussi. On lâche notre purée en même temps. On se retire. Le gros et le grand maigre se redressent. Thomas leur dit de nous sucer pour nettoyer nos queues. Ils vont pour protester, mais Thomas leur dit: "Allez, en vitesse!" et on échange le gros prend ma queue en bouche et le grand maigre prend Thomas. Nos queues reprennent de la vigueur.

Thomas leur dit: "Allez, en position." Les deux compères se retournent et nous présentent leur cul. Je prends le gros par les hanches et lui enfile ma queue d'un coup, il pousse un cri. Pendant ce temps Thomas enfile le grand maigre jusqu'à la garde. Thomas leur dit: "Allez les salopes, embrassez-vous." Il s'embrassent pendant qu'on les lime. Je viens dans le cul du gros, je sens qu'il vient lui aussi, il pousse un long soupir. Thomas s'est vidé lui aussi et s'est retiré; le grand maigre se finit à la main.

Le lendemain au réveil, Thomas saute sur ses pieds me dit de descendre; on se lève et on présente nos queues pour le p'tit déj. Le gros et le grand maigre nous vident les burnes. "Bonne journée les mecs et profitez de la liberté." Nous sommes seuls, maintenant depuis 3 semaines et nous nous aimons tous les soirs.

Quand un soir la porte s'ouvre, on nous amène un jeune. Le gardien se retire. Le jeune est un peu effrayé, nous le rassurons, tu ne risques rien, on va pas te violer. Le jeune monte dans son lit, nous nous caressons, le jeune nous regarde sans rien dire. Nous l'oublions et nous nous aimons. Plus tard dans la nuit nous entendons le bruit caractéristique d'une branlette, c'est le petit dernier qui se soulage.

Le lendemain soir il va pour se coucher, se déshabille quand il enlève son pantalon, son slip est super tendu, il tente de cacher son érection, Je lui dis:

— Si tu veux tu peux baiser avec nous.

— Non, non, dit-il tout rouge.

— Allez, on voit bien que tu bandes! dit Thomas.

— Non, non, dit-il sans conviction.

Je pose une main sur son paquet il ne bouge pas; Thomas s'est approché de lui et lui caresse les fesses, il me réagit pas. Doucement, je fais glisser son slip, sa queue libérée vient frapper son ventre je la prends en bouche et commence une pipe. Il gémit doucement. Thomas lui roule une pelle d'enfer. Il se libère et se laisse aller au plaisir. Nous finissons la soirée à trois.

Les jours ont passé Thomas est libéré aujourd'hui. Je l'embrasse avant que le gardien n'arrive, il me dit qu'il m'attendra quand je sortirai. Il est parti, le petit jeune couche avec moi de temps en temps, mais ce n'est pas pareil qu'avec Thomas.

Mon tour arrive, je donne un baiser au petit jeune. Formalités et puis la porte de la prison s'ouvre. Thomas est là, il sort de la voiture, prend mes affaires qu'il met dans le coffre, nous montons. La porte de la prison s'est refermée, il passe un bras autour de mes épaules me donne un long baiser et me dit:

— Bienvenue dans le monde libre. Tu sais où aller?

— Non.

— Viens chez moi si tu veux.

Mon coeur fait un bond. Je lui fais un grand sourire et lui dis avec joie:

— Je n'osais pas te le demander.

Un grand sourire illumine son visage.

— Tu resteras tant que tu voudras, je t'aime.

— Merci, Thomas. Moi aussi je t'aime, tu m'as manqué terriblement.

— Ok allons y, la vie est belle...

Par Bipuce - Publié dans : Histoires - Communauté : Communauté gay
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Mercredi 17 novembre 3 17 /11 /Nov 22:53

Cet après midi d'été, j'avais invité un copain que j'avais rencontré trois mois auparavant lors d'une fête à une ballade dans les bois. Il s'appelle Eric, splendide garçon de dix neuf ans aux cheveux noirs et aux yeux verts. J'ignore s'il aime les garçons, nous avions bu souvent des verres ensemble au café, mais depuis que je le connais, chaque soir dans mon lit mon épieu de vingt deux ans se dresse en pensant à lui. J'imagine ses lèvres pleines que j'embrasse, le faire râler de plaisir et mes doigts vont et viennent sur ma bite dure, je râle en y pensant, je me cambre et frémis, mon poing branle à toute vitesse mon épieu, ah! si c'était le sien! Je transpire et je lance un grand jet en criant son nom!

Donc, cet après midi, nous nous rejoignons à l'orée du bois, il apparaît vêtu d'un t-shirt et...d'un très court short beige ! Il le fait exprès ou quoi? A voir ce petit short, mon jean se tend! Je suis déjà fou de désir! Mais je dois faire semblant de rien. Son regard vert me sourit:-Salut! (Qu'est ce que je bande, moi! Pourvu qu'il ne regarde pas mon jean!) Par contre, je ne peux m'empêcher de regarder discrètement son short: j'essaie de deviner le contenu,mais s'il y a un bon paquet, il ne bande absolument pas !

Il me regarde toujours avec son beau sourire, il ne sait que dire, je me décide:
-Prenons ce sentier,on arrive à une clairière. En marchant, j'ose lui entourer les épaules d'un bras, je sens sa chaleur, ç'est pas ça qui va arranger mon érection ! Je serre plus fermement ses épaules, il tourne la tête vers moi avec un petit sourire et nous continuons notre chemin en silence. Arrivés à la clairière, Je serre plus encore mon bras sur ses épaules, il sourit à nouveau et passe à son tour son bras autour de mes épaules ! J'en avale péniblement ma salive et murmure:-Je t'aime bien! -Moi aussi! murmure-t-il avec un grand sourire.Je m'enhardis et lui pose un petit baiser sur la joue, toujours rieur, il m'en donne lui aussi sur la joue. Je baisse les yeux, il me semble que quelque chose se passe dans son petit short! Quelque chose tend un peu le tissu...Encouragé, ma bouche se rapproche de la sienne, je prends ses lèvres, il ne se défend pas, au contraire:il entrouvre les lèvres et fait dépasser sa langue chaude! Mes lèvres emprisonnent sa lèvre inférieure, aussitôt il ouvre la bouche et m'embrasse fougueusement! Ah! Sa langue chaude, je défaille! Si ça continue, je vais jouir dans mon jean! Je regarde son short, un énorme barre le tend d'un côté à l'autre! A travers le léger tissu, je vois clairement sa hampe et son gland. Je le serre contre moi, Je l'embrasse sur la courbe du cou, respirant son odeur mêlée de celle des feuilles de l'été, la jambe de son short s'élève sous la poussée de sa barre ferme qui commence à sortir le long de sa cuisse, il soupire:
-Ah..Que c'est bon! Nous nous caressons le torse sous nos t-shirts, je frotte ma braguette contre son short, je sens s'allonger sa bite contre la mienne, nos bassins ondulent pour exciter d'avantage nos bites séparées par un peu de tissu. Il passe sa langue sur ses lèvres avec un regard vicieux et passe une main sur mon jean tendu à l'extrème en disant:
-Tu es vachement excité! C'est moi qui te fait cet effet là?
-Oh! Tu peux pas savoir!
Il rigole:-Tu m'excites terriblement aussi!
Je réalise mon rêve le plus fou! Je caresse ses cuisses imberbes et musclées qui frémissent, il murmure:
-Aaah!...Continue! Je fais durer mes caresses, relève son t-shirt et pose mes lèvres sur son torse lui aussi imberbe et doucement musclé, il soupire:
-Oui...Oui!...Je t'aime! Puis:-Nous sommes bien seuls? Il ne va passer personne?
-Meuh non, cet endroit est peu fréquenté et puis nous sommes bien cachés sous ce buisson.
Rassuré, il murmure:-Tu m'excites, tu vas me faire jouir, hein?
-Oui...mais pas tout de suite,je veux que tu sois fou d'excitation!
-Mais je suis fou! T'as vu mon short?
-J'ai vu, t'en as une énorme! Viens, couchons nous.
Couché sur lui, je l'embrasse tout en frottant mon érection contre la sienne dans son short, nous ôtons nos t-shirts, corps contre corps, nous ondulons des reins mais nos bites restent emprisonnées dans nos jean et short.
-J'en peux plus! j'ai jamais autant bandé! T'est un salaud de me faire autant souffrir!Fait-il. en m'embrassant de plus en plus pofondément.
Caressant ses cuisses, ma main remonte dans l'échancrure de la jambe et je touche enfin sa barre, c'est doux, chaud, je vais et je viens doucement sur la peau douce, Eric murmure:
-MMMMM!...Cont...Continue!

Je bande à mort en ouvrant largement son short d'où jaillit un énorme épieu,  d'au moins vingt trois centimètres! Un muscle dur comme acier aux veines saillantes et au gland rouge et épais. Il détache à ce moment ma braguette prête à craquer, ma flèche qui n'en peut plus se dresse dans sa main, à ce contact, elle durcit plus encore s'il est possible! Voir ce garçon de rêve en train de serrer ma bite, je deviens complètement dément! Son short baissé sur ses genoux, il desend aussi mon jean jusqu'à mes pieds, nous sommes pratiquement à poil dans les buissons.

Sa main va et vient lentement sur mon épieu, la mienne sur le sien, bouche contre bouche, langues mêlées, il halète:
-C'est...C'est super!...Plus VIIIITE! Je me penche et lèche la base de son gland qui grossit encore, il gémit de volupté en poussant des AAAAAH!..H!...H!... et il pousse d'un coup de reins sa hampe dans ma bouche, seulement la moitié car elle est si longue que je ne peux l'absorber tout entière!

Il saisit ma tête et donnant des coups de reins rapides, la fait aller et venir en haletant:-OUAIIIIS!...H!...H!...J'EN...PEUX PLUS!...C'EST...BOOON!
La tête renversée dans les feuilles, les yeux fermés, il transpire,sa bouche ouverte émet des râles et des halètements, tous mes rêves se réalisent! Mais je me retire,son énorme épieu dressé va et vient en l'air car il donne toujours des coups de reins, il est formidablement beau et excitant! Il me supplie:-RECOMMENCE!...J'en peux plus! FAIS MOI JOUIIIIIR!
Je m'étends à son côté, bite en l'air aussi,et je recommence à l'embrasser sur le ventre, le torse,le cou, la bouche, je n'arrive pas à me rassasier de lui! L'odeur de sa transpiration m'enivre, son beau visage en pleine jouissance me rend fou! Je veux qu'il jouisse comme jamais! Je saisis sa bite raide prête à éclater, il saisit la mienne au bord de l'orgasme et nous nous branlons mutuellement en pousant des halètements, il fait:-JE...JE VAIS JOUIR! PLUS VIIIITE! Son corps transpire, se cambre, frémit. Moi ausi, je suis sur le point de juter tant sa main va et vient à toute vitesse!

J'ai trop envie: je présente mon gland à ses lèvres, ils les ouvre:-OH OUI!..JUTE DANS MA BOUCHE!
Son regard vert et vicieux est braqué sur ma bite qui entre et sort rapidement,il fait:-C'est BOOON!...BRANLE MOI PLUS VITE!

Il serre ma bite qui entre et sort de sa bouche, une main derrière mon dos, je branle son épieu à fond la caisse, il halète, cambre les reins, mon jus monte dans ma bite serrée entre ses lèvres,dans mon poing, je sens le canal de sa bite se gonfler sous l'assaut de son jus, OUH! Un spasme, je lui jute à la gueule, aussitôt, il décharge a longs jets qui éclaboussent les feuilles du fourré, il continue à me branler si bien que je jouis à nouveau à grands jets! Bouches soudées, nos yeux se sourient,des gouttes de sperme dégoulinent des branches au dessus de nous,Je ne sais toujours pas s'il est homo! Mais je sais s'il a pris son pied! La preuve, il me dit, toujours agité de spasmes et enduit de jus:-H!...tu sais, je ferais bien ça tous les jours avec toi!...J'ai...J'ai jamais autant joui!...Tu viendras chez moi demain? Et...Tous les jours?
-Oh Oui! Dis-je en l'embrassant.

Sur cette promesse,nous nous rhabillons et poursuivons notre ballade.

Par Bipuce - Publié dans : Histoires
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Jeudi 22 juillet 4 22 /07 /Juil 22:12

Je venais de fêter mes 19 ans et j'avais pris conscience de mon homosexualité depuis déjà plusieurs années. Les garçons trottaient sans cesse dans ma tête: je me masturbais délicieusement en fantasmant sur le corps de mes camarades de classe ou de sport, je multipliais les contacts étroits avec mes partenaires de lutte, les enlaçant, me pressant contre eux et frottant même parfois mon pubis contre le leur, ce qui provoquait souvent des réponses identiques pour mon plus grand plaisir. Néanmoins, rien n'allait jamais plus loin, cela semblant suffire à mes partenaires de jeux.

J'avais découvert les joies de la masturbation depuis déjà deux ans et j'avais profité de tout ce temps pour parfaire quotidiennement - souvent plusieurs fois par jour - cette agréable pratique qui me laissait haletant et couvert de sperme. J'aimais aussi m'exhiber devant mes potes de lycée et je le faisais sans complexe, notamment dans les vestiaires du gymnase au lycée et sous les douches après les séances de lutte.

Nous étions la plupart du temps entre adolescents et chacun épiait du regard le corps de l'autre, pour voler quelques images de corps nus et luisants de sueur. Mes partenaires se régalaient car j'étais toujours le premier à poil et le dernier habillé. Je me promenais nu au milieu de mes potes, discutant avec l'un d'entre eux, sachant que tous les autres m'observaient et se gavaient de mon corps exposé à leur vue. Sentir leurs regards posés sur moi m'excitait beaucoup et j'avais du mal à empêcher ma bite de gonfler et de se redresser glorieusement. Lorsque je me rhabillais, je bandais souvent à moitié et je surprenais plus d'un garçon en train de se caresser discrètement la queue - d'ailleurs pas toujours si discrètement que ça. Mais, là encore, personne ne semblait vouloir aller plus loin.

Je rentrais alors rapidement à la maison, jetais mes affaires aux quatre coins de la chambre et je plongeais sur mon lit, à chaque fois la trique déjà raide et bien rouge. Là, une main se refermait autour de mes couilles, les pressant doucement et les flattant, pendant que l'autre montait et descendait le long de ma hampe gorgée de sang. Je fermais les yeux et j'imaginais que je restais seul avec un de mes potes dans les vestiaires ou sous les douches et que nous nous masturbions, que nous nous sucions avec volupté. Parfois même, je nous voyais nous prenant l'un après l'autre dans les vapeurs d'eau chaude, jouissant longuement et violemment sous l'eau qui ruisselait sur nos corps. Un orgasme terrible survenait généralement à ce moment-là et je devais enfouir mon visage dans mon oreiller pour ne pas me faire choper par mes parents.

Cet après-midi-là, j'étais seul à la maison, mes parents étant sortis et ne revenant pas avant une heure avancée de la nuit. Dès leur départ, je m'étais foutu à poil et je vaquais à mes occupations dans cette tenue. À chaque fois que je passais devant une glace, j'admirais mon corps, détaillais mon sexe, soupesais mes couilles pendantes, je jouais avec mon pénis ou doigtais mon anus. J'avais vite découvert que je pouvais stimuler cette partie de mon corps et que mes jouissances n'en étaient que meilleures. Au début, je n'introduisais qu'un doigt largement humecté de salive et je le faisais pénétrer le plus loin possible entre mes fesses. Puis, peu à peu, j'y avais glissé un deuxième puis un troisième doigt, assouplissant et élargissant ainsi progressivement mon orifice. Lorsque je réussis à enfoncer trois doigts sans difficulté, je me mis à m'astiquer l'anus avec des carottes qui devinrent donc mes premières amantes... J'en retirais un grand plaisir et de longues salves de sperme jaillissaient de ma propre carotte, me faisant gémir longuement et profondément. Mais mes fantasmes et mes carottes commençaient à ne plus me rassasier et mon corps appelait désormais un autre corps...

Donc cet après-midi-là, j'étais seul et à poil dans le pavillon de mes parents. Il faisait très beau et j'avais ouvert les portes-fenêtres du salon dans lequel je passais le plus clair de mon temps. Confortablement installé dans le canapé en cuir, je jouais négligemment avec mon membre qui commençait doucement à s'éveiller. Soudain, des éclats de rire retentirent dans la rue. Je me levais et jetais un coup d'oeil dehors. Deux mecs se promenaient et, pour mon plus grand bonheur, ils s'arrêtèrent devant la maison pour consulter les horaires de car. Le car s'arrêtait en effet juste devant la maison.

L'un des deux garçons était un vrai canon, le second était plus ordinaire mais cela m'importait peu. Mon corps brûlait d'être caressé par d'autres mains et peu m'importait le garçon qui bénéficierait de cette primeur. Ils regardaient tous les deux les horaires et, de ce fait, ils ne pouvaient pas me voir. Moi, je m'étais presque mis sur la terrasse pour les observer et en se tournant, ils n'auraient eu aucune difficulté à me voir à poil. Mais ils semblaient plongés dans leur recherche. Celle-ci devait être amusante car ils gloussaient de temps en temps. Mais je compris vite la raison de leur ricanements. Je remarquais que l'un d'eux tenait son pote par l'épaule et son corps était perpendiculaire à celui de son ami. Mais si tous deux regardaient les horaires, la main de l'un d'eux ne restait pas inactive: elle caressait langoureusement le devant du short de son camarade dont je remarquais alors le sourire béat.

Ma verge réagit instantanément à cette scène et un afflux de sang la fit gonfler comme jamais. Deux mecs de mon âge s'excitaient sous mes yeux, qui devaient être exorbités. Puis la main se retira et le garçon se plaça derrière son pote, les deux continuant à regarder les horaires. Celui qui était derrière poussa son pubis en avant et frotta son dard contre le cul de son ami. Ce dernier glissa alors une main entre leurs deux corps et caressa longuement la bite ainsi offerte. Ce garçon à l'arrière devait apprécier cet frôlement car il appuya son dos sur un poteau électrique et s'offrit ainsi aux caresses viriles. Je l'entendais distinctement soupirer et ma main montait et descendait, comme folle, le long de ma tige en feu. Je voyais nettement une magnifique bosse sur le devant des deux shorts et j'enregistrais toutes ces images pour pouvoir alimenter mes prochaines séances de branlette.

J'étais excité comme jamais car c'était la première fois que j'assistais à un tel spectacle. Cet échange ne devait pas être le premier, ni pour l'un, ni pour l'autre, car on comprenait rapidement en les regardant qu'une grande complicité les unissait et je me mis à jalouser cet connivence. Tout à ma branlette et aux fantasmes que je commençais à élaborer, j'avais fermé les yeux et ce fut des rires qui me firent les ouvrir. Profitant de ces quelques secondes de distraction, ils s'étaient tournés vers moi et me regardaient tout en continuant à se caresser mutuellement. La surprise me fit lâcher ma colonne, offrant à leurs regards excités une lance prête à déverser des flots de crème.

— Jolie queue, ça me donne vachement faim, pas toi? dit le premier en regardant son pote.

— Ah ouais alors, j'ai l'impression qu'on a collé une sacré gaule à notre petit camarade. Je me demande quel goût elle peut avoir...

Les premiers moments de stupeur passés et ne voulant pas laisser échapper cette chance inespérée, je retrouvais ma voix.

— Ahhhhhh! Elle vous fait envie, n'est-ce pas? Si vous pouviez la toucher, vous verriez comme elle est dure... Faut dire que vous m'avez bien chauffé tous les deux, j'ai jamais eu une trique aussi longue et aussi raide...

En disant ça, je regardais mon mât de cocagne, fièrement dressé vers les deux garçons, les narguant et captant leurs regards. J'admirais mon engin, si beau, si lisse, si tendu et que je n'osais plus toucher, de peur de le cacher à mes deux petits pervers mais aussi de peur de déclencher un orgasme qui serait ravageur. Les deux jeunes mâles continuaient à se peloter vigoureusement, le souffle déjà court. Il était temps de prendre des initiatives.

— Si ça vous dit... venez faire un tour à l'intérieur, je suis sûr que, vous aussi, vous avez des bites superbes à me faire découvrir... Puis je crois avoir compris que les mecs ne vous laissent pas indifférents... Allez, venez vous éclater avec moi, ok?

Les deux gars se regardèrent quelques secondes, un large sourire fendit leur visage et ils traversèrent la rue. Je bondis vers l'escalier que je dévalais à toute allure, ma queue dansant dans tous les sens au rythme de mes pas. J'ouvris la porte et je sortis timidement dans le jardin, regardant autour de moi avant de me montrer trop.

— Tu peux venir, y a personne dans la rue, me dirent-ils en jetant un coup d'oeil à gauche et à droite. Dépêche-toi, on a trop envie de te toucher...

Je m'élançai dans le jardin, la pine toujours pointée vers l'avant. J'ouvris un battant du portail et ils se glissèrent dans le jardin. Aussitôt, ils m'entourèrent et leurs mains se mirent à courir sur mon corps. Quels petits vicieux! Mais il faut dire que j'étais moi aussi un sacré vicieux, exhibant ma solide érection sans vergogne. Une bouche happa la mienne et une langue se glissa aussi sec dans ma bouche qui s'ouvrit pour recevoir un baiser passionné. Mes mains ne restaient pas inactives et pelotaient deux verges vigoureuses qui ne demandaient qu'à s'échapper de leur prison de tissu. Je glissai mes deux mains sous leurs deux shorts, ce qui fut facile car leurs jambes étaient largement écartées. Ils ne portaient aucun sous-vêtement et je pus ainsi caresser sans difficulté leurs deux solides lances qui me semblaient aussi épanouies que la mienne. Mais je commençais à flipper et à avoir peur de me faire choper à poil et la main dans le sac - c'était vraiment le cas de le dire.

Je repoussais mes deux amants et courus vers la maison, aussitôt pris en chasse par mes deux excités.

— Hummmmmm! Quel joli cul! Je sens qu'on ne va pas s'ennuyer tous les trois. Ça sent la bonne partie de baise bien chaude... apprécia le premier.

— J'ai trop envie de lui défoncer la rondelle et de lui cracher dans le trou, ajouta l'autre.

Ils me rejoignirent dans l'entrée et je repoussais la porte du pied alors qu'ils m'enlaçaient de nouveau étroitement. Je réussis encore à me dégager et ils me poursuivirent jusque dans le salon en riant. Je plongeais sur le canapé, aussitôt rejoint par deux corps qui se pressèrent langoureusement contre le mien. Leurs bouches s'écrasèrent contre la mienne et leurs deux langues luttèrent pour prendre possession de ma cavité buccale. On finit par sortir nos trois langues qui joutèrent les unes avec les autres, s'agaçant, s'entremêlant et faisant naître en nous de profonds soupirs.

Il est temps que je vous présente un peu mes deux nouveaux amis qui allaient devenir, sans aucun doute, mes partenaires attitrés. Benjamin avait 18 ans et demi, il était blond comme les blés, pas franchement mignon mais avec un regard qui vous donnait envie de vous faire prendre sur place. Son corps était un peu plus musclé que le mien, sa poitrine plus large, ses cuisses solides et légèrement poilues. J'appris par la suite qu'il pratiquait la gymnastique depuis une année et que celle-ci commençait à sculpter son corps, dessinant peu à peu ses muscles. Alexis était un superbe adolescent de 19 ans et il aurait fait instantanément bander un mort. Il était aussi brun que Benjamin était blond, ses yeux verts attiraient irrésistiblement les regards. Lui aussi pratiquait la gym, depuis plus longtemps que Ben, et son corps était magnifique. Je sentais sous mes mains une peau satinée, sans un poil - rare pour un brun - et je sentais ses muscles rouler sous mes paumes. J'adorais caresser sans fin ce corps si lisse et en même temps si ferme, ce corps à la fois doux et puissant.

Tout en les embrassant, je me mis à les dévêtir pour mieux les toucher. Comme il faisait chaud, ils ne portaient pas grand chose et shorts et t-shirts volèrent rapidement à nos pieds. Je pus alors découvrir leurs sexes que j'avais jusqu'à présent devinés. Celui de Ben était de même longueur que le mien mais un peu plus large, non circoncis, contrairement au mien et je me délectais à l'avance de jouer avec son prépuce. Celui d'Alex était très gros à la base, devenant moins large au niveau du gland. En fait, il me faisait penser à un cône à l'envers, un cône que j'avais très envie de déguster sans plus tarder pour en éprouver la vigueur. Comme moi, il était circoncis et sa flèche était un peu plus courte que la mienne. Mais tout cela n'avait que peu d'importance, même si j'étais à un âge où l'on aime comparer la taille et la forme des sexes, ce que j'avais fait des dizaines de fois dans les vestiaires du lycée ou sous les douches. Une seule chose me tardait désormais: passer aux choses sérieuses et mettre enfin en pratique tous les fantasmes que j'avais créés depuis la découverte des plaisirs qu'on pouvait tirer d'un sexe masculin.

Tout en nous embrassant, nous nous étions peu à peu redressés et j'étais maintenant assis, les jambes écartées, mes amants chevauchant mes jambes. Nos sexes ne se touchaient pas et j'avais très envie de presser le mien contre les leurs. J'avançai donc mon corps vers celui d'Alexis, je plaquai ma bite contre la sienne et je me frottai sensuellement contre sa virilité. Je sentais son organe pulser contre le mien et de longs gémissement s'échappaient de nos bouches. Ben plaqua son aiguillon contre ma hanche et se mit à se masturber ainsi. Nos corps se pressaient fortement les uns contre les autres, nos verges gonflées de sève vibraient sous les caresses pendant que nos bouches s'affrontaient de nouveau.

Je captais de temps en temps le souffle de Ben dans mon cou, un souffle brûlant de désir et ses dents mordillaient très souvent le lobes de mes oreilles ce qui m'arrachait des cris de plaisir. La langue d'Alexis était très expérimentée et me tirait, elle aussi, des gémissements sans fin. J'étais ivre de bonheur entre les mains de ces deux mâles qui s'ingéniaient à jouer avec chaque fibre de mon corps et la tête me tournait. Je me rendis compte alors de l'expérience qu'ils avaient et j'appris par la suite qu'ils sortaient ensemble depuis plus d'un an. J'étais excité comme jamais auparavant et je ne pus me contenir plus longtemps.

Sous les assauts de leurs deux corps, je laissais échapper de longs sanglots rauques et un jaillissement sans précédent me terrassa. Un premier jet moyen fut suivi de trois longs jets drus d'une épaisse semence. Une quatrième contraction expulsa un nouveau chargement puis un cinquième et un sixième. Le flot de sperme ne semblait pas vouloir se tarir. Mais bien sûr, cela cessa, me laissant vidé et haletant entre les bras de mes deux petits amis. Ils me caressaient la poitrine tout en essuyant la jute qui maculait nos corps. Ils la sentaient avant de se faire lécher mutuellement leurs doigts, dégustant mon sirop comme un nectar. Ils me firent rapidement partager leur dégustation et je découvris alors le goût de ma liqueur.

Et oui, ça peut vous paraître surprenant, je me branlais, je me doigtais mais je n'avais encore jamais osé goûter à mon sperme. J'en connaissais l'odeur, je le humais après chaque jouissance, ma main s'était approchée plusieurs fois de ma bouche mais au dernier moment, elle avait reculé, n'osant pas franchir l'ultime étape. Je découvris donc une nouvelle saveur, un peu âpre, mais au goût pas si désagréable que ça. De fait, je regrettais bientôt qu'il n'y ait plus rien à avaler.

— Ne t'inquiète pas, Marc, nos couilles sont encore bien pleines et je t'assure que tu vas bientôt pouvoir te régaler de nouveau... déclara Alex, dans un souffle. Tu es prêt Ben? ajouta-t-il en posant sa main sur la barre de son pote.

Benjamin opina de la tête et saisit le manche de son partenaire. Leurs deux mains se mirent à astiquer leurs deux membres avec force pendant que les miennes caressaient leur poitrine et titillaient leurs mamelons. Ils échangeaient de temps en temps un regard, comme pour se consulter puis, sans qu'ils se soient parlé, deux grands cris jaillirent simultanément de leur gorge et leurs queues se mirent à cracher ensemble. Sous la puissance de leur éjaculation, le sperme giclaient haut avant de retomber sur mon corps luisant de transpiration. Leurs spermes se mélangèrent en ruisselant sur moi et j'arrêtais de les peloter pour récolter leur sève avec mes doigts qui filèrent aussitôt dans ma bouche. Je me délectais de mon butin puis je poursuivis mon ramassage pour leur offrir ensuite mes doigts qu'ils s'empressèrent de lécher. Une dernière lampée et Alex me roula un patin qui m'affola de nouveau. Dans sa bouche, je reconnus le goût de la dèche qu'il venait d'avaler et ce baiser n'en était que meilleur...

— C'était vraiment trop fort, les gars, j'ai jamais éprouvé autant de plaisir en jouissant...

— Attends un peu, mon amour, tu n'as encore rien vu, répondit Alexis. Quand on partira, tu en connaîtras aussi long que nous sur le sujet. Nous avons encore plein de choses merveilleuses à te faire découvrir...

 

Chad entre dans ma vie

Après cette découverte de l'amour entre mecs grâce à Alexis et Benjamin, rien ne fut plus comme avant. Je pensais et repensais sans cesse aux caresses que nous avions échangées, à la découverte du plaisir qu'on pouvait donner et recevoir et ces souvenirs rythmaient désormais mes séances de masturbation... leur donnant une saveur nouvelle. J'avais hâte de retrouver mes deux amants qui m'avaient promis de me contacter bientôt... Une quinzaine s'était écoulée sans qu'ils ne donnent signe de vie et je commençais à me demander si je les reverrais un jour. Mais ma patience fut bientôt récompensée.

Alexis et Benjamin refirent surface alors que je ne m'y attendais pas. J'étais au cinéma, attendant dans la file que les portes s'ouvrent pour aller m'installer dans la salle. Soudain, deux mains se plaquèrent sur mes yeux et deux bras m'attirèrent contre une poitrine accueillante. Une douce odeur flotta jusqu'à mes narines, une odeur que je reconnaissais et dont je rêvais chaque nuit.

— Salut Alexis! m'écriai-je, faisant se retourner deux ou trois personnes.

— Héhéhé! Salut mon chéri, murmura-t-il à mon oreille. T'es vachement doué toi...

— Tu sens tellement bon... j'adore ton odeur, répondis-je discrètement.

Il me libéra de son étreinte, à mon grand regret. Je me retournai et découvris le visage hilare de mes deux mecs préférés. Je regrettais que nous soyons dans la foule car j'aurais aimé les serrer dans mes bras et les embrasser. Mais nous pourrions peut-être jouer avec nos queues dans la salle. Cette pensée me fit frissonner de désir et mon sexe commença à remplir mon caleçon et à pousser contre mon jeans. Je m'écartais un peu de mes potes pour leur dévoiler l'état dans lequel ils me mettaient. Le sourire d'Alexis et de Benji s'élargit puis Ben se pencha vers moi et me glissa à l'oreille:

— Putain, t'es déjà chaud on dirait... Mais calme-toi, on n'est pas venu pour s'envoyer en l'air avec toi.

Mon sourire s'effaça aussitôt de mon visage et je ne pus masquer ma déception. Comment? Ils m'avaient juste chauffé puis ils me laissaient tomber? Mon sexe fondit aussi vite que la colère m'envahissait. Mes poings se serrèrent et j'eus soudain envie de les frapper tous les deux. À ce moment, Alex se pencha vers moi.

— Calme-toi bébé, on est venu te faire une proposition qui va te plaire.

Je le regardais, l'air étonné.

— Voilà! Tu sais, Ben et moi, nous sommes amants et nous tenons énormément l'un à l'autre. Pas question de faire éclater notre couple en te faisant participer à nos sessions. L'autre jour, quand on a fait l'amour avec toi, c'était pour te tester et nous avons beaucoup apprécié tes qualités. Je pense que tu es parfait pour ce qui va suivre...

— Euh... j'te comprends pas Alex... sois plus clair... vous m'avez trompé, j'ai envie de vous... c'était trop beau pour être vrai... je me voyais bien devenir votre amant moi aussi... vous me plaisez... je pense sans arrêt à vous, je me masturbe en pensant à vos corps et aux caresses que nous avons échangées... j'y comprends plus rien...

Je ravalais un sanglot... pas question de chialer au milieu de tout ce monde. Je n'avais plus qu'une envie... fuir... courir jusqu'à en perdre le souffle, m'écrouler sur le sol et pleurer tout mon saoul... Je commençais à me dégager quand la main d'Alex se glissa fermement dans la mienne et me tira en arrière.

— Écoute-moi avant de faire une bêtise... on va te faire le plus beau cadeau dont tu puisses rêver. On va te présenter à notre ami Chad.

— Mais je m'en fous de ce mec, c'est vous que j'aime, c'est avec vous que je veux faire l'amour...

— Fais-moi confiance, tu ne le regretteras pas. D'ailleurs, je crois que tu le connais. Il était dans le même collège que toi, il est en BTS actuellement...

— Comment il s'appelle?

— Chad! Enfin, c'est ainsi que tout le monde l'appelle, j'ai tellement pris l'habitude de l'appeler ainsi que je sais même plus son vrai prénom. De toute façon, il ne répond qu'à ce prénom.

Chad... Chad... j'avais beau chercher dans ma mémoire, aucun visage ne me venait à l'esprit.

— Il fait du skate, il est vachement bon pour un mec qui vient d'avoir 18 ans! Au fait, c'est marrant, vous êtes nés le même jour, à un an d'intervalle, ajouta Ben.

Chad, un mec qui faisait du skate... ah oui... bien sûr... maintenant je me souvenais de lui. Un mec assez mignon que j'avais parfois croisé dans les couloirs du collège.

— Ouais, vous êtes bien sympas mais il n'est sûrement pas gay et puis, c'est vous qui m'excitez. Pis rien ne dit que ça marchera entre nous...

— T'inquiètes pas pour tout ça. Fais-nous confiance, vous êtes faits l'un pour l'autre. Je suis sûr que tu vas craquer en le voyant.

— Ouais, je sais, il n'est pas mal comme gars mais bon... il me branche pas vraiment...

— Depuis combien de temps tu ne l'as pas vu?

— Depuis que j'ai quitté le collège. Je me souviens d'un mec de taille moyenne, le visage fin, des cheveux châtains et de beaux yeux bleus, pas très athlétique. Pourquoi?

— Bah alors, tu risques d'être surpris en le voyant. Il a beaucoup changé, il a maintenant un corps superbe à force de faire du skate. Pis, au lit, il est géant... me rétorqua Alex, avec un large sourire.

— Comment tu peux savoir ça, toi?

— On s'est occupé de sa formation, répondit-il en me faisant un clin d'oeil.

— Bon, ok, j'accepte de le rencontrer... à condition qu'on puisse s'amuser un peu pendant le film.

— Ça marche, give me five!

On se tapa dans les mains, de larges sourires fendant nos bouilles réjouies. Les portes de la salle s'ouvrirent peu de temps après et on s'installa au fond du cinéma, Alex s'installant à ma droite et Benjamin à ma gauche. Par chance, personne ne vint dans notre rangée et avant même que les lumières ne s'éteignent, j'avais largement écarté les cuisses et deux mains très douces s'empressèrent de me caresser l'entrejambe. Quand les lumières s'éteignirent, ma queue était dure comme du roc et les doigts de Ben s'activèrent aussitôt sur ma braguette pour libérer mon pal. De mon côté, j'avais aussi langoureusement caressé leurs bosses et je fis de même, retrouvant les deux vigueurs qui m'avaient dépucelé deux semaines plus tôt. Je ne vais pas m'étendre sur la triple fellation qui s'ensuivit qui, bien que formidable, ne constitue pas l'intérêt principal de cette histoire.

En sortant du ciné, mes deux potes me prirent par le bras et m'emmenèrent avec eux. En chemin, on discuta d'un tas de chose et au fur et à mesure qu'on marchait, une boule commença à se former dans ma gorge. On discuta notamment de Chad qui, d'après mes potes, étaient vraiment devenu un canon. J'avais maintenant peur de ne pas être à la hauteur... après tout, je suis loin d'être mignon. En fait, je séduis surtout les gens par mon charme qu'on ne découvre pas toujours tout de suite. Mais quand il opère, on devient vraiment accro. Comment un mec comme Chad pourrait-il s'intéresser à moi?

— On est arrivé, me dit soudain Benjamin.

Je sursautais car j'étais perdu dans mes pensées. Nous étions devant un portail, de l'autre côté du mur s'étendait un grand jardin avec deux superbes conifères plantés devant la maison qui se trouvait ainsi dissimulée en partie. Je n'avais pas vu Alexis sonner et je m'aperçus soudain que le portail s'ouvrait et un garçon se matérialisa sous mes yeux. J'arrêtais aussitôt de respirer. Le garçon que je découvrais n'avait en effet plus rien à voir avec celui qui était dans ma mémoire. Chad me dépassait maintenant d'une quinzaine de centimètres, il portait des rastas ce qui lui allait merveilleusement bien, son visage était celui d'un ange, plus tout à fait celui d'un enfant mais pas encore celui d'un homme, ses épaules étaient larges et on devinait sous son tee-shirt un corps musclé. Mais par-dessus tout, ce fut son regard qui me transperça... un regard bleu pâle, un regard dont je ne parvenais pas à me dégager... un regard presque hypnotique. Ouais, Chad était devenu un canon et bien qu'il fut plus jeune que moi d'un an, il m'impressionnait par son calme, sa douceur et sa beauté.

— Salut Marc, enchanté de faire ta connaissance.

— Hein? quoi? euh... ouais... moi aussi, parvins-je à bafouiller au bout de quelques secondes.

Je remarquais alors la main qu'il avait tendue vers moi et je la saisis pour répondre à son geste. Alexis et Benjamin riaient aux éclats de me voir dans cet état. Je me sentais sur un nuage et alors que je prenais sa main, une main douce, j'eus le coup de foudre pour ce gars si merveilleux. Je me mis à trembler comme une feuille, incapable de contrôler mes réactions. Chad m'enlaça et me dit, de l'inquiétude dans la voix:

— Ça va pas Marc? tu veux t'asseoir? T'es tout pâle et tu parles plus... Qu'est-ce qui t'arrive?

J'étais incapable de répondre à ses questions, j'étais sous le choc et rien n'aurait pu me préparer à cette rencontre si magique. Chad caressait tendrement mes épaules et mon dos et il me fit asseoir sur un banc dans son jardin. Chad ne m'avait pas lâché et il continua à me caresser et à me parler doucement jusqu'à ce que mes tremblements eurent cessé. Je poussais alors un long soupir ce qui fit rire tout le monde, moi y compris. Ça y était, j'avais repris mes esprits mais je ne parvenais pas à détacher mon regard de celui de Chad. Celui-ci souriait tendrement.

— J'ai cru me noyer dans ton regard Chad. Tu as vraiment des yeux stupéfiants, j'en ai jamais vu de si beaux...

— Ouais, je sais, c'est un de mes atouts les plus sûrs pour séduire quelqu'un.

Son sourire s'élargit.

— Je suis sûr qu'on va bien s'entendre tous les deux. Alex et Ben m'ont beaucoup parlé de toi, il paraît que tu as plein de qualités...

Je ne savais pas quoi répondre, je me sentais bête de le dévisager comme un chien qui regarde son maître avec un amour infini. Qu'est-ce qu'un mec aussi sublime pourrait me trouver? Je n'arrivais pas à croire ce qui m'arrivait: grâce à mes deux ex-amants, je venais de faire la plus belle rencontre de toute ma vie. Je me tournai vers eux et je les serrai très fort contre moi.

— Merci... merci du fond du coeur... c'est con, je sais mais je sais pas quoi vous dire d'autre. Je vis les plus beaux moments de toute ma vie.

— On t'avait pourtant prévenu mais t'avais pas l'air de nous croire...

— Même maintenant, j'arrive pas à croire ce qui m'arrive. Encore merci...

— Bon, ben, je crois qu'on va vous laisser faire connaissance tous les deux. À bientôt Chadou, salut Marco!

Et nous nous retrouvâmes seuls dans le jardin.

— Mes parents sont absents... Viens, je vais te faire visiter la maison puis on fera connaissance.

Il me prit par la main et m'entraîna à sa suite. Je me laissai faire sans protester et je découvris sa maison, pièce par pièce. On finit par le salon et il m'invita à m'asseoir dans le canapé. Il apporta des rafraîchissements puis on commença à discuter de nous. On parla longuement du collège et du lycée puis de ce qui nous passionnait et on constata que nous partagions deux centres d'intérêt: Star Wars et Tolkien. Puis Chad se lança dans une discussion passionnée sur le skate et me montra une cassette des champions qu'il admirait.

Le temps passa trop vite et bientôt, ses parents arrivèrent. Chad me les présenta et il me présenta comme son ami le plus proche: j'étais aux anges, je ne pouvais en croire mes oreilles. Je quittais la maison de Chad à contrecoeur, j'étais triste de quitter mon nouvel ami et je ne l'avais pas encore quitté qu'il me manquait déjà. On se serra la main, une longue et chaleureuse poignée de mains dans laquelle chacun mit tout son amour pour l'autre.

Je rentrai à la maison, perdu dans mes pensées, le visage de Chad flottant devant mes yeux. Devant mon air absent, ma mère s'inquiéta pour moi lorsqu'on passa à table, néanmoins je réussis à faire illusion. Le dîner me sembla durer une éternité mais il se termina enfin et je grimpais rapidement dans ma chambre. Là, l'émotion me submergea et je pleurais à chaudes larmes, repensant à cette rencontre qui bouleversait ma vie. Mais ces larmes étaient des larmes de bonheur. La fatigue me gagna, je me déshabillai et le sommeil m'emporta, sans que je m'en rende compte.

Je me réveillai en sursaut, trempé de sueur. J'ouvris les yeux, écoutant les bruits de la nuit. L'image de Chad était là, de nouveau sous mes yeux. Il me souriait et je répondis à son sourire. C'est alors que je me rendis compte que ma queue était en érection, une érection douloureuse comme si je bandais depuis des heures. Les yeux de Chad se fixèrent sur mon dard dilaté et son sourire s'accentua. Puis son regard replongea dans le mien. Mes bras se refermèrent sur son image et je me mis à caresser mon corps sensuellement.

Grâce à mon imagination, mes doigts devinrent les siens et ils jouèrent longuement avec mes mamelons, les faisant gonfler de désir. Puis mes mains caressèrent mes flancs puis mon ventre et glissèrent sur mon nombril. Sous mes propres caresses, je frissonnais de plaisir. Puis mes doigts se mirent à courir sur mes cuisses et en flattèrent longuement la face interne, si sensible. Mon sexe oscillait au rythme des pulsations sanguines qui l'agitaient mais je retardais le plus possible la tendre rencontre de ma queue et de mes doigts. Finalement, le désir fut le plus fort et je commençai à agacer mes couilles soyeuses. Un long gémissement sourd s'échappa de mes lèvres, mes yeux se fermèrent pour mieux jouir encore de mes caresses.

Chad était toujours là, heureux de me regarder me masturber en pensant à lui. Un de mes mains remonta le long de la hampe dilatée de mon pénis tandis que l'autre flattait toujours mes boules. Ma tige était dure comme de l'acier mais, contrairement au contact du métal, elle était chaude et douce au toucher. Je la sentais palpiter sous mes doigts, battre sous la pression du désir, cette sensation me comblait de bonheur. À nouveau, j'imaginais que c'était Chad qui jouait avec mon corps et cela renforçait encore mon désir de me donner à lui. Tout mon corps, tout mon esprit se tendait vers celui que je venais de rencontrer et dont j'étais désormais éperdument amoureux.

J'avais totalement perdu la notion du temps, je n'avais aucune idée du temps qui s'était écoulé depuis que je me caressais mais j'étais bien. Je sentais le souffle tiède de la nuit caresser mon corps comme une douce main, c'était vraiment très agréable.

Soudain, une vague de plaisir s'abattit sur moi et m'emporta avec elle. Je me mis à haleter, cherchant désespérément mon souffle mais l'orgasme me prit brutalement et je ne pus que crier mon plaisir, un plaisir puissant qui propulsa de longues giclées de sperme sur tout mon corps. Ma main montait et descendait rythmiquement, comme possédée par quelque chose d'étranger. Mon corps s'était arqué sous la violence de la jouissance et je restais ainsi tendu de longues minutes. Mon sexe aussi restait rigide malgré l'éjaculation, c'était la première fois que cela m'arrivait.

"Ah Chad! non seulement tu me plais mais en plus tu m'apportes un plaisir que je n'ai jamais ressenti jusqu'alors. Il faut vraiment qu'on fasse connaissance... de manière plus approfondie. Je compte bien te voir et te tester dès demain matin." C'est sur ces pensées que mes yeux se fermèrent et je m'endormis, le ventre couvert de sperme, l'esprit apaisé, le coeur bondissant de bonheur...

 

Premiers plaisirs partagés

Cette nuit-là donc, je m'étais masturbé, seul dans ma chambre, en fantasmant sur ce garçon qui emplissait ma tête. J'aimais Chad plus que tout. La jouissance que j'obtins grâce à lui me terrassa et je m'endormis comme une masse.

Le lendemain, je m'habillai en vitesse et fonçai aussitôt chez Chad. Je sonnai, attendant impatiemment en me dandinant d'un pied sur l'autre et bientôt, la porte s'ouvrit sur le garçon magnifique dont j'étais tombé amoureux. Il était seulement vêtu d'une chemise et d'un jeans large comme ceux des skateurs, ses pieds étaient nus. Il me regarda en souriant.

— Salut Marc!

— T'es heureux de me voir?

— Bien sûr que oui, idiot... On dirait que je t'ai manqué...

— Bien sûr que oui, idiot... Je t'aime tellement fort...

— Toi aussi, tu m'as manqué, j'ai pas arrêté de penser à toi... Tu sais quoi? On a trop de chance, ma mère et mon père ne rentrent que demain vers midi, je suis seul à la maison...

— Écoute Chad, pour célébrer notre amour, je veux qu'on passe la nuit ensemble. Mais cette nuit, c'est moi et moi seul qui te donnerai du plaisir. Je veux te montrer à quel point je t'aime.

Je repoussai la porte du pied, j'enlaçai Chad et je l'embrassai à pleine bouche, une pelle vorace et sauvage, une pelle sans fin. Le temps s'était arrêté, plus rien ne bougeait sauf nos langues qui s'agitaient furieusement dans nos bouches. On entendait seulement le bruit de notre respiration haletante et celui fait par nos bouches. Nos lèvres se séparèrent enfin mais nos langues poursuivirent leur danse à l'extérieur de nos bouches. Peu à peu, la passion diminua et la tendresse la remplaça. Et ce furent nos lèvres qui s'affrontèrent alors, se mordillant, se happant, s'agaçant, se pressant l'une contre l'autre avec force ou douceur... Chad avait enroulé lascivement une de ses jambes autour des miennes et la frottait tendrement contre elles. Seules nos bouches et nos jambes existaient. Du moins, c'est ce que nous ressentions l'un et l'autre. Notre baiser se termina enfin, nous nous écartâmes un peu l'un de l'autre pour nous dévorer du regard. J'adorais contempler le visage lisse et bronzé de mon amant et lui se régalait du mien.

Puis je pris conscience de la bosse énorme qui se pressait contre ma cuisse et je sentis ma propre queue bandée comme jamais. Nous étions emplis de désir l'un pour l'autre et il n'y avait qu'un moyen de le soulager: faire l'amour. J'entrepris de déboutonner la chemise de Chad, très sensuellement. À chaque bouton que je dégrafai, je déposais un bisou mouillé sur sa peau. Peu à peu, je descendis jusqu'au dernier bouton. J'écartai alors la chemise pour découvrir une poitrine large et puissante, aux pectoraux bien dessinés, avec des tétons presque marrons. Incapable de résister à leur appel, je posai ma bouche sur l'un d'eux et commençai à l'exciter avec la pointe de ma langue. Je faisais des cercles autour du mamelon qui gonflait peu à peu de désir avant de devenir dur comme un grain de café. Je fis subir le même traitement au second téton. Chad avait enroulé un de ses bras autour de ma tête et ses doigts peignaient mes cheveux. Il gémissait sourdement sans s'arrêter.

Je me redressai, je fis glisser la chemise sur ses épaules, caressant longuement son dos à la peau si douce. Chad frissonnait d'envie à chacune de mes câlineries mais il me laissait faire, s'abandonnant totalement entre mes bras caressants. Je voulais lui donner tous les plaisirs possibles pour lui prouver combien je l'aimais. La chemise pendait, uniquement retenue par le large jeans noir dans lequel elle était encore prisonnière. Je caressai la poitrine et le ventre de mon amour avec la légèreté d'un souffle d'air. Chad avait les yeux clos, il respirait amplement, jouissant au maximum de mes doux frôlements.

J'étais heureux de l'avoir rejoint, heureux de le combler, heureux de lui donner tout mon amour. Ses abdominaux attirèrent aussi ma bouche qui se promena longtemps sur eux et ma langue taquina son nombril pendant que mes mains caressaient ses flancs et sa poitrine. Je déboutonnai enfin son jeans ample, laissant le pantalon glisser lentement sous l'effet de son poids. Des cuisses longues, musclées et soyeuses apparurent sous mes yeux. Libéré de sa prison de toile rugueuse, la queue de Chad, bien que toujours prisonnière de son caleçon poussa en avant sur le fin tissu. Mais nous avions le temps et je voulais goûter ses cuisses. Ma bouche les explora donc de longues minutes, mes joues se frottant contre leur satin, mon nez respirant les odeurs intimes de mon amant. Pas un endroit de son corps qui ne soit parfait! J'étais fou de bonheur de serrer entre mes bras un mec aussi fabuleux. Je mesurai aussi la chance que j'avais d'avoir croisé sa route et que nous nous soyons plu instantanément. Est-ce que je rêvais? Oui sans doute et j'allais me réveiller d'un instant à l'autre, couvert de sueur, la bitte raide comme un piquet et que seule une violente masturbation parviendrait à calmer temporairement...

Mais non! Ce corps que j'explorais si méthodiquement était bien réel, rien n'était plus réel que ce corps si bien charpenté et qui avait gardé la douceur qu'il avait depuis la naissance. Ce corps vibrait d'un plaisir encore contenu et je continuais à faire monter la pression lentement, encore, et encore, et encore... Enfin je descendis très tendrement son caleçon, dévoilant une belle verge frétillante et puissante, surmontée d'une fine mais abondante toison de poils. Je relevais cette belle queue pour mieux caresser deux testicules gros comme de petits abricots, des abricots bien appétissants. Je les pétris délicatement avant de les serrer plus fort entre mes doigts. Chad grognait de contentement, jouissant de mes caresses. Je me mis alors à sucer amoureusement sa verge, délicatement, par petites touches. Ma langue joua longuement avec son gland, notamment avec la fente bien ouverte puis se promena sur son manche, allant et venant de nombreuses fois avant de se perdre sur ses couilles bien remplies. Une voix lointaine retentit à mes oreilles:

— Oh oui Marc, j'adore ça. Je crois que j'approche de l'orgasme. J'ai envie d'éjaculer dans ta bouche...

— Ne t'en prive surtout pas mon amour...

J'enfonçai son dard au fond de ma gorge, sans parvenir à l'avaler entier et je le serrai contre moi, enlaçant ses fesses que je caressais délicatement. Il me caressait tendrement les cheveux. Soudain, il projeta son bassin en avant, en laissant monter un long cri. Un jet brûlant de sperme jaillit au fond de ma bouche, suivi de plusieurs autres. Je sentais parfaitement son membre se contracter pendant qu'il éjaculait sa semence dans ma bouche gourmande. Je gardai son sexe en bouche jusqu'à ce qu'il ait repris sa taille normale. Je me levai et j'allai embrasser une nouvelle fois mon bien-aimé, nos langues se mêlant, un liquide fait de sa semence et nos salives passant d'une bouche à l'autre. Ce moment était véritablement exquis.

— Chad, j'ai envie de toi.

— Je t'offre mon cul, mon amour, je suis certain qu'il te fait très envie et que tu l'apprécieras beaucoup.

J'étais fier d'être avec un mec aussi beau. Je récupérai de la salive mêlée de sperme pour en enduire son trou. Pendant que je préparais son orifice pour la pénétration, Chad me déshabillait sensuellement. Son cul accepta sans problème un premier doigt. Celui-ci fut vite rejoint par un deuxième puis un troisième doigt et je les enfonçais le plus profondément possible, lissant son anus, tournant aussi mes doigts pour l'assouplir le plus possible, allant et venant de longues minutes. Quand je le sentis bien détendu, je repassai sur lui et je relevai ses jambes, les bloquant contre mes épaules. J'écartai largement les cuisses, me plaçant très près de ses fesses relevées. Je le regardai et je lus tout l'amour qu'il éprouvait pour moi dans son regard. Je souris largement à son intention.

— Ça va Chad? Tu te sens prêt?

— Viens vite mon amour, j'ai trop envie que tu me prennes, tu m'as bien chauffé...

J'écartai alors un peu ses fesses et je m'enfonçai sans aucun mal entre elles. Oui, je l'avais bien dilaté et la pénétration se faisait sans problème. Je le pénétrai doucement, tendrement, pour profiter le plus possible de cette merveilleuse sensation. J'aimais ça, j'adorais ça même. Et il semblait beaucoup apprécier la vigueur de mon bâton. Je m'enfonçai ainsi jusqu'à ce que mon pubis entre en contact avec ses fesses. Et je ne bougeais plus, l'emplissant totalement de ma présence virile. Je me penchai vers lui et nos bouches se soudèrent une fois de plus, nos langues se rencontrèrent, nous apportant toujours autant de bonheur. Au bout d'un moment, Chad trahit son impatience d'être baisé. Il écarta ses fesses de mon pubis pour me faire comprendre qu'il en voulait plus. Je compris aussitôt le message et, sans quitter sa bouche, je commençai à aller et venir entre ses reins. Chad roucoulait de plaisir alors que je le sodomisais.

Peu à peu, la volupté m'envahit ainsi que le désir de le prendre plus virilement. Je détachai à regret mes lèvres des siennes et enroulant mes bras autour de ses cuisses, je le pris plus sauvagement. Je le possédai de plus en plus vite, de plus en plus fort. Ma bitte sortait complètement à chaque fois de son trou avant d'y replonger de nouveau. Parfois ma verge glissait à côté du trou et frottait alors sur ses couilles. Mais mon dard retrouvait vite sa cible et la perçait de nouveau. Ces frottements répétés me procuraient un plaisir fou. C'était l'extase! Et Chad aussi appréciait mes assauts, à en juger par les longs râles qui s'échappaient de sa bouche. Hélas, tout a une fin... J'aurais aimé le baiser des heures mais la nature en avait décidé autrement. Un plaisir intense me suffoqua soudain et je hurlais de bonheur en propulsant ma sève dans son cul. Nos cris se mêlèrent, formant une mélodie rauque et primitive, pour nous, la mélodie de bonheur.

Chad se mit alors à éjaculer de nouveau, sans même s'être touché. Ce fut d'ailleurs à ce moment que je remarquai qu'il bandait très certainement depuis longtemps, probablement depuis que j'avais commencé à le pénétrer. Je ne voulais pas croire que tout était fini, je restai en lui, m'allongeant pour l'embrasser, jusqu'à ce que ma bitte sorte d'elle-même de son logement chaud et gluant. Tout en nous cajolant, nous pensions aux longues heures de plaisir que nous avions devant nous et nous nous endormîmes à même le sol, un sourire angélique sur nos lèvres.

Par Bipuce - Publié dans : Histoires
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